Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
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Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Qu'est-ce que c'est que cet argument ridicule? lol.
Genre: "la critique est aisée, l'art est difficile"?
Claude Zidi aussi fait des films. ça veut dire quoi, ça?
Genre: "la critique est aisée, l'art est difficile"?
Claude Zidi aussi fait des films. ça veut dire quoi, ça?
Dernière édition par jerzy P le Dim 29 Avr 2012 - 20:23, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
et alors il n'a pas le droit ? il n'a pas la bonne carte ?
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Où ai-je fait de l'ad-hominem? Tu confuses, une fois de plus: c'est toi, pas moi, qui plus haut d'abord m'expliques que c'est moi qui suis à plaindre, ensuite recours à un argument ad hominem en m'expliquant, comme si ça changeait quelque chose à l'objet filmique, que D. s'était inspiré de son ex-copine.
Essaie un peu d'aligner deux propos cohérents d'affilée, pour changer.
Le droit, la bonne carte...
?
je comprends pas de quoi tu causes, vraiment. Je dis que ces films sont parfaitement insignifiants et mêmes mauvais, et je peux rigoureusement étayer cette critique si on y tient absolument.
Après, si c'est pour en revenir à l'éternel "les goûts et les couleurs, ça se discute pas", c'est pas la peine de discuter, en effet.
Tu trouves bien les films de Kaurismaki nuls à chier, moches et indignes de tout.
Essaie un peu d'aligner deux propos cohérents d'affilée, pour changer.
Le droit, la bonne carte...
?
je comprends pas de quoi tu causes, vraiment. Je dis que ces films sont parfaitement insignifiants et mêmes mauvais, et je peux rigoureusement étayer cette critique si on y tient absolument.
Après, si c'est pour en revenir à l'éternel "les goûts et les couleurs, ça se discute pas", c'est pas la peine de discuter, en effet.
Tu trouves bien les films de Kaurismaki nuls à chier, moches et indignes de tout.
Dernière édition par jerzy P le Dim 29 Avr 2012 - 21:31, édité 4 fois
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
enfin si bien critiquer n'est pas à la portée de tout le monde je suppose que celui qui fait un film doit être un peu épinglé par un doute plus grand.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
mais j'ai été coupé et je n'ai pas réécrit car le rythme des messages était rapide !
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
que tu sois plus cinéphile que moi est sans doute exact. mais rappelle toi la dernière fois où tu t'es mis à la place de l'autre.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
slimfast a écrit:enfin si bien critiquer n'est pas à la portée de tout le monde je suppose que celui qui fait un film doit être un peu épinglé par un doute plus grand.
Cette phrase ne veut rien dire.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
slimfast a écrit:que tu sois plus cinéphile que moi est sans doute exact. mais rappelle toi la dernière fois où tu t'es mis à la place de l'autre.
La place de l'autre, c'est-à-dire?
Justement, quand un film est mauvais, selon moi, on ne peut s'y mettre à la place d'un autre, quel qu'il soit, parce que cette place de l'autre n'y existe tout simplement pas.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
ça n'est pas clair ? l'artiste et le critique ne risquent pas la même chose.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Justement, quand un film est mauvais, selon moi, on ne peut s'y mettre à
la place d'un autre, quel qu'il soit, parce que cette place de l'autre
n'y existe tout simplement pas.
c'est sévère.
la place d'un autre, quel qu'il soit, parce que cette place de l'autre
n'y existe tout simplement pas.
c'est sévère.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
J'ajouterai, pour conclure ce charmant dialogue de sourds, que je suis un de ceux qui ici apprécie le plus le cinéma français. Et je ne défends aucun genre spécifique de cinéma, ni "de genre", ni quoi que ce soit d'autre. Pour rappel.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Bonne nuit, fiston.
Et je te rappelle, à toutes fins (in)utiles, que récemment encore, tu vilipendais "un conte de Noël" en le traitant à peu près de grosse merde. Curieusement, toi, t'as le droit de dire du mal d'un film (de Desplechin ou autre) que t'aimes pas. Mais si un autre le fait, il a pas ce droit.
T'as décidément la mémoire d'un moineau.
Et relis toi plus haut: y a pas une seule phrase qui fasse sens. Et on dit que je suis un mec confus...
Et comme dab: pour ce que t'as à en dire, des films, en général, tu pourrais tout aussi bien te taire. On comprend pourquoi, puisque tu voues ce que tu nommes "intellectualisme" (ce qui ne veut strictement rien dire) aux gémonies. Alors tais toi, bon sang de bon souère.
Nous ne vieillirons pas ensemble, comme disait Maurice
Et je te rappelle, à toutes fins (in)utiles, que récemment encore, tu vilipendais "un conte de Noël" en le traitant à peu près de grosse merde. Curieusement, toi, t'as le droit de dire du mal d'un film (de Desplechin ou autre) que t'aimes pas. Mais si un autre le fait, il a pas ce droit.
T'as décidément la mémoire d'un moineau.
Et relis toi plus haut: y a pas une seule phrase qui fasse sens. Et on dit que je suis un mec confus...
Et comme dab: pour ce que t'as à en dire, des films, en général, tu pourrais tout aussi bien te taire. On comprend pourquoi, puisque tu voues ce que tu nommes "intellectualisme" (ce qui ne veut strictement rien dire) aux gémonies. Alors tais toi, bon sang de bon souère.
Nous ne vieillirons pas ensemble, comme disait Maurice
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
l'autre jour je suis passé devant un panneau, c'était écrit je te cule jean sibelius.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Ca été dit, mais je le redis : impressionnant (ne serait-ce que pour les acteurs).
Eyquem- Messages : 3126
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
les séries, les listes : tu es cerné Eyquem !
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Eyquem a écrit:
Ca été dit, mais je le redis : impressionnant (ne serait-ce que pour les acteurs).
Surfait, idéologiquement douteux, comme tout ce que fait HBO; de la télé chic et choc, pour employer une expression idiote. Entre nous, je vois pas ce que ça a de smart, d'ambitieux, ou de quoi que ce soit qui lui voudrait mon intérêt ; un truc de journaliste prétentieux qui va chercher ses références dans le 19ème siècle...
Borges- Messages : 6044
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
HBO a quand même "Elephant" dans ses cartons.
Eyquem- Messages : 3126
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Brèves:
Sogni d'oro (Moretti): ça n'a pas la force comique des deux premiers, c'est parfois plus laborieux, moins intéressant, mais on se marre bien quand-même. Le mélange, dans la dernière séquence, de "jeux sans frontière" et de télé berlusconienne (en plein essort), est à tomber, énormissime.
Harry Potter et les reliques de la mort (Yates): toujours aussi mal interprété par les désormais post-ados, qui récitent des dialogues parfaitement idiots, signifiant des dramaturgies affectives gnian-gnian (le passage à l'âge adulte, la gravité des choses, l'amour c'est bien difficile, la dark side des chaûses, patati patata). Les adultes tirent leur épingle du jeu. Encore plus confus dans sa mise en scène que les précédents, notamment par ses nombreux raccords ratés, incompréhensibles. La deuxième partie est plus captivante, mais ça reste très moyen, calibré, standardisé. Un des moins bons de la série, je trouve.
Vagues invisibles (Ratanaruang): quelque chose passe dans les séquences sur le bateau, une sorte de comique froid au bord du fantastique, qui fait un peu penser à du Kafka, parfois à du Beckett. Belles photographie et mise en scène. Superbe travail sur la "géographie". Mais l'ensemble se révèle un peu vain, notamment pour cette intrigue crimino-mafieuse dont on se fout pas mal. Ratanaruang aurait gagné à se passer de cet argument, pour oser plus franchement le "vide".
Sogni d'oro (Moretti): ça n'a pas la force comique des deux premiers, c'est parfois plus laborieux, moins intéressant, mais on se marre bien quand-même. Le mélange, dans la dernière séquence, de "jeux sans frontière" et de télé berlusconienne (en plein essort), est à tomber, énormissime.
Harry Potter et les reliques de la mort (Yates): toujours aussi mal interprété par les désormais post-ados, qui récitent des dialogues parfaitement idiots, signifiant des dramaturgies affectives gnian-gnian (le passage à l'âge adulte, la gravité des choses, l'amour c'est bien difficile, la dark side des chaûses, patati patata). Les adultes tirent leur épingle du jeu. Encore plus confus dans sa mise en scène que les précédents, notamment par ses nombreux raccords ratés, incompréhensibles. La deuxième partie est plus captivante, mais ça reste très moyen, calibré, standardisé. Un des moins bons de la série, je trouve.
Vagues invisibles (Ratanaruang): quelque chose passe dans les séquences sur le bateau, une sorte de comique froid au bord du fantastique, qui fait un peu penser à du Kafka, parfois à du Beckett. Belles photographie et mise en scène. Superbe travail sur la "géographie". Mais l'ensemble se révèle un peu vain, notamment pour cette intrigue crimino-mafieuse dont on se fout pas mal. Ratanaruang aurait gagné à se passer de cet argument, pour oser plus franchement le "vide".
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
jerzy P a écrit:Brèves:
[i]Vagues invisibles (Ratanaruang): quelque chose passe dans les séquences sur le bateau, une sorte de comique froid au bord du fantastique, qui fait un peu penser à du Kafka, parfois à du Beckett. Belles photographie et mise en scène. Superbe travail sur la "géographie". Mais l'ensemble se révèle un peu vain, notamment pour cette intrigue crimino-mafieuse dont on se fout pas mal. Ratanaruang aurait gagné à se passer de cet argument, pour oser plus franchement le "vide".
Hello Jerzy,
je ne sais pas si tu l'as vu, si tu l'aimes mais son mélo Monrak-Transistor, moi, me file la patate chaque fois que je le vois.
gertrud04- Messages : 241
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
"Videogrammes d'une révolution" de Farocki/Ujica.
En ligne, pendant 7 jours :
http://videos.arte.tv/fr/videos/videogrammes_d_une_revolution-6616258.html
J'avais trouvé ça incroyablement prenant.
En ligne, pendant 7 jours :
http://videos.arte.tv/fr/videos/videogrammes_d_une_revolution-6616258.html
J'avais trouvé ça incroyablement prenant.
Eyquem- Messages : 3126
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
http://www.seuil.com/livre-9782021079081.htm
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
En retard, pardon Gertrud.
Non, c'est le premier film de ce réal que je découvre. Un réal. fort intéressant, donc. J'irai écumer les bacs de médiathèque pour trouver d'autres films de lui.
Non, c'est le premier film de ce réal que je découvre. Un réal. fort intéressant, donc. J'irai écumer les bacs de médiathèque pour trouver d'autres films de lui.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
__
Dernière édition par breaker le Sam 28 Juil 2012 - 16:17, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Et alors? Qu'en déduis-tu?
Tu te prends pour un voyou, peut-être?
En plus d'un powète fou ventriloqué. Je m'en vais en réglant leur compte à tous les blaireaux, les quenelles marmiteuses, les salauds, les méprisants, les piétineurs de fan de Stallone-qui-aime-les-prolétaires, enfin toutes ces ordures à col blanc qui ne balaient pas devant leur porte, ouaip.
Martyr rancuneux, comme toujours et comme dab, vis à vis de ces ptits instits surveilleurs et contrôleurs dont tu as tant honte (pour reprendre une formule que tu chéris) d'avoir croisé leur route insane. Et que tu poursuis partout comme un furoncle au postéral, caupin.
Et tu reviens illico: pour régler leur compte à tous les blaireaux, les quenelles marmiteuses, etc etc etc. Par où t'es rentré, on t'a pas vu sortir? comme dirait J. Lewis dans le chef d'oeuvre de Philippe Clair.
Tu sais, la mémoire, même à court terme, c'est un phénomène relativement courant (sauf chez les poissons rouges et les marques de margarine sans sel). Qu'il faut prendre soin de distinguer de la rancune, qui est à plus long terme.
Manifestement, t'as un grand cœur. Qui contient bcp de générosité, et de mansuétude. Envers toi-même.
Jusque-z-à quand que tu t'en ailles, pis reviennes, puis repartes-viennes édifier, "ne sachant trop pourquoi, pas seulement Grand-père et Grand-mère mais eux tous, profilés sur le fond du vert luxuriant de l'été et l'embrasement royal de l'automne et la ruine de l'hiver, avant que ne fleurisse à nouveau le printemps, salis maintenant, un peu noircis par le temps et le climat et l'endurance mais toujours sereins, impénétrables, lointains, le regard vide, non comme des sentinelles, non comme s'ils défendaient de leurs énormes et monolithiques poids et masse les vivants contre les morts, mais plutôt les morts contre les vivants; protégeant au contraire les ossements vides et pulvérisés, la poussière inoffensive et sans défense contre l'angoisse et la douleur et l'inhumanité de la race humaine".
Y a donc aussi "voyou" et "voyou", comme il y a "mauvais chanteur de harderoque" et "bon chanteur de harderoque". Le bon chanteur de harderoque, y prend sa guitare et y crache, alors que le mauvais chanteur de harderoque, y prend sa guitare et y... crache.
Tes crachats, voyou fort tenté par la flicaillerie, j'en ai eu bien l'honneur, et ça a éteint en trois secondes - définitivement - le respect, ce privilège royal, qui t'est dû. En dépit de toutes les tentatives d'explications pour lever tes contresens permanents et multiples, tes projections foireuses, tes menaces constantes et larvées, protégés par l'invocation d'un "capital symbolique" dont les ordures se servent pour te piétiner. Car manifestement, c'est une de tes spécialités, ce numéro de victime expiatoire justicière sur le retour.
Quand les autres font l'effort de rédiger des commentaires, des explications, des arguments, ou quand ils ont une passion pour quelque chose (du moins qui ne ressemble pas immédiatement à une icone prolo-sacrificielle du genre rocky-boxeur courageux se battant avec ses petits poings virils), tu t'assieds dessus et tu leur défèques allègrement ton mépris sur la tête. En les accusant d'autoritarisme. Toi, par contre, cette mansuétude envers toi-même et ton sens consommé de la rébellion voyoucrate te poussent à te trouver fort bien formidable et serviable de nous distribuer quelques liens ou montages édifiants, qui feraient un malheur pour une réforme drastique de la pédagogie dans ce que vous, les frenchies, nommez le mammouth. Sans jamais t'infliger cet effort minimal de "pédagogisme" que tu réclames des autres (si paresseux), avec autorité, comme un service qui t'est dû.
Je dois dire que tes distributions de crottes de mammouth constituent un apport non négligeable à l'émancipation des gogues confinées. Qui, comme chacun le sait, sont fermées de l'intérieur.
Voilà. De la même façon que tu t'accordes avec toute la dignité du voyou (qui dérange nos bonnes consciences repues de petits blancs) de dire, une nième fois, ce que tu as "sur le cœur", tout en t'accordant plénipotentiairement le "blanc seing" de l'amnésie instantanée, souffre, en fonction d'un axiome d'égalité non négociable, que je te dise moi aussi ce que j'ai "sur le cœur".
Au prochain retour éclair, ne te sens pas tenu d’étrenner ton nouveau nick par un message inaugural du genre "je mets mon cœur sur la table":
Tu te prends pour un voyou, peut-être?
t'excite le petit voyou qui est en moi
En plus d'un powète fou ventriloqué. Je m'en vais en réglant leur compte à tous les blaireaux, les quenelles marmiteuses, les salauds, les méprisants, les piétineurs de fan de Stallone-qui-aime-les-prolétaires, enfin toutes ces ordures à col blanc qui ne balaient pas devant leur porte, ouaip.
Martyr rancuneux, comme toujours et comme dab, vis à vis de ces ptits instits surveilleurs et contrôleurs dont tu as tant honte (pour reprendre une formule que tu chéris) d'avoir croisé leur route insane. Et que tu poursuis partout comme un furoncle au postéral, caupin.
Et tu reviens illico: pour régler leur compte à tous les blaireaux, les quenelles marmiteuses, etc etc etc. Par où t'es rentré, on t'a pas vu sortir? comme dirait J. Lewis dans le chef d'oeuvre de Philippe Clair.
Tu sais, la mémoire, même à court terme, c'est un phénomène relativement courant (sauf chez les poissons rouges et les marques de margarine sans sel). Qu'il faut prendre soin de distinguer de la rancune, qui est à plus long terme.
Je préfère être chiant ici que d'aller piétiner le mec qui a écrit le bouquin sur Stallone (ça te gêne pas ce topic, enfant de Spectres?) [de quoi tu causes? T'as pas eu le temps de bien expliquer, le piétineur piétiné. C'est quand-même pas again, ad nauseam, ce numéro de cirque - répétitif - consistant à assigner ledit biographe cinéphile à la position de l'humble prolo piétiné par l'infâme intello élitiste, et à rendre
justice en son nom, au nom de tous les piétinés de la terre, dans une nième identification fantasmatique... ]
balaye la poutre qui ya devant chez toi, ouais.
[…]
ce bouquin sur Stallone à ce point d'exigence cinéphilique est complètement inédit. [ah tiens, explique-moi ça, l'exigeant inédit]
sinon, y'a pas de combat. Vous partez bien en couille.
[…]
Y'a pas de sabotage. C'est vous le sabotage.
Pour répondre à Woot, Eyquem(and others), votre volonté est nulle ; pire que ça, elle est hiérarchique. [ah tiens, encore. Le donneur de leçons patenté, menaçant à ses heures, nous explique son obsession de la hiérarchie]
T'es pas Jacotot, Borges. T'es Jacouille. Ou bien tes camarades du Club des amis de l'Instruction sont très paresseux.
J'ai écrit que je me sentais redevable, parfois, envers Borges, Jerzy(-caupin), notamment. Autant être redevable à une bande de quenelles marmiteuses.
Moins de rancune envers Borges, cela dit.
Bon, c'est tout, je vous dis ce que j'ai sur le coeur.
Friendly,
your friend Breaker.
Manifestement, t'as un grand cœur. Qui contient bcp de générosité, et de mansuétude. Envers toi-même.
Jusque-z-à quand que tu t'en ailles, pis reviennes, puis repartes-viennes édifier, "ne sachant trop pourquoi, pas seulement Grand-père et Grand-mère mais eux tous, profilés sur le fond du vert luxuriant de l'été et l'embrasement royal de l'automne et la ruine de l'hiver, avant que ne fleurisse à nouveau le printemps, salis maintenant, un peu noircis par le temps et le climat et l'endurance mais toujours sereins, impénétrables, lointains, le regard vide, non comme des sentinelles, non comme s'ils défendaient de leurs énormes et monolithiques poids et masse les vivants contre les morts, mais plutôt les morts contre les vivants; protégeant au contraire les ossements vides et pulvérisés, la poussière inoffensive et sans défense contre l'angoisse et la douleur et l'inhumanité de la race humaine".
Y a donc aussi "voyou" et "voyou", comme il y a "mauvais chanteur de harderoque" et "bon chanteur de harderoque". Le bon chanteur de harderoque, y prend sa guitare et y crache, alors que le mauvais chanteur de harderoque, y prend sa guitare et y... crache.
Tes crachats, voyou fort tenté par la flicaillerie, j'en ai eu bien l'honneur, et ça a éteint en trois secondes - définitivement - le respect, ce privilège royal, qui t'est dû. En dépit de toutes les tentatives d'explications pour lever tes contresens permanents et multiples, tes projections foireuses, tes menaces constantes et larvées, protégés par l'invocation d'un "capital symbolique" dont les ordures se servent pour te piétiner. Car manifestement, c'est une de tes spécialités, ce numéro de victime expiatoire justicière sur le retour.
Quand les autres font l'effort de rédiger des commentaires, des explications, des arguments, ou quand ils ont une passion pour quelque chose (du moins qui ne ressemble pas immédiatement à une icone prolo-sacrificielle du genre rocky-boxeur courageux se battant avec ses petits poings virils), tu t'assieds dessus et tu leur défèques allègrement ton mépris sur la tête. En les accusant d'autoritarisme. Toi, par contre, cette mansuétude envers toi-même et ton sens consommé de la rébellion voyoucrate te poussent à te trouver fort bien formidable et serviable de nous distribuer quelques liens ou montages édifiants, qui feraient un malheur pour une réforme drastique de la pédagogie dans ce que vous, les frenchies, nommez le mammouth. Sans jamais t'infliger cet effort minimal de "pédagogisme" que tu réclames des autres (si paresseux), avec autorité, comme un service qui t'est dû.
Je dois dire que tes distributions de crottes de mammouth constituent un apport non négligeable à l'émancipation des gogues confinées. Qui, comme chacun le sait, sont fermées de l'intérieur.
Voilà. De la même façon que tu t'accordes avec toute la dignité du voyou (qui dérange nos bonnes consciences repues de petits blancs) de dire, une nième fois, ce que tu as "sur le cœur", tout en t'accordant plénipotentiairement le "blanc seing" de l'amnésie instantanée, souffre, en fonction d'un axiome d'égalité non négociable, que je te dise moi aussi ce que j'ai "sur le cœur".
Au prochain retour éclair, ne te sens pas tenu d’étrenner ton nouveau nick par un message inaugural du genre "je mets mon cœur sur la table":
- Spoiler:
- " bonjour, mon pseudo complet: "Krishnamurti de l'Avenue du
Général de Gaulle".
Respectez-le, au nom de l'inbranlable crispation identitaire.
questions à Jerzy:
sous-merde retentissante barbouillée de cervelle qui éclabousse à hauteur de
forum, tu fais jury de L'Incroyable talent comme t'es avec ta longue traîne de
psychologisme infatué?
trou de cul séminariste des montagnes belges, t'en jettes tellement des formes
de ton humanisme au rabais on dirait que t'encules tes gosses que t'as pas eus
c'est touchant. Je peux te prendre dans mes bras et te glisser un doigt de
reconnaissance culturelle?
con de petit blanc endolori gestionnaire des solidarités culturelles,
t'enseignes tes humanités au-delà des forums? "
Invité- Invité
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