Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
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Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
j'accède tout juste à cette information(c'est en cours depuis 2009 apparemment):
sinon Fela Kuti a été adapté en comédie musicale à Broadway: http://www.felaonbroadway.com/
j'imagine sur la scène de Broadway le moment où les militaires défenestrent la mère de Fela...
Le réalisateur britannique Steve McQueen prépare son nouveau projet : Fela, un film biographique sur le légendaire chanteur et activiste nigérian Fela Kuti.
Basé sur le livre "The Life And Times Of An African Musical Icon", Fela sera co-écrit par McQueen.
En entrevue à Variety, le producteur James Schamus avance : «La vision de Steve est très filmique et distinctive. Fela a été une figure révolutionnaire dans la culture mondiale, et Steve est un artiste qui avait une puissante vision de la politique et du monde avant même qu’il ne fasse son premier film. Ils sont faits l’un pour l’autre».
http://www.cinemateaser.com/2010/12/22654-le-biopic-de-fela-kuti-n%E2%80%99est-pas-mort
sinon Fela Kuti a été adapté en comédie musicale à Broadway: http://www.felaonbroadway.com/
j'imagine sur la scène de Broadway le moment où les militaires défenestrent la mère de Fela...
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Un flic Melville. Précis d'architecture des années 70, montage alterné nostalgique du muet, maquettisme voyant infiltrant avec bonheur le morceau de bravoure du vol dans le train par hélicoptère, de pauvres types qui volent, des bourgeois déchus ; Delon commissaire hiératique, blasé, humain.
Beau film.
Beau film.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
http://www.faitsdivers.org/7136-Sa-femme-casse-une-de-ses-figurines-Star-Wars-il-la-tue.html
Dr. Apfelgluck- Messages : 469
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
The shooting, de Monte Hellman (67).
Hellman, j'avais toujours cru que c'était un cinéaste de westerns uniquement. En raison de notices rapides mal consultées, et par manque de curiosité, à l'époque.
C'était donc une grande première, et je m'apprête à voir "l'ouragan de la vengeance" (dont il me manque les 10 dernières minutes, pff).
Y aurait trop de choses à dire, je ferai donc bref et laudatif: c'est génial. Complètement "à l'ouest", un humour décalé, bizarre (évidemment, on pense à du Beckett, une sorte de "fin de partie" au milieu du désert). Warren Oates a décidément le génie fracassant pour incarner des personnages opaques et mélancoliques, brisés par on ne sait quel sombre traumatisme (plus tard dans Alfredo Garcia, le plus fort Peckinpah à mes yeux, bis repetitas).
Et surtout, le traitement de l'espace, ce paysage minéral et nu, rendu à une étrangeté radicale. Des plans incroyables, des ébauches de mouvement, aussitôt avortés. Un climat tellement atypique, des personnages tellement insolites qu'on se demande: mais bordel, ça sort d'où, ce machin?
Hellman, j'avais toujours cru que c'était un cinéaste de westerns uniquement. En raison de notices rapides mal consultées, et par manque de curiosité, à l'époque.
C'était donc une grande première, et je m'apprête à voir "l'ouragan de la vengeance" (dont il me manque les 10 dernières minutes, pff).
Y aurait trop de choses à dire, je ferai donc bref et laudatif: c'est génial. Complètement "à l'ouest", un humour décalé, bizarre (évidemment, on pense à du Beckett, une sorte de "fin de partie" au milieu du désert). Warren Oates a décidément le génie fracassant pour incarner des personnages opaques et mélancoliques, brisés par on ne sait quel sombre traumatisme (plus tard dans Alfredo Garcia, le plus fort Peckinpah à mes yeux, bis repetitas).
Et surtout, le traitement de l'espace, ce paysage minéral et nu, rendu à une étrangeté radicale. Des plans incroyables, des ébauches de mouvement, aussitôt avortés. Un climat tellement atypique, des personnages tellement insolites qu'on se demande: mais bordel, ça sort d'où, ce machin?
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Jerzy a écrit :
Alfredo Garcia, le plus fort Peckinpah
aux miens aussi !
Jerzy a écrit :
The shooting, de Monte Hellman (67)
on aurait les mêmes châines de télé ?
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
"Sud" de Chantal Akerman, récit documentaire sur les Afros-Américains dans un bled pourri du sud des Etats-Unis, Jasper(comme le pingouin explorateur)... Au coeur du film, la barbarie de 3 blancs racistes qui torturent un Noir(James Byrd Jr), l'attachent à leur camion avec des chaînes et le traînent sur plusieurs kilomètres sur la route qui lui arrache les membres, la tête...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_James_Byrd,_Jr.
Extrait, un "je me souviens" à la Pérec d'une histoire infernale:
et un shérif qui raconte que c'est surtout un problème économique et non pas racial, qu'il suffit juste d'avoir un boulot...
Akerman fixe une galerie de portraits surprenante, j'ignore comment elle a pu réaliser un tel film avec autant d'habiletés de mise en scène qui semblent plus proches de la fiction, d'un travail très écrit et très organisé.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_James_Byrd,_Jr.
Extrait, un "je me souviens" à la Pérec d'une histoire infernale:
et un shérif qui raconte que c'est surtout un problème économique et non pas racial, qu'il suffit juste d'avoir un boulot...
Akerman fixe une galerie de portraits surprenante, j'ignore comment elle a pu réaliser un tel film avec autant d'habiletés de mise en scène qui semblent plus proches de la fiction, d'un travail très écrit et très organisé.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
j'ai vu ce film il y a longtemps ; il m'avait comme toi beaucoup impressionné puis je l'ai cherché en vain en dvd ; où tu l'as trouvé ?
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
slimfast a écrit:
on aurait les mêmes châines de télé ?
J'ai loué un double dvd à la médiathèque de Liège, le deuxième étant "l'ouragan de la vengeance" - abîmé, d'où ma remarque, mais chhut. Dire que je l'avais vu dans un mag du centre, "bibliopolis", à 7 euros. Puis il a disparu comme par enchantement. J'avais pas eu l'réflexe, je pensais qu'il y serait encore.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
slimfast a écrit:j'ai vu ce film il y a longtemps ; il m'avait comme toi beaucoup impressionné puis je l'ai cherché en vain en dvd ; où tu l'as trouvé ?
Shellac le sort en coffret:
http://www.shellac-altern.org/actualite/289-coffret-dvd-chantal-akerman
Tu connais les autres?
j'ai le coffret, si tu veux ça dans un lien MU... no problem.jerzy P a écrit: je m'apprête à voir "l'ouragan de la vengeance" (dont il me manque les 10 dernières minutes, pff).
- Spoiler:
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Ah oui, c'est très gentil.
- Spoiler:
J'aimerais faire pareil, mais je n'ai jamais étudié la procédure technique pour placer ainsi des liens. Est-ce facile? Y a un tutorial intéressant pour ça?
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
slimfast a écrit:merci Breaker
prego.
Je poste "Sud" dans les prochains jours, musée des ombres...
- Spoiler:
Revue Cinéma (février)76, numéro 206
Revue Cinématographe juin 1977, numéro 28
sur Kinok.com, interview(8 juin 2003): http://arkepix.com/kinok/Chantal%20AKERMAN/akerman_interview.html
Revue Vacarme 39, printemps 2007: http://www.vacarme.org/article1288.html
Fluctuat: http://www.fluctuat.net/cinema/interview/akerman.htm
et aussi la "fiche artiste" des Inrocks, articles et entretien:
http://www.lesinrocks.com/cine/artiste/akerman-chantal/
... Et L'ouragan de la vengeance dans la journée.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Real steel de Shawn Levy
si j'ai bien compris, l'idée vient d'une nouvelle de Matheson, adaptée une première fois pour la série twilight zone, dans les années 60, avec Lee Marvin qui remplace un robot boxeur tombé en panne, inopinément, avant un combat.
Le film de Shawn Levy, produit par Spielberg, s'attache aux retrouvailles entre un père et son fils, de l'indifférence à la reconnaissance, le lien mouvant, en construction, entre les deux, prenant la forme d'un robot de boxe old school, périmé, trouvé dans un dépotoir, mais doté d'un programme nommé shadow, qui lui permet de reproduire les mouvements à la perfection.
Le robot s'appelle « atom », c'est écrit en relief sur sa poitrine ; est-ce une idée de Matheson ?
Le détenteur du titre des championnats du monde est un robot ultra perfectionné, une sorte d'adaptoïde, une armoire à glace, mis au point par un japonais arrogant (...). Son nom est Zeus.
J'ai ressorti un bouquin sur Epicure, que j'ai à peine parcouru, mais, et à atome, dans le glossaire, à la fin, il y a une définition : _(atomos ; ou stoicheion, littéralement : « élément »): élément insécable et immuable à partir duquel sont formés les corps composés_.
Ce lien de transition, par lequel doit passer l'amour entre un fils et son père, l'admiration, qui se lit, par les yeux, les mouvements d'Atom sont tels ce mouvement des images qui s'impriment sur les pupilles, et évoque une autre notion du philosophe du jardin, la notion d'eidôlon, de simulacres, quelque chose des êtres et des choses qui pénètrent en nous. Ainsi les mouvements de la boxe classique qu'imprime atom face au père, ancien boxeur, et les mouvements de danse cool du gamin, en duo avec la machine, afin de donner au robot une personnalité, quelque chose qui reste _ pour le public, dit le père _ se mélangent et passent, du relais qu'est Atom, jusqu’aux destinataires humains. Le robot aux yeux bleus serait une manifestation visuelle de l'invisible, de la fine pellicule d'atomes émanant de l'un et l'autre, un nœud par lequel circulent des sentiments tus, silencieux ;
à la fin, le gosse répond au père, quelque chose comme : « tu n'as pas besoin de le dire, je le sais ».
C'est également une description contemporaine et bankable de la place des jeux vidéos in our universe, un gamin joueur de jeux de bastons et un père, ex boxeur, se perdant, en indépendant, dans le spectacle d'un monde ultraviolent, les combats de robots, à défauts des coqs (dommage que Warren Oates ne soit plus lol).
Dans le film, il est question de la manière de manœuvrer, de contrôler Atom, lors des combats ; 3 techniques sont utilisées : le pad qui ressemble au nouveau contrôleur nintendo, on appuie sur les touches pour lancer des combos (le père est derrière qui conseille le gamin pendant le premier combat, donc il y a d'abord la voix, puis les mouvements de la mains sur les boutons), la voix seule, ensuite, contrôle vocal, le père indique dans le micro les mouvements que le robot reproduit, mais il ne semble pas y avoir une totale entente, une vraie adéquation entre le banc et le ring, pas d'osmose comme l'aurait rêvé Genesis Breyer P-Orridge et son idéal pandrogyne, et c'est lors du dernier combat que le père accepte d'utiliser la reconnaissance de mouvements (c'est pas un nouveau gadget de la ps3 ça?), reproduire les gestes du noble art sur le ring ultralibéral de la violence.
Car le film est aussi une allégorie de l'Amérique actuelle, recherche d'une adéquation entre le désir de spectacle et un lien ténu, qui somme toute tient de l'humain. Le texan cynique et tout en gueule est à la fin mis au banc, évacué de l'audience, par le black charismatique des combats undergrounds (tout un monde de représentations …).
Mais ce que j'ai trouvé de plus émouvant en fait, c'est l'image éclairée à la noir et blanc, les effets de lumière, le début du film, très beau, la poussière, un camion dans la nuit des grandes routes américaines, j'ai pensé, je ne sais pourquoi, à Anthony Mann, à ses films noirs et secs des années 40. Peut être qu'il y a quelque chose à creuser.
si j'ai bien compris, l'idée vient d'une nouvelle de Matheson, adaptée une première fois pour la série twilight zone, dans les années 60, avec Lee Marvin qui remplace un robot boxeur tombé en panne, inopinément, avant un combat.
Le film de Shawn Levy, produit par Spielberg, s'attache aux retrouvailles entre un père et son fils, de l'indifférence à la reconnaissance, le lien mouvant, en construction, entre les deux, prenant la forme d'un robot de boxe old school, périmé, trouvé dans un dépotoir, mais doté d'un programme nommé shadow, qui lui permet de reproduire les mouvements à la perfection.
Le robot s'appelle « atom », c'est écrit en relief sur sa poitrine ; est-ce une idée de Matheson ?
Le détenteur du titre des championnats du monde est un robot ultra perfectionné, une sorte d'adaptoïde, une armoire à glace, mis au point par un japonais arrogant (...). Son nom est Zeus.
J'ai ressorti un bouquin sur Epicure, que j'ai à peine parcouru, mais, et à atome, dans le glossaire, à la fin, il y a une définition : _(atomos ; ou stoicheion, littéralement : « élément »): élément insécable et immuable à partir duquel sont formés les corps composés_.
Ce lien de transition, par lequel doit passer l'amour entre un fils et son père, l'admiration, qui se lit, par les yeux, les mouvements d'Atom sont tels ce mouvement des images qui s'impriment sur les pupilles, et évoque une autre notion du philosophe du jardin, la notion d'eidôlon, de simulacres, quelque chose des êtres et des choses qui pénètrent en nous. Ainsi les mouvements de la boxe classique qu'imprime atom face au père, ancien boxeur, et les mouvements de danse cool du gamin, en duo avec la machine, afin de donner au robot une personnalité, quelque chose qui reste _ pour le public, dit le père _ se mélangent et passent, du relais qu'est Atom, jusqu’aux destinataires humains. Le robot aux yeux bleus serait une manifestation visuelle de l'invisible, de la fine pellicule d'atomes émanant de l'un et l'autre, un nœud par lequel circulent des sentiments tus, silencieux ;
à la fin, le gosse répond au père, quelque chose comme : « tu n'as pas besoin de le dire, je le sais ».
C'est également une description contemporaine et bankable de la place des jeux vidéos in our universe, un gamin joueur de jeux de bastons et un père, ex boxeur, se perdant, en indépendant, dans le spectacle d'un monde ultraviolent, les combats de robots, à défauts des coqs (dommage que Warren Oates ne soit plus lol).
Dans le film, il est question de la manière de manœuvrer, de contrôler Atom, lors des combats ; 3 techniques sont utilisées : le pad qui ressemble au nouveau contrôleur nintendo, on appuie sur les touches pour lancer des combos (le père est derrière qui conseille le gamin pendant le premier combat, donc il y a d'abord la voix, puis les mouvements de la mains sur les boutons), la voix seule, ensuite, contrôle vocal, le père indique dans le micro les mouvements que le robot reproduit, mais il ne semble pas y avoir une totale entente, une vraie adéquation entre le banc et le ring, pas d'osmose comme l'aurait rêvé Genesis Breyer P-Orridge et son idéal pandrogyne, et c'est lors du dernier combat que le père accepte d'utiliser la reconnaissance de mouvements (c'est pas un nouveau gadget de la ps3 ça?), reproduire les gestes du noble art sur le ring ultralibéral de la violence.
Car le film est aussi une allégorie de l'Amérique actuelle, recherche d'une adéquation entre le désir de spectacle et un lien ténu, qui somme toute tient de l'humain. Le texan cynique et tout en gueule est à la fin mis au banc, évacué de l'audience, par le black charismatique des combats undergrounds (tout un monde de représentations …).
Mais ce que j'ai trouvé de plus émouvant en fait, c'est l'image éclairée à la noir et blanc, les effets de lumière, le début du film, très beau, la poussière, un camion dans la nuit des grandes routes américaines, j'ai pensé, je ne sais pourquoi, à Anthony Mann, à ses films noirs et secs des années 40. Peut être qu'il y a quelque chose à creuser.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
ps: évoquer Genesis P-Orridge pour un texte sur Real Steel, il n'y a que toi sur cette terre pour oser cela
careful- Messages : 690
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
c'est à cela qu'on les reconnait, comme le disait Audiard
Tu as pu voir the ballad of Genesis and lady Jaye finalement?
Tu as pu voir the ballad of Genesis and lady Jaye finalement?
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Impossible pour ma part, puisque les cols bleus ont jugé bon de ne pas le programmer ici à Toulouse.
Cependant un proche, Lo ran Nerrière (je modifie l'ortho à cause des référencements de Google et du désir de rester,comment dire, post-évoqué,lol, à présent de ce dernier) ami de Genesis P Orridge de longue date, m'a promis de m'envoyer une copie du documentaire de Marie.L.
Renzi m'a envoyé (via FB) un entretien (calamiteux) d'une nana d'Independencia qui avait rencontré Marie.L. J'ai pas osé lui dire que c'était un des pires papiers du genre que j'avais lu. Et mes mots restent courtois vis à vis de ceux de L.N. Bref.
Mais je pense que E.Renzi lis ce forum en diagonale, donc...
ps: je vais pouvoir t'embêter à Rennes d'ici 7 mois,ah,ah. Je quitte définitivement cette sphère disparate toulousaine insupportable.
careful- Messages : 690
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
cela m'aurait intéressé d'avoir ton regard sur ce doc, j'y suis allé sans rien connaître, quel monde étrange cela a dévoilé, Burroughs, Gysin, les cut-ups, la musique industrielle etc ... sans parler des deux personnes au centre de l'image; la manière qu'a Genesis de parler de sa rencontre avec Lady Jaye est très émouvante, entre autre.
dans 7 mois hein? j'ai justement une bouteille de champagne au frais pour un chouette évènement
dans 7 mois hein? j'ai justement une bouteille de champagne au frais pour un chouette évènement
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Philippe Lafosse et Rancière parlent des Straub (attention c'est en anglais...)
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
C'est dimanche matin, rien de tel qu'un bon éclat de rire salvateur.....
Les photos de BHL en promenade en Libye déclenchent dangereusement mes sygomatiques :
http://passouline.blog.lemonde.fr/files/2011/11/BHL_Misrata-26.jpg
http://passouline.blog.lemonde.fr/files/2011/11/BHL_Misrata-23.jpg
Il y en a eu plein d'autres dans la presse, qui valent celles de Poutine à moto.
Quel courage...
Tout un film - celle ci est presque un photogramme :
http://passouline.blog.lemonde.fr/files/2011/11/BHL_Misrata-10.jpg
Les photos de BHL en promenade en Libye déclenchent dangereusement mes sygomatiques :
http://passouline.blog.lemonde.fr/files/2011/11/BHL_Misrata-26.jpg
http://passouline.blog.lemonde.fr/files/2011/11/BHL_Misrata-23.jpg
Il y en a eu plein d'autres dans la presse, qui valent celles de Poutine à moto.
Quel courage...
Tout un film - celle ci est presque un photogramme :
http://passouline.blog.lemonde.fr/files/2011/11/BHL_Misrata-10.jpg
IQI- Messages : 66
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Le nouveau Polanski :
Dr. Apfelgluck- Messages : 469
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
"gost writer" de Polanski triple AAA !pour l'interpretation, l'intrigue , le décor l'atmosphère...
Maya- Messages : 280
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
ce qui en fait 9 : AAA AAA AAA !! Putain, ça doit être vachement bien !!!!!Maya a écrit:"gost writer" de Polanski triple AAA !pour l'interpretation, l'intrigue , le décor l'atmosphère...
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Frank Miller ... , et le "Occupy movement" de Wall Street.
ANARCHY
Everybody’s been too damn polite about this nonsense:
The “Occupy” movement, whether displaying itself on Wall Street or in the streets of Oakland (which has, with unspeakable cowardice, embraced it) is anything but an exercise of our blessed First Amendment. “Occupy” is nothing but a pack of louts, thieves, and rapists, an unruly mob, fed by Woodstock-era nostalgia and putrid false righteousness. These clowns can do nothing but harm America.
“Occupy” is nothing short of a clumsy, poorly-expressed attempt at anarchy, to the extent that the “movement” – HAH! Some “movement”, except if the word “bowel” is attached - is anything more than an ugly fashion statement by a bunch of iPhone, iPad wielding spoiled brats who should stop getting in the way of working people and find jobs for themselves.
This is no popular uprising. This is garbage. And goodness knows they’re spewing their garbage – both politically and physically – every which way they can find.
Wake up, pond scum. America is at war against a ruthless enemy.
Maybe, between bouts of self-pity and all the other tasty tidbits of narcissism you’ve been served up in your sheltered, comfy little worlds, you’ve heard terms like al-Qaeda and Islamicism.
And this enemy of mine — not of yours, apparently - must be getting a dark chuckle, if not an outright horselaugh - out of your vain, childish, self-destructive spectacle.
In the name of decency, go home to your parents, you losers. Go back to your mommas’ basements and play with your Lords Of Warcraft.
Or better yet, enlist for the real thing. Maybe our military could whip some of you into shape.
They might not let you babies keep your iPhones, though. Try to soldier on.
Schmucks.
FM
careful- Messages : 690
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
- Spoiler:
Dernière édition par erwan le Mer 30 Nov 2011 - 14:59, édité 2 fois
Invité- Invité
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