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Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films

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Message par lucane Ven 29 Juin 2012 - 14:41

slimfast a écrit:après on peut épiloguer pour savoir qui d'Hitchcock ou Welles a été la source d'inspiration du cinéma mondial.
Oui, bien sûr. Pour ma part, je ne cherche pas tant à préciser un point d'origine ou définir une matrice en opérant ces rapprochements. Ce serait même plutôt une manière de rappeler à mon cerveau, qui à l'occasion vacille, de ne jamais se satisfaire de tels récits.

slimfast a écrit:et salut lucane !
Je suis entré sans frapper, et ce bienvenue fait plaisir, merci.
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Message par adeline Ven 29 Juin 2012 - 16:50

la porte est ouverte à tous ici lucane, tu as bien fait : welcome comme te le souhaite slimfast Wink

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Message par DB Ven 29 Juin 2012 - 16:59

Eyquem a écrit:salut DB,
j'avais eu un fou rire en tombant sur ce dessin sur le forum enculture, il y a quelque temps...

Je comprends, c'est l'humour british que je prefère et puis ce quoi ce "enculture" que j'ai vu à plusieurs reprises ici ?
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Message par Eyquem Ven 29 Juin 2012 - 21:29

'soir DB,
DB a écrit:ce quoi ce "enculture" que j'ai vu à plusieurs reprises ici ?
http://enculture.free.fr/index.php
Y a quelques forumeurs Cahiers du cinéma canal historique, des Film de Culte dissidents, et des divers.
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Message par DB Sam 30 Juin 2012 - 8:58

Eyquem a écrit:'soir DB,
DB a écrit:ce quoi ce "enculture" que j'ai vu à plusieurs reprises ici ?
http://enculture.free.fr/index.php
Y a quelques forumeurs Cahiers du cinéma canal historique, des Film de Culte dissidents, et des divers.

Ah d'accord. Drôle de slogan d'ailleurs.
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Message par Invité Sam 30 Juin 2012 - 13:49

Tu as vu L'enfant du pays , de René Féret, Jerzy ?

je retrouve plus où tu parlais de tes films français.

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Message par Invité Dim 1 Juil 2012 - 14:57

They Live by Night de Nicholas Ray.
Je ne connais pas très bien Nicholas Ray, seulement "le Violent" et "Bitter Victory" qui sont des films de genre explosés de l'intérieur, attachants, mais un peu malades. J'ai toujours raté Johnny Guitar à la télé, alors (ou à cause du fait) que c'est un film qui signifie quelque chose pour mes parents.
Dans "They Live by Night", il y a aussi cette part malade et inaboutie, mais c’est un inaboutissement cohérent et conscient.
Il ya un texte de Rancière qui l’interprète à partir du fait que Cathy o’Donnell ressemble à un homme ou à un enfant, et partant de là, n’inspire l’amour à Farley Granger qu’en tant que symbole de la sagesse de l’enfance, contre son propre devenir-femme, contre l’amour qui la mêne à abandonner cette sagesse et à chuter.
C’est un peu forcé sans doute, ce n’est pas tout à fait le début, et c’est un peu vache pour O’Donnell.
Le sens profond du film est sans doute plus dans ces plans hallucinants de voitures vues d’avion, qui taillent le paysage en diagonale en fuyant, mais filmés de telle manière que le paysage reste presque immobile. Il y a à la fois une fuite, et un surplace, mais il n’est pas vécu comme un devenir individuel, il définit tout un environnement. Le bijoutier aimable et collant que Farley blesse dans la très belle scène du hold up, après tout il est aussi paumé et mystérieux que les fuyards, si pas plus.
Dans le bonus, Farley Granger dit que « Howard Hughes » (qu’il appelle « what’s his name ?), avait été à la fois choqué par le film, avait rien pigé et l’avait bloqué), jusqu’à ce qu’il soit un succès en Angleterre.
Il est vrai que 60 ans après, j’avais parfois également cette impression de ne rien comprendre au comportement des personnages. J’avais parfois envie dire à Bowie : « mais arrête toi un peu, écoute un peu Keechie ». Mais cette implication est peut-être le signe que je ne prenais pas au sérieux la liberté que recherchent les personnages. Ce qui semble séparer Nicholas Ray de ses personnages, c’est la position de cette liberté : un idéal pour le créateur, une pulsion pour ses personnages.
Ce n’est même pas la conscience du fait qu’il ne pourrait s’en tirer qu’en balançant ses complices qui pousse Bowie dans la fuite. Ce drame est présent, mais joué et résolu par les personnages périphériques. En une seule phrase les policiers disent «cette désadaptation ou cette absence d’espoir, c’est peut-être de notre faute », en étant sincèrement navré et puis ce n’est plus développé.
La part de critique sociale du film est singulièrement présente comme un drame qui précède le film lui-même, auquel il fait lui-même référence de l’extérieur, comme dans l’article de journal qui raconte un vice de procédure ayant mené à la libération d’un adolescent meurtrier, que Bowie interprète de travers : il me faut un avocat.
Mais on ne sait pas ce qu'est le film, ce qui lui donne sa force, peut-être la liberté en tant que seule une sorte de théologie négative peut la cerner, mais on n'en sait pas beaucoup.

Sinon le plan aérien où les personnages avancent vers la pompe à essence, c’est toute l’esthétique du jeu vidéo.

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Message par Invité Mar 3 Juil 2012 - 21:44

http://www.franceculture.fr/emission-l-atelier-de-la-creation-la-regle-du-jeu-selon-jean-michel-arnold-2012-07-03

des histoires savoureuses sur Rossellini

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Message par Invité Jeu 5 Juil 2012 - 20:28

j'ai vu La communion solennelle un des trois films autobiographiques sur la famille de Féret. Après il a fait des films sur des destins individuels de membres de sa famille. Je ne peux qu'aimer ce cinéma du souvenir, des sentiments etc ...

Mais surtout Dalio fait un numéro d'acteur d'une fantaisie et d'une humanité non exempte de bassesse d'ailleurs qui illumine le film à chaque apparition.

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Message par Invité Sam 7 Juil 2012 - 13:15

vu XXY beau film argentin de Lucia Puenzo, grand prix de la semaine de la critique à Cannes en 2007.
Une jeune fille de 15 ans, hermaphrodite se cherche sous l'aile protectrice de son père qui n'a de cesse de lui laisser le choix de son identité.
Le film doit beaucoup à la densité de sa fiction, âpre et romanesque, un peu à la Téchiné - ça pourrait être une sorte de Lieu du crime.
Le film ne perd jamais de son intensité sans jamais s'éloigner non plus de son sujet. Il a véritablement une belle construction, centrifuge, tout converge vers les tourments de son âge et de son état de cette jeune fille qui se bat pieds et poings liés pour trouver son être au monde.

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Message par Invité Mer 11 Juil 2012 - 19:13

ce truc alarmant : les français sont champions de la longévité en Europe mais très mal classés pour ce qui est du " bien vieillir " et paradoxalement, leurs mois de vie gagnés sont souvent faits de mauvaise santé et d'incapacité.

perso cela m'interroge davantage que le premier plan des Searchers !

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Message par Invité Dim 15 Juil 2012 - 19:43

La première moitié de la Marseillaise de Renoir (pourquoi ne pas le voir comme une série; il s'y prête bien?).

Chaque réplique est une déclaration politique sur le positionnement intenable du PCF (à la fois pour la lutte des classes, et l'ouverture électorale à la petite bourgeoisie), et en même temps cette tension est avalée dans le fameux esprit "à chacun ses raisons", donc finalement avalée par la vie. Les personnages du film existent vraiment, mais cette vie est montrée comme la préhistoire de leur conscience politique, leur présent est d'être l'objet d'une sorte de didactique révolutionnaire et socio-économique. Un curé ravitaille des proscrits, et en réponses à la question "comment ça va" il répond "nous les curés sommes le peuple, mais l’évêque lui c'est le stupre et la décadence de la noblesse", "ha ok, bonne journée l'ami" (littéralement).
Il y a un paradoxe riche: Renoir filme à la fois l'idée de changer l'homme, et ce qui fait de ce changement la fidélité à une essence.
C'est à la fois complètement consensuel , et sur le fil du rasoir.
Il y a pourtant aussi une liquidation: la gauche du PCF est montrée comme une source de désordre, le film oppose la révolution à la populace. Cette opposition est bon enfant dans les faits et les situations; par de paternels coups de pied au cul contre les anars qui squattent les estrades. Dans les paroles, elels est beaucoup plus violente. Pas innocent, vu le contexte de la fin de la Guerre d'Espagne. Chaque classe sociale énonce de l'intérieur les contradictions de son engagement révolutionnaire, mais cela pour permettre cette liquidation

Il n'y a pas d'ennemi, juste un retard de la conviction, qui est le fait de la société et non de l'individu. L'activité du révolutionnaire est de convaincre la noblesse qu'il incarne un ordre qui peut la remplacer, plutôt que la détruire. Ainsi dans la scène de la saisie des forteresses marseillaises sans un coup de feu.
Ainsi dans la marche des volontaires le long du Rhône.
- "Qu'est-ce qu'on fout là? Pourquoi nous sommes arrêtés si longtemps"
-"mon canon est tombé dans un trou"
-"un trou royaliste, hahaha"
-"tu ne crois pas si bien dire, n"oublie pas que nous traversons un district royaliste, il n'entretiennent donc pas les routes pour démontrer l'impossibilité du partage du travail".
Finalement l'humanisme, position de la blague sceptique au sein même de l'engagement, survit, mais comme médiation entre le fait historique et son explication.


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Message par gertrud04 Jeu 19 Juil 2012 - 6:25

Positif a fait ce mois-ci un numéro spécial consacré aux acteurs. Il a demandé à des cinéastes d'établir leur top ten d’acteurs et actrices préférés dans un rôle particulier. Les inrocks ont fait la leur : http://www.lesinrocks.com/2012/07/18/cinema/notre-top-10-des-plus-grands-acteurs-et-vous-quel-est-le-votre-11279929/

Pourquoi pas nous ?

Alain Delon (Monsieur Klein)
John Wayne (La prisonnière du désert)
Jack Nichoslson (Vol au-dessus d'un nid de coucou)
Robert Mitchum (La nuit du chasseur)
Jack Black (Rock academy)
Charlie Chaplin (Le cirque)
Marylin Monroe (Bus stop)
Teri Garr (Tootsie)
Gena Rowlands (Opening night)
Sigourney Weaver (Alien)

Les hommes me sont venus tout de suite. Par contre, les femmes je reconnais que ça a été un plus long...



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Message par Invité Jeu 19 Juil 2012 - 16:21

Adolescent Emmanuelle Riva dans Léon Morin et Hiroshima et Marie Dubois dans le Pianiste m'émouvaient (même si dans le Truffaut, l'actrice qui joue la première femme d'Aznavour est en fait plus touchante, avec son monologue sur la toile d'araignée). C'est d'ailleurs 3 fois le même personnage.
Plus tard un peu Leonore Baldaque chez de Oliveira (comme dans "le principe d'incertitude" et "Je Rentre à la Maison").
C'est pour elle que j'ai regardé le film sur Christophe Collomb visant à démontrer l'appartenance du grand navigateur au patrimoine national lusitanien qui est chiant chiant chiant, mais j'aime bien les scènes dans la Peugeot 403 où en tailleurs strict elle écoute sagement le cours d'histoire de 3ème (cours falsifié ou du moins très conjecturel) que lui débite son mari (Oliveira s'est rattrapé depuis).
Et Rachel Kesterber dans "Anatomie d'un Rapport" et "Une Aventure de Billy the Kid".
L'actrice de "Charulata" (oublié son nom)
J'aime bien le couple MBK/ Julia Faure dans "Sauvage Innocence" de Garrel.

Les actrices de "Chaîne Conjugales" de Mankiewicz (Jeanne Crain, Linda Darnell et Ann Sothern sans oublier bien sûr Celeste Holm ): elles arrivent à donner l'épaisseur du réel à leurs personnages et à les défendre, malgré leurs démissions. Pas besoin de se taper 6 ans de Desperate Housewives quand tout est dit en 1h30 depuis 62 ans.

Sinon récemment très impressionné par Richard Widmark dans "Port de la Drogue" et "Night & the City". Cela avait l'air d'un homme assez intéressant dans la vraie vie, politiquement moins con que disons Brando ou Heston pour prendre l'incarnation du même esprit dans des camps différents.
Dans "King of New York", les acteurs connus mais aussi les inconnus sont excellents.

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Message par Invité Jeu 19 Juil 2012 - 23:09

La première femme d'Aznavour dans le Pianiste, c'est Nicole Berger, décédée à 33 ans.

Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films - Page 33 42635003_p


Sinon dans ceux que j'ai du mal à imagner morts: Philippe Marlaud dans "La Femme de l'Aviateur", Guillaume Depardieu dans "Ne Touchez pas à la Hache", Zoë Tamerlis dans "l'Ange de la Vengeance" .


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Message par Dr. Apfelgluck Ven 20 Juil 2012 - 7:20

Tony le Mort a écrit:Philippe Marlaud dans "La Femme de l'Aviateur"

J'avoue que son nom m'a toujours fais rire comme un sale gamin, pour un type qui joue un "détective du dimanche".
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Message par Invité Ven 20 Juil 2012 - 13:01

Il est vrai qu'il n'a pas eu le temps de marquer les esprits par beaucoup d'autres rôles Neutral

Marlowe me fait plus penser à Conrad.
C'est vrai qu'il est parfait pour conférer une allure de douce dérive onirique à ce qui est en vérité une histoire d'obsession et de basculement dans la folie, que seul le fait d'être prise en compte juste avant que la compulsion de répétition ne se manifeste allège (de facto il pourrit la vie de son amie dont il se désintéresse au lieu de la consoler, espionne en fait sans le savoir son ami, et finit par mourir de jalousie pour une relation possible qu'il a choisi dès le début d'esquiver, mais le film montre la douceur consciente du moment qui précède immédiatement cela)


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Message par Invité Ven 20 Juil 2012 - 14:12

une phrase de 6 lignes : whaouuuuu !!

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Message par Invité Ven 20 Juil 2012 - 14:15

Tony le mort a écrit :
La première femme d'Aznavour dans le Pianiste

ça fait penser à la chanson de Bashung ...

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Message par Invité Ven 20 Juil 2012 - 15:52

OK, il m'a fallu 12 ans de dialogue puis de solliloque sur des forums pour la produire, plus que 4 000 ans comme cela et je deviens le nouveau Jean Fauque.

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Message par Invité Ven 20 Juil 2012 - 18:04

les paroles des chansons, c'est différent, c'est pour les orfèvres, pas pour l'écriture au poids, de celle qui ne change ni celui qui la lit ni celui qui l'écrit, la philo en gros.

au fond que faut il avoir lu : Jorge Luis Borges, Vladimir Nabokov, Gustave Flaubert ... peut être.

ce qu'il faut avoir vu : c'est difficile, des films épars, il faut se faire violence ou ajouter à la mauvaise fois pour trouver quelque auteur au cinéma.

pourquoi Rossellini a t'il été brocardé ? parce que personne n'a compris la dimension purement intime de son néoréalisme. tous ont cru pouvoir s'emparer à tort et surtout à bon compte d'une création.

un seul plus tard, peut être, Glober Rocha.

tu disais ?

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Message par Invité Ven 20 Juil 2012 - 19:23

Rossellini, un auteur, je pense, se montre dur envers la nouvelle vague : " depuis 20 ans - sauf Godard - ils racontent inlassablement les troubles de la puberté. (lol). A quoi bon libérer le cinéma des forces de l'argent si c'est pour le faire déboucher sur celles du fantasme individuel, en espérant que celui-ci deviendra collectif pour vous apporter le succès ? (lol). Ce malentendu est plus grave que les autres, car il détourne de son but - la connaissance - un espoir qui était plus grand".

"Je ne suis pas un cinéaste" dit-il.

C'est vrai qu'à défaut de changer vraiment le monde, il a déplacé la réalité du cinéma.

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Message par Invité Ven 20 Juil 2012 - 19:49

Lunes de fiel. Polanski a fait de bons et de mauvais films, c'est inévitable et celui-ci le résume bien.

Il est bon pour tout ce qui est tiré du roman de Bruckner, bonne pioche et indigeste pour tout ce qu'il a rajouté, mauvaise, pioche.

Quand au happy-end ? Mais que peut bien avoir à se faire pardonner Polanski ?

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Message par Invité Ven 20 Juil 2012 - 21:10

Pascal Bruckner, ce crétinoïde suave, "bonne pioche"? Qui plus est avec cette histoire d'érotisme libidinal sado-maso pré-gériatrique pour notaires de quartiers chics?

Ben dis donc...


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Message par Invité Ven 20 Juil 2012 - 21:53

bien sûr dit ainsi Polanski restreindrait donc à tes yeux son public, mais voila le film n'est pas si nul et l'idée de départ, l'usure du couple n'est si mal traitée.

je comprends que tu sois dans des films plus confidentiels et que tu craches ton mépris sur ce qui est médiatisé. Crache mon ami , crache. Je ne suis pas intéressé aux bénéfices du film.

Mais si tu t'étais en suivant tapé Platoon tu regretterais ces jeux de l'amour et du hasard.

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