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Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”

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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 22:52

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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 22:58

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Message par Baldanders Sam 18 Juil 2015 - 23:25

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Message par Invité Dim 19 Juil 2015 - 0:10

Aidons fido, le pitbull des citations déchiquetées, à y voir plus clair.


https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Didi-Huberman[/quote]

examenrigoureuxdelastructuredesphrases a écrit:Fort de ces recommandations, Didi-Huberman peut tranquillement reprocher à Godard son manque de modestie, vu qu'il est officiellement reconnu qu'il échappe lui-même à ce travers :

Étrange disposition d’un cinéaste qui se veut également critique ; c’est comme si Godard voulait jouer sur tous les tableaux, utilisant à la fois le langage du poète pour asséner des vérités sans les expliquer et celui du philosophe pour s’autoriser en art d’un sérieux digne des discours raisonnés. Selon Didi-Huberman, telle serait la conscience divisée de Godard : sa prétention à être poète et philosophe. Une telle position ne poserait pas tant problème si la position d’autorité de Godard ne nous parvenait pas « si souvent de façon autoritaire » (p. 143) [commentaire de mézigue ici: la question de "l'autorité du penseur" (qui est toujours fantasmatique, quel que soit le "penseur") ici n'a aucun rapport avec la question de la "modestie", qui est burlesquement hors-sujet et psychologise le problème (ce qui n'en doutons pas ne peut que plaire à baldanders le psy de bastringue virtuel], comme l'expression plus loin: "faire le malin"]. En effet, la pratique du montage et de la citation godardienne n’est pas modeste [interprète le commentateur], il y a en elle quelque chose comme « un pathos de la pure vibration visionnaire » [NB: quel rapport, au juste, entre "citation pas modeste" et "pathos de la pure vibration visionnaire"? Laissons baldanders nous expliquer tout ça avec l'économie de moyens (intellectuels) redoutable et l'art de l'examen rigoureux de la structure des phrases qui le caractérisent, et que le monde entier "nous" envie....] (p. 150).


Quant aux vaticinations psycho-crapoteuses de baldanders qu'il machine en citant la fiche wikipédia de gdh (gdh jouirait de son "autorité" reconnue pour discréditer godard qui contrairement à lui lutte et travaille seul, nu, sans reconnaissance et blablabla): JLG, qui aime tout autant les honneurs en jouissant de la double gloire de les recevoir et de les mépriser, selon la formule consacrée, a eu lui aussi un "prix adorno" bien des années avant gdh. Je ne sache pas qu'il l'ait refusé, et y a pas d'honte à ça.
Mais respectons les supputations délirantes de baldanders, qui en tire ses projections psychologiques "ad hominem" habituelles ayant la vertu de tout réduire en permanence à des problématiques d'égos narcissiques, par la grâce de son autorité auto-conférée en matière de sodomisation de l'inconscient d'anophèles textuels. Gageons que, pour parachever son entreprise d'auto-ridiculisation suicidaire, baldanders tentera le coup fumant ultime: "justement, gdh est jaloux que jlg, l'homme nu et hors académies, ait eu avant lui cette distinction: voilà pourquoi il le dénigre, et blablabla. Avec baldanders, tout débat d'idées est richement élevé à la hauteur de Figaro-madame, rubrique "ce que l'horoscope révèle de tous vos refoulements".
Laissons-le clapoter, le brave homme, il a certainement des trucs intéressants à ajouter au sujet de méchancetés gluantes, si pénétrant et pénétré, par lui-même, de la justesse de ses "raisonnements" grotesques.

[édit: écrit pendant que le triste auguste pondait son ultime (?) tarte à la truffe ou à la tourbe]

* * *



Oh mazette, que lis-je, vois-je à présent?

Baldanders en pleine défragmentation atomique, troue maintenant la couche d'ozone avec une manipe littéralement, c'est le mot, incroyable, consistant à loger dans la différence entre "peut tranquillement reprocher à" et "reproche tranquillement" une nuance dont la pertinence n'échappera à personne:


Tu sais lire ? Je dis qu'il peut le faire, pas qu'il le fait, mon petit père.
Tu saisis la nuance ? Tu veux que je te la refasse ? Je te vois d'ici transpirer tout à coup. Va t'éponger avant de lire la suite

Un pur idiot abusé par ce tour de passe-passe tellement ridicule qu'il faut en rire pour ne pas pleurer saisirait peut-être, en effet, cette nuance à peu près inexistante (et en tout cas totalement inopérante, hors-sujet, dans le cadre de la confusion ici relevée): nul besoin de bricoler à la hâte, quand le bateau prend l'eau de toutes parts, on ne sait quelle différence entre "fort de..., il peut tranquillement reprocher à godard son manque de modestie" et "il lui reproche tranquillement son manque de modestie". Vous pouvez tranquillement vous marrer en lisant baldanders, ça peut vouloir dire aussi que vous vous marrez effectivement, ça n'est nullement incompatible. Il n'y aucune nuance sémantique décisive dans ce "il peut tranquillement", qui le différencierait d'un "il le fait": faut vraiment être con pour fantasmer qu'on peut gober cette nouvelle manipe débiloïde.
Et, de toute façon, indépendamment de ce fail rhétorique majeur, quand bien même, si "dire qu'il peut le faire" ce n'est pas "dire qu'il le fait", ça change quoi au fait que, pouvant le faire ou le faisant, qu'importe, concerne un reproche de "manque de modestie" fait à godard qui n'est pas dans le texte cité, mais dans le commentaire de ce texte?


Honteux et pathétique (mais il nous a habitué à pire pendant un an avec son truc sur une phrase de sartre), et ça ne saurait en rien annuler, malgré cet effet de brouillard conclusif trop mimi, ce fait irrécusable: que la notion de "modestie" réside, je repeat, dans le commentaire et non dans le texte de gdh, avec ou sans nuance parfaitement accessoire sur ce point, entre des "il peut le faire" et "il le fait". Mais quel bouffon tragique, derrière le comique troupier... Mon dieu, ayez pitié de ce petit sophiste des dimanches.

choixduverbe a écrit:
Le choix de ce verbe écarte toute absolue assurance qu'il le fait, et souligne ma visée polémique : je suppose en effet que l'article dit vrai, d'une parce que ça ne m'étonne pas, et de deux parce que plusieurs citations de D-H dans l'article confirment mon sentiment.

Je lance donc une pique : rien de plus, rien de moins. Voilà tout ce que je fais. Je n'attribue donc rien à D-H, en tout cas rien de plus que l'auteur de l'article. Aucun "montage baldandersien", n'en déplaise au viril traqueur de faussaires que tu es.

Si seulement tu m'avais rétorqué : "faut pas croire tout ce que racontent les commentateurs Baldanduche", j'aurais répondu : OK, t'as peut-être raison, mais que veux-tu, moi je ne l'aime pas beaucoup D-H, etc. Et on s'en serait peut-être tenu là.

Or, non seulement tu prétends que j'attribue à D-H des propos, mais plus loin tu vas jusqu'à te persuader que j'ai pris l'auteur de l'article pour D-H lui-même


Que dire si on n'avait pas le souffle coupé par tant d'aplomb dans la manipe? Rarement baldanders aura autant tablé sur son talent fantasmé, qui ne peut que duper une fois, en comptant sur la fatigue de l'autre, mais pas deux, de lecteur/interprète de la "structure des phrases". C'est pas un noyage de poisson, c'est, littéralement, un assassinat de poisson avec poutres et nœud coulant apparents: vouloir nous faire prendre sa confusion pour une "pique" polémique... Son montage évident ne réclamant en outre aucune "intention" de sa part, c'est juste qu'il est malhonnête sans même avoir à se forcer, ça dépasse ses intentions et pas besoin d'invoquer un "refoulement", la mauvaise foi étant capable de tout.

Mais, triste et pathétique sofist se tirant par désespoir une balle dans le pied pour en finir avec la bêtise qui te harcèle tant: ça change strictement rien, tout ton bricolage à l'attention de proto-débiles à abuser sans lubrifiant, ça change strictement rien, je repeat, à tes simagrées rhétoriques: relis toi - le sens de ton énoncé est bel et bien d'attribuer à gdh le reproche d'un "manque de modestie" chez godard, et ce "manque de modestie", c'est le propos du commentateur et non celui de gdh: tu n'y pourras rien changer, même en dansant sur ta tête et en faisant des moulinets avec tes pieds. Saisis-tu l'absence désolante de nuance, son impossibilité même, concernant ce fait, fact? Pauvre bougre, tu m'émeus presque...

Bien évidemment, je l'ai annoncé en amont, suffit de relire: une de tes techniques les plus poilantes est de parachever tes manipes par le trait le plus compulsif de ton comique de répétition inconsciente et machinique: "plusieurs citations de gdh confirment ton sentiment". Ah! La "confirmation", chez baldanders, c'est son titre de gloire, au podium des clowns du filosofisme. C'est son truc le plus ahurissant, par lequel il verrouille par avance toute objection externe à sa "démo": il a des présupposés externes au texte, qui ne sont pas exprimés dans le texte, mais quand ils ne sont pas déchiffrables comme le fruit d'un "refoulement" qu'il fait surgir entre les lignes, sa "lecture" des textes ne fait que confirmer ses présupposés. C'est le même prob avec sa phrase de sartre analysée avec son derrière pensant. C'est le même prob avec son incapacité à comprendre mon propos sur le montage chez godard, cf supra.
Ainsi baldanders la nouille liseuse de l'année peut-il tranquillement fantasmer que tel texte confirme n'importe quelle de ses présuppositions, simplement parce qu'il le dit. Autant dire ici: aussi peut-il tranquillement le fantasmer, cela veut dire, bien évidemment, et c'est une tautologie pléonastique de l'ordre de la paraphrase redondante, qu'il le fantasme tranquillement. C'est l'autorité spontanée, comme on parle de génération spontanée, du savant infaillible par lui-même confirmé.


Petit baldanders, petit joueur, petit tricheur éternel, ne sue pas de malhonnêteté, voyons. Il a une technique de verrouillage de tous ses pores poussée à un degré rare, jouxtant des phénomènes cliniques peu communs. Nous devons postuler ici, nous sommes comme condamnés à le postuler, vu la dénégation massive qui "structure" ses "raisonnements", que vraiment, il parvient à se confirmer lui-même, en tous temps, en tout lieu, comme il en a toujours été. C'est un homme chez qui l'erreur, qui est humaine, est étrangère à son humanité. Et c'est fascinant.
Aussi peut-il s'épargner de constamment me citer quand je lui attribuai en hallucinant une rigueur qu'il n'a jamais eue. Aussi peut-il se confirmer sans avoir besoin d'être confirmé par moi. Aussi peut-il tranquillement tourner en boucle et se bouffer la queue dans sa bouteille de klein hermétiquement close: il peut le dire et il le dit, il peut le faire, et il le fait, comme disait Francis Blanche au Sâr Duval.


Dernière édition par syndic des dockers le Dim 19 Juil 2015 - 8:43, édité 1 fois

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Message par Baldanders Dim 19 Juil 2015 - 0:48

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Dernière édition par Baldanders le Ven 16 Sep 2016 - 21:04, édité 2 fois
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Message par Invité Dim 19 Juil 2015 - 4:49

Le morveux résiste ? C'était couru. Il a mis quatre ans, le pauvre garçon, depuis cette fameuse "hallucination nocturne" où il a vu clair dans son propre jeu, à parfaire sa carapace. Il se croit maintenant imbattable, n'arrête pas de nous le signifier au cas où on en douterait. N'insistons pas. Tous les signes sont là et ne trompent personne.

S'hallucinant lui-même par sa propre méthode coué devenue transe incantatoire, derviche tourneur tournant inlassablement sur son axe, l'honnête (hum) baldanders psalmodie son unique truc: livrer en ombre chinoise son portrait à travers celui, toujours le même, qu'il veut vous refiler comme une patate chaude qui lui brûle les doigts: car c'est bien évidemment de lui, toujours de lui, qu'il parle, au cas où "on" en douterait. N'insistons pas, dit-il: c'est pourtant ce qu'il fait inlassablement, insister, bien qu'inlassablement il insiste sur le fait qu'il en a fini. S'il réussit à se tromper lui-même comme il en fut toujours, cette obstination ne sera-t-elle pas payante, n'emportera-t-elle pas par sa force d'auto-conviction surjouée le morceau, avec appel à témoins, toutes sirènes hurlantes, tout l'toutim, convocations à la barre de son radeau tragique, s'enfonçant au cœur des ténèbres de la rivalité mimétique, rêvant d'un eden où croissent et rêvent en paix les grenouilles vertes ?

Il lui faut compter sur sa chance: un allié, quelque part, anywhere, venez à mon secours! Tout seul, je ne peux pas y arriver: vous le voyez bien, qu'ici je souffre, harcelé, au bout du rouleau. Eh quoi, ma mission n'est-elle pas louable? Des années que ça dure, misère, j'ai assez donné, j'ai tout tenté, mais le morveux résiste. Ma cause n'est-elle pas noble et chevaleresque? Ne peut-on en finir avec cette pauvre chose, en unissant nos efforts, au delà des clivages partisans? Ne peut-on s'arranger, ne peut-on obtenir ce consensus qui permettrait d'en finir? Allez quoi, vous aussi, comme moi, vous avez souffert et souffrez encore de cette teigne harcelante qui, souvenez-vous, a failli vous faire basculer dans la même folie qui me menace, me hante, dilapide mon énergie. J'en appelle à vos consciences, aux traumas refoulés, tout simplement à l'humaine bonté, car je sens bien que je m'épuise: je n'arrive plus à proférer une imitation de raisonnement, ce que je vais "confirmer" plus bas.  



Passons aussi vite sur son interprétation selon laquelle je reprocherais à D-H d'être "jaloux" de JLG : nulle part il n'a été question de "jalousie", encore du grand n'importe quoi.

Il lui faut passer aussi vite sur cette interprétation, car ce n'en est pas une, évidemment: c'est bien tout ce qu'il a à proposer: citer une fiche wikipédia, des honneurs, une autorité reconnue, là d'où elle parle, sans risque, sans courage, lui opposer un homme solitaire incompris de presque tous les cuistres (sauf baldanders, qui ne comprend pourtant rien à ses films), qui lutte à mains nues, grand artiste provocateur, qui dérange, trop indéterminé, qui méprise les honneurs, a au moins la naïveté d'être vraiment malheureux, blabla, nargue les flics de la pensée, ceux qui se posent en proprios de la pensée, contre l'électron libre qui échappe à leur volonté jalouse de maitrise sans partage de leur pré-carré. Suffit de le relire. Tout y est. Tout l'barnum.
" Au moins, l'autorité dont se réclame Didi-Huberman est-elle sans bavure [...] Fort de ces recommandations, Didi-Huberman peut tranquillement reprocher à Godard son manque de modestie, vu qu'il est officiellement reconnu qu'il échappe lui-même à ce travers"
---> On rejoint sans surprise les éternelles obsessions de baldanders: la faiblesse des petits hommes, des nains médiocres qui se fantasment grands en tapant sur la tête des Géants. Comme sartre crachant sur la tombe de merleau-ponty, ce que révélait le seul examen rigoureux, et sans présupposition, de la "structure des phrases". En raison de passions tristes: jalousie, ressentiment, parce qu'il voulait être la vedette, ne supportant pas la concurrence, avide de gloriole, jamais rassasié. C'est le hochet des vanités humaine, monsieur, je vois clair dans tout ça, et tout ce que je lis ne peut que le "confirmer", comme votre résistance à mon diagnostic implacable ne peut que "confirmer" que vous aussi, si vous le déniez, c'est parce que ça dit quelque chose de vous, de vos désirs cachés, de votre jalousie revancharde envers ceux qui, comme moi, démontrent que c'est tout ce qui vous meut. Baldanders a trouvé un créneau où sans partage il excelle: réduire à peu près tous les débats sur le cinoche à des petites histoires d'égos en concurrence dans un loft story par lui calibré.

Toujours la même rengaine, toujours le même bins: baldanders n'en finira jamais sur ce point, c'est clear.

Et cela, cette scénographie intime hantant baldanders, n'est pas sans évoquer son propre destin sur les vils foras confisqués par un flicosof, qui ne veut pas céder sur son autorité fantasmée: ce dernier veut absolument le faire taire, en finir avec lui, parce qu'il ne supporte pas ce fait, fact: un jour, une nuit, il a vu et exprimé, dans un éclair de lucidité ce qu'il s'est empressé d'obscurcir, depuis, dans le refoulement, le déni: baldanders avait raison, et lui tort. Cet événément notable, fondateur même, pour lui, baldanders s'en souviendra toute sa vie. On le chercha, et on le trouva, tant pis pour on.
Et jusqu'à son dernier souffle, il leur rappellera, à on, qu'il a mis au jour leur insuffisance, leur incompétence, leur escroquerie. Humilié et offensé, le raskolnikov des shouts et des pompeuses notices bio narcissiques déchiquetées par sa soif de reconnaissance, oh misère, on l'a bien sous-estimé.

Baldanders s'est identifié, et c'est à pisser de rire, à quelques parias du monde du spectacle (celui du french cinéma, supérieur à tous les autres cinémas du monde, dixit le mondain qui passe son temps à jacter sur les ragots du petit monde du cinéma franchouille et surtout de la critique franchouille, à peu près ses seuls sujets de discussion, avec mézigue bien entendu), ces contrebandiers sans patrie ni matrie, surtout des vedettes-divas qui mettent en scène leur isolement tragique (ça lui étreint le cœur et ça lui rappelle quelque chose de tenessee en lui aussi), ces esprit libres, frondeurs, blabla, ces carax qui ont su si bien exprimer sa peur de perdre son altérité en le condamnant à la chimpanzite imitative, son cauchemar pavillonnaire intime. Et godard, mon dieu, comme carax, qui lui a appris à simplement regarder toute chose, un corps, du mouvement, des sons, de la couleur, de la lumière, des réactions physiques, des choses sensiblement sensibles qui existent indépendamment de "ce que ça veut dire". Qui lui ont appris à regarder car quand on ne sait pas regarder simplement les choses, eh bien on refoule, et blablabla. Même si ce que fait Godard n'a strictement aucun rapport avec ce qu'il fantasme qu'il fait, eh bien on s'en fiche, puisque baldanders ne parle que de lui, de sa vision pontifiante de l'art, de ses oppositions bateau entre l'intuition pure sans concept et l'intellect pur sans intuition, etc etc.
Again:
Spoiler:


Je passe itou sur la compulsion de notre maniaque en chef à répéter que je suis un imposteur : il a tellement besoin de le dire que ça sonne affreusement faux.

Je n'ai aucune compulsion à répéter que tu es un imposteur, une fois encore, tu n'éclaires que ton image projetée en miroir sur ton écran: c'est toi qui répètes inlassablement que c'est moi l'imposteur, le démontres, le prouves, dans chacun de mes dénis et refoulements confirmés par la mise à jour mémorable par toi de mon imposture, blablabla... Et ça sonne affreusement faux, de m'attribuer ton unique obsession motrice à jacter, ton seul élan vital depuis quatre ans, quand tu dépasses tes citations et tes liens au tarif syndical: alors oui, à ce sujet, tu es intarissable, et jamais tu ne finis d'en finir enfin de dénoncer cette imposture. Il suffit de lire, tout est là, sous tes yeux, ta plume, ce besoin de le dire et de le redire, à l'infini.
Mais la seule façon pour toi d'en finir pour de bon, en dehors des manipes de verrouillage informatique, c'est de lâcher prise sur ton besoin maniaque, compulsif, d'en finir avec mézigue: tu sais que c'est la seule issue. Ainsi tu pourras retourner citer le bottin mondain dans la shout d'enculture, retourner à tes petits pets de grenouille ponctuant la météo et la critique du jour, tes petites habitudes, à ton rythme, sans t'énerver. Pense-y: ça te tente, avoue. Lâche l'affaire, t'as pas le gabarit pour ce genre de choses, et tu ne le sais que trop bien: tu n'y laisseras que ta santé, et des spams fossilisés dans la glu.





Ainsi, selon Jerzy, "pouvoir le faire", autrement dit : "en avoir les moyens", "en avoir l'autorité" (tel était exactement mon propos) est synonyme de "faire". Ou plutôt ça a "le même sens", et la différence serait purement "syntaxique".

Cette lecture diagonale à oeillères en dit long sur le genre de lecteur qu'est notre filisofe : passif et paresseux. Car si je voulais dire que D-H reproche à JLG son manque de modestie, eh bien : je le dirais ! L'ai-je dit ? Non : j'ai dit que, bardé de preuves d'autorité, D-H a exactement les moyens de faire ce que l'auteur de l'article dit qu'il fait, et donc que ça ne m'étonnerait pas qu'il l'ait fait dans le bouquin en question.

L'a-t-il dit? Ben oui, il l'a dit, même qu'il le redit in petto, en variant à peine son énoncé de base: " Fort de ces recommandations, Didi-Huberman peut tranquillement reprocher à Godard son manque de modestie, vu qu'il est officiellement reconnu qu'il échappe lui-même à ce travers. Y a autre chose, de plus subtilement intéressant à comprendre, élevant le débat vers des profondeurs insoupçonnées?

" Non : j'ai dit que, bardé de preuves d'autorité, D-H a exactement les moyens de faire ce que l'auteur de l'article dit qu'il fait, et donc que ça ne m'étonnerait pas qu'il l'ait fait dans le bouquin en question." ---> ma foi, gros ballot sur orbite, je n'ai pas la berlue, tu le redis encore, donc, ici-même. C'est la même idée, exactement, la seule que t'aies jamais eue, quel que soit le sujet envisagé. C'est ptêt vrai, ptêt faux, mais franchement on s'en bat les roupettes: ça n'a absolument aucun intérêt, c'est des considérations de psycho-mag et on ne voit vraiment pas là-dedans la moindre matière nourrissante à exploiter pour un débat, même sur la reproduction des huîtres en mer caspienne.


Ah mais c'est qu'il est bien emmerdé le petit Jerzy, parce qu'il ne peut plus le nier, que je n'ai à aucun moment "confondu" l'auteur de l'article et D-H.

Ben si, pauvre troufion par lui-même halluciné: tu ne cesses de le dire, que tu confonds l'article et dh, puisque tu en viens même à justifier cette confusion comme appelée par le texte de dh qui "confirme" qu'il fait bien ce que le commentateur dit qu'il fait: simplement, tu machines une gesticulation sophistique pour détourner l'attention: nier une confusion faite à ton insu en lui substituant une confusion désormais faite à dessein, pertinente parce que le texte confirmerait le commentaire avec lequel il peut en somme se confondre, par la grâce de ta rigueur analytique impayable: "je suppose en effet que l'article dit vrai, d'une parce que ça ne m'étonne pas, et de deux parce que plusieurs citations de D-H dans l'article confirment mon sentiment." .

C'est formid, de supposer que l'article dit vrai, d'une parce que ça ne t'étonne pas (comment ça pourrait t'étonner, on se le demande, puisque sans le moindre argument à l'appui de ta supposition, tu dis qu'il confirme ton sentiment, que tu tires du commentaire et non du texte, et que sans passer par le texte, tu te contentes de dire qu'il confirme le commentaire), et, de deux, tu ne fais que répéter dans la seconde partie de ta phrase grotesque cela même que tu assertes dans ton "d'une". C'est la même chose, ahuri vespéral athlète des tautologies: tu supposes que l'article dit vrai, d'une parce que ça ne t'étonne pas (difficile de faire plus idiot dans le non-argument tiré de sa propre autorité s'autorisant d'elle-même: "je suppose que c'est vrai parce que ça ne m'étonne pas", on croit rêver, mais non, on rêve pas). Et de deux, plusieurs citations dans l'article (mais cites-les, alors, pauvre ahuri menacé par le surmenage de tes méninges en capilotades), confirment ton sentiment, puisque tu supposes que l'article dit vrai parce qu'il ne t'étonne pas, d'une. Gllouglouglou.
Et ta propre bêtise fermée sur sa boucle circulaire, elle ne t'étonne pas, saint ewaré et martyr comme on dit en wallonie? Ménage toi, mon petit toc, tes âneries atteignent leur point de non-retour, signe alarmant de l'implosion psychique qui s'abattra sur toi sans crier gare, inévitablement.


Je suis seulement parti de cet article pour exprimer ce que j'appelle mon "sentiment" ou mon "intuition", ce qui fait évidemment s'esclaffer le petit Jerzy qu'un oui ou un non font lourdement ricaner ces jours-ci blabla

Ben ici aussi, chétive endive auto-germinale, tu répètes la même non-idée qu'en 1 et 2, qui donnent 0, qui ne se confirme qu'en confirmant qu'elle se confirme: t'es parti d'un article pour exprimer ton "sentiment", et ton "sentiment" confirme à tes yeux qu'il est vrai parce que "d'une" ça ne t'étonne pas et que, "de deux", plusieurs citations dans l'article confirment ton sentiment. Redis moi ça une quatrième fois, j'ai peur de ne pas comprendre. Et on est bien avancé avec ça, ad inf repetitas, merci! Voilà qui a le mérite de ne rien dire en te bouffant la queue.
Je gage que tu te mettras en devoir, c'est la phase qui suivra nécessairement, de trier avec le brio inventif qui te caractérise dans l'idiotie circulaire, ces fameuses citations qui ne manqueront pas de "confirmer" ton sentiment qui ne t'étonne pas autant que ta bêtise non-argumentaire, qui elle me chavire de stupéfaction...

Rira-t-il autant quand je lui montrerai (point 2 à venir) que ce "sentiment" a été corroboré par la lecture de Breaker puis de Borges eux-mêmes du livre en question ? Rira-t-il autant quand je lui rappellerai qu'il a lui-même reconnu être d'accord avec Borges, qui est d'accord avec moi ? Rira-t-il quand il devra bien reconnaître, le petit Jerzy, qu'il est... d'accord avec moi ? Aïe !

Ben oui, pauvre avorton par l'ampleur de sa tâche ubuesque épuisé, que je rirai autant. Que vas-tu encore fantasmer, mon petit ténia-bis? Ce n'est pas parce que la lecture de breaker puis de borges eux-mêmes corroborent à tes yeux tes sentiments, ce n'est pas parce que je suis d'accord avec borges sur un point précis, que par magie tout ça efface tes tautologies, carabistouilles, vasouillages et compagnie relevées ici: en quoi ça les effacerait, tes manipes sophistiques, pitre?  


Mais attendez, j'ai encore mieux sous la main, une vraie perle, lisez-moi ça :
Jerzy a écrit:Je suis bien évidemment d'accord avec Borges sur la faiblesse opportuniste de GDH surfant sur la vague des critiques d'antisémitisme etc adressées à godard

Quoi quoi quoi ? Jerzy ne serait-il pas en train de confondre ce que dit Borges avec ce que dit D-H ?

Car à lire Jerzouillon, D-H surfe bel et bien sur "la vague des critiques d'antisémitisme etc adressées à Godard". Cette fois, pas de doute, pas d'ambigüité, pas de débat, pas de "il pourrait" : D-H le fait, il "surfe", c'est dit, c'est clair, c'est assumé.

En quoi admettre cela me fait me contredire, me dédire, sur ma critique de ta confusion désormais validée par toi-même, dans ce cercle infalsifiable où tes sentiments confirment qu'un article dit vrai parce que ça ne t'étonne pas qu'il dise vrai vu que "des citations" le confirment, ce qui ne t'étonnerait pas davantage ? Explique moi ça, courgette tubulaire. J'attends.
Y a aucune contradiction entre mon propos sur un point de l'analyse de gdh et le fait que je sois d'accord avec borges ou breaker sur un autre; on n'est pas dans le "tout ou rien", sauf dans ton imagination en surchauffe. Je me sépare de dh sur tel point, mais je pense que sa critique est fondée sur tel autre, et là-dessus j'ai amplement développé. Contrairement à toi qui enfiles trous noirs sur vides ventilés, dans des tautologies circulaires d'une ineptie affolante qui rendraient chèvres des centaures. Faut aimer la rigueur pour le sport, pour se donner envie de feedbacker sur un tel néant pur.

Oui, je pense qu'il surfe là-dessus, et alors, qu'est-ce qui te chiffonne dans le fait que je le dise?
Je pense qu'il le fait, sans avoir eu besoin de le lire, après avoir écouté son interview sur france-culture. Quant à le lire, il me suffit de consulter les citations de dh dans l'article pour être en mesure de discriminer ces dernières de leur commentaire: ce genre de tissage avec des bouts de phrases entre guillemets, quand on y est un peu exercé, on ne s'y laisse pas prendre, on voit aussitôt apparaître les distorsions, les détournements. Que ce soit dans l'article, ou dans ton recours à cet article: les ficelles sont épaisses. Je connais: j'ai lu et annoté assez de mémoires de fin d'études s'adonnant à cette pratique pour apercevoir au premier coup d'oeil ces trucs d'universitaires. Même si ça te défrise, mon bouboule, ça s'apprend et c'est un métier.

Et où as-tu vu que je confondrais ce que dit borges avec ce que dit D-H? Sophisme de bastringue: j'ai écouté dh là-dessus, je ne me fonde pas sur ce que dit Borges, je dis que je suis d'accord avec lui en ayant puisé directement à la source, qui est le propos de dh sur ces questions: où est le prob, dès lors? Aucun rapport avec ta manipe, là aussi tu peux danser sur ta tête: je n'ai pas machiné un sophisme honteux du genre de celui que tu m'as servi plus haut pour sauver tes meubles en toute hâte; je n'ai écrit nulle part un "fort de ceci cela, il peut..." (en m'appuyant sur le commentaire d'un autre), puis sans honte bue, tenté de me justifier par un clownesque: "j'ai dit qu'il peut, je n'ai pas dit qu'il fait" ---> Ton analogie bricolée ici, ton plan B catastrophique pour justifier ton pataquès par un autre pataquès, est donc nulle et non avenue: tu ne trouveras nulle part sous ma plume la manipe que tu t'autorises, que tu voudrais m'attribuer pour détourner l'attention de la tienne. Cherche, cador. Peut-être qu'en jonglant avec la simple "structure des phrases" tu me sortiras des truffes de ton chapeau à double fond mité? J'attends.


Mais comment l'élève Jerzy le sait-il, que D-H surfe ? Ah mais il ne le sait pas : il le suppose. Et comme il est courageux et vaillant, il va bien plus loin que moi : il ne dit pas que, D-H étant ce qu'il est, il pourrait bien être celui dont parle Borges, non : il dit qu'il l'est, tout simplement !

Toujours les mêmes sophistiqueries sans objet, sans contenu. En quoi donner raison à borges sur ce point rendrait caduques mes remarques concernant un autre point? Que j'avais déjà énoncé auparavant, avec ou sans gdh, et que je t'inciterais vainement à relire si tu n'étais pas pas obstrué de tous tes pores par ta mauvaise foi pulvérulente, n'y comprenant goutte, t'empressant de les retraduire pour leur faire dire ce que t'as envie qu'elles disent. Ce qui a été démontré par le menu plus haut, en l'absence de tout doute taraudant ta suffisance auto-confirmée qui ne m'étonne ni d'une ni en deux.

En attendant, tu ne dis rien, n'as rien dit, et immanquablement ne diras rien qui vaille la peine de s'y attarder, parce que, comme toujours, y a pas un atome de pensée, de réflexion stimulante, d'argumentation (même pour sodomiser des anophèles textuels) dans tes rodomontades répétitives dont l'ampleur sémantique est intégralement circonscrite dans ton orgueil de nain blessé, qui finit toujours plus petit et qui n'en finira jamais de se rassurer par la méthode coué, la seule qu'il connaisse à défaut de la maîtriser, ad libitum.



Blablabla

... blablabla itou...

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Message par Baldanders Dim 19 Juil 2015 - 10:26

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Message par Invité Dim 19 Juil 2015 - 10:34

Post-scriptum: j'ai failli manquer un autre de ses mensonges éhontés:

1/ Tu as stupidement cru que j'ai pris un article sur le livre de D-H pour un article de D-H lui-même, alors que le nom Didi-Huberman apparaît plusieurs fois dans les citations que j'ai faites de l'article

Comment pouvait-il soutenir une telle ânerie, alors même que dès mon premier post, je relevais ceci:

Délices sans fin du montage citationnel baldandersien, qui attribue ici au texte qu'il copie-colle les propos qui sont ceux dans le commentaire sur ce texte: où, dans son texte, GDH parle-t-il de "manque de modestie"?
Ce qui, bien lu et bien compris, attire son attention sur le fait qu'il attribue au texte de gdh un propos ("absence de modestie") qui est celui du commentaire sur ce texte de gdh.

Puis plus loin, bien avant son enfilade numérotée d'arguties, ceci encore:

Pour le reste, gesticule dans le vide phrastique de ta méthode coué devenue compulsive pour tenter vainement de faire oublier que t'as rien compris aux propos de GDH et que c'est bel et bien toi qui te plantes royalement par ton rachitique commentaire unissant en les confondant le texte et son commentaire idiot. Ton incompréhension est déjà manifeste dans le choix des passages que tu sélectionnes: uniquement ceux que tu réécris dans ta tête en les montant de telle sorte qu'il disent, dans ta tête toujours, ce que tu as décidé a priori qu'ils devaient dire.
C'est ta piteuse méthode de lecture, tu n'as jamais varié.

Comment Baldanders pouvait encore oser, dès lors, ce piteux mensonge, longtemps après ces deux posts? Serait-il incapable de simplement lire? Faut-il conclure, selon la formule consacrée, qu'un baldanders ose justement tout, et que c'est à ça qu'on le reconnaît?

N'en jetons plus. Désormais, le compendium de ses sophismes, manipes, arguties, dénégations, pataquès redoublés par des pataquès plus burlesques encore, examinés par le menu, s'effondre comme un château de cartes emporté par un vent mauvais.

Qu'inventera-t-il encore pour s'enfermer à triple verrou dans sa bouteille de klein, y consolider son fort chabrol bâti avec de la poudre de perlimpinpin?

Mystère...  

Edit: Ah non. Il vient de réitérer. C'est à l'avenant, et c'est, comme toujours, entre la truffe et la tourte, une tragi-comique parodie d'argumentation.


Dernière édition par syndic des dockers le Dim 19 Juil 2015 - 10:47, édité 2 fois

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Message par Baldanders Dim 19 Juil 2015 - 10:36

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Message par Invité Dim 19 Juil 2015 - 10:43

J'ai déjà répondu à tout ça. Je te laisse répéter, telles quelles, tes vaticinations qui ne sont et seront taraudées par aucune espèce de doute propice à une extraction miraculeuse de ta mauvaise foi pathologique de la tourbière où tu t'enfonces inexorablement.

Qu'importe: tout a été dit, suffit de lire. Laissons l'ouroboros se consommer jusqu'au cercle fatal où la tête et la queue ne formeront qu'une boule indistincte. Fascinant jusqu'à l'effroi.


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Message par Baldanders Dim 19 Juil 2015 - 10:46

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Message par wootsuibrick Dim 19 Juil 2015 - 10:58

bonjour,

z'êtes relous là, et faites perdre foi (momentanément) en l'humanité.
heureusement qu'on peut vous relire ailleurs. 
tu penses quoi du travail de Vincent Descomble, syndic des dockers ?
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Message par Baldanders Dim 19 Juil 2015 - 11:08

Pourquoi ce "vous", Woots ? Retourne page 2 et ose juger : qui est arrivé avec la pseudo-preuve en main que j'étais un escroc et le désir écumant de me régler mon compte ?

Je ne lui ai rien demandé moi, à ce naze. Et il est parfaitement normal que je le remette à sa place. Tu t'écraserais, toi, si un maniaque se mettait à hurler publiquement que tu es un imposteur en détournant des propos que tu as tenus ?
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Message par wootsuibrick Dim 19 Juil 2015 - 11:27

Peut-être bien,
j'en sais rien,
mais vu de moi, ça a l'air d'être la même situation en boucle... depuis un bon bout de temps.
c'est tout.
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Message par Baldanders Dim 19 Juil 2015 - 11:30

Si tu n'en sais rien, évite les commentaires surplombants. Et si tu as quelque chose à dire, engage-toi plus que ça.
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Message par Baldanders Dim 19 Juil 2015 - 11:56

Je ne me fais aucune illusion sur ce que ça donne, vu de loin. Je trouve tout ça assez pathétique, mais je le répète : si quelqu'un, par basse vengeance, se met à déformer et caricaturer à haute voix des propos que tu as tenus, il est normal de répliquer. Je ne vois rien d'héroïque là-dedans, personnellement. C'est Jerzouille qui se rêve au-dessus de la mêlée, donc c'est à lui que tu devrais envoyer ton montage.

Mais essaie un peu de parler en ton nom, Woots, pour changer.
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Message par wootsuibrick Dim 19 Juil 2015 - 12:04

En mon nom, je dirai que comme j'ai pas lu GDH, que j'ai essayé y a un mois... mais j'ai préféré lire un bouquin sur les aventures de l'origine du monde de Courbet de sa création à son arrivée au musée d'Orsay... et un bouquin intitulé "L'esthétique nait-elle au 18ème siècle?"... Ou j'ai appris l'existence de Baumgarten, et depuis j'essaye de mettre la main sur son bouquin sur l'esthétique, mais ça a pas l'air d'être un truc facilement trouvable.
(enfin en ce qui concerne GDH me souvient avoir aussi essayé étudiant en art de me taper "ce que nous voyons, ce qui nous regarde")
Je ne peux donc pas participer sérieusement au morceau de discussion qui a relancé vos divisions habituelles... Mais je vais faire un effort et tout relire.
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Message par Baldanders Dim 19 Juil 2015 - 12:09

Laughing  Mais non, ne t'inflige surtout pas ça ! Je te demande juste de ne pas nous renvoyer dos à dos sans savoir de quoi tu parles, c'est tout.

Mais précisons un peu les choses. Il n'y a pas de "division" entre Jerzy et moi : il y a seulement Jerzy blessé déversant sa bile noire sur ma pomme avant de passer à un autre. C'est compulsif chez lui, cf. les centaines de pages noircies par lui dans ce forum. Donc ne faites pas les innocents, toi, glj ou breaker. Vous savez très bien que Jerzy ne s'intéresse absolument pas aux "concepts" et ne développe aucune "argumentation" utile ou valable quand il est dans cet état. Au mieux, il fait dans l'ordurier sophistiqué, ça ne va jamais plus loin.

Et donc on n'a pas parlé de D-H puisque Jerzy-la-Manie a préféré s'évertuer à faire rentrer des vaches dans des tonneaux, en prouvant par exemple que je suis "un sophiste qui n'argumente jamais" (sic) ou en passant des nuits entières à m'écrire qu'il s'en fout de ce que je raconte (re-sic).

Mais quand Jerzouille trouvera le courage d'admettre qu'il s'est planté, et que le mieux qu'il puisse faire désormais est de la boucler, alors on reparlera de D-H, pour sûr.
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Message par Invité Dim 19 Juil 2015 - 20:23

Pauvre type malhonnête, menteur professionnel, manipulateur patenté, psychanalyste auto-proclamé de sa toute puissance infalsifiable, qui comme il en fut toujours s'auto-donne raison sur tout, transi par sa mauvaise foi pulvérulente.
Et qui, comme il en fut toujours, fait exactement ce qu'il vous accuse de faire: suffit de le lire. Régler ses comptes, ivre de basse vengeance, bile noire, chercher l'autre qui ne vous demandait rien, etc. Tout ceci décrit si parfaitement son comportement qu'on en vient à craindre vraiment un problème d'ordre pathologique.
Tout ce qu'il fit, pendant des années, sur le topic consacré spécialement à en finir avec ma pomme, puis après la trêve suisse, me chercher à nouveau sur un autre topic consacré à ma pomme, pas par lui cette fois, mais s'y donnant le dernier mot en me muselant.

Puisque Baldanders s'autorise inlassablement de sa propre autorité conférée à lui même par lui-même pour décider, tout seul et pour moi-même, qu'il en a fini, que désormais le mieux que je puisse faire est de la boucler, "précisons un peu les choses", nous-z-aussi:

il y a bel et bien, espèce de Porreau comme Pervers, Pourrave et Pêle-mêle (ce sont bien évidemment les traits que tu m'attribues sans jamais percuter qu'ils te définissent au cordeau), une division, sans guillemets, entre toi et moi. Cette division est profonde, totale, irrémissible, sans retour, et à mon tour de l'informer, ce brave justicier donneur de leçons de sophisme et de maintien ne pouvant bien sûr supporter qu'on lui réserve le traitement qu'il vous réserve, que moi aussi, en me passant parfaitement de son consentement, j'en finirai avec lui: il pourra beugler, pleurer sa mère, criser, invoquer l'administration, faire du chantage, machiner des alliances conjoncturelles, rien n'y fera. Il se prépare, sur ce forum, un interminable chemin de croix. Nenny, il n'en a pas fini.
Il n'a rien démontré, n'a énoncé que des âneries, est incapable de penser, d'argumenter, est un sinistre tricheur dépourvu de toute éthique, et tout cela, qui le cerne, continuera à le cerner chaque fois que l'occasion s'en présente.

Comme ce n'est évidemment pas fini, sur ce point non-discuté où baldanders a, dans le plus pur déni, éludé tous les relevés, par le menu, de ses entourloupes, qu'il s'attende bien, forcément, comment pourrait-il en être autrement, que je ne laisse pas plastronner bien longtemps dans l'euphorie toute artificielle que lui procure son geste coué d'auto-confirmation tout seul, qu'il répète constamment pour une raison simple, et manifeste à la lecture de cet... échange: il lui est, je vais dire physiologiquement, impossible, de se confronter honnêtement à sa propre malhonnêteté intellectuelle.
ll lui est vital de dire, et répéter qu'il a raison et qu'on peut "enfin" passer à autre chose: sans ce mécanisme de défense qui se compare à une crispation constipatoire, il s'écroule net.

Donc prévisions, et pas nostradamusiennes pour un sou: non, je ne la bouclerai pas, chétive pécore s'enflant toujours plus et je te retourne, comme de juste, ton injonction: le mieux que tu puisses faire ici est désormais de la boucler, et crois-moi, tu la boucleras, non sans chercher encore une fois à me faire taire par les voies administratives, quand harcelé par ta propre malhonnêteté, tu n'as plus que ce moyen là pour en finir. Parce que, bien sûr, tu es profondément lâche, en plus d'être pervers. Et pour ta chance, moi non plus j'aime pas les cons méchants et gluants.

Ceci étant dit, je te laisse clabauder un peu en t'auto-réparant par une suite attendue de copicols du temps béni et court où je te donnai raison un soir de grande fatigue.


A plus, le brigadier décidant par sa propre autorité inexistante autant que fantasmée quand il faut en finir et quand il faut continuer. Pas plus que moi, tu n'as ce droit de décider de la conclusion, pour maquiller, retourner, ton obsession revancharde et persécution victimaire. Dans la shout de feu-enculture devenu club privé, passe encore. A bon entendeur.

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Message par Baldanders Dim 19 Juil 2015 - 20:53

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Message par Invité Dim 19 Juil 2015 - 21:24

Menteur professionnel, manipulateur patenté, révisionniste des échanges, malhonnêteté érigée au rang de laid-art, ça saute aux yeux à chacune de tes phrases, chacune de tes manipes.

Oho, on ne sait ici que choisir. Contentons-nous ici de cette occurrence:




Remettons donc séance tenante la vérité bien au fond des trous de nez de Jerzouille : toutes les fois où on s'est étripé toi et moi (à l'exception notable d'un ou deux commentaires de moi sur ton blog), 'C'est toi qui es venu me chercher et qui évidemment m'as trouvé.
Facile à vérifier : Holy Motors

https://spectresducinema.1fr1.net/t1279p15-holy-motors?highlight=holy+motors

Relisons, et observons: j'écris ma critique de Holy Motors... Aucune intervention de Baldanders sur ce topic. Aussitôt, le mec déboule furibard, la bave aux lèvres, pour m'administrer son hallali tout en invectives psychologisantes et ad hominem, comme toujours
Non content de ça, il redéboule sur mon blog où je poste mon texte, se sentant obligé d'y coller sa réaction toute en invectives pychologisantes et ad hominem, comme toujours: et pourquoi donc?
https://www.blogger.com/comment.g?blogID=8817890069125058550&postID=973231612016840155

Vas-y, je t'écoute: explique moi que c'est moi qui mens, et pas toi.
Explique-moi dans la foulée pourquoi tu t'es même senti obligé de spammer mon blog (au point que je dus, depuis ton spamming, supprimer l'option "commentaires anonymes autorisés": ).


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Message par Baldanders Dim 19 Juil 2015 - 21:30

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Message par Baldanders Dim 19 Juil 2015 - 21:33

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Message par Baldanders Dim 19 Juil 2015 - 21:35

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