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Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”

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Message par Invité Sam 18 Juil 2015 - 11:58

Argumente, au lieu de simplement l'affirmer, comme si ça tenait lieu de développement. Y a aucun rapport entre ce que je dis et ce que tu me fais dire. Tes "interventions"? Y a pas un atome de contenu là-dedans: je l'ai montré plus haut pour un de tes cataplasmes textuels. Les quelques phrases disloquées qui composent le reste sont à l'avenant: si tu y tiens, j'y consacrerai la vague attention qu'ils requièrent, même si c'est difficile de s'intéresser à du vent.

ça me rappelle tes "interventions" sur carax: une débilité par phrase. Et relevée par le menu, sans se fouler. Puisque t'aimes les archives, le fanfaron des clubs privés:

https://spectresducinema.1fr1.net/t1279p30-holy-motors?highlight=holly+motors

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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 12:01

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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 12:03

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Message par Borges Sam 18 Juil 2015 - 12:18

Baldanders a écrit: "Images malgré tout", sauf des bouts verbeux qui ne m'ont pas donné envie de creuser)

Non, c'est un livre riche, par bien des aspects, dont l'idéologique-polémique (représenter ou pas, image, parole, interdit de la représentation, montage...). Il semblerait que GDH ait changé d'avis sur l'antisémitisme de Godard, il ne dit pas qu'il l'est, mais pas loin... Tout le propos de son dernier livre vise à le présenter comme un personnage double, dans tous les sens du mot, déchiré, divisé, mais aussi faux, "agent double", collabo et résistant (selon l'expression même de Godard), philosémite et antisémite...etc. 
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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 12:45

Ça pue la leçon de morale, tout ça. Que JLG soit double voire louche, c'est évident, et je ne vois pas ce que ça apporte à quiconque à part l'idée que D-H est, pour sa part, pur de toute mauvaise intention. Opposer je ne sais quelle "poésie naïve" aux montages de JLG va dans le même sens. C'est minable de se trafiquer une virginité sur le dos d'un type aussi nu que Godard.
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Message par Invité Sam 18 Juil 2015 - 12:55

[...] l’idée d’un monde anesthésié et animalisé hante l’imaginaire de Carax, le mien aussi, et celui de beaucoup d’autres qui ont la trouille de voir le monde se débarrasser de toute altérité.
Monde anesthésié = monde animalisé = débarrassé de toute altérité. Ce qui veut dire que l'altérité et les sens sont du côté de l'humain; ce qui signifie que l'animal est anesthésié et dépourvu d'altérité; ce qui redouble de la manière la plus plate la classique division entre humain et non-humain qui se duplique dans tout discours (celui de carax en l'occurrence) qui divise, dans l'homme, ceux qui en seraient dépourvus (métaphore de singes vivant dans les pavillons de banlieue, sublime illustration selon toi de ce que tu nommes ridiculement "cauchemar pavillonnaire").

Et cela est analysé par le menu dans mon texte sur ton gloubiboulga suintant de métaphores idéologiquement douteuses comme une vision sous-jacente (tellement non-critique, cliché) de "l'essence de l'homme", un "humanisme" naïf qui ne serait pas passé par un minimum de déconstruction critique de ses présupposés. C'est évident, là-encore. Suffit de se mettre à penser, de dépasser la gangue des idées toutes faites, dont tu es un brillant représentant parmi tant d'autres. Comme un carax, une de tes admirations prévisibles.

Pour ce que t'as à dire de godard, y a d'autres échanges entre toi et moi (je veux dire, entre toi, qui ânonnes des stupidités sans nom sur ce que tu crois être le cinéma de godard: un mélange de formules creuses de style inrocks/technikart, et moi, qui essaie de sortir de cette bouillie. Je te replace le lien sous les yeux quand tu veux, le donneur de leçons et de morale qui est tout ce qu'il condamne: c'est dans un de tes copiés-collés: à l'époque où tu y trouvas un intérêt simplement parce que ton petit ego chatouillé était en paix).


Mais passons, y aurait tellement à dire si on se fixait comme tâche dérisoire de "simplement" citer l'ensemble de tes flatulences sophistiques de rhéto-fighting, ici et ailleurs.

Passons sur ta manipe de base, relevée plus haut, dans laquelle, n'analysant rien, tu te contentes de prêter à gdh les propos du commentaire de son texte: là-dessus il faut bien abandonner tout espoir de te lire reconnaître ton erreur grossière. Tout ton barnum ad-hominem déportant les contenus sur les sujets psychologiques est-là pour le faire oublier (ça marche avec des mômes de 10 ans, et encore, ce truc).

Revenons plutôt sur tes "résumés" tristement rigolos de mes propos.

(Je suis bien évidemment d'accord avec Borges sur la faiblesse opportuniste de GDH surfant sur la vague des critiques d'antisémitisme etc adressées à godard: je n'ai jamais versé dans cette tartufferie, j'ai encore dû le préciser plus haut puisque ta non-lecture amalgamante procède par imputations vicieuses. Je ne me situe pas davantage du côté de GDH: cette critique de l'ontologisme de l'image passant pour sa critique, chez godard, je l'ai déjà exprimée sur ce forum. C'est juste l'occasion fournie par tes "citations" qui m'a permis ici de reprendre ce débat.
Là-aussi je te replace sous le nez, oh pas à ton attention, vu que t'es obsessionnellement vissé aux probs de "personnes" derrière tout contenu).



Tout le propos de ce con de Jerzy, qui prétend paraphraser D-H (pauvre D-H...), se résume à dire qu'il y a de l'intention signifiante dans les collages godardiens. Inutile de l'applaudir : tu savais ça des lustres avant lui.

Tiens, tu nous refais le coup de "Quand JLG monte deux images, il a parfois une intention" histoire d'édifier les trois cheveux qui te restent sur le crâne, bourricot ?

Etc, etc.



Si mon propos consistait à "simplement" proférer ce genre d'âneries, j'écrirais de telles âneries. Je ne douterais pas un seul instant, comme toi, qu'ânonner des formules creuses peut tenir lieu d'argumentation ou effort de réflexion.

Or comment se fait-il que ce que tu entends avec l'obstination des mal-comprenants me faire dire ce que je ne dis pas? Comment se fait-il que tu es "simplement" incapable de lire mes propos sans les retraduire dans le sens de ce que toi tu imagines comprendre, alors que tu ne comprends strictement rien, alors que ça dit bien autre chose?

A ce degré de manipe déprimante, on ne peut plus tenter un xième effort vain de clarification. Je me contente donc de mettre en regard ta "traduction" (vide de sens) de mes propos et ce que je dis. N'importe quelle personne capable de lire et ayant un minimum d'honnêteté intellectuelle verra que ce que je dis ne se réduit nulle part à ces formules que tu me prêtes avec la joie triomphante des idiots qui ont commencé encore plus petits que les nains.






[...] pratique rhétorique de plus en plus patente, chez godard, de l'associationnisme qui impose une signifiance, une intention de signifier (dans une position d'analyste, d'argumentateur), tout en présentant cette pratique comme une fulgurance de sens produite par la simple juxtaposition des images per se, à titre de phénomène esthétique pur ne devant rien, ou très peu, à l'intention de signifier sémantiquement hors et au delà de l'image per se.
Les associations signifiantes, par le forçage de sens du montage, équivaudraient chez godard à la pratique des calembours signifiants chez Lacan: les inductions de sens sont présentées comme internes aux mots eux-mêmes, sans l'intervention en surplomb (ou en position de maitrise) d'un sujet qui les organise: celui qui associe se contenterait d'enregistrer des événements de sens comme un sismographe, ou un révélateur magnétique. Alors que c'est tout le contraire. Et c'est cela, l'imposition autoritaire d'inférences signifiantes qui se présentent comme recueillant humblement un réel qui se signifie tout seul en soi. En vertu d'un "ontologisme" inhérent aux images et à la neutralité a-subjective de leur juxtaposition.
Cela déborde de loin la question située du jeu signifiant de montage consistant à induire, par l'autorité de l'image présentée comme vierge de combinaisons sémantiques extra-cinétiques, des symétries entre le sort des Juifs dans les camps de la mort et celui des Palestiniens en Israël: cette symétrie, on peut la discuter, la contester ou la trouver pertinente, c'est un autre problème. Le problème est de la présenter comme inclue dans le jeu objectif des associations ou combinaisons d'images, alors qu'elle est le fruit d'une décision qui ne se trouve pas dans les images. Godard ne cesse de se présenter comme proposant une "méthode" alternative de compréhension de la politique et de l'histoire, qui ne serait pas inféodée au discours de la propagande, mais sa dénonciation (même si elle peut être pertinente) puise elle-même dans cette technique d'écriture qui est celle de la propagande la plus classique. Son double discours est dans cette manière de faire croire que le sens se révèle comme produit par les seules images, les effets de résonance ou de magnétisation résultant de leur "simple" juxtaposition, alors que ce sens est juste produit par la position "autoritaire" ou démiurgique de celui qui organise ces combinaisons avec une intention signifiante déjà hors de l'image; et cette pratique somme toute textuellement classique de "signifier" dément de facto ce qu'il essaie de faire passer pour une logique poétique de révélation d'un sens qui serait la spécificité d'une potentialité purement "cinémato-graphique" et intra-cinématographique qui s'émancipe de la démonstration textuelle, par concepts, syllogismes, etc.


Autrement dit encore, pour qui est incapable de sortir des formules bidon qui nichent dans sa tête et qu'il projette sur tout ce qui lit: la question (parfaitement idiote, de l'ordre de la tautologie) de savoir s'il y a une intention signifiante dans un montage n'est pas du tout ce qui me préoccupe: si c'était pour dénoncer ça, autant disserter sur le fait qu'il y a une intention signifiante dans le fait de mettre des mots les uns à côté des autres quand, à 3 ans, on commence à parler.
La question, bien comprise, est: un montage (qui bien évidemment est signifiant, tout le monde le sait et le dit depuis la première empreinte de main dans la terre glaise) tient-il lieu d'analyse politique, une analyse de l'histoire, de la pensée, du rapport entre cinéma et histoire, surtout si on se donne le projet de réfléchir sur la spécificité du langage cinématographique, spécificité qui le distinguerait, évidemment, d'autres modes d'expressions.

On rejoint bien sûr, à l'occasion de ce problème, le cœur de tes tentatives pathétiques, au sujet d'un texte de sartre, d'imposer ton interprétation fondée sur un pré-supposé externe ou antérieur au texte en la faisant passer pour un "simple examen rigoureux de la structure des phrases". C'est exactement le même problème. Et ce n'est pas un hasard s'il ressurgit ici. Ce n'est pas un hasard non plus si, là comme ici, tu déportes l'attention du problème de la même façon. Dans la discute sur le texte de Sartre, quand je relevais cette entourloupe basique, tu t'es mis à répéter comme un bourricot: "bien sûr que je disposais d'un présupposé externe au texte, c'est normal, on n'a pas un rapport vierge d'interprétation face à n'importe quel texte. C'est juste que la lecture attentive (par moi) a simplement confirmé mes présupposés.
Toujours le même cercle vicieux paralogique. Baldanders n'en sort pas et vraisemblablement n'en sortira jamais. Après tout, c'est son problème. S'il prend pour de la "rigueur" ses "méthodes" de lecture et d'interprétation, grand bien lui fasse. On a encore le droit de dire, et de le montrer, que c'est du caca. That's all.

Bien, je te laisse mouliner au sujet de ma "personne", de mes désirs présupposés, conscients ou inconscients, et replacer pour la millième fois un post où dans un moment d'égarement je t'ai effectivement attribué une rigueur que tu n'as jamais eue. Puisque c'est ton truc pour à la fois te consoler et faire ton cinoche de psy analysant au cordeau les manifestations de déni, de refoulement, de peur d'être analysé, mis à jour, par tes inférences toutes puissantes et s'auto-confirmant toutes seules dans la plus parfaite infalsifiabilité qui a congédié toute "altérité", toute extériorité à elle-même. Et tu causes de singes au sens d'imitation, leur principale vertu... Pauvre homme, un jour peut-être tu sortiras de la chimpanzite, et tu feras ton rapport à une académie. Blablabla, je sais...


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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 13:08

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Message par Invité Sam 18 Juil 2015 - 13:20

CQFD.
Baldanders se débattant avec son miroir: y a jamais eu plus revanchard que lui, et pansant à l'infini sa blessure narcissique en se persuadant qu'un jour, il a réglé son compte à un pervers pourrave pêle-mêle. Une fois de plus, tout est lisible comme le nez au milieu de la figure. Je le laisse tordre la réalité dans le sens de son fantasme et tourner à l'infini dans son orbite parfaitement circulaire et parfaitement verrouillée :

http://enculture.free.fr/viewtopic.php?t=1445


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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 13:21

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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 13:32

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Message par Invité Sam 18 Juil 2015 - 13:42

Pirouette cacahouète. Et si tu allais pondre tes sophismes ailleurs, couillon ? Avec Borges (et tous les autres sauf toi), on a des trucs à se dire.



Replace le pour la 1000è fois, histoire de te conforter dans ton schéma surpuissant qu'un jour j'ai buté sur la Vérité (ton acuité "psychanalytique") et que depuis, ivre de revanche, je le refoule etc etc.

Pour la 1002è fois: je ne renie pas ces phrases qui exprimaient ce que je ressentais au moment où je le ai écrites (c'est fort banal d'avoir des hallucinations, et j'avais aussi expliqué qu'à ce moment de fatigue extrême je t'ai pris pour un psychanalyste de la cause freudienne - fallait vraiment que je sois épuisé). Je me suis rendu compte le surlendemain que je m'étais trompé en y fantasmant cette "acuité". En résulta un non-débat d'un an où systématiquement, tu n'as jamais rien eu d'autre à m'opposer que cela. Que du psychologisme au rabais, jamais sous ta plume la moindre amorce de commencement d'ébauche d'analyse. Ah si tu pouvais te relire... Petit enfant qui à présent, comme il le fit tant de fois, essaie de dresser des camps, des barrières, des complicités et des affinités, pour neutraliser l'élément nocif, le parasite. Tous les autres sauf moi, etc. Diantre. Comme il le fit toujours: machin a bien raison de dire que tu es ceci, truc a bien raison de te traiter de... Etc, etc.
Il n'a jamais fait que ça: à l'époque où Borges et moi étions les salauds méprisants à abattre, il se joignait à n'importe quel énoncé de n'importe quel tartuffe, par alliance conjoncturelle, du moment qu'il se sentait soutenu de lire sous la plume d'autres ce qui confortait ses détestations. Ainsi s'allia-t-il à l'hungus, jusqu'au jour où l'hungus s'en prit à lui: de rage, il effaça tous se posts. Faut comprendre: c'est un bébé criseur.

Puis ses admirations: les valzeur, les balloonatic, etc. Toujours en louvoyant, en slalomant selon ses petites stratégies d'opposition qui le rassurent sur le fait qu'hélas il n'a jamais rien eu à dire, n'a jamais servi à rien nulle part sur quelque forum que ce soit, sinon faire du copicol et poster des liens. L'ennui joint à la constipation éternelle. Un utilitariste hygéniste, en somme.

mmh? Oui, blablabla...


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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 13:48

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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 13:51

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Message par Invité Sam 18 Juil 2015 - 13:52

Baldanders a écrit:

Jerzy a écrit:spécificité du langage cinématographique, spécificité qui le distinguerait, évidemment, d'autres modes d'expressions.

J'en rigole encore. Une "spécificité qui le distingue" ? Mais où vas-tu chercher ça ? C'est ébouriffant. D-H doit se retourner sur lui-même... de rire.


C'est marrant que t'en rigoles: car c'est précisément ton langage, et une de tes grandes "idées" (sic) que tu ânonnes régulièrement: quand tu "nous" expliques que "le cinéma" aurait une "spécificité qui le distinguerait d'autres modes d'expression. Cela, on le trouve sous ta plume, précisément quand tu t'essaies comiquement à "nous" expliquer le cinéma de Godard. Ou de Carax. C'est un des points fondamentaux, tes poncifs épuisants et répétitifs sur la "spécificité" du cinéma, qui nous ont opposé d'emblée. Et j'ai précisément employé ce terme pour rendre hommage à ta vision débiloïde du cinéma: même ça, il a fallu que tu le captes pas. No surprise. La routine, le cauchemar pavillonnaire sans alterité qu'il faudra un jour rebaptiser le "baldandérisme".

T'es vraiment un phénomène de mauvaise foi tellement pulvérulent, jusqu'à l'amnésie révisionniste, que c'est bien le mot de bêtise qu'il faut invoquer. Sur la tienne, et sur nulle autre ici, tu buttes à l'infini, comme une mouche épileptique se cognant aux parois d'un bocal, aux limites de son entendement.


baldansmonderche a écrit:Eh bien en voilà une belle critique littéraire au sens "nulle" du terme, càd une critique du sujet, pas une fois traversée par l'idée qu'un rythme, un geste, une expression, l'espar et le temps et comment tout ça se structure, ce qui fait la "spécificité" du cinéma (pour parler comme grand-papa qui s'y connaissait un peu), ça existe indépendamment de "ce que ça veut dire".

\"jerzouille la couille a écrit:La puissance de ton discours n'en reste pas moins intacte, et passionnante: sur la spécificité du cinéma, qui ne se réduit pas à "ce que ça veut dire". Révélation fracassante, qui me dessille les paupières cousues et anesthésiées. Merci de m'instruire. Car j'insiste en permanence sur tout ce qui est irréductible au "signifiant". Encore un effort: tu vas réinventer l'eau chaude in situ, chétive pécore.

Simplement, un mauvais film, un pensum, comme ici, c'est précisément un film qui rabat sa matière sur du signifiant, et du signifiant pontifiant. ça s'appelle un cliché. Comme ce dont ta grosse tête fulminante et vengeresse est imbibée jusqu'à l'hydrocéphalite.

Quant à ta considération grotesque sur la "spécificité" du cinéma, c'est autre chose: je passe aussi ici mon temps à dire qu'il n'y a de spécificité de rien du tout, et que tous les arts sont impurs, contaminés de pied en cap les uns par les autres. Percept-affect-concept indétricotables. Qu'il n'y a de frontière que poreuse, spongieuse, entre littérature et cinéma, signe et matière, etc etc. Ta "spécificité du cinéma" relève sans surprise de cet ontologisme de grand-papa, qu'on a discuté ici amplement, et de tes habituels fantasmes de "pureté" de l'objet. Encore un effort, tu vas réinventer Parménide. Fantasmes d'une rare banalité, doxique et aussi vieille que la terre, parfaitement raccords avec ce qui t'enchante dans le discours, signifié et signifiant ô combien, dans l'image même, de ce Carax dont tu salues la "maturité".
Et ce ne sont pas tes invocations vengeresses et téléphonées à une capacité d'être affecté au delà ou en deçà des pauvres mots, dont seraient bien entendu dépourvus les "intellectuels" qui ne voient et ne sentent rien, mais se masturbent avec leurs doigts sur de la "théorie", qui y changeront quelque chose.
Et qui changeront quoi que ce soit à tes doctes certitudes pénétrées de redresseur de torts de niveau pif-gadget.

Salut le nain, à très vite. Ne change pas de braquet, surtout, et continue à nous édifier de ta philosophie de l'art digne des interviews ineptes ou des articulets bouffés aux mites qui font tes délices."

https://www.blogger.com/comment.g?blogID=8817890069125058550&postID=973231612016840155


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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 13:55

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Message par Invité Sam 18 Juil 2015 - 14:00

Justement, total et incurable imbécile heureux: c'est à dessein que j'écris cette redondance, pour indiquer la pauvreté d'une idée sur le cinéma qui n'est qu'une tautologie, tautologie fausse bien entendu (comme dire: la spécificité d'un cercle-carré, qui évidemment ne serait pas un triangle, etc). Puisque ta "pensée" du cinéma, à l'occasion d'un godard ou d'un carax, consiste ni plus ni moins à ânonner ces tautologies en t'imaginant "nous" apprendre quelque chose.

Tout est dans le "évidemment". Je fais ça régulièrement *. Pauvre clinche qui ne comprends strictement rien, et qui inlassablement retourne son incompréhension en démo frauduleuse...

Spoiler:


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Message par BK Sam 18 Juil 2015 - 18:53

Au delà de voir et de sentir comme un artiste avez-vous la capacité de sentir votre âme quand vous marchez ? Et avez vous la finesse d'un poète de découvrir le monde au lieu de le décrie ? Et avez vous aussi suffisamment d'anamnèse pour pouvoir revoir un film en ayant une expérience de la trace émotionnelle intact ?
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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 19:37

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Message par Invité Sam 18 Juil 2015 - 20:21

Je relève, en bâillant, dans cet amoncellement de sophismes impayables, juste ceci:

blablabla

4/ humilié, les jambes piégées dans le béton de tes sarcasmes grossiers et de tes vannes d'écolier semi-lettré, tu tentes désespérément de changer de sujet, de parler de mon rapport au FN, à Carax ou à la "spécificité du cinéma", en glapissant des dizaines d'injures comme s'il y allait de ta vie psychique (rassure-moi au moins, tu ne vas pas bientôt m'appeler pour me hurler dessus, non !?)

Non, c'est toi qui dès le début as tenté de desespérement changer de sujet pour annuler magiquement tes pataquès. Et en fonction de tes "souvenirs" très révisionnistes, je te renvoie à d'autres occurrences où exactement le même problème d'auto-suffisance infatuée de tes méthodes délirantes de lecture et d'interprétation a produit les mêmes effets pour les mêmes causes, et en fonction de tes mêmes convictions aussi burlesques que proto-débiles au sujet de l'inconscient, du refoulement, et autres notions qui font tes choux gras de psychanalyse de buvette intersidérale.

Pour ta gouverne très manifestement énervée: il suffit de compter, simplement, le nombre de tes injures, de lire à partir de quel moment (cad dès ta première réponse) tu t'es abandonné à la rage de l'insulte trop longtemps bridée, pour constater que mes insultes viennent longtemps après les tiennes, en écho, ou hommage, lointains. Tu veux un simple comptage, toi qui sembles ici aimer masochistement compter les coups que tu prends en les convertissant magiquement en coups que tu donnes, pour ne pas trop montrer à un rare public clairsemé que tu pleures ta mère comme un petit bébé criseur?
On continue selon le matériau aléatoire que tu fournis: moi, je développe, je donne matière à penser, en saupoudrant de ci de là par quelques insultes en écho aux tiennes, pour me divertir. Toi, tu essaies désespérément de simuler une apparence de contenu au milieu de tes invectives exaspérées: et on ne change rien à ce mode opératoire.

Tu auras beau multiplier les assertorismes les plus effarants pour t'auto-valider tout seul (et ce toc augmentant en fréquence selon ton agacement visible et ta volonté d'en finir prestement sans jamais y parvenir), tu ne saurais faire illusion sur le fait que t'es en roue libre depuis le début de mon interpellation critique (je me suis permis, excuse, de feedbacker sur tes âneries ici: c'est la moindre des choses, étant donné que t'as essayé de me fermer mon clapet ailleurs en verrouillant, comme si les foras étaient des cloisons étanches interdisant que je te réponde dans la foulée ici).

Non, monsieur le psychanalyste d'opérette en pleine défragmentation de son illusion de toute puissance: je ne suis ni humilié ni malheureux, je ne "glapis" pas des injures, au bord de la crise de nerf: c'est en vain que tu m'attribues ce qui se manifeste sous ta plume depuis le début de ces... échanges. Suffit de lire, là-encore.

Mais je comprends que tu essaies de conclure, enfin, en tentant des sorties chaque fois plus pitoyables dans l'infantilisme.
Ne t'inquiète pas, je me divertis, tout en répondant avec rigueur à tes têtes-à-queue douloureux. ça fait je ne sais combien de temps que tu as proclamé en avoir fini avec ma carcasse crasseuse ou un truc dans le genre, tout en t'étranglant à chaque post dans un gésier de quolibets.

Le moyen le plus sage de t'éviter la sorte de dépression estivale qui te guette de façon imminente, suite à ton festival non-stop de stupidités proférées au lance-pierre où tu t'es rarement autant auto-ridiculisé (explosant tes précédents records quand tu t'essaies à me régler mon compte) serait que tu renonces, tout simplement, à poster.
Sinon, continue bien entendu. Moi, je passe une semaine sur deux. Et je te contemple te débattre dans d'affreuses contorsions qui ne m'émeuvent pas plus que ça, malgré mon amour réel de l'humanité.


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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 20:37

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Message par Invité Sam 18 Juil 2015 - 21:35

Baldanders a écrit:Mes insultes répondaient à tes premières insultes, mon petit bonhomme.

Jerzy a écrit:Attendons les torsades sophistiques du baldedère pour noyer le poisson, ça manque de comiques troupiers (constipés) cet été.
Attendons dans la foulée qu'il nous explique SA "lecture" du texte de gddh, puisque visiblement il n'y a rien compris et lui substitue sa compréhension à côté de la plaque. Histoire de joindre au comique troupier (constipé) des vaticinations pseudo-conceptuelles attristantes.

Et je t'ai prévenu de suite : tu les attendrais longtemps, mes "explications", vue ton adresse visqueuse et méprisante.


Blablabla -glouglou - méthode coué remplaçant quasiment les virgules - blablabla ...


Tiens, bizarrement, je ne vois aucune insulte, dans ce post. Je le trouve même fort respectueux, au delà de la description du mode de "raisonnement" du sujet. Le reste, mais ça, le révisionniste-monteur au petit pied le passe sous silence pour duper sa fanbase hypothétique hébergée dans son cabochon pratiquant l'auto-louange, c'est un écho bien légitime à son primo-lâchage d'insultes. Faut comprendre que notre meilleur petit roquet énervé de l'été continue à se persuader qu'il n'y a aucune loi de passage, mathématique et même physique, entre un lieu et un autre: il aimerait donc se faire croire à lui-même, tout en le faisant croire à sa fanbase hypothétique réduite à son reflet sur son écran, qu'il est victime ici d'insultes jaillies de nulle part. C'est normal: fidèle à sa conception très plastique de l'historicité des échanges.

Or donc, je rappelle, pour les deux ou trois lecteurs qui nous suivent encore en soupirant, que le récipiendaire a clos en le verrouillant un topic où, par un "retour de refoulé" fort intéressant, et décrit dans ce même topic, il n'a trouvé pour s'auto-donner raison et me clouer le bec que la solution technique de verrouiller ce topic. Ce qui donne à imaginer, à moins d'avoir une perception du réel (même virtuel) proche de la schizophrénie, que forcément, y aura réponse. J'ai juste attendu, sans trop d'empressement, qu'il pratique un de ses habituels sophismes et montages citationnels désolants de malhonnêteté intellectuellle refoulée (sachant qu'il ne fallait pas attendre longtemps), pour enchainer. C'est parfaitement compréhensible, même par un enfant de 5 ans:


Je prends la responsabilité de fermer ce topic. Des "Pour en finir avec Jerzy" il y en a eu assez, et donc tout le monde sait bien comment ça va tourner : on va se relancer les uns les autres jusqu'à plus soif, or chacun est assez grand pour décider d'en... finir avec cette farce.

Mais là, tu es méchant et gluant [tiens donc, après avoir joué de son truc légèrement paternaliste-protecteur plein d'hypocrisie gluante. http://enculture.free.fr/viewtopic.php?t=1445&sid=967d06e451f5b756c76976de28040701 ]. Eh oui, comme tu vois j'ai pas varié sur mes "options de base" : je te trouve globalement méchant et gluant depuis toujours [comprendre: en plus d'une grande variété de tares et pathologies recensées par lui et qui pourraient remplir un dictionnaire]. Faut dire que tu n'as pas toi-même tellement varié [Hélas non itou: c'est pour ça qu'il bombarde le topic du seul moment heureux pour lui où j'avais varié en le prenant pour plus intelligent qu'il n'était. Il s'en souviendra toute sa vie forumique, le pauvre homme. Mais il dira que ce ne sont pas des insultes, mais des descriptions, tentant vainement de m'imiter tel "cheeta" imitant un "bourricot" en se prenant pour la grenouille de la fable. Sacré baldanders].


Mais on peut aussi, pendant qu'il se rase d'une main en se giflant de l'autre, mettre en regard ses insultes et les miennes subséquentes, pour comparer les effets d'échos qui chez moi sont assumés en tant qu'effets d'échos, alors que chez lui, eh bien: non. Bien évidemment. C'est son prob de tourette.

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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 21:47

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Message par Invité Sam 18 Juil 2015 - 22:14

Non, il te suffit de péter, et c'est encore évident, puisque tu ne fais que ça depuis le début de cet... échange. [Ah, tu viens de réviser ton énoncé, mais trop tard je t'ai lu petit révizor pétomane: tu disais qu'il me suffisait de péter, c'était la seule chose que je savais faire. C'est pas beau, baldanders, même si c'est dans tes habitudes, de trafiquer tes interventions pour faire passer celui qui y répond comme l'insulteur.]

Escamote, comme à chacune de tes flatulences toujours plus sinistrement pathétiques, tous les développements qui mettent un peu de sens dans ta glu: tu n'as pas vraiment le choix. Impossible pour toi de rétro-pédaler si un début de souci d'honnêteté intellectuelle venait à te tarauder: il te faudrait des années pour commencer à comprendre, d'abord, les arguments opposés au "refoulement" généralisé de l'exigence de réfléchir qui caractérise ta prose de comptable non seulement constipé mais affligé en sus d'hémorroïdes, ensuite, tenter d'y répondre.

Toute ta rage vengeresse ne te permettra ni d'oublier, ni de "refouler", que tu n'as pas les reins assez solides pour moucher un filosofe, même en vacances, même se divertissant à tes dépens. Tu devrais penser à terminer les tiennes dans la shout de fdc: même au niveau des vannes en mode économique, t'es dix pieds sous la créativité d'un abyssin, c'est effarant. C'est même plus du Bosso ou du Roucas, c'est déprimant comme du Bigard seconde période, après l'opération de l'ablation des seins de sa femme... "alors le gô y pète, pis il est con le gô, pis y repète, didons", etc.


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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 22:21

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Message par Invité Sam 18 Juil 2015 - 22:27

Non, c'est le contraire qui est évident, pauvre homme malade victime d'un abus de Couet ayant apparemment altéré tes facultés de raisonnement. J'ai juste relevé cette évidence: tu attribues à gdh des propos qui sont dans le commentaire des citations de gdh prélevées par ce commentateur: c'est cette évidente confusion - manifeste dans ton propre commentaire, entre les passages écrits par le commentateur et les passages de gdh placés entre guillemets par lui, qui te permet de balancer tes âneries dans ce post incriminé.

Relis toi, puis relis mes remarques. Note: je sais que tu n'es plus en mesure de le faire. C'est comme ça, chez toi: y a rapidement une forme de blocage intellectif, qui rend impossible tout retour en arrière. Une forme de fossilisation (ou plus poétiquement, une cristallisation) qui mériteraient une description psycho-pathologique détaillée. Mais je ne maitrise pas la neuro-biologie.




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