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Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films

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Message par Invité Jeu 30 Aoû 2012 - 17:16

le flingue qui vise le spectateur s'était fait il y a longtemps au cinéma.

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Message par Invité Jeu 30 Aoû 2012 - 18:21

slimfast a écrit:le flingue qui vise le spectateur s'était fait il y a longtemps au cinéma.
je dis pas le contraire, mais là c'est du sérieux, c'est pas un petit effet de montage comme chez n'importe qui...
ah-ah-ah

saluti.

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Message par Eyquem Jeu 30 Aoû 2012 - 18:40

slimfast a écrit:le flingue qui vise le spectateur s'était fait il y a longtemps au cinéma.
C'est même quasi une de ses origines.
Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films - Page 37 Robbery

"The Great Train Robbery is a 1903 Western film written, produced, and directed by Edwin S. Porter. Twelve minutes long, it is considered a milestone in film making, expanding on Porter's previous work Life of an American Fireman. The film used a number of innovative techniques including cross cutting, double exposure composite editing, camera movement and on location shooting. Cross-cuts were a new, sophisticated editing technique. Some prints were also hand colored in certain scenes."
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Message par Invité Jeu 30 Aoû 2012 - 18:56

http://en.wikipedia.org/wiki/File:Fusil_de_Marey_p1040353.jpg

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Message par Invité Jeu 30 Aoû 2012 - 19:05

parfait tout ça, mais je crois que c'est beaucoup plus important chez Peckinpah. Smile

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Message par Invité Jeu 30 Aoû 2012 - 19:12

ça fait penser surtout à un geste de masturbation, qui prolonge étrangement le coup de pelle que se prend sa femme dans le caveau.
D'ailleurs il meurt lui-même de la manière que les prostituées à la fin de the Wild Bunch. Elles ont la même façon de rester droites après avoir offert leur corps aux balles.

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Message par Invité Jeu 30 Aoû 2012 - 20:37

Je suppose que tu les as déjà, B., mais just in case, pour ta collec de panpans vintage:


Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films - Page 37 La_cib10

Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films - Page 37 Johnnygothisgun

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Message par Invité Jeu 30 Aoû 2012 - 21:58

j'ai pas de collection!, et encore moins de panpans vintage... Je connais pas ces deux que tu cites.

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Message par Invité Jeu 30 Aoû 2012 - 22:26

je ne sais pas si je peux poster ça ici, mais j'ai mes grands-parents maternels dans un film de Jean-Paul Le Chanois, Au coeur de l'orage. Un récit documentaire bien trafiqué qui se passe dans le maquis du Vercors. Les premières secondes de la vidéo, sur la droite, ce sont mes grands-parents. Et dans le landau, mon oncle. lol


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Message par Invité Ven 31 Aoû 2012 - 0:40

breaker a écrit:Je connais pas ces deux que tu cites.

C'est pourtant des classiques de la cinéphilie basée (quand on s'intéresse un chouïa au cinoche américain fin 60s début 70s).

Le premier est une série B insolite, un peu "méta-mise en abyme" sur les bords, qui dépote (un des premiers Bogdanovitch, bon cinéaste, le mec des entretiens avec Orson Welles). La première partie du film a lieu sur une autoroute où, depuis une citerne, un tueur froid et méthodique abat sans raison des automobilistes à la lunette ; la seconde partie montre le même faire des cartons depuis un trou dans un écran de drive-in, sur lequel et devant lequel Boris Karloff fait ses dernières apparitions. Samuel Fuller a participé au script (non crédité).

Le second est "culte", et certainement un des plus cités au monde quand on parle de pamphlets anti-guerre. Monologue intérieur d'un mec qui n'est plus qu'un bout de chair paralysée et à vif, démembré par un obus de la guerre 14. Aveugle, sourd, muet, défiguré, empaqueté comme une momie, tout le monde est persuadé qu'il n'est plus qu'un pur légume.

Recommandations du médecin: "En cas de mouvements violents et répétés, ils doivent être traités comme des spasmes de réflexe musculaire, donc pas de sédatifs… Le cerveau a subi des dégâts massifs et irréparables. En cas de doute, je ne l'aurais pas laissé vivre… La seule raison de prolonger son existence est d'enseigner à soigner les autres… Il est impossible à un être décervelé d'éprouver douleur, plaisir, de rêver, d'avoir un souvenir ou une pensée. Il n'aura ni sentiment, ni pensée, et ce jusqu'à sa mort..."

Pourtant Joe est conscient, se souvient, rêve, souffre, et sa peau est sensible au contact. Pendant ses (longs) loisirs, il essaie (difficilement) de communiquer avec une infirmière...
Unique film, d'après son propre roman, de Dalton Trumbo (un des scénaristes les plus noirlistés de la commission McCarthy et l'un des rares à avoir refusé de dénoncer ses collègues), et salué par Renoir et Bunuel. Trumbo avait voulu que ce dernier, dont il était l'ami, réalise ce film, mais Bunuel l'encouragea à le réaliser lui-même, tout en collaborant pour certains plans.


Dernière édition par Baudouin II de Barvaux le Ven 31 Aoû 2012 - 18:21, édité 3 fois

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Message par gertrud04 Ven 31 Aoû 2012 - 6:51

Dr. Apfelgluck a écrit:

Pris enfin le temps de le regarder. Document vraiment précieux qui, ce qui m'a évidemment le plus intéressé, montre le travail méticuleux des artisans d'Hollywood pour donner vie aux cauchemars de Giger. Où on apprend entre autre que pour l'oeuf d'où sort le face-hugger, Giger avait pensé au départ à une fente à son sommet s'ouvrant des deux cotés. Mais la production trouvait ça trop sexuellement connoté et de nature à choquer les pays catholiques. Donc Giger a opté pour une ouverture en forme de croix ce qui, comme il le dit malicieusement dans le doc, "satisfied both catholic countries and my own sense of forms".
Il me semble qu'on voit des extraits de ce doc dans les bonus du DVD d'Alien. En tout cas merci Docteur A.
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Message par gertrud04 Ven 31 Aoû 2012 - 7:13

Baudouin II de Barvaux a écrit:
breaker a écrit:Je connais pas ces deux que tu cites.

Bogdanovitch, bon cinéaste,

Ah oui alors. Beaucoup aimé des tas de films de ce cinéaste : "La cible" bien sûr, très original avec une première partie glacante et une fin assez délirante. "La dernière séance" et sa suite 20 ans après "Texasville". La comédie "La barbe à papa" avec la famille O'neal. "Jack le magnifique" découvert récemment sur TCM. Et puis aussi je l'avoue, guilty pleasure, son mélo larmoyant "Mask" (ou la version californienne d'"Elephant man").

On dit aussi beacoup de bien de "They all laughed" que je n'ai pas vu.
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Message par Invité Ven 31 Aoû 2012 - 11:37

allez Harry, encore un effort pour bien pourrir l'Amérique !

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Message par Invité Ven 31 Aoû 2012 - 17:12

gertrud04 a écrit:[...] son mélo larmoyant "Mask" (ou la version californienne d'"Elephant man").

Salut Gertrud. Oui, j'avoue également sans honte avoir été ému par ce film et tchoulé comme une madeleine. Wink

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Message par Invité Sam 1 Sep 2012 - 16:07

Vu zoolander.


Une sorte d'humour presque novateur, que je qualifierai de "low-fi", ou de "basse définition": il s'agit d'aligner des séquences et des répliques tellement pas drôles (ou démentant leur drôlerie par soustraction) qu'elles en deviennent drôles au 340è degré, par addition.

Donc je me suis bien poilé.


Allez, la meilleure séquence (et de loin), non exemplative de ce que j'essaie d'expliquer plus haut):





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Message par Invité Sam 1 Sep 2012 - 16:41

Synchro avec le post de Borges sur Zarathoustra. Very Happy


(en plus, hier-nuit après ma séance, je parcours le topic sur TTOL et je découvre que Zoolander est un des films préférés de Malick...)

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Message par Invité Lun 10 Sep 2012 - 14:34

Tony le Mort a écrit:
Tony le Mort a écrit:Ha ben il semble connu connu et important en Roumanie y compris politiquement (je ne suis pas sûr de l'accent dans le nom). Un ami m'a dit "A l'époque de Ceaucescu, tout le monde comprenait de quoi il parlait, sauf les cons qui le produisaient.".


Ce en quoi il a eu plus de chance que mettons Věra Chytilová en Tchécoslovaquie qui n'a pu faire qu'un seul film, plus poétique, mais aussi plus transparent, avant d'avoir sa carrière ratiboisée.


Tiens Daney a aussi écrit sur ce film un an avant la répression de Prague. Il l'apprécie pour ses qualités techniques (la scène du train en LSD...), mais affirme que puisque les actrices ont l'air évaporées et stupides, le discours sur la liberté tenu par le film ne peut être que partiel, et que la réalisatrice finit par ennoblir l'ordre auquel elle s'oppose. Il en appelle au "retour des repères".

Cette manière "gauche intellectuelle française" (souvent à côté de la plaque du point de vue politique) d’opposer de façon prescriptrice à tout film réel (surtout quand il ne vient pas des USA) un autre film possible, foncièrement plus intègre ou efficace politiquement, conforme à la compréhension totale du spectateur, à son savoir etc...

Que le film que fantasme ou extrapole le spectateur soit forcément mieux, plus abouti, plus lucide que le film réel devient un argument pour dévaluer ce dernier. Mais cette perfection de l'interprétation n'est le fruit d'aucun travail, tandis que la vérité partielle de l'autre, oui.

Il n'a pas remarqué qu'elles se comportent plus comme des robots ou golem perdus que comme des êtres humains, et que c'est cela qui leur permet de conserver une sexualité .

En même temps j'aime bien Daney, c'est sans doute un des seuls à avoir parlé du film.


Dernière édition par Tony le Mort le Lun 10 Sep 2012 - 16:48, édité 4 fois

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Message par Invité Lun 10 Sep 2012 - 15:06

...pour que les filles arrivent à se déplacer comme elles le font (notamment dans la scène du cabaret, génial) il leur fallu livrer un énorme travail qui n'a rien à voir avec la stupidité.
Certes, le film fait sans doute intervenir de vrais vieux beaux, de vrais consommateurs de bar désuets, qui n'étaient peut-être pas au courant de la vision du film, dont l'incompréhension est elle-même pathétique.
Mais en face de la part du réel que l'image n'explicite pas, Daney semble confondre la noblesse et le refus de vouer à la mort.

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Message par Dr. Apfelgluck Mar 11 Sep 2012 - 8:44

"The Tall T" de Boetticher, où les 5 façons de réaliser le rêve américains.

Randolph Scott : Un modeste paysan. Un petite propriété (que l'on ne voit jamais d'ailleurs), pas de bétail mais juste des chèvre. Modeste, mais avec des rêves. Il travaille dur pour y arriver. Petit à petit, il espère bien faire sa place parmi les éleveurs. Il n'accepte d'ailleurs jamais la proposition de travail de son voisin grand propriétaire terrain. C'est peut être bien payer, mais ce qu'il veut avant tout c'est être indépendant. Avoir son troupeau à lui, tout cela (même s'il n'arrive pas à dompter le taureau). On sent également son idéalisme : idéal du couple et de la terre. La terre sans barrières : quand un de ses chevaux du propriétaire terrain s'échappe, Scott essaie de le retenir en l'attachant avec une corde à une barrière d'enclos. Cette derniere cède.

John Hubbard : Un comptable, petit fonctionnaire minable. Pour monter plus vite les échelons, et par la même occasion devenir rapidement riche, il a marié la fille unique d'un propriétaire d'une mine de cuivre. Quand ce dernier tirera sa révérence, il espère toucher une part du riche patrimoine familiale. Évidemment, il va sans dire qu'il en a rien à cirer de son épouse (qu'il n'hésitera pas à vendre aux truands, en échange de sa vie).

Arthur Hunnicutt : Un conducteur de diligence. Il n'aime pas trop le travail et est constamment en retard. Sa paye, il la dépense dans le whisky au Saloon. Il n'aime pas qu'on lui donne des ordres, la hiérarchie ce n'est pas trop son fort. En plus il est déjà âgé ; 20 ans de service pour la compagnie. Tout est derrière lui, il n'a plus vraiment rien à attendre.

Fred Sherman : Il s'occupe d'un relais de diligences. Le degré zéro de l'ambition du point de vue de l’Amérique. Il vit au milieu du désert, dans la solitude la plus complète. Loin de la ville, de la communauté tout cela. Veuf, il prie juste pour que son fils ne finisse pas comme lui. Il subit, ce n'est pas un battant. Le fait qu'il soit aussi dans les diligences l'associe à Hunnicutt, cité plus haut. Il finira d'ailleurs dans un puits avec son fils et Hunnicutt. Dans le trou.

Richard Boone : Un truand. Il est l'alter égo "mauvais" de Scott. Lui aussi rêve de sa petite propriété, de sa petite indépendance. Par contre travailler pour y arriver, ce n'est pas son fort. Cela va trop lentement. Raison pour laquelle il préfère voler. Il voit dans le meurtre, le vol et le kidnapping une sorte de fast-food du American Way Of Life. Par contre, il est très certainement homosexuel (le dégout que lui inspire les discussions sur les femmes, le fait qu'il soit toujours assit sur un tronc d'arbre phallique, sa relation avec ses acolytes).

Il va sans dire que, sur les 5, il n'y a que Scott qui survit. Lui a choisit "la bonne et saine voie". Couple sain également : il tombe amoureux de la veuve d'Hubbard pour elle et non pour son argent.
Les dernières paroles du film, alors que Scott vient de tuer son maudit alter-égo : "Venez, la journée s'annonce belle". Le nouveau couple part enlacé en direction des montagnes milénnaires sous un ciel bleu sans nuages. The End.


Dernière édition par Dr. Apfelgluck le Mar 11 Sep 2012 - 19:17, édité 1 fois
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Message par Invité Mar 11 Sep 2012 - 16:56

C'est Manchette qui disait que sauf exception (Scarface de Hawks malgré tout, peut être d'une autre façon Jules Dassin, Aldrich et Fuller...) le cinéma américain classique vendait aux gens un idéal de bonheur dont ils avaient déjà fait leur deuil (ici les méchants qui sont dialectiquement surpassés sont ceux qui avouent franchement ce deuil si j'ai bien compris).

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Message par adeline Mer 12 Sep 2012 - 20:23

Sorry DB, j'ai divisé le sujet pour créer un topic sur le film pendant que tu écrivais… Ça t'embête de faire un copier-coller ?

Pour les films dont on parle en premier lieu dans ce topic, et dont on veux discuter plus avant, c'est mieux de créer un topic (pour retrouver la discussion après, pour les visiteurs du forum qui viennent irrégulièrement) Wink

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Message par DB Jeu 13 Sep 2012 - 6:03

no souçaïes !
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Message par adeline Jeu 13 Sep 2012 - 6:13

tu fais le copier-coller de ton message dans le topic ad hoc ?:

https://spectresducinema.1fr1.net/t1303-le-secret-p-laugier-2012#32535

Ici on ne peut plus comprendre à quoi il répond. Je le ferais bien, mais alors on aurait l'impression que c'est moi qui réponds à Erwan, ça rendrait la discussion compliquée …

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Message par DB Jeu 13 Sep 2012 - 6:25

adeline a écrit:tu fais le copier-coller de ton message dans le topic ad hoc ?:

https://spectresducinema.1fr1.net/t1303-le-secret-p-laugier-2012#32535

Ici on ne peut plus comprendre à quoi il répond. Je le ferais bien, mais alors on aurait l'impression que c'est moi qui réponds à Erwan, ça rendrait la discussion compliquée …

oui c'est bon c'est fait Wink
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Message par Invité Dim 16 Sep 2012 - 1:49

Après rec1 et rec2, Jaume Balaguero confirme qu'il n'est point un manche, même un des réal. les plus passionnants à suivre de la nouvelle génération hispanique.

"Malveillance". On n'en a pas causé, il me semble. Je n'en dirai donc presque rien, pour ne pas gâcher la séance de qui ne l'aurait pas encore vu. Allez, juste [spoiler] que ça se passe encore dans un immeuble, et que c'est pas le même genre d'horreur, si je puis dire. Luis Tosar, acteur dont je ne me souviens pas avoir vu d'autres prestations, ou alors il est ici méconnaissable (paraît qu'on le voit dans Miami-Vice), incarne un salaud qui restera dans les annales de la saloperie, à mon avis. ça a fort bien titillé ma fibre paranoïaque, et je pense que mes voisins du dessus me pourrissent la vie (ce que je savais déjà, donc juste une confirmation).


Vu également "Tout est pardonné", de Mia Hansen-Love, dont je ne savais rien également. Quelque chose de fort passe dans ce film, qui nous, enfin me, laisse bouleversé. J'ai bien tchoulé, donc c'était bien.

A force de me dire que l'acteur principal ressemblait trop à Gérard Blain, j'ai fini par consulter la pochette à mi-parcours: c'est son fils. Ben merde alors, ça s'appelle le don d’observation.




Dernière édition par Baudouin II de Barvaux le Dim 16 Sep 2012 - 1:58, édité 1 fois

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