Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
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Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
je suis une fan inconditionnelle de Michel, il mérite un forum à lui tout seul.
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
http://islamogauchiste.blogspot.com/2010/11/tressaillement-denthousiasme.html
balthazar claes- Messages : 1009
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Vu à Beaubourg : un petit spectacle de Pierre Léon ; ça s'appelait "Notre Brecht - un film sans pellicule".
L'entrée était libre, alors je me suis dit pourquoi pas, Brecht, le cinéma, Brecht et le cinéma, ça peut être intéressant. Il y a tous ces scénarios qu'il écrivait pour gagner de l'argent, en même temps que ses premières pièces ; scénarios dont j'ai l'impression il ne reste plus trace. Je me suis toujours demandé pourquoi Brecht ne s'était jamais intéressé plus que ça au cinéma. Faut dire qu'il en avait après Pabst (procès intenté contre sa société de production), quand celui-ci avait fait l'adaptation de L'opéra de quat'sous, version édulcorée de la pièce.
C'était une jolie forme : PL avec un micro, devant un écran sur lequel étaient projetés plusieurs extraits de films, chantant des chansons de Brecht et d'autres que je ne connaissais pas trop, accompagné par un piano.
Mais la bonne surprise, c'était la projection du seul film que Brecht a réalisé, autour de 1920, avec Karl Valentin. Un chouette film, assez drôle : Les mystères d'un raseur-coiffeur ; avec une tête coupée puis recollée, parce qu'il ne faut pas effrayer un raseur-coiffeur qui fait la barbe de son client avec un couteau de cuisine.
Ce qui était moins chouette en revanche, c'était cette sensation bizarre, quand pour un "bis", Pierre Léon s'est mis a chanter a capella l'Internationale, la salle reprenant en choeur. Quand on connaît grossièrement la sociologie du public de Beaubourg, y avait de quoi se sentir légèrement mal à l'aise.
L'entrée était libre, alors je me suis dit pourquoi pas, Brecht, le cinéma, Brecht et le cinéma, ça peut être intéressant. Il y a tous ces scénarios qu'il écrivait pour gagner de l'argent, en même temps que ses premières pièces ; scénarios dont j'ai l'impression il ne reste plus trace. Je me suis toujours demandé pourquoi Brecht ne s'était jamais intéressé plus que ça au cinéma. Faut dire qu'il en avait après Pabst (procès intenté contre sa société de production), quand celui-ci avait fait l'adaptation de L'opéra de quat'sous, version édulcorée de la pièce.
C'était une jolie forme : PL avec un micro, devant un écran sur lequel étaient projetés plusieurs extraits de films, chantant des chansons de Brecht et d'autres que je ne connaissais pas trop, accompagné par un piano.
Mais la bonne surprise, c'était la projection du seul film que Brecht a réalisé, autour de 1920, avec Karl Valentin. Un chouette film, assez drôle : Les mystères d'un raseur-coiffeur ; avec une tête coupée puis recollée, parce qu'il ne faut pas effrayer un raseur-coiffeur qui fait la barbe de son client avec un couteau de cuisine.
Ce qui était moins chouette en revanche, c'était cette sensation bizarre, quand pour un "bis", Pierre Léon s'est mis a chanter a capella l'Internationale, la salle reprenant en choeur. Quand on connaît grossièrement la sociologie du public de Beaubourg, y avait de quoi se sentir légèrement mal à l'aise.
Leurtillois- Messages : 131
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Quelle est, grossièrement, la sociologie du public de Beaubourg ?
careful- Messages : 690
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
vu ces derniers jours, "Mildred Pierce" (1945) de Michael Curtiz, je n'arrive pas à trouver sur le net de comparaison avec "Mirage de la vie" (1959) de Sirk dont l'histoire est la même à disons, 80%. Tout y est contre son héroïne, jusqu'à la caméra masculine et malicieuse. Il y a un pathos des faits, que la force de Mildred et son autodétermination viennent sans cesse surmonter, entraînant derrière elle son spectateur déjà bien accablé par la médiocrité de son entourage. C'est d'une grande beauté et d'une grande intelligence. J'ai trouvé son versant masculin le lendemain soir, dans "My man Godfrey" (1936) de Gregory La Cava, le projet de vie de Godfrey est le même que celui de Mildred: ouvrir un restaurant, ce qui permet de belles scènes de surmenage en communauté.
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Essential Killing, le dernier chef d'oeuvre de Skolimowski.
Le_comte- Messages : 336
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Revu par hasard sur Arte la fin de Lumière Silencieuse (C. Reygadas) et son sidérant dernier plan sur un coucher de soleil qui finit la tête dans les étoiles...
C'est parfois beau comme du Terrence Malick.
C'est parfois beau comme du Terrence Malick.
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Je vous recommande ça aussi :
El Sicario, Room 164 : http://videos.arte.tv/fr/videos/el_sicario_room_164-3537280.html
Documentaire en huis-clos recueillant le témoignage d'un tueur à la solde des narcotraficants mexicains. Tout se passe dans la chambre d'un motel, avec lui, masqué, qui raconte et dessine des schémas sur son carnet.
El Sicario, Room 164 : http://videos.arte.tv/fr/videos/el_sicario_room_164-3537280.html
Documentaire en huis-clos recueillant le témoignage d'un tueur à la solde des narcotraficants mexicains. Tout se passe dans la chambre d'un motel, avec lui, masqué, qui raconte et dessine des schémas sur son carnet.
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Largo a écrit:Je vous recommande ça aussi :
El Sicario, Room 164 : http://videos.arte.tv/fr/videos/el_sicario_room_164-3537280.html
Documentaire en huis-clos recueillant le témoignage d'un tueur à la solde des narcotraficants mexicains. Tout se passe dans la chambre d'un motel, avec lui, masqué, qui raconte et dessine des schémas sur son carnet.
La graphologie en émoi. C'était pas mal,en effet.
Je recherche Below Sea Level (2008) du même Gianfranco Rosi à présent:
careful- Messages : 690
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
À quoi ressemblerait un journal télévisé produit par Pierre Carles ? D’abord, on supprimerait toute parole institutionnelle, tout effet d’annonce, toute information liée à un agenda politique, économique, etc. Ainsi on économiserait déjà 90% du JT actuel. Fini, le monopole des professionnels de la parole. On réhabiliterait l’enquête, on irait sur le terrain voir ce qui se passe chez les pauvres, on donnerait peut-être des caméras et des bancs de montage à des ouvriers, à des employés, à des chômeurs, comme à l’époque des groupes Medvekine. Et puis on infiltrerait les dominants avec des caméras cachées. Jamais on n’ose placer de caméras cachées chez une Bettencourt, un Woerth ou un délinquant financier, alors qu’on les utilise en abondance pour filmer les trafics des petits dealers. Pourquoi cette inégalité de traitement ? On mettrait fin aussi aux cadences actuelles qui imposent aux journalistes de bâcler leur sujet en une journée. Cela suppose évidemment de changer la donne économique : il faudrait consacrer au JT les moyens de la fiction, afin de permettre des enquêtes sur le long terme, sans obligation immédiate de résultat. On cesserait par ailleurs d’appréhender la société par le seul biais de l’individu : la figure du « self made man », du héros entrepreneur ou du sauveur providentiel ont contaminé les JT et les magazines d’information, avec le message implicite que la collectivité n’a pas d’importance, que l’individu existe en dehors d’elle, qu’il s’est forgé tout seul. Car c’est ça, l’idéologie de l’information télévisée, sa propagande. Enfin, dernière mesure : envoyer la plupart des journalistes et des responsables de l’information en camp de rééducation ou de décervelage ! (…)
ça me fait toujours rire cette idée, donner des moyens d'expressions aux dominés, comme si cela devait donner nécessairement des résultats progressistes : comme s'il y avait pas d'ouvriers, de pauvres, de droite, d'extrême droite, cons....
Borges- Messages : 6044
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Je connais assez mal Vincente Minnelli (rétrospective à l'Action Ecoles), je le connais tellement mal que chacun de ces films est toujours à part par rapport au précédent, c'est une sensation de surprise agréable qui marche aussi pour John Huston que j'adore et qui me surprend à chaque fois. Donc pour moi je ne sais pas, Minnelli c'était la malice hystérique et l'intelligence d' "Un américain à Paris", "Brigadoon" ou "Une femme modèle", mais "La toile d'araignée" c'est vraiment très spécial, un grand grand film de psychologie sociale où les frustrations des uns et des autres prennent la forme de coup bas et de mesquineries qui finissent par créer cette "toile d'araignée" (il faut toujours avoir le titre en tête, qui ne surgit qu'à la fin du film), toutes les "vengeances" se construisent sur le modèle de la psychanalyse où les symptômes ne renvoient pas de façon évidente à leurs maladies. Et tout cela part d'une sombre histoire de rideau, prétexte anodin qui n'est jamais abandonné tout le long du film. Vraiment vraiment excellent.
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Il y aurait un livre à écrire sur le visage de Richard Widmark, c'est toujours aussi bouleversant.
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Tiens, on va aussi avoir une rétrospective à Nantes. comme je ne connais pas du tout Minelli, je pense le découvrir un peu à cette occasion. donc, je note The Cobweb sur mon agenda.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Memory Lane; un film singulier, qui utilise peu la figure de style du champ contrechamp, à part peut être lorsque les jeunes adultes sont face à leur parents. Bain de musique pop et lumière doucereuse, granuleuse, pour des personnages en stase, sur des rails, circulant perpétuellement parmi les même lieux, boisés: la végétation emplit le plan, les arbres envahissent Paris, on éprouve parfois une étrange inquiétude, comme dans un film de Kurosawa, et le plus beau portrait, les plus belles scènes, sont comme des déraillements qui déchire la moustiquaire enveloppant la ballade rêveuse, paradoxalement _je pense au personnage de Raphaël, claudicant, englué, terrifié, suspectant peut-être qu'il y a un monde ailleurs en mouvement, hors de cet univers sous-jacent_.
L'odyssée du Personnage Scott Pilgrim, en terme de maturité, niveau après niveau, boss après boss, dans un monde fonctionnant alternativement, avec les attributs du comic book, du jeu d'arcade, de l'anime, n'est peut être pas si éloignée; monde là aussi abrité, sous la neige de Toronto, mais dont les clés sont sans doute plus partagées; là où memory Lane joue sur un tempo cotonneux, le film de Wright assène un rythme tonitruant, la moindre action, blague, du personnage est renvoyée en écho dans l'arroyo de contre culture du cinéaste, et chaque ricochet résulte en une strate supplémentaire sur l'image, onomatopées, vagues psychédéliques illustrant la puissance d'un riff de basse, etc, ... pour autant, c'est un teen movie sympathique, aux dialogues improbables et sophistiqués (Scott à sa nouvelle copine: "i am in lesbian with you.")
L'odyssée du Personnage Scott Pilgrim, en terme de maturité, niveau après niveau, boss après boss, dans un monde fonctionnant alternativement, avec les attributs du comic book, du jeu d'arcade, de l'anime, n'est peut être pas si éloignée; monde là aussi abrité, sous la neige de Toronto, mais dont les clés sont sans doute plus partagées; là où memory Lane joue sur un tempo cotonneux, le film de Wright assène un rythme tonitruant, la moindre action, blague, du personnage est renvoyée en écho dans l'arroyo de contre culture du cinéaste, et chaque ricochet résulte en une strate supplémentaire sur l'image, onomatopées, vagues psychédéliques illustrant la puissance d'un riff de basse, etc, ... pour autant, c'est un teen movie sympathique, aux dialogues improbables et sophistiqués (Scott à sa nouvelle copine: "i am in lesbian with you.")
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
hello, Erwan; pas vu memory lane, mais ton texte rend bien cette impression de hantise dégagée par Primrose Hill...
Borges- Messages : 6044
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Erwan a écrit:( "i am in lesbian with you.")
Curieux rapprochement entre Memory Lane et Scott Pilgrim... Pas vu non plus Memory Lane.
(au plaisir de te lire l'ami. Tjrs)
careful- Messages : 690
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
i am in friends with you guys
merci Borges je ne connaissais pas Primrose Hill, je vais essayer de le voir;
merci Borges je ne connaissais pas Primrose Hill, je vais essayer de le voir;
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Erwan a écrit:Memory Lane; un film singulier, qui utilise peu la figure de style du champ contrechamp, à part peut être lorsque les jeunes adultes sont face à leur parents. Bain de musique pop et lumière doucereuse, granuleuse, pour des personnages en stase, sur des rails, circulant perpétuellement parmi les même lieux, boisés: la végétation emplit le plan, les arbres envahissent Paris, on éprouve parfois une étrange inquiétude, comme dans un film de Kurosawa, et le plus beau portrait, les plus belles scènes, sont comme des déraillements qui déchire la moustiquaire enveloppant la ballade rêveuse, paradoxalement _je pense au personnage de Raphaël, claudicant, englué, terrifié, suspectant peut-être qu'il y a un monde ailleurs en mouvement, hors de cet univers sous-jacent_.
effectivement, ça marche, même si j'ai failli partir au bout de 40 minutes de film à cause de la mollesse pop de l'ensemble (les chansons sont très mauvaises). C'est un truc que je ne supporte plus de voir au cinéma, cette façon d'y montrer de faux enjeux, de fausses vies et de faux visages d'acteurs français beaux comme s'ils venaient de naître et qu'on a même pas envie de scruter. J'ai dû me résoudre à avouer que quelque chose se passait devant moi, mais tout tient grâce aux longues scènes de marche vraiment très bien trouvées et très belles, l'histoire du père qui n'en a plus pour longtemps et Raphaël qui a peur de devenir fou. Ce sont ces éléments qui ramènent le film vers un pôle correct de gravité, pour ne pas qu'il sombre dans la pâte sucré des amitiés autistes que nous suggèrent les premiers dialogues.
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Le topic Wajda m'y fait repenser. La dernière fois que j'ai revu "L'Anglaise et le duc", je me suis aperçu que celui qui jouait Robespierre, c'était personne d'autre que François-Marie Banier, l'Incorruptible qui a réussi à soutirer un milliard à Bettencourt.
Il avait déjà joué dans "Reinette et Mirabelle", et 'L'arbre, le maire, la médiathèque" (où il incarnait le rédacteur en chef d'un mensuel socialiste).
Banier a même eu un de ses premiers rôles dans "L'argent" de Bresson.
C'est quand même drôle, non.
Aux dernières nouvelles, Banier vit toujours dans son Hôtel de la rue Servandoni (anciennement, rue des Fossoyeurs), dans le 6e, à deux pas du Luxembourg.
Le promeneur de Paris ne peut s'empêcher d'être ému en prenant cette rue.
Pensez, c'est là que Roland Barthes vécut vingt ans.
C'est là qu'habitait D'Artagnan, dans le roman de Dumas.
Et Olympe de Gouges.
Et Condorcet.
Et même William Faulkner !
Et donc, François-Marie Banier.
Il avait déjà joué dans "Reinette et Mirabelle", et 'L'arbre, le maire, la médiathèque" (où il incarnait le rédacteur en chef d'un mensuel socialiste).
Banier a même eu un de ses premiers rôles dans "L'argent" de Bresson.
C'est quand même drôle, non.
Aux dernières nouvelles, Banier vit toujours dans son Hôtel de la rue Servandoni (anciennement, rue des Fossoyeurs), dans le 6e, à deux pas du Luxembourg.
Le promeneur de Paris ne peut s'empêcher d'être ému en prenant cette rue.
Pensez, c'est là que Roland Barthes vécut vingt ans.
C'est là qu'habitait D'Artagnan, dans le roman de Dumas.
Et Olympe de Gouges.
Et Condorcet.
Et même William Faulkner !
Et donc, François-Marie Banier.
Eyquem- Messages : 3126
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
largo a écrit:
"102 ans, c'est l'âge qu'à depuis ce samedi, le cinéaste portugais Manoel de Oliveira. Qui a cru bon de préciser, jeudi à Porto, qu'il lui restait encore "plusieurs projets à faire." Libération de ce weakend
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
__
Dernière édition par breaker le Dim 30 Jan 2011 - 14:43, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
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Dernière édition par breaker le Dim 30 Jan 2011 - 14:42, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Vu "Everyone else" de Maren Ade.
Encore une histoire de voyage en Italie. Mais ce n'est ni l'histoire d'une rencontre, ni celle d'une rupture. Ni crise ni miracle, juste le moment flottant qui suit la rencontre, où le couple doit trouver la bonne synchronisation, le bon tempo, pied à pied.
Pas mal du tout. C'est senti, c'est précis, sans effets surlignés à la "Noces rebelles".
Encore une histoire de voyage en Italie. Mais ce n'est ni l'histoire d'une rencontre, ni celle d'une rupture. Ni crise ni miracle, juste le moment flottant qui suit la rencontre, où le couple doit trouver la bonne synchronisation, le bon tempo, pied à pied.
Pas mal du tout. C'est senti, c'est précis, sans effets surlignés à la "Noces rebelles".
Eyquem- Messages : 3126
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