Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
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Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Straub : "Il faut le dire et redire sans cesse, FF Coppola est plus dangereux que Goebbels."
Borges- Messages : 6044
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Borges a écrit:
Straub : "Il faut le dire et redire sans cesse, FF Coppola est plus dangereux que Goebbels."
Hearts of darkness, un reportage d'Eleanor Coppola(l'épouse de FF) sur le tournage d'Apocalypse Now, elle explique dans l'extrait ci-dessous(il y a des chances que le contenu soit rejeté par dailymotion) que le tournage a lieu aux Philippines pour sa géographie proche de celle du Vietnam. L'armée américaine ayant refusé son implication dans un film sur la guerre du Vietnam, Coppola conclut un deal avec le dictateur philippin Ferdinand Marcos:
Les militaires et les pilotes seront grassement rétribués et leurs heures supplémentaires seront payées. En échange, les hélicoptères de l'armée sont mis à sa disposition tant que leur présence n'est pas requise pour combattre les rebelles communistes qui mènent une lutte armée dans le sud du pays.
(commentaires Eleanor Coppola)
Ferdinand Marcos, inscrit dans le Guiness book des records comme "plus grand voleur au monde" ; sa dictature tombe en 86: http://fr.wikipedia.org/wiki/Ferdinand_Marcos
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Je réponds à Careful (je retrouve plus son post): oui, la version "redux" c'est celle qui comporte 49 minutes de matériel supplémentaire.
(Pour Breaker: oui, l"encultom, c'est un gars de l'élite. Me souviens juste de son avatar, rien de ce qu'il écrit n'ayant jamais retenu mon attention. Mes "lol" sont toujours aussi craignos (c'est ma façon de glousser à tout propos, lol, et je concède en le confessant que ça peut agacer), mais son doigt d'honneur adressé à l'objectif, avec sa casquette de caillera à qui on la fait pas, c'est pas du tout craignos: ça fait gars de l'élite avec bcp de fraicheur.
"contre-courant": je vois pas, je ressens ce que je pense, et je pense ce que je ressens. Et mon but n'est pas de faire de la "critique", suivie d'une cotation arithmétique, comme les petits comptables d'à côté, qui croient que c'est arrivé.
Bosse de nage. lol. Dans la série "occupe toi de ta poutre", il est bien gratiné comme cuistre infatué. On peut contempler une prise de bec entre lui et l'encultom à propos de musique, et visiblement ces deux délicats avaient besoin d'exsuder leur petite rage frustrée sur un tiers-exclu, mézigue, pour se rabibocher et se renforcer dans le sentiment d'être deux cadors qui disent des trucs intéressants.
Mais je m'inquiète pas: ce sont ni les premiers ni les derniers à me lire d'un point de vue "littéral". Dans le jargon de notre profession, nous appelons ça "constipation".
Le Boss de Nage, y me fait d’ailleurs penser à Rotor: visiblement un érudit qui est plongé dans ses "travaux d'écriture" (lol).
Passons, la vie est courte.)
(Pour Breaker: oui, l"encultom, c'est un gars de l'élite. Me souviens juste de son avatar, rien de ce qu'il écrit n'ayant jamais retenu mon attention. Mes "lol" sont toujours aussi craignos (c'est ma façon de glousser à tout propos, lol, et je concède en le confessant que ça peut agacer), mais son doigt d'honneur adressé à l'objectif, avec sa casquette de caillera à qui on la fait pas, c'est pas du tout craignos: ça fait gars de l'élite avec bcp de fraicheur.
"contre-courant": je vois pas, je ressens ce que je pense, et je pense ce que je ressens. Et mon but n'est pas de faire de la "critique", suivie d'une cotation arithmétique, comme les petits comptables d'à côté, qui croient que c'est arrivé.
Bosse de nage. lol. Dans la série "occupe toi de ta poutre", il est bien gratiné comme cuistre infatué. On peut contempler une prise de bec entre lui et l'encultom à propos de musique, et visiblement ces deux délicats avaient besoin d'exsuder leur petite rage frustrée sur un tiers-exclu, mézigue, pour se rabibocher et se renforcer dans le sentiment d'être deux cadors qui disent des trucs intéressants.
Mais je m'inquiète pas: ce sont ni les premiers ni les derniers à me lire d'un point de vue "littéral". Dans le jargon de notre profession, nous appelons ça "constipation".
Le Boss de Nage, y me fait d’ailleurs penser à Rotor: visiblement un érudit qui est plongé dans ses "travaux d'écriture" (lol).
Passons, la vie est courte.)
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Addendum:
ceux qui me lisent de temps à autre ne seront en rien surpris de ce billet sur AN. ça rejoint plusieurs développements continus sur ce qu'on nomme les films de guerre ou sur la guerre (on sait plus trop), genre à part entière que je considère généralement comme un concentré de merde à l'état chimiquement pur.
J'ai longuement argumenté ce qui n'est pas qu'une impression "basique" dans mes billets sur Redacted et Hurt Locker, et ce que je dis à leur propos s'applique avec des variantes mineures à AN, Platoon, Rambo, Voyage au bout de l'enfer, etc.
Un des rares films "de guerre" qui me paraît estimable est "Requiem pour un massacre" de Klimov, vu y a pas longtemps également (avec un bémol sur le final patriotique). Je développerai à l'occasion.
Que ça passe pour une façon snobinarde de se la jouer à "contre-courant" aux yeux de deux ou trois "geeks" autoproclamés (qui font bcp de tort à cette culture qu'on nomme "geek", car si quelque chose comme une "culture geek" existe, ça ne consiste pas à glorifier systématiquement des merdes au nom de sa petite jouissance de petit consommateur compulsif d'objets collector-merchandising. Non, des "geeks", j'en vois peu, ici et là, je vois surtout des petits gagneurs à cran d'arrêt, bis repetitas placet), ça me soucie peu, même si je trouve ça instructif. Comme le fait que pas mal se soient reconnus, en versant une larmichette, dans le dernier Fincher. ça concerne pas le boss de nage. Le boss de nage, c'est autre chose: c'est le mépris altier des mecs vraiment cons qui se croient sortis de la cuisse de Jupiter parce qu'ils ont quelques paillettes de culture du côté du "mieux disant" culturel. C'est ce genre de crétin onctueux qui m'épate le plus. Bisou. Ah bigre, ses traces de pneus ont disparu.
Là-dessus, je m'en vais comme un prince. M'acheter des clopes.
ceux qui me lisent de temps à autre ne seront en rien surpris de ce billet sur AN. ça rejoint plusieurs développements continus sur ce qu'on nomme les films de guerre ou sur la guerre (on sait plus trop), genre à part entière que je considère généralement comme un concentré de merde à l'état chimiquement pur.
J'ai longuement argumenté ce qui n'est pas qu'une impression "basique" dans mes billets sur Redacted et Hurt Locker, et ce que je dis à leur propos s'applique avec des variantes mineures à AN, Platoon, Rambo, Voyage au bout de l'enfer, etc.
Un des rares films "de guerre" qui me paraît estimable est "Requiem pour un massacre" de Klimov, vu y a pas longtemps également (avec un bémol sur le final patriotique). Je développerai à l'occasion.
Que ça passe pour une façon snobinarde de se la jouer à "contre-courant" aux yeux de deux ou trois "geeks" autoproclamés (qui font bcp de tort à cette culture qu'on nomme "geek", car si quelque chose comme une "culture geek" existe, ça ne consiste pas à glorifier systématiquement des merdes au nom de sa petite jouissance de petit consommateur compulsif d'objets collector-merchandising. Non, des "geeks", j'en vois peu, ici et là, je vois surtout des petits gagneurs à cran d'arrêt, bis repetitas placet), ça me soucie peu, même si je trouve ça instructif. Comme le fait que pas mal se soient reconnus, en versant une larmichette, dans le dernier Fincher. ça concerne pas le boss de nage. Le boss de nage, c'est autre chose: c'est le mépris altier des mecs vraiment cons qui se croient sortis de la cuisse de Jupiter parce qu'ils ont quelques paillettes de culture du côté du "mieux disant" culturel. C'est ce genre de crétin onctueux qui m'épate le plus. Bisou. Ah bigre, ses traces de pneus ont disparu.
Là-dessus, je m'en vais comme un prince. M'acheter des clopes.
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
ps: ok, je vois. Merci pour ces précisions Breaker, Jerzy.
careful- Messages : 690
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Attention les yeux :
THE LADY :
THE IRON LADY :
Deux conceptions de la démocratie, une seule de la propagande.
THE LADY :
THE IRON LADY :
Deux conceptions de la démocratie, une seule de la propagande.
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Le teaser de The Lady ressemble à un film de propagande chinois de la plus belle époque (voire également l'affiche : http://files.fluctuat.net/images/cms_flu/8/8/1/0/50188/63435.jpg), c'est la petite mère des peuple désignée guide suprême de la foule numérique.
Celui de The Iron Lady met l'accent sur le ton, la posture médiatique, Thatcher fini dans le halo des projecteurs qui renvoient dans le noir la foule des spectateurs-citoyens. L'apparition de la star est repoussée le plus tard possible, pour ménager le suspens tout à fait artificiel, on n'en peut plus d'attendre, vite, montrez-nous comme Streep est bien grimée, bien maquillée, comme l'effet est saisissant.
Procédé puéril auquel on préfèrera la puissance d'évocation du hors-champ dans Hunger, quand, de la dame de fer, l'on entendait que la voix métallique et implacable qui martelait le même message à Bobby Sands et à ses camarades.
Celui de The Iron Lady met l'accent sur le ton, la posture médiatique, Thatcher fini dans le halo des projecteurs qui renvoient dans le noir la foule des spectateurs-citoyens. L'apparition de la star est repoussée le plus tard possible, pour ménager le suspens tout à fait artificiel, on n'en peut plus d'attendre, vite, montrez-nous comme Streep est bien grimée, bien maquillée, comme l'effet est saisissant.
Procédé puéril auquel on préfèrera la puissance d'évocation du hors-champ dans Hunger, quand, de la dame de fer, l'on entendait que la voix métallique et implacable qui martelait le même message à Bobby Sands et à ses camarades.
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Vu cet été :
Mélancholia : c'est naze mais ça fait son effet (forcément : la fin du monde, sur du Wagner ! Et après les critiques s'étouffent pas en écrivant que von Trier a fait, pour une fois, dans la sobriété.)
Captain America : d'un ennui à toute épreuve. Mais pour ce qui est de la "production design" (signée Rick Heinrichs), c'est hyper chouette.
La planète des singes, les origines : parfaitement divertissant. Je ne m'y attendais pas, et j'ai trouvé ça prenant d'un bout à l'autre. L'intérêt tient sans doute à la nature équivoque du héros, le singe César, simultanément attachant et inquiétant tout au long du film. Les effets spéciaux restent moches, de mon point de vue, mais le film est assez vif pour que je n'y aie pas fait trop attention.
Mélancholia : c'est naze mais ça fait son effet (forcément : la fin du monde, sur du Wagner ! Et après les critiques s'étouffent pas en écrivant que von Trier a fait, pour une fois, dans la sobriété.)
Captain America : d'un ennui à toute épreuve. Mais pour ce qui est de la "production design" (signée Rick Heinrichs), c'est hyper chouette.
La planète des singes, les origines : parfaitement divertissant. Je ne m'y attendais pas, et j'ai trouvé ça prenant d'un bout à l'autre. L'intérêt tient sans doute à la nature équivoque du héros, le singe César, simultanément attachant et inquiétant tout au long du film. Les effets spéciaux restent moches, de mon point de vue, mais le film est assez vif pour que je n'y aie pas fait trop attention.
Eyquem- Messages : 3126
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Bah dis-donc, ton Cahier de Vacances n'est pas très reluisant! :p
Dans les films de l'été, on a eu aussi un bon Almodovar et un médiocre Téchiné.
Melancholia : le prologue avec ces tableaux animés au ralenti, tellement pouêtiques, ca aurait fai tune belle expo d'art contemporain. Le reste...
Dans les ressorties parisiennes, j'ai pris le temps d'aller voir les Miracles à Lisbonne, impressionnant à tous points de vue mais j'ai pas trouvé ça très émouvant. Il y a un topic sur ce film?
il faut aussi que j'aille voir Man's favourite sport, rien que pour faire plaisir à Borges
Dans les films de l'été, on a eu aussi un bon Almodovar et un médiocre Téchiné.
Melancholia : le prologue avec ces tableaux animés au ralenti, tellement pouêtiques, ca aurait fai tune belle expo d'art contemporain. Le reste...
Dans les ressorties parisiennes, j'ai pris le temps d'aller voir les Miracles à Lisbonne, impressionnant à tous points de vue mais j'ai pas trouvé ça très émouvant. Il y a un topic sur ce film?
il faut aussi que j'aille voir Man's favourite sport, rien que pour faire plaisir à Borges
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
lol, c'est un truc bien connu, mais la démonstration est assez sidérante.
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Dr. Apfelgluck a écrit:
Et moi qui pensais bien connaître la partition de J Williams...
gertrud04- Messages : 241
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
J'aime bien certains Almodovar, sans en être fou. Mais celui-là m'a semblé nanardesque d'un bout à l'autre. Il y a beaucoup de scènes extrêmement risquées et je suis pas sûr qu'elles en vaillent la chandelle.Dans les films de l'été, on a eu aussi un bon Almodovar
Le seul truc que je me suis dit en voyant ce film tiré à quatre épingles, c'est qu'il y avait trop d'argent dans le cinéma.
Eyquem- Messages : 3126
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
"La mujer sin piano" un film espagnol, pas le dernier Almodovar.un film "contemplatif" , l'histoire tient en peu de lignes mais j'ai bien aimé ce film. L'histoire d'une femme qui le temps d'une nuit va fuir sa vie pour faire une escapade certains trouveront le film lent ennuyeux mais j'aime ce cinéma.bon je suis un peuà court d'arguments je n'ai pas trop le temps en plus en ce moment mais je suis contente d'avoir vu ce film.
Maya- Messages : 280
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
"Bridesmaids" : super drôle ; et sur l'amitié, ça touche juste, comme "Supergrave".
Eyquem- Messages : 3126
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Eyquem a écrit:
"Bridesmaids" : super drôle ; et sur l'amitié, ça touche juste, comme "Supergrave".
Salut Eyquem,
Toute cette petite bande du Saturday N.L s'en sort pas trop mal sur grand écran (hormis Zack Galifianakis) ; Bill Hader, Kristen Wiig (ces deux derniers jouaient dans Adventurland*), Maya Rudolph par exemple.
Je me souviens d'un duo, qu'on retrouve justement dans Bridesmaids, entre Kristen (qui a co ecrit le film) et Jon Hamm de Mad Men dans le SNL.
Je ne connaissais pas Melissa McCarthy, ni le réalisateur Paul Feig (qui ressemble à un rejeton de Billy Wilder). Apparemment il a réalisé quelques épisodes de cette chère série Freaks & Geeks.
Rien lu d' intéressant au sujet de ce genre de comédie pour l'instant. Hormis les textes publiés par Lorin au sujet d'Apatow. J'ai cru comprendre que ce dernier avait un rapport avec ce film, ax dires des amis espagnoles qui m'avaient recommandé ce long. J'ai rien compris à leurs parallèles entre Apatow et le cinéma d'un certain Emilio Aragón Comme disait Jerzy, il faudrait que je me motive un jour à ouvrir le livre de Burdeau sur Apatow.Je concours volontiers à cette réactualisation des formes zygomatiques dans la mesure où je peux dépareiller les comptes de ces sentiments moraux new age.
D'ailleurs, sur tes conseilles, Breaker,"Bon à tirer", m'a bien ennuyé. Contrairement à La voix de son maître
*
Vu dans la foulé, tel un sportif invulnérable des plages, Welcome to the Rileys de Jake Scott, fils de Ridley dit on encore.
Catastrophique.
Le regard ininterrompu de James Gandolfini, pourtant, écrasé par la stabilité des horizons coppolaniennes fille, est un sheme des pires trucs de Sundance. Le gars doit tourner un biopic de Jeff Buckley. Points de suspension.
Je hais l'été.
(comme quoi ici, reconnaitre ce n'est pas connaitre. Au vu de ce cliché - trop- bienveillant de Gandolfini Soprano, vous aurez reconnu Kristen Stewart, tjrs dans Adventurland. Qui a dit "Comment je suis arrivé à Hollywood ? Par le train.")
Dernière édition par Careful le Lun 5 Sep 2011 - 17:57, édité 1 fois
careful- Messages : 690
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
John Ford.Careful a écrit:Qui a dit "Comment je suis arrivé à Hollywood ? Par le train.")
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
vus en dvd deux films de Guy Maddin : Careful et The saddest music in the world. très intrigants. j'ai peur de ne pas avoir bien saisi. j'aimerais bien les voir en grand.
vu This must be the place, de Sorrentino. border line. à certains moments beau et juste. à d'autres, un peu mièvre et too much. Sean Penn à l'unisson - parfois sublime. en verrais bien d'autres.
vais voir (j'espère) Habemus papam !
vu This must be the place, de Sorrentino. border line. à certains moments beau et juste. à d'autres, un peu mièvre et too much. Sean Penn à l'unisson - parfois sublime. en verrais bien d'autres.
vais voir (j'espère) Habemus papam !
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Guy Maddin; ai essayé, aucun intérêt, selon moi; une règle : quand on se dit qu'on doit voir un film en grand, c'est qu'il y a rien de grand à voir dans ce film...un grand film, c'est un film qui résiste aux pire conditions de sa vision, aux pire supports...
je commence à penser que ce topic n'était pas une bonne idée; au lieu d'ouvrir des topics sur les films vus, on écrit deux lignes... et ils passent à l'oubli...
je commence à penser que ce topic n'était pas une bonne idée; au lieu d'ouvrir des topics sur les films vus, on écrit deux lignes... et ils passent à l'oubli...
Borges- Messages : 6044
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Stéphane Pichelin a écrit:John Ford.
careful- Messages : 690
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
GRASS est le portrait féroce et plein d’humour d’un siècle de lutte contre la marijuana aux Etats Unis. Dès le début du 20 ème siècle c’est le début d’une véritable hystérie contre la « fumette »...
http://www.wildside.fr/films/fiche,grass,43
Ce que le film ne dit pas, c'est qu'il y a une invraisemblance culturelle à penser qu'on peut dépénaliser le cannabis, que c'est une drogue à l'opposé du mode de vie occidental, de consommation, du coca-cola, du McDo, du Fordisme, etc. Ce sont les grands effets négatifs de la marijuana, "la perte de mémoire" dit le Président Reagan...
Bref, plein d'archives rigolotes ; deux extraits sur les fameux effets du cannabis, selon The Official TRUTH:
en période électorale on devrait voir revenir dans le champ politique le débat sur la dépénalisation du cannabis, notamment lui, là:
http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/06/16/villepin-favorable-a-la-depenalisation-du-cannabis_1537132_3224.html
Invité- Invité
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
Coppola a voulu faire son "Twin Peaks" gothique ?
Dr. Apfelgluck- Messages : 469
Re: Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
De Nicolas Provost :
'Benvenutti a Lampedusa' is a short excerpt taken from my feature film 'The Invader'. This opening scene features fashion icon Hannelore Knuts.
'Benvenutti a Lampedusa' was exhibited at 'Commercial Break', a project curated by Neville Wakefield at the 54th Venice Biennale 2011.
The feature film 'The Invader' premieres at the Venice Film Festival 2011 as part of the Orizzonti competition.
careful- Messages : 690
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