Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
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Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Vu Gomorra.
Enfin ? Je ne sais pas. Ce n’est pas un mauvais film. Évidemment. La seule idée qui marche, selon moi, pour moi, ou alors la seule idée avec qui, quoi, j’ai pu faire un mouvement, c’est le personnage du jeune type qui accompagne Franco, le mec qui passe son temps à enterrer des déchets dangereux.
J’aime ce personnage. Tout son jeu, sa présence est dans le regard. Dès son apparition, il est là, il regarde. De là à dire qu’il est le spectateur et que la morale que le film nous donner à penser se révèle dans notre capacité à voir, à regarder, à se faire voyant.... Voir; non pas les choses, non pas derrière les choses ; mais entre les choses. Une chose seule, ça ne veut rien dire, ça n'existe pas, pas plus qu'une image. C’est lors de la scène des pêches pourries qu’il prend conscience de ce qui se passe, et qu’il saisit sa différence; sa voyance est préparée par ce que l’on pourrait prendre pour une erreur de perception : la vieille dame, qui récolte sous la pluie des pêches pourries, le prend pour un autre ; et c’est cet autre qu’il va devenir, dans un lien affectif avec cette vieille dame folle, mais qui voit (parce que généreuse, capable de don, dans un monde où rien n'est donné, rien ne se donne?)
Moment très fort, en terme d’idée ; je ne sais pas à quoi cela me fait penser, même si je peux en penser bien des choses. Quelque chose se passe alors, préparé évidemment par la vision de l'homme malade dans son lit. Il ne peut plus supporter le boulot de son boss, continuer à croire que tous les moyens sont bons pour vivre, échapper à la misère. "Vous sauvez une vie, ici, et vous assassinez une famille ailleurs, lui dit-il". Dans un beau passage "des nués à la résistance", le fils s’emporte contre le père qui s’emporte contre les dieux-patrons qui exploitent les pauvres. "Ils ont bien raison dit le fils, puisque nous nous traitons entre nous de la même manière".
En descendant de la voiture pour jeter les fruits pourris, le jeune homme saisit quelque chose, non seulement sa différence, mais ce qui lie ces fruits, la vieille dame…et tous ces gens que l’on traite comme de la pourriture, comme de la saleté. Lien renforcé par les images à la télé de cette actrice américaine portant une robe blanche; les fruits du mal.
Repenser tout cela évidemment depuis les analyses de Deleuze du néoréalisme : voir, devenir voyant de l’insupportable.
Enfin ? Je ne sais pas. Ce n’est pas un mauvais film. Évidemment. La seule idée qui marche, selon moi, pour moi, ou alors la seule idée avec qui, quoi, j’ai pu faire un mouvement, c’est le personnage du jeune type qui accompagne Franco, le mec qui passe son temps à enterrer des déchets dangereux.
J’aime ce personnage. Tout son jeu, sa présence est dans le regard. Dès son apparition, il est là, il regarde. De là à dire qu’il est le spectateur et que la morale que le film nous donner à penser se révèle dans notre capacité à voir, à regarder, à se faire voyant.... Voir; non pas les choses, non pas derrière les choses ; mais entre les choses. Une chose seule, ça ne veut rien dire, ça n'existe pas, pas plus qu'une image. C’est lors de la scène des pêches pourries qu’il prend conscience de ce qui se passe, et qu’il saisit sa différence; sa voyance est préparée par ce que l’on pourrait prendre pour une erreur de perception : la vieille dame, qui récolte sous la pluie des pêches pourries, le prend pour un autre ; et c’est cet autre qu’il va devenir, dans un lien affectif avec cette vieille dame folle, mais qui voit (parce que généreuse, capable de don, dans un monde où rien n'est donné, rien ne se donne?)
Moment très fort, en terme d’idée ; je ne sais pas à quoi cela me fait penser, même si je peux en penser bien des choses. Quelque chose se passe alors, préparé évidemment par la vision de l'homme malade dans son lit. Il ne peut plus supporter le boulot de son boss, continuer à croire que tous les moyens sont bons pour vivre, échapper à la misère. "Vous sauvez une vie, ici, et vous assassinez une famille ailleurs, lui dit-il". Dans un beau passage "des nués à la résistance", le fils s’emporte contre le père qui s’emporte contre les dieux-patrons qui exploitent les pauvres. "Ils ont bien raison dit le fils, puisque nous nous traitons entre nous de la même manière".
En descendant de la voiture pour jeter les fruits pourris, le jeune homme saisit quelque chose, non seulement sa différence, mais ce qui lie ces fruits, la vieille dame…et tous ces gens que l’on traite comme de la pourriture, comme de la saleté. Lien renforcé par les images à la télé de cette actrice américaine portant une robe blanche; les fruits du mal.
Repenser tout cela évidemment depuis les analyses de Deleuze du néoréalisme : voir, devenir voyant de l’insupportable.
Dernière édition par Borges le Mer 18 Nov 2009 - 17:38, édité 1 fois
Borges- Messages : 6044
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Vu aussi l'un des plus beaux films du monde :
Borges- Messages : 6044
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Qu'est-ce que cela veut dire "vu l'un des plus beaux films du monde"?
C'est une question.
C'est une question.
Borges- Messages : 6044
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Le phénomène du cinéma belge actuel, que tout le monde a vu à Bruxelles : Les barons !!!
Le film dont les minorités sont fières, se sentant enfin exister. Un bonne vieille comédie à l'ancienne, cinéma de papa, à la sauce Jeunet (image et moralisme à la con), le chit du Maghreb, regard tronqué sur le monde, sauf qu'ici se sont les "exclus" d'antan qui occupent le devant de la scène. Rien ne change : des clichés à la pelle, toutes les 5 minutes, et pourtant une volonté de ne pas tomber dedans (le réalisateur disait ne pas vouloir montrer de flic, etc.).
Mais bon, il y a l'humour, qui touche parodie parfois la culture maghrébine, et là peut-être, seulement là, le film peut avoir un intérêt. Pour le reste, c'est vraiment faible.
Les commentaires des gourous de la presse belge (et vous vous plaignez de la française ) :
Tout ce qui a été dit sur le film reprend cette idée. C'est dire où on en est. L'avez-vous vu ?
Les barons, c'est maintenant la nouvelle insulte pour les marocains, le nouveau surnom cliché par excellence. C'est plus poli, plus classe. Quelle honte, je suis vraiment gêné d'avoir été voir ce film, et de voir les gens gobés ce tas de conneries qu'on nous raconte ici et là.
Vive le gars qui a fait ça, et vive le cinéma belge
Le film dont les minorités sont fières, se sentant enfin exister. Un bonne vieille comédie à l'ancienne, cinéma de papa, à la sauce Jeunet (image et moralisme à la con), le chit du Maghreb, regard tronqué sur le monde, sauf qu'ici se sont les "exclus" d'antan qui occupent le devant de la scène. Rien ne change : des clichés à la pelle, toutes les 5 minutes, et pourtant une volonté de ne pas tomber dedans (le réalisateur disait ne pas vouloir montrer de flic, etc.).
Mais bon, il y a l'humour, qui touche parodie parfois la culture maghrébine, et là peut-être, seulement là, le film peut avoir un intérêt. Pour le reste, c'est vraiment faible.
Les commentaires des gourous de la presse belge (et vous vous plaignez de la française ) :
Il semblerait qu'une nouvelle page s'ouvre avec des films comme Les Barons ou La Merditude des choses, dans lesquels on retrouve une volonté délibérée d'impressionner les neurones autant que les cellules ophtalmiques et de faire actionner les zygomatiques.
Nos antihéros ne sont pas déphasés devant une réalité lourde à porter. Que du contraire, ils sont remplis d'une force terrible d'adaptation grâce à l'humour (parfois cru) et puisent, dans l'inégalité, leur désir de succès. Un tournant dans le cinéma belge ? Réponse à suivre.
Tout ce qui a été dit sur le film reprend cette idée. C'est dire où on en est. L'avez-vous vu ?
Les barons, c'est maintenant la nouvelle insulte pour les marocains, le nouveau surnom cliché par excellence. C'est plus poli, plus classe. Quelle honte, je suis vraiment gêné d'avoir été voir ce film, et de voir les gens gobés ce tas de conneries qu'on nous raconte ici et là.
Vive le gars qui a fait ça, et vive le cinéma belge
Le_comte- Messages : 336
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
A l'instant:
Moon (Duncan Jones - 2009)
Tu vas "adorer" Erwan, lol
Moon (Duncan Jones - 2009)
Tu vas "adorer" Erwan, lol
^x^- Messages : 609
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Vollmond, Pina Bausch / Tanztheater Wuppertal, lundi soir.
Toujours inconditionnel. Juste l'envie de (re)montrer des aperçus...
Toujours inconditionnel. Juste l'envie de (re)montrer des aperçus...
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Tiens ce jeu avec l'eau ça me rappelle la sublime séquence finale du spectacle (par ailleurs très drôle) de Dave Saint-Pierre : Un peu de tendresse bordel de merde.
Après s'être bien marrés en se jetant nus, en perruque blonde, dans le public, les danseurs reviennent à la fin armés d'une bouteille d'eau chacun. Le spectateur imagine déjà le sort qui lui est réservé, mais non. Le burlesque cède la place au poétique et tous se renversent les bouteilles, lentement sur le corps. S'ensuivra un incroyable ballet aquatique à plat ventre qui ferait preque passer les pingouins de La marche de l'empereur pour une équipe de rugbymens en liesse.
Tu connais DD ?
Après s'être bien marrés en se jetant nus, en perruque blonde, dans le public, les danseurs reviennent à la fin armés d'une bouteille d'eau chacun. Le spectateur imagine déjà le sort qui lui est réservé, mais non. Le burlesque cède la place au poétique et tous se renversent les bouteilles, lentement sur le corps. S'ensuivra un incroyable ballet aquatique à plat ventre qui ferait preque passer les pingouins de La marche de l'empereur pour une équipe de rugbymens en liesse.
Tu connais DD ?
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Ah non, mais je ne ne connais pas du tout pour tout t'avouer : c'est récent ? Tu l'as vu où ?
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Ouep, c'était au festival d'Avignon cette année.
N'étant pas familier de la danse, c'est une compagnie canadienne qui m'a donné envie d'en voir plus. Ils se prennent pas au sérieux et ont l'air beaucoup plus simples, plus humbles que pas mal d'artistes français (notamment dans le spectacle vivant)...
N'étant pas familier de la danse, c'est une compagnie canadienne qui m'a donné envie d'en voir plus. Ils se prennent pas au sérieux et ont l'air beaucoup plus simples, plus humbles que pas mal d'artistes français (notamment dans le spectacle vivant)...
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Bonjour,
Merci pour les précisions. J'ai pu lire un peu plus avant.
J'avais pu voir quelques spectacles à Montréal, et c'est exactement ce que j'avais ressenti.
Etrangement (?), j'avais aussi trouvé assez vite que c'était comme leur limite : liée, il me semble, à cette "convivialité" bon enfant qui peut vite tourner au refuge un peu facile, un manque de rigueur et d'exigence qui évidait la plupart des propositions. C'est pas très sympa ce que je dis mais passée l'impression d'air frais que j'avais ressentie dans cette joyeuse ambiance et les possibles qui lui sont propres (pour les créateurs comme pour les spectateurs), très vite j'ai drôlement eu la dalle...
C'était très frustrant. Restaient des exceptions, bien sûr. Et ce sont probablement celles qui arrivent ici.
Bref, je reste curieux de voir les propositions de chorégraphe/metteur en scène, sa trilogie intime. Je vais voir si ça passe à Paris. Apparemment, il ne faut pas traîner
Merci pour les précisions. J'ai pu lire un peu plus avant.
Largo a écrit: Ils se prennent pas au sérieux et ont l'air beaucoup plus simples, plus humbles que pas mal d'artistes français (notamment dans le spectacle vivant)...
J'avais pu voir quelques spectacles à Montréal, et c'est exactement ce que j'avais ressenti.
Etrangement (?), j'avais aussi trouvé assez vite que c'était comme leur limite : liée, il me semble, à cette "convivialité" bon enfant qui peut vite tourner au refuge un peu facile, un manque de rigueur et d'exigence qui évidait la plupart des propositions. C'est pas très sympa ce que je dis mais passée l'impression d'air frais que j'avais ressentie dans cette joyeuse ambiance et les possibles qui lui sont propres (pour les créateurs comme pour les spectateurs), très vite j'ai drôlement eu la dalle...
C'était très frustrant. Restaient des exceptions, bien sûr. Et ce sont probablement celles qui arrivent ici.
Bref, je reste curieux de voir les propositions de chorégraphe/metteur en scène, sa trilogie intime. Je vais voir si ça passe à Paris. Apparemment, il ne faut pas traîner
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Oui, pas évident de voir ça sur Paris, je suppose. En plus Dave Saint-Pierre était assez gravement malade (resté au Canada à l'hopital cet été), ce qui n'arrange rien.
Je vois bien les travers de cette ambiance bonne enfant que tu soulignes, mais il est vrai que dans le cas de ce spectacle je trouvais qu'un équilibre avait été trouvé, alternant entre des sketchs dans une ambiance de cabaret et des séquences dansées où l'engagement physique est au service d'une proposition formelle (qui m'a parue) originale (mais je serais bien en peine d'en parler plus précisément !)
Je vois bien les travers de cette ambiance bonne enfant que tu soulignes, mais il est vrai que dans le cas de ce spectacle je trouvais qu'un équilibre avait été trouvé, alternant entre des sketchs dans une ambiance de cabaret et des séquences dansées où l'engagement physique est au service d'une proposition formelle (qui m'a parue) originale (mais je serais bien en peine d'en parler plus précisément !)
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Je te crois, je suis vraiment intrigué
M'a l'air rapé pour l'instant. Un peu de tendresse bordel de merde et La Pornographie des âmes sont déjà passés en IdF.
Faudra faire gaffe la saison prochaine.
M'a l'air rapé pour l'instant. Un peu de tendresse bordel de merde et La Pornographie des âmes sont déjà passés en IdF.
Faudra faire gaffe la saison prochaine.
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
J'ai été voir un truc dont j'aurais honte de parler. Mais avant, il y a les traditionnelles bandes-annonces. On voit défiler des BA de comédies américaines, et puis, un truc, une sorte de petit court métrage, qui est en fait une BA. C'est celle du dernier Dupontel. Je croyais que c'était une publicité, style la poste ou je ne sais quoi. J'ai été très surpris en voyant que c'était un film (en opposition avec les bandes-annonces de comédies américains, même banales)
Le_comte- Messages : 336
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Largo a écrit:T
Après s'être bien marrés en se jetant nus, en perruque blonde, dans le public, les danseurs reviennent à la fin armés d'une bouteille d'eau chacun. Le spectateur imagine déjà le sort qui lui est réservé, mais non. Le burlesque cède la place au poétique et tous se renversent les bouteilles, lentement sur le corps. S'ensuivra un incroyable ballet aquatique à plat ventre qui ferait preque passer les pingouins de La marche de l'empereur pour une équipe de rugbymens en liesse.
J'aime bien ce genre de final. Des corps nus en matière "liquide". Wim Wandekeybus avait ça aussi, une fois, dans un de ses spectacles que j'ai vu il y a de ça des années...
Le spectacle de Bausch était déjà passé au Théâtre de la Ville, il y a quelques années, non ? J'aurais aimé voir ça. Et j'en connais une qui aurait été très enthousiaste également...
lorinlouis- Messages : 1691
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
lorinlouis a écrit:
Le spectacle de Bausch était déjà passé au Théâtre de la Ville, il y a quelques années, non ? J'aurais aimé voir ça. Et j'en connais une qui aurait été très enthousiaste également...
Oui, c'est une reprise d'un spectacle récent (trois ou quatre ans), que j'avais raté la première fois. J'en revois un autre en revanche cette semaine, qui a une dizaine d'années, et qui est lié au Portugal (la fête, quoi !).
Sinon, je n'ai pas l'impression que sa toute dernière création soit encore programmée en France... Bref, j'ai tout de même l'impression que la troupe va continuer à faire vivre le répertoire, avec Dominique Mercy qui était le grand complice de Bausch, et ça, ça me rassure un peu.
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
http://www.planetdan.net/pics/misc/sarkozy.swf
Truc à la con découvert par Pierre Léon.
Cliquez sur Nicolas et évacuez les rancoeurs irrationnelles et violentes que vous nourrissez à son égard (un peu comme un chat avec une pelote de laine)
Truc à la con découvert par Pierre Léon.
Cliquez sur Nicolas et évacuez les rancoeurs irrationnelles et violentes que vous nourrissez à son égard (un peu comme un chat avec une pelote de laine)
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Largo a écrit:http://www.planetdan.net/pics/misc/sarkozy.swf
Truc à la con découvert par Pierre Léon.
Cliquez sur Nicolas et évacuez les rancoeurs irrationnelles et violentes que vous nourrissez à son égard (un peu comme un chat avec une pelote de laine)
Et il tombe, et il tombe...
lorinlouis- Messages : 1691
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
D&D a écrit: Bref, j'ai tout de même l'impression que la troupe va continuer à faire vivre le répertoire, avec Dominique Mercy qui était le grand complice de Bausch, et ça, ça me rassure un peu.
Ce serait l'idéal, même plus, peut-être. Ma chère et tendre a travaillé lors de plusieurs stages avec Mercy et c'est vrai que ses vues et pratiques artistiques s'imbriquent totalement avec ce que faisait Pina Bausch. A voir, à l'avenir.
lorinlouis- Messages : 1691
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
http://www.regisobadia.com/realisation_pinabausch.html
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
lorinlouis a écrit:
Ce serait l'idéal, même plus, peut-être. Ma chère et tendre a travaillé lors de plusieurs stages avec Mercy et c'est vrai que ses vues et pratiques artistiques s'imbriquent totalement avec ce que faisait Pina Bausch. A voir, à l'avenir.
Voilà ce que j'appelle "écrire".
Borges- Messages : 6044
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
breaker a écrit:http://www.regisobadia.com/realisation_pinabausch.html
Salut Breaker,
Merci pour le lien.
Borges a écrit:
Voilà ce que j'appelle "écrire".
J'en serais presque vexé, Borges.
lorinlouis- Messages : 1691
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Oui, merci pour le lien Breaker.
Lorin, euh... concernant ta chère et tendre... Waouh !
Lorin, euh... concernant ta chère et tendre... Waouh !
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Se servir de ses relations pour briller en société moi je trouve ça vraiment trop snob.
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Tiens, vous connaissiez cet extraordinaire trailer de Détective de JLG ?
Etonnant qu'il ait fait ça à cette époque, c'était pas celle où son sens de l'humour était le plus développé pourtant.
Le seul équivalent aujourd'hui en terme d'originalité et d'audace, ce serait celle des Herbes Folles que vous avez tous dû voir :
Etonnant qu'il ait fait ça à cette époque, c'était pas celle où son sens de l'humour était le plus développé pourtant.
Le seul équivalent aujourd'hui en terme d'originalité et d'audace, ce serait celle des Herbes Folles que vous avez tous dû voir :
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