Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
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Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
careful a écrit:
C'est exactement ça. Bis. (et cette histoire finalement assez proche de cette culture "No More" prodiguée par Henry Rollins désormais, par ex, à savoir pas d'excès; pas d'alcool, que du Thé, pas de ci, point de ça etc..)
Et aux journalistes, de ne plus les interviewer avec une cigarette à la main etc...lol
ouais, en même temps c'est des trucs qui sont ici ou là dans le Hip-Hop et le rap depuis le début. La discipline, tout ça, fortes influences religieuses (en particulier Islam et sectes mystiques dérivées)..
bizarre, CS n'a pas rebondis sur les propos d'akh en ce qui concerne l'internet, on sait qu'elle a fait partie des grands défenseurs de la loi Hadopi..
Dernière édition par JM le Sam 17 Avr 2010 - 19:27, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
J'imagine
Dernière édition par careful le Sam 24 Avr 2010 - 18:22, édité 1 fois
^x^- Messages : 609
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
careful a écrit:JM a écrit:bizarre, CS n'a pas rebondis sur les propos d'akh en ce qui concerne l'internet, on sait qu'elle a fait partie des grands défenseurs de la loi Hadopi..
J'apprends quelque chose.
Mais si tu écoutes bien, on entend Mme Coline Serreau, réalisatrice de Trois Hommes et un couffin, souffler profondément sur son micro cravate lorsque Akh aborde ce sujet.
http://films7.com/videos/hadopi-diffusion-et-protection-de-la-creation-sur-internet-video-la-demande-de-la-seance-publ
Au fait JM, quelle est cette pièce de théâtre dont Mme Coline Serreau, réalisatrice de Trois Hommes et un couffin, se vente d'avoir promue le hip hop à travers quelques représentations à l'Opéra Bastille ?
ah oui, n'est-ce pas, c'est tout de même autre chose que les rues de BK ! lol
Je sais pas du tout!
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
tiens, l'autre jour je me revoyais ça, tiré d'un vieux documentaire sur la culture HH à NY, Supernat', le mec est mortel je sais pas si tu connais :
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Je ne sais ce que raconte Coline Serreau, mais cette phrase-là me fait tiquer. Y a pas que des "penseurs" parmi les gens qui disent "non".JM a écrit:Ne pas être dans le consensus, c'est une position qui se travaille, ça se pense un minimum, c'est pas juste sortir son petit caca nerveux en mélangeant tout et en claironnant son dissensus.
Je sais bien qu'il ne peut pas sortir grand-chose d'une crise de colère sur un plateau télé : ça fait partie du show. Mais on le sent assez vite, de toute façon, si le mec ou la fille pique une colère juste pour le show, ou si c'est une vraie colère. Et si c'est une vraie colère, le courant passe quand même, même si les mots sont pas dans le bon ordre, même si c'est pas "pensé" de A à Z et ordonné selon les bonnes règles du discours. Tout ça pour dire que c'est pas un bon critère, le fait d'écarter un discours parce qu'il n'est pas "travaillé".
Eyquem- Messages : 3126
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
J'imagine
Dernière édition par careful le Sam 24 Avr 2010 - 18:22, édité 1 fois
^x^- Messages : 609
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Eyquem a écrit:Je ne sais ce que raconte Coline Serreau, mais cette phrase-là me fait tiquer. Y a pas que des "penseurs" parmi les gens qui disent "non".JM a écrit:Ne pas être dans le consensus, c'est une position qui se travaille, ça se pense un minimum, c'est pas juste sortir son petit caca nerveux en mélangeant tout et en claironnant son dissensus.
Je sais bien qu'il ne peut pas sortir grand-chose d'une crise de colère sur un plateau télé : ça fait partie du show. Mais on le sent assez vite, de toute façon, si le mec ou la fille pique une colère juste pour le show, ou si c'est une vraie colère. Et si c'est une vraie colère, le courant passe quand même, même si les mots sont pas dans le bon ordre, même si c'est pas "pensé" de A à Z et ordonné selon les bonnes règles du discours. Tout ça pour dire que c'est pas un bon critère, le fait d'écarter un discours parce qu'il n'est pas "travaillé".
c'est plus l'argument mûrement réfléchi que la rhétorique du discours qui devrait être construit, ressortir et saisir quelque soit l'ordre des mots. Ici il semble que CS avait toute latitude pour s'exprimer, pas l'émission à couper à tort et à travers ou laisser une minute par personne pour parler. Enfin je sais pas, je connais pas l'émission par ailleurs, mais c'est l'effet que ça m'a fait. Mais c'est un peu autre chose là, CS dit en fait clairement "non" à quelque chose: au rap macho et matérialiste qui court les rues, entre autre, mais à partir de ça elle déforme systématiquement ce que dit akh pour que tout rentre dans ses oeillères caricaturales (le point le plus fort c'est sans doute son détournement malhonnête de la phrase "I am a man", reprise d'une formule des mouvements des droits civiques, en une formule machiste!). Comme si partant du principe que le cinéma c'est que de la violence donnée aux spectateurs j'écoute quelqu'un qui me propose autre chose et je change pas d'avis, je dis NON. C'est quand même stupéfiant de bêtise. Alors d'accord qu'il y a aussi un NON de principe (perso, quelque soit les circonstances je crois qu'il y a toujours plusieurs "non", ou plusieurs "oui", donc j'attends d'en savoir plus, le "parce que", ou le "car", il n'y a pas qu'un seul "non" ou qu'un seul "oui").
Non c'est pas Wild Style (un classique!) Careful, c'était "Culture Hip-Hop à NY", passé sur Canal+ à l'époque.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
careful a écrit:
Ce n'était pas le fameux doc de Charlie Ahern, Wild Style ? (que je déposerai bientôt sur InlandRavioli. Il faut que je le regarde avant)
M'a bien régalé, le C. Ahern. Et un peu risible, avec le temps, avec la crise, comme dirait C. Serreau. Mais à garder dans un coin de son cerveau; lui consacrer une location. Rien que pour le son du GMF. Tu verras, mon Careful.
lorinlouis- Messages : 1691
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Ah, et à part ça, j'ai vu "Les chaussons rouges" - en copie neuve et technirama pimpant. J'ai pu vérifier que les chaussons rouges sont bien aussi rouges qu'annoncé. Mais à part ça...
Faut qu'on m'explique le truc avec Powell-Pressburger. Faire ce film en 48, la même année qu'Allemagne année zéro, 7 ans après Citizen Kane, c'est comme peindre des Venus rose bonbon, façon Cabanel, l'année où Manet faisait son Olympia.
Faut qu'on m'explique le truc avec Powell-Pressburger. Faire ce film en 48, la même année qu'Allemagne année zéro, 7 ans après Citizen Kane, c'est comme peindre des Venus rose bonbon, façon Cabanel, l'année où Manet faisait son Olympia.
Eyquem- Messages : 3126
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
y a de très grands moments dans "Les chaussons rouges" , mais c'est vrai que...
Borges- Messages : 6044
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Eyquem a écrit:Ah, et à part ça, j'ai vu "Les chaussons rouges" - en copie neuve et technirama pimpant. J'ai pu vérifier que les chaussons rouges sont bien aussi rouges qu'annoncé. Mais à part ça...
Faut qu'on m'explique le truc avec Powell-Pressburger. Faire ce film en 48, la même année qu'Allemagne année zéro, 7 ans après Citizen Kane, c'est comme peindre des Venus rose bonbon, façon Cabanel, l'année où Manet faisait son Olympia.
Oui, sans doute, mais je garde le souvenir d'un excellent personnage masculin, la patron du théâtre je crois. Très peu de personnages ont été construit de cette manière, à mi-chemin entre le sérieux et l'amusement, là où les envolées d'une personnalité se mêlent à un caractère profondément ambigu, libre.
Eyquem a écrit:La table du chapelier inquiète comme une visite dans une unité hospitalière de long séjour et les créatures que rencontre Alice évoquent davantage les limbes de Dante, avec ses "grandes figures dont les visages ne sont ni gais ni tristes", que le monde de Carroll.
https://spectresducinema.1fr1.net/t887-alice-tim-burton-alice-n-est-plus-ici
Après avoir vu le film il y a quelques semaines, le chapelier me fait plus penser à un épouvantail qu'à un être féérique. C'est en fin de compte l'impression que me laisse le dernier Burton : une sorte de cinéma-épouvantail, complètement aigri, qui se mue en une sorte de doublon desséché prêt à faire fuir les derniers fidèles ou ceux qui tentent encore d'approcher. C'est comme si Burton faisait un film qui, en soi, déployait sa propre expression du mépris que pourrait avoir le spectateur envers lui. Il semble finalement ne plus rien vouloir aimer, notre ami Burton, ni ses personnages, ni son soi-disant imaginaire, et encore moins son spectateur : on le sait déjà depuis quelques films...
Le_comte- Messages : 336
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Hello,
J'ai vu "Yuki et Nina", encore une fois, beau film de N. Suwa (et H. Girardot), passé il me semble totalement inaperçu par ici et sorti en salle d'une façon générale plutôt discrètement l'année dernière, non ?
J'ai vu "Yuki et Nina", encore une fois, beau film de N. Suwa (et H. Girardot), passé il me semble totalement inaperçu par ici et sorti en salle d'une façon générale plutôt discrètement l'année dernière, non ?
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Ayant une TV à domicile depuis quelques semaines, j'ai regardé dernièrement plusieurs émissions de "Ce soir ou jamais". Ca va bien à regarder comme ça une fois de temps en temps mais dans le principe ça reste très simpliste au niveau de la mise en scène, c'est pas passionnant. Taddei s'arrange généralement pour avoir quelques voix divergentes (droite/gauche) mais on a souvent l'impression, on croit dangereusement se rendre compte, que les différents "partis" partagent plus d'idées en commun (dont on part généralement) qu'ils n'ont de divergences, et l'émission est trop courte et n'est pas assez construite pour établir nettement les différentes positions, les dissensus.
En fait, à la fin c'est toujours la démocratie salonarde des beaux parleurs qui gagne (je pense ici au dernier texte d'IQI posté sur le forum des Cahiers, en quelque sorte ça rejoint plus ou moins son point de vue) et dont Taddei joue assez systématiquement au plus parfait petit représentant (à coup de "mais quand même aujourd'hui on vit bien dans nos démocraties", ou de "mais enfin ça fait longtemps qu'on a pas été en guerre"..). C'est comme ça que six invités (qu'on-a-pas-l'habitude-de-voir-à-la-télévision) pourront par exemple blablater sur le thème de la démocratie pendant une heure sans qu'une fois il soit question de la population.
De l'autre côté on a les émissions (genre celle de Durand) avec un invité éminent face à six ou sept personnes comme vous et moi, qui reproduisent dans leur mise en scène les rapports dominant/dominé. En fait c'est pas moins intéressant à regarder..
En fait, à la fin c'est toujours la démocratie salonarde des beaux parleurs qui gagne (je pense ici au dernier texte d'IQI posté sur le forum des Cahiers, en quelque sorte ça rejoint plus ou moins son point de vue) et dont Taddei joue assez systématiquement au plus parfait petit représentant (à coup de "mais quand même aujourd'hui on vit bien dans nos démocraties", ou de "mais enfin ça fait longtemps qu'on a pas été en guerre"..). C'est comme ça que six invités (qu'on-a-pas-l'habitude-de-voir-à-la-télévision) pourront par exemple blablater sur le thème de la démocratie pendant une heure sans qu'une fois il soit question de la population.
De l'autre côté on a les émissions (genre celle de Durand) avec un invité éminent face à six ou sept personnes comme vous et moi, qui reproduisent dans leur mise en scène les rapports dominant/dominé. En fait c'est pas moins intéressant à regarder..
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Dans Positif, dossier sur malick, pas terrible, pas même l'entretien avec S. Cavell (qui précise tout de même que TM n'a pas été son étudiant, vraiment), mais y a "le texte" (1975) de malick-walker sur "badlands" :
« Kit ne se voit pas du tout comme un être triste ou pitoyable, mais comme un sujet d’un incroyable intérêt pour lui-même et pour les générations à venir (…) La mort, les émotions des autres, les conséquences de ses actes-tout cela est plutôt abstrait pour lui. Il se voit en successeur de James dean- en rebelle sans cause – alors qu’il est plutôt un conservateur à la façon d’Eisenhower. Il veut être (…) comme l’être riche qu’il enferme dans le placard, le seul qu’il ne tue pas, le seul qui suscite sa sympathie, et celui qui a le moins besoin de sympathie. Il n’est pas rare que les gens des bas-fonds soient ceux qui défendent le plus énergiquement les règles qui les ont précipités et maintenus là où ils sont. »
l'original
http://www.eskimo.com/~toates/malick/art6.html
« Kit ne se voit pas du tout comme un être triste ou pitoyable, mais comme un sujet d’un incroyable intérêt pour lui-même et pour les générations à venir (…) La mort, les émotions des autres, les conséquences de ses actes-tout cela est plutôt abstrait pour lui. Il se voit en successeur de James dean- en rebelle sans cause – alors qu’il est plutôt un conservateur à la façon d’Eisenhower. Il veut être (…) comme l’être riche qu’il enferme dans le placard, le seul qu’il ne tue pas, le seul qui suscite sa sympathie, et celui qui a le moins besoin de sympathie. Il n’est pas rare que les gens des bas-fonds soient ceux qui défendent le plus énergiquement les règles qui les ont précipités et maintenus là où ils sont. »
l'original
"Kit doesn't see himself as anything sad or pitiable, but as a subject of incredible interest, to himself and to future generations. Like Holly, like a child, he can only really believe in what's going on inside him. Death, other people's feelings, the consequences of his actions-they're all sort of abstract for him. He thinks of himself as a successor to James Dean-a Rebel without a Cause-when in reality he's more like an Eisenhower conservative. 'Consider the minority opinion,' he says into the rich man's tape recorder, 'but try to get along with the majority opinion once it's accepted.' He doesn't really believe any of this, but he envies the people who do, who can. He wants to be like them, like the rich man he locks in the closet, the only man he doesn't kill, the only man he sympathises with, and the one least in need of sympathy. It's not infrequently the people at the bottom who most vigorously defend the very rules that put and keep them there.
http://www.eskimo.com/~toates/malick/art6.html
Borges- Messages : 6044
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Cavell explique qu'il a été le directeur de master de Malick.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Inthinkable, un film honteux avec Samuel L. Jackson, annoncé par le télémoustique comme un série B américaine (avec ce que ça sous-entend donc). J'y cours donc les yeux fermés. Au final : traque d'un terroriste islamiste qui aurait placé 3 bombes atomiques aux USA, torture, mépris profond, racisme... sans rien remettre en question, évidemment (ou très peu, pour faire "film engagé"). Bref, il n'y a rien là-dedans qui ressemble à une série B, et ce malgré des producteurs et des distributeurs "indépendants".
Samuel L. Jackson y est ridicule, comme dans la plupart de ses derniers rôles. Je me demande bien ce qui peut lui passer par la tête pour accepter de jouer un "négociateur" ultra-violent. C'est complètement paradoxal, soit il a des problèmes d'argent, soit il est complètement c..
Samuel L. Jackson y est ridicule, comme dans la plupart de ses derniers rôles. Je me demande bien ce qui peut lui passer par la tête pour accepter de jouer un "négociateur" ultra-violent. C'est complètement paradoxal, soit il a des problèmes d'argent, soit il est complètement c..
Le_comte- Messages : 336
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
il a toujours été con; les acteurs afro-us (connus) soient ils jouent les comiques, soit les héros moraux, soit les violents...
trois bombes atomiques, c'est beaucoup, je trouve
trois bombes atomiques, c'est beaucoup, je trouve
Borges- Messages : 6044
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Il est passé faire sa tournée des banlieues françaises il y a quelque temps pour vendre du rêve à nos banlieusards, le communiqué de l'AFP faisait froid dans le dos.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
De bruit et de fureur de Brisseau, recommandé chaudement par un ami. J'ai toujours été fasciné par ses films, déstabilisé aussi. Je serais curieux de savoir ce que vous pensez de Brisseau (je crois avoir lu, une fois, que Borges ne l'aimait pas du tout, sans être sûr).
Le_comte- Messages : 336
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Brisseau; jamais réussi à voir tout un film de lui; de bruit et de fureur, j'en garde un souvenir assez mauvais, voire plus
Borges- Messages : 6044
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Le_comte a écrit:Politiquement ?
oui, si politiquement, veut dire, aussi, esthétiquement
Borges- Messages : 6044
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Oui oui... je vois ce que tu veux dire (un peu trop La haine ?)
Le_comte- Messages : 336
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Les élections en Belgique lolilol
Le_comte- Messages : 336
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