Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
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Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Mais oui, et t'en as sûrement une plus grosse aussi. Mais quel gamin ! Laughing
Méthode baldandersienne: déporter le fait que je connais mieux la filmo de godard que lui vers une affaire de bites ad hominem.
Oui je sais, blabla...
Invité- Invité
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Dernière édition par Baldanders le Ven 16 Sep 2016 - 20:10, édité 3 fois
Baldanders- Messages : 351
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Dernière édition par Baldanders le Lun 6 Mar 2017 - 15:15, édité 3 fois
Baldanders- Messages : 351
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Dernière édition par Baldanders le Lun 6 Mar 2017 - 15:15, édité 3 fois
Baldanders- Messages : 351
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Dernière édition par Baldanders le Lun 6 Mar 2017 - 15:17, édité 3 fois
Baldanders- Messages : 351
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Autres temps, autres moeurs. Quand je me suis inscrit sur ce forum, devinez qui fut le premier à m'accueillir et avec quels mots doux ?
Exact.
Même méthode coué impayable. Il n'a que ça pour se consoler: citer des phrases du temps où je le trouvais sympathique.
On peut se réjouir dans un temps a de la venue de x, parce que dans ce temps a on le trouvait plutôt sympathique, après s'être frité avec lui dans les gogues du cybermonde.
On peut également, nulle contradiction, finir par trouver, dans un temps b, que décidément, tout bien considéré, x est aussi sympathique qu'une porte de prison, voire imbitable, et l'inviter à aller clabauder ailleurs. Sans obligation, car contrairement à lui, on ne dispose pas de moyens de rétorsion: c'est donc juste l'expression sincère d'un vœu intime, il en fait ce que bon lui semble.
Je te parie que malgré tes assauts de smileys pour tenter pathétiquement d'avérer que tu es de bonne humeur gamine (dès lors que j'ai relevé ton absence d'humour chronique, et ça ne date pas d'hier), tu continueras à m'expliquer que je suis ni drôle ni sympathique (alors que je n'en ai nullement l'intention, bis rep.)
Je n'ajouterai pas ici de smiley, derrière les tiens qui sentent ici la morue fourbe, j'aurais l'air aussi hypocrite que tézigue.
Invité- Invité
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Baldanders a écrit:syndic des dockers a écrit:ta prose constipée de mec qui n'en a jamais fini de me régler mon compte
Mais c'est exactement ce que tu veux ! C'est ce que t'aimes, non ? Que je te fasse mal, que je te redise à quel point tu es nul...
Cette histoire qui te tourmente s'est passée il y a quoi, trois semaines, quatre semaines ? Tu crois que j'y pense, moi, quand je vais sur le forum des Spectres ou que je te vois passer ici ou là ? Pourtant tu n'as pas mâché tes mots, mais je m'en fous car on ne se connaît pas et tu racontes absolument n'importe quoi et son contraire sur ma pomme, donc toi et tes insultes je vous oublie.
Mais toi, trois semaines après, tu me racontes l'histoire comme si elle venait d'arriver. Et quelle histoire ? Je t'ai fait un reproche, ça t'a rappelé quand tu m'aimais pas, tu m'as dit "je t'aime pas", je t'ai répondu "t'énerve pas", tu t'es énervé, j'ai fermé le topic... Homérique, dirait Barry Fitzgerald !
Arrête de te ridiculiser, voyons ! Moi je t'ai prévenu : tu me cherches, tu me trouves. C'est ça que tu veux ?
Méthode baldandersienne d'auto-persuasion style "pensée positive": se fantasmer en persécuteur hypothétique et désiré par un maso: d'autant plus désiré qu'il se fantasme redoutable.
Laissons croire les béguines et les chétives pécores enfler.
Invité- Invité
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Dernière édition par Baldanders le Lun 6 Mar 2017 - 15:18, édité 3 fois
Baldanders- Messages : 351
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Baldanders a écrit:blabla... meuh...rhzz... glouglou...C'est la différence entre toi et moi, un robot et un homme.
Basta, j'arrête de répondre à tes petites provocs minables qui consistent à me renvoyer la balle paresseusement, à petits coups de "c'est toi qui y es". C'est tout ce que tu es capable de lâcher et ça ne vaut pas mieux que des pets. Je te laisse moisir dans ta crasse mentale.
Ah, le couplet attendu, jusqu'à l'ennui torve, de l'opposition paradigmatique entre baldanlderch l'Homme authentique de chair et de sang, et zyzy le robot inhumain blabla.
L'huitre baldandersienne, toute en trauma, referme son couvercle avec un grincement douloureux, crispée en sa chair nue à peine touchée par une pointe bic, comme elle fut toujours. Il n'en est plus à tenter de se la jouer "cool" (pas du tout blessé, mais gai comme un pinson qui vous a administré l'hallali), il s'adresse à vous, le souffle court, comme le curé de l'exorciste: vade retro, satanas! Tes petites provocs minables ne m'atteignent pas! Tu es malheureux comme personne et honteux comme pas deux! Je t'ai déculotté et tu souffres le martyre! Avoue! Je te laisse moisir dans ta crasse mentale! De toi loin me tenir désormais je vais! Na! ksss ksss!
Or donc: en effet, et ça tombe autant sous le sens que sous les yeux, c'est bien ce qu'il fait: on a beau le relire en cherchant un quignon de sens nourrissant dans sa prose revancharde et chiffonnée du cul comme une vieille nonette frigide, on ne trouve rien sous sa plume que des pets et autres émissions de crasse mentale à moi destinées. ça remplit, obstrue, tellement sa caboche que rien d'autre ne peut s'y loger, aucune espèce de substance débattable. Que du pus d'amour-propre maltraité. Ce n'est pas parce que "c'est celui qui le dit qu'y l'est" est une formule usitée par les petits enfants qu'elle ne décrit pas parfaitement son mode opératoire, allons. Puisque ce dernier ne plane pas plus haut que ça, c'est juste ça. Rien de plus, rien de moins. Encore une tentative trop chou de s'en sortir la tête haute alors qu'il l'a dans les chaussettes...
Concluons sur cette archive (puisqu'il aime tant les rappels), qui est le-genre-de-réponse-type-que-baldanders-aimerait-épingler-dans-son-livre-d'or-pour-se-rassurer-sur-sa-puissance-de-nuire-aux-salauds-dont-"je"-est-le-parangon-qui-obsède-son-"tu". Lisez les rodomontades de baldanders plus haut avec cette archive en tête: vous apercevez que, par une magie intemporelle, elle est vraiment cette réponse-type qui convient à sa pratique coué inlassable du "je t'ai humilé, t'aime ça, tu m'as cherché, tu m'as trouvé, souffre maintenant", en boucle. Il me rappelle tellement cougnion l'hungus, son golem qu'il finit par prendre en grippe quand il se reconnut avec horreur en lui... L'Ombre...
Posté le: Jeu Déc 20, 2012 5:34 Sujet du message: Répondre en citant
En effet, Baldanders, je ne peux dire qu'une chose. Tu as, une seconde fois, vu clair dans mon petit jeu. Je suis bel et bien piégé, encerclé, mis à nu, recadré et déculotté.
Une seconde fois, j'avais cru pouvoir t'écraser de mon arrogance méprisante. Une seconde fois, j'avais cru pouvoir jouir, encore, de l'humiliation que je souhaitais t'infliger, et qui devenait une véritable obsession pour moi.
Cette fois-ci, mais ne l'avais-je pas au fond cherché, secrètement, par l'opposition frontale, je suis liquidé, et la blessure narcissique que tu m'as infligée, pas seulement toi, mais aussi Kuni L'hungus, sera, cette fois, je le crains, longue, très longue, à cicatriser.
Je ne te ferai pas l'affront, cette fois, de quémander, mendier, par une excuse dans laquelle ton honnêteté intellectuelle incorruptible et ta clairvoyance toujours en alerte, auraient tôt fait de lire l'expression, maladroitement dissimulée, de cette hypocrisie des fats, des faibles, des humiliés et des offensés cherchant, devant l'abime qui s'ouvre sous leur pas, pulvérisant tous les repères auxquels ils s'étaient cru attachés, une bouée secourable.
Tu m'as tendu, une première fois, la main. Cette main offerte, cette main de l'amitié, une deuxième fois, je lui craché dessus. De cela, j'en ai bien conscience, j'aurai à me lamenter, pendant de longues nuits d'atroce solitude.
Dire que j'ai mérité cette correction rigoureuse, implacable, à la mesure de mon insondable prétention, est très loin, je le crains, de cette vérité qu'il me faut encore apprendre et arpenter, sans relâche. Je ne dois pas m'enferrer dans cette mauvaise-foi que mon admiration idolâtre et aveugle pour sartre m'a fait élire au rang des plus précieuses valeurs qu'il m'appartenait de couver et chérir.
Il me faut encore, et cela ne sera pas la moindre des tâches, me guérir de cette stratégie ridicule consistant à projeter, en permanence, sur autrui, mes tares, me faisant attribuer à quelque être bon, que je pressens fragile, démuni, moralement et intellectuellement, ces phénomènes d'auto-persuasion, d'auto-confirmation, qui bien sûr révèlent mes failles plus sûrement encore que si j'avais hurlé, à pleins poumons, mon impuissance et ma trouille transie, toutes couilles rabougries et tout phallus microgénitomorphé. Mimant, pour se donner une composition, des allures pompeuses de "folie" passagère, de cette prose lourdingue et grandiloquente dont je n'ai pas le secret.
Je n'ai pas encore fini, outrepassant le dédain sec, impavide, que tu m'opposeras, de m'excuser. L'ordure que je fus, et faillis demeurer, avant la survenue de ce camouflet d'anthologie, veut boire, jusqu'à la lie, son calice.
A plus tard, donc, pour d'autres confessions qui me brûlent les entrailles. Actuellement, et pour la première fois de ma vie, je suis tenté par l'alcoolisme. Et c'est à ta santé, Baldanders, mon golem redouté et tant espéré, quelque part, que je vais le lever, ce verre... Ai-je atteint le comble du ridicule? Je ne pense pas. Je pense, désire, à ce point de fracture de la rotondité de mon moi jusqu'à cette heure fatale, idéalisé, avoir à m'enfoncer plus encore. Sans désemparer, je m'enfoncerai, plus bas que terre, et sous tes yeux opaques, impénétrables, je veux me dissoudre, me désintégrer.
Dernière édition par syndic des dockers le Ven 10 Juil 2015 - 1:19, édité 3 fois
Invité- Invité
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Dernière édition par Baldanders le Lun 6 Mar 2017 - 15:19, édité 3 fois
Baldanders- Messages : 351
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Baldanders ou comment se rassurer sans fin. Impayable à l'infini et au delà. N'ayant jamais dévié de son orbite circulaire.
- Spoiler:
Again
Dernière édition par syndic des dockers le Jeu 9 Juil 2015 - 23:56, édité 3 fois
Invité- Invité
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Dernière édition par Baldanders le Ven 16 Sep 2016 - 20:21, édité 2 fois
Baldanders- Messages : 351
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Dernière édition par Baldanders le Lun 6 Mar 2017 - 15:25, édité 3 fois
Baldanders- Messages : 351
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Répliques de plus en plus traumatisantes par leur puissance de déflagration. Baldanders tel qu'en lui-même enfin révélé dans l'art du fight rhétorique. On se demande pourquoi il n'est pas inscrit depuis 10 ans sur fdc: c'est sa place naturelle et destinale, de toute éternité.
Invité- Invité
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Dernière édition par Baldanders le Lun 6 Mar 2017 - 15:25, édité 3 fois
Baldanders- Messages : 351
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
C'est ce que je dis, fin herméneute redoutable: j'y étais avant toi, j'y serai après, c'est pas la question.
Le truc, c'est que t'as beau te croire plus intelligent qu'un abyssin, par exemple, t'as exactement le même plafond et les mêmes bornes, au sens kantien, en matière de vannes à la Patrick Bosso. Que tu y sois ou pas techniquement étant parfaitement accessoire: c'est une question de famille spirituelle. Et c'est le maximum d'humour dont tu sois capable. C'est toujours ça. Bien qu'on puisse se dire aussi qu'il vaudrait mieux "rien" plutôt que "ça".
Quant à Castorp, il t'explose en deux phrases, tellement il est plus subtil que toi, fasciste ou pas ne changeant rien à l'affaire hélas.
Bien. Arrête de pétouiller, tu vas te déchirer un tendon.
Le truc, c'est que t'as beau te croire plus intelligent qu'un abyssin, par exemple, t'as exactement le même plafond et les mêmes bornes, au sens kantien, en matière de vannes à la Patrick Bosso. Que tu y sois ou pas techniquement étant parfaitement accessoire: c'est une question de famille spirituelle. Et c'est le maximum d'humour dont tu sois capable. C'est toujours ça. Bien qu'on puisse se dire aussi qu'il vaudrait mieux "rien" plutôt que "ça".
Quant à Castorp, il t'explose en deux phrases, tellement il est plus subtil que toi, fasciste ou pas ne changeant rien à l'affaire hélas.
Bien. Arrête de pétouiller, tu vas te déchirer un tendon.
Dernière édition par syndic des dockers le Ven 10 Juil 2015 - 0:04, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
"Rivalité mimétique aaaaah......"
Dernière édition par Baldanders le Lun 6 Mar 2017 - 15:26, édité 3 fois
Baldanders- Messages : 351
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Dernière édition par Baldanders le Ven 16 Sep 2016 - 20:25, édité 3 fois
Baldanders- Messages : 351
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Ton absence effarante de réflexivité, c'est la seule chose qui chez toi déclenche un phénomène qu'on appelle le rire.
Allez, retiens toi, tu peux le faire. Si.
Allez, retiens toi, tu peux le faire. Si.
Invité- Invité
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Dernière édition par Baldanders le Lun 6 Mar 2017 - 15:27, édité 5 fois
Baldanders- Messages : 351
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
J'ai vu plus de godards que toi, c'est encore une évidence saillante à la simple lecture de tes pets vasectomiques quand tu en causes, et pour ce que tu parviens à en dire, tu aurais tout aussi bien pu t'enfiler l'intégrale de Max Pecas, ça n'aurait rien changé au fait que tu les as regardés avec ton derrière. Note, c'est guère étonnant, considérant ton admiration pour Carax.
Silence, maintenant. Vamos, tu me lasses.
Silence, maintenant. Vamos, tu me lasses.
Dernière édition par syndic des dockers le Ven 10 Juil 2015 - 0:20, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
"J'ai vu plus de godards que toiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii"
Baldanders- Messages : 351
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Castorp, malgré sa mauvaise foi et une impossibilité quasi-naturelle à comprendre en quoi consiste la philosophie, a au moins pour lui une culture générale qui, c'est tellement évident, elle aussi explose ton petit pré-carré franchouillard d'infiniment loin. Que tu sois persuadé du contraire et que mon avis t'indiffère ne changent rien à l'affaire non plus.
Au lit, bonhommet, espoir de la gauche réunifiée, guédiguian des maisons des jeunes et de la culture..
Au lit, bonhommet, espoir de la gauche réunifiée, guédiguian des maisons des jeunes et de la culture..
Dernière édition par syndic des dockers le Ven 10 Juil 2015 - 0:22, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Dernière édition par Baldanders le Lun 6 Mar 2017 - 15:28, édité 3 fois
Baldanders- Messages : 351
Re: Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout.”
Exactly.
Je me contente désormais de quelques mots, comme toi. Et nul besoin d'avoir à le démontrer, comme toi, le miroir sans tain.
La différence, c'est que moi, j'ai développé chaque fois que j'en ai eu l'occasion, alors que toi, ben... non.
Le vrai est résultat, comme disait Hegel. Avec toi, aucun souci: y a jamais aucun résultat, et rien n'a jamais commencé. Ce qui règle amplement la question, et finalement est plutôt reposant, qu'on se lève avec les poules ou qu'on se couche avec la chouette de minerve. Bise et bye.
Je me contente désormais de quelques mots, comme toi. Et nul besoin d'avoir à le démontrer, comme toi, le miroir sans tain.
La différence, c'est que moi, j'ai développé chaque fois que j'en ai eu l'occasion, alors que toi, ben... non.
Le vrai est résultat, comme disait Hegel. Avec toi, aucun souci: y a jamais aucun résultat, et rien n'a jamais commencé. Ce qui règle amplement la question, et finalement est plutôt reposant, qu'on se lève avec les poules ou qu'on se couche avec la chouette de minerve. Bise et bye.
Invité- Invité
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