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Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films

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Message par Dr. Apfelgluck Mer 25 Mai 2011 - 19:39

Vu "Train de nuit" de Jerzy Kawalerowicz. Je dois avouer avoir été beaucoup intrigué et touché.

Dans le train de Kawalerowicz, tout le monde est en fuite. On fuit les souvenirs, les amours, les morts, la foule. Pourtant les quais semblent parfois moins bondés que les couloirs des wagons-lits des premières ou les compartiments des secondes. On se frôle, on s'observe, on se jauge. Le train de nuit est une ville. Le sommeil est sans cesses troublé, les rêves sont donc interdits. Et ce rescapé de Buchenwald qui ne peut rejoindre son compartiment car il a peur des lits à étages et qui est donc condamné à rester dans le couloir ?
Les passagers doivent-ils donc rester lucides durant toute la durée du trajet ? Ce long trajet jusqu'à la mer, délivrance ultime de tout ce beau monde ?
On s'accuse, les préjugés refont finalement surface. La loi s'en-mêle. Les passagers, jusqu'alors anonymes, sont finalement nommés. La justice se fera finalement dans un cimetière.
Saisissante opposition également entre la femme de l'avocat et "l'inconnue" du compartiment 16. La plus âgée étant aguicheuse et la plus jeune réservée et pudique.

Outre les quais de gare, la Pologne n'existe pas. Elle n'est que champs labourés et mer agitée. Les cicatrices d'une guerre ? A chacun son cadavre.

Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films - Page 14 Train_de_nuit_photo


Dernière édition par Dr. Apfelgluck le Jeu 26 Mai 2011 - 12:11, édité 1 fois
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Message par Invité Jeu 26 Mai 2011 - 11:36

Merci Doc, je ne connaissais pas ce film; j’essaierai de le voir

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Message par Invité Jeu 26 Mai 2011 - 20:03

ma première question, serait: quelle dope Coppola prenait-il?, parce qu'il a l'air complètement barje, filmé par sa femme sur le tournage d'Apocalypse Now.
Je sais pas combien i donnent sur Froum de Culte, mais 5 sur 20 c'est la note que Coppola donne lui-même à Apocalypse Now.



Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films - Page 14 Hearts%20of%20darkness
Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films - Page 14 Coppola

Coppola, Milius, Brando, Sheen... quelle bande de trous de cul.

Le plus drôle de ce document sans doute, c'est toute la partie avec Brando sur le tournage, l'acteur a négocié un contrat à 1 million de dollars la semaine, il est complètement à côté des exigences de Coppola, il n'a rien lu du Conrad et c'est à partir de là que Coppola décide de tout improviser, cherchant la stature légendaire de Kurtz en pariant sur les monologues de Brando qui répond aux questions de Coppola pendant les scènes... A un moment Brando manque de s'étouffer en avalant une mouche, ce qui convient peu à la recherche de l'Apocalypse et Coppola ne retiendra pas la scène... lol


C'est drôle, non?!

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Message par Invité Dim 29 Mai 2011 - 10:18

deux films de l'immédiate après guerre, réalisés par Joseph H Lewis _ cinéaste de série B, s'il en est un _ qui dans leurs récits respectifs, ébauchent des réflexions sur le conflit et ses belligérants, sous entendent une vision, une re-vision, réévaluation, de l'Histoire récente d'alors;

en 1946, Lewis s'attache à reconstruire une portion de France dans so dark the night: en premier lieu une scène d'introduction dans la capitale, bureau du quai des orfèvres et rue mitoyenne, pour ensuite visiter un village de province bordé d'une rivière (qui rappelle celui vu dans un film de Walsh avec Errol flynn, Uncertain Glory (44)), cependant les personnages gravitent essentiellement autour et à l'intérieur d'une auberge de studio.
Acteurs de seconde zone et pratique d'une langue mixant français et anglais (un anglais handicapé d'un accent imaginaire et typé pour les soins de la reconstitution) n'enthousiasment pas le spectateur d'ici et maintenant, d'ailleurs le réalisateur semble très à l'étroit, trop à l'étroit pour combiner ses superbes et purs déplacements latéraux.
Il y a quelques plans singuliers méritant l'attention: une vue isométrique menaçante et cérébrale tranchant avec le ton badin entretenu au début, dans le bureau d'un commissaire au numéro 36, caméra qui se substitue à un plafond, invisible, au dessus d'un ventilateur-silhouette noire-, le commissaire et un médecin discute des vacances à venir du plus célèbre des inspecteurs de la boîte (pas l'auguste Dupin, mais tout de même), premières vacances en 20 ans de carrière pour cet homme entièrement dédié à son sacerdoce.
Et vers la fin, une caméra incisive saisit le fameux enquêteur attablé à un bureau s'adonnant à une comparaison d'écritures; travelling avant sur son visage, la lumière de la lampe à ses côtés, hors champ, disparait, moment d'expressionnisme minimaliste, visage enténébré éclairé d'en dessous, mystérieusement, soudainement, puis retour à la normale: schizophrénie.
L'histoire brasse plusieurs genres, chronique rurale et bucolique, romance entravée, enquête, drame psychologique, les dévêtant les uns après les autres comme s'il s'agissait de se défaire de plusieurs peaux pour mieux cerner le cœur du problème, comment comprendre le comportement de la France pendant la guerre?
L'enquêteur est le nœud des tensions, des paradoxes, en vacance à la campagne, tombant amoureux d'une jeune femme versatile _promise à un autre qui a le tort de ne pouvoir lui offrir les mêmes perspectives (la vie échevelée parisienne, la mode, loin d'une morne existence de province, une vie)_; alors que se fêtent les prochaines fiançailles dans l'auberge, le père de la jeune femme, débouchant une hénaurme bouteille _ tout un symbole, ironique_ confie son inquiétude au policier de Paris, inquiétude considérant la différence d'âge entre sa fille (que symbolise t elle? personnifie t elle? une spectateur ricain épris d'exotisme et d'images d'Epinal ou/et un France naïve, jeune et innocente? les deux perhaps) et ce dernier: "too old! too old!" reviendra comme un leitmotiv étrange et comique plus tard.
Entretemps la jeune fille et son fiancé précédent sont retrouvés morts dans une ferme, assassinés, juste après la soirée; l'enquête est confiée au policier parisien, qui pour la première fois, se retrouve devant une énigme insurmontable, un crime sans suspects, ... autre que lui même.
Comme souvent chez Lewis, il faut briser une vitre, un second écran à l'intérieur du cadre par lequel auront été vu des éléments à remettre en perspective, pour accéder à la vérité; ainsi l'inspecteur en proie au délire d'une seconde personnalité, meurtrière, meurt en brisant la devanture de l'auberge, en s'écriant "too old! too old!" lol. L'âge du maréchal ou bien de la vieille Europe?



Il faut attendre deux ans pour que Lewis revienne à la mise en scène et nous propose un chouette film de cape et d'épée sans cape mais non exempt de moult moulinets, the swordsman avec des acteurs inconnus au bataillon, à part George Macready que l'on pourra revoir dans un film très actuel du même réalisateur, A Lady Without Passport. (may be continued lol)

http://www.sonypictures.com/homevideo/columbiaclassics/the-films/film.php?catalogid=27638&sphesku_index=0&upc=043396372856

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Message par Invité Mer 1 Juin 2011 - 16:03


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Message par Invité Mer 8 Juin 2011 - 4:04

(re)vu au ciné club A nos amours de Pialat.

Les plus jeunes ont été désorientés par le côté réalisme sans fard du film.

Pour moi la magie Sandrine Bonnaire opère toujours, peut être tout simplement car elle est vue sous le regard ( tutélaire ) de Pialat ( voir sous le regard d'un tiers est le propre envoûtant du cinéma ).

Au delà de ces péripéties périphériques j'ai té étonné de trouver dans ce "fourbi" des éléments picturaux qui donnent à penser comment tout le film a été conçu et préparé minutieusement.

Contrairement aux "ados" rien trouvé d'inabouti sauf ici ou là une ellipse ... elliptique.

En revanche le côté non "fini" du film ( qui lui tient de propos ) ces rapports humains qui se dessinent de façon de plus en plus sérrée entre le père et la fille ( le réalisateur et son interprète ), le côté psychanalyse à deux balles, l'identification, l'idéalisation du père, le côté oedipien, incestueux m'avaient déjà touché la première fois et plus encore celle ci.

J'adore le vent de liberté triste qui règne sur le film. Un plan : Suzanne est sous l'abri bus à Paris, il pleut à verse. Le silence se fait. La voix de Klaus Nomi s'élève comme au début, en plein soleil ( impressionniste ).

Suzanne ? Simonin.

Exit le mythe de Pialat débarquant impromptu sur le plateau lors de la fête familiale. Cela ne résiste pas à un examen minutieux du découpage.

En revanche, très bonne l'idée de cet arpenteur qui accompagne Maurice Pialat pour prendre la mesure des dégâts... et des choses mortes ...

ps : les deux parents ont fui la Pologne ; ils travaillent la fourrure dans la sentier : je me suis demandé quel était le rapport avec le mileu juif.

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Message par Eyquem Mer 8 Juin 2011 - 9:24

salut,
ps : les deux parents ont fui la Pologne ; ils travaillent la fourrure dans la sentier : je me suis demandé quel était le rapport avec le mileu juif.
Je crois que c'est plus ou moins l'histoire d'Arlette Langmann, la scénariste, soeur de Claude Berri (Besnehard, dans le film)
Issu d'une famille juive ashkénaze, Claude Berri est le fils d'un fourreur polonais et d'une ouvrière roumaine[3] installés à Paris, habitant au no 8 du passage du Désir, dans le 10e arrondissement. (wiki)
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Message par Invité Mer 8 Juin 2011 - 10:18

merci

Wink

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Message par Invité Jeu 9 Juin 2011 - 12:33

je me suis aussi demandé si le prénom Suzanne ne venait pas d'une autre scénariste de la nouvelle vague, Suzanne Schiffmann, elle aussi juive et d'origine polonaise.

mais je me suis mis en tête que c'était peut être un hommage à la religieuse de Rivette, film longtemps interdit - et quelle puissance - Suzanne Simonin.

je me tâte.

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Message par Dr. Apfelgluck Jeu 9 Juin 2011 - 15:55

Vu "Il seme dell'uomo" de Ferreri.

Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films - Page 14 Semencedelhomme02

Anne Wiazemsky et Marco Margine : les Adam et Eve du monde post-apocalyptique ? Oui, mais Eve est indisposée.

Film très peu connu de Ferreri, et pourtant intriguant. C'est donc la troisième guerre mondiale, la fin. Londres est en feu et le Pape se meure de la peste à Rome tandis que, dans les ruines du Vatican, une statue de la Vierge à l'enfant s'est faite décapitée. Ferreri fait alors défiler, par le biais de la télévision du couple, des images de la Seconde Guerre Mondiale (destruction de Varsovie, Blitz londonien). Images noir et blanc du passé, mais qui servent à illustrer l'actualité. Le Vietnam est aussi là, évidemment.

Dans leur errance, le couple finit donc par tomber sur une maison abandonnée près d'une plage. Un drôle de jardin d'Eden où les baleines viennent s'échouer. Signe de mauvais présages, selon Elle. Lui, il n'a qu'une seule obsession : faire un enfant. Il faut repeupler le monde. Mais Elle ne veut pas. Elle veut la solitude, la tranquillité. Lui ne pense qu'à collectionner des "objets du passé" pour mieux se construire un avenir hypothétique. Elle et Lui ne finiront par plus se comprendre. Lui ne cesse d'étudier alors qu'Elle chasse et s'occupe de ramener la nourriture du couple. Quand ils croient être repérés par un dirigeable, planche de salut pour quitter cette plage, il s'agit en fait d'une bouteille de coca cola géante avec l'inscription "Merry Xmas". Pourtant la "Sainte Fécondation" n'est pas encore arrivée et le temps de l'accouchement n'est pas encore venu.
Viendra finalement l'élément perturbateur : une femme solitaire, en manque de contact humain et de repères, qui vient s'immiscer dans le couple. Fécondable et désirable, elle finira par être supprimée par Elle. Cette dernière ne croit pas au salut de l'Homme et, surtout, ne le veut pas.

Quand Elle sera finalement fécondée à son insu, Elle va se replier sur elle-même avant d'exploser. Le tout à côté d'un squelette de baleine, évidement.
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Message par Dr. Apfelgluck Mar 21 Juin 2011 - 12:12

Surréaliste : Coppola a donné une interview au "magazine" suisse Coop. Pour les français, la Coop est une coopérative suisse de grande distribution. C'est un peu comme s'il aurait donné une interview pour "Intermarché magazine" ou quelque chose comme cela.

Pas question de cinéma, mais de l'avenir de l'Amérique et du Monde. Sans oublier la Californie qui est le Paradis sur terre selon Francis :

J'ai une opinion éminemment positive de l'Amérique. Aujourd'hui, les regards sont tournés vers les grands pays émergents comme l'Inde ou la Chine, sans oublier le Brésil, un très grand pays aux ressources fantastiques. La Turquie est, elle aussi, un grand pays avec une extraordinaire tradition artisanale. Les Turcs ont toujours créé des choses magnifiques et leur pays est un superbe exemple d'économie nouvelle et prometteuse.

Vous savez, les Etats-Unis sont au premier plan depuis au moins un siècle, leur économie est toujours énorme, avec une longue tradition d'innovation et de production. La situation géographique du pays est exceptionnelle, il touche les deux océans, l'Atlantique et le Pacifique. L'Amérique est aussi un des rares pays à réussir à absorber les immigrés et me semble plus que jamais à l'aise avec tous ces gens différents.

La Californie doit essayer de résoudre les mêmes problèmes économiques que l'Espagne, la Grèce, le Portugal ou la France, et trouver l'équilibre en termes de prestations et de revenus. Mais j'ai confiance, nous allons nous en sortir. La Californie redeviendra alors un des Etats les plus merveilleux où vivre.

Je pense que le monde de 2020 sera très différent de celui de 2011. Mais encore une fois, je suis optimise et je crois en l'odyssée de l'homme, qui va toujours vers le meilleur. J'ai hâte de voir ce qu'il en sera.

De plus en plus de pays ressemblent à l'Amérique, avec sa diversité, ses opportunités, sa liberté, son émancipation des vieux schémas de classes et de familles d'héritiers. Je pense que les Etats-Unis représentent un objectif que le monde pourrait atteindre. Il est bien entendu que notre histoire n'a pas toujours été rose. Nous nous sommes désignés comme les gentils, et souvent, dans le passé, nous ne l'avons pas été. Quoi qu'il en soit, je pense que le coeur de l'Amérique est pur. Et que, même, il s'agit d'un bon indice sur ce que l'avenir du monde pourrait être
.
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Message par Largo Mar 21 Juin 2011 - 13:02

Ah ouais, quand même ! Ca me rappelle les conneries de Kitano citées par ici il y a peu. T'as un lien ?

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Message par Dr. Apfelgluck Mar 21 Juin 2011 - 13:13

Largo a écrit:Ah ouais, quand même ! Ca me rappelle les conneries de Kitano citées par ici il y a peu. T'as un lien ?


J'ai trouvé un PDF ici :
http://epaper.cooperation-online.ch/img/issue/201125f/pdf/201125f_11.pdf?CFID=23602330&CFTOKEN=e8dcecbd1211d460-B252CA63-C7C7-E94F-3F80C043CAD71382

Cela se passe à la page 100.

C'est dur à dire, mais je le préférais quand il était cocaïnomane.
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Message par Invité Mar 21 Juin 2011 - 18:52


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Message par Invité Mar 21 Juin 2011 - 19:11

je n'ai pas pu lire le lien mais je ne comprends pas trop votre moue.
Coppola est sur le retour et s'appuie maintenant sur les valeurs qui l'ont propulsé en Amérique et ailleurs.

humain. trop humain.

depuis que j'ai lu le livre de Iannis Katsahnias, outre son cinéma qui m'a intéressé du début à la fin - contrairement au cassant breaker - le personnage me touche.

ces propos jetés - à qui ? - ne vont pas changer la donne.

( courage, si tu veux te lancer dans l'exégèse des publications d'internet !!!! ).

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Message par Invité Mar 21 Juin 2011 - 19:17

erwan, quand sort ce "human desire" ?

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Message par Dr. Apfelgluck Mar 21 Juin 2011 - 19:18

Attention, j'aime aussi beaucoup le cinéma de Coppola. Le personnage, je le connais par contre beaucoup moins, hormis ses mésaventures dans la jungle et sa mégalomanie durant les 70's.

A la base, j'ai voulu poster cela car ca m'avait très intrigué qu'il donne une interview pour ce genre de tout ménages suisse gratuit où les articles sont pour la plus part du temps très cucul (c'est comme cela que j'ai eu vent de l'existence de cette interview).
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Message par Invité Mar 21 Juin 2011 - 19:32

je croyais effectivement avoir compris ça.

Wink


pour Croneberg la bande annonce est très excitante : ce classicisme, ces costumes, cette reconstitution, postiche, cigares, cheveux huilés ... qui laissent à prévoir des tangentes moins conventionnelles de la fiction.

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Message par Invité Mer 22 Juin 2011 - 8:25

A dangerous method sortirait en novembre d'après l'Imdb. et je suis beaucoup moins optimiste que toi ! Wink


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Message par Invité Mer 22 Juin 2011 - 9:19

ah bon tu as des infos ? et puis même un "mauvais" Cronenberg est toujours excitant, non ?

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Message par Largo Mer 22 Juin 2011 - 9:36

Cronenberg tourne en ce moment son prochain film : Cosmopolis (adaptation de De Lillo) :

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Message par Invité Mer 22 Juin 2011 - 10:14

tant mieux et joli plan !

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Message par Invité Jeu 23 Juin 2011 - 10:40

slimfast a écrit:ah bon tu as des infos ? et puis même un "mauvais" Cronenberg est toujours excitant, non ?

tu peux toujours jeter un oeil par ici si tu as du temps - et y ajouter ta touche perso ! Wink


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Message par Largo Jeu 23 Juin 2011 - 12:55

Autre toute nouvelle bande-annonce d'un film attendu :



Basketball
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Message par Largo Ven 24 Juin 2011 - 11:28

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X. Beauvoix en Louis XVI pour le film sur Marie-Antoinette de B. Jacquot. Rolling Eyes

Autres photos ici : http://ht.ly/5po4m
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