Revue de textes
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Revue de textes
Hello,
J'ouvre un sujet pour poster et discuter des articles en rapport avec le cinéma que l'on peut lire ici ou là sur le net.
J'ouvre un sujet pour poster et discuter des articles en rapport avec le cinéma que l'on peut lire ici ou là sur le net.
Invité- Invité
Re: Revue de textes
Un texte à propos de Z32, le nouveau film d'A. Mograbi.
A lire aussi, les commentaires..
A lire aussi, les commentaires..
Invité- Invité
Re: Revue de textes
Il est pas mal cet article, il descript assez bien la démarche de Mograbi je trouve. Les commentaires c'est déjà bien moins passionnant, si ce n'est les 2 liens vers Mediapart et l'interview de Folman !
http://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/180209/au-dela-de-la-guerre-enquete-sur-la-puissance-et-la-diversite-du-cinema
http://www.lemonde.fr/cinema/article/2009/02/17/ari-folman-je-n-ai-jamais-rien-vu-qui-ressemble-a-cela-meme-chez-avi-mograbi_1156572_3476.html
http://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/180209/au-dela-de-la-guerre-enquete-sur-la-puissance-et-la-diversite-du-cinema
http://www.lemonde.fr/cinema/article/2009/02/17/ari-folman-je-n-ai-jamais-rien-vu-qui-ressemble-a-cela-meme-chez-avi-mograbi_1156572_3476.html
Re: Revue de textes
Une interview de Folman où il montre bien ses limites d'ailleurs. Tu en penses quoi Raphaël, toi qui a vu Z32 ?
dreampeace- Messages : 140
Re: Revue de textes
En fait le lien médiapart est payant...
Sinon, l'interview, ce que j'en pense ? Et bien, les deux films sont complètement opposés. Mograbi se pose explicitement toutes les questions que Folman élude plus ou moins, donc ca m'étonne pas que ce dernier le trouve "compliqué"...
Rien que son insistance sur la nuance entre opération punitive/guerre prouve qu'il a du se sentir visé par Mograbi, ce qui l'incite à dire "moi c'était pas pareil", "je comprends pas pourquoi le soldat témoigne etc"...
Sinon, l'interview, ce que j'en pense ? Et bien, les deux films sont complètement opposés. Mograbi se pose explicitement toutes les questions que Folman élude plus ou moins, donc ca m'étonne pas que ce dernier le trouve "compliqué"...
Rien que son insistance sur la nuance entre opération punitive/guerre prouve qu'il a du se sentir visé par Mograbi, ce qui l'incite à dire "moi c'était pas pareil", "je comprends pas pourquoi le soldat témoigne etc"...
Re: Revue de textes
Un article de Télérama : http://www.telerama.fr/cinema/seul-contre-tous,39512.php
Où l'on apprend que Z32 ne sortira pas dans les salles en Israel et que Valse avec Bachir a réalisé 100 000 entrées...
Où l'on apprend que Z32 ne sortira pas dans les salles en Israel et que Valse avec Bachir a réalisé 100 000 entrées...
Re: Revue de textes
Un article qui a l'air un peu plus creusé sur le dernier Eastwood que le reste des lauriers :
http://www.laviedesidees.fr/Clint-Eastwood-ou-les-grognements.html
(Pas encore lu)
http://www.laviedesidees.fr/Clint-Eastwood-ou-les-grognements.html
(Pas encore lu)
Re: Revue de textes
Un autre interview de Folman par ce petit dandy prétentieux et sans talent qu'est Julien Gester : http://www.lesinrocks.com/actualite/actu-article/article/folman-iles-oscars-cest-un-luna-park-monte-sur-hydrocarburesi/
Une petite perle : Slumdog Millionaire ? "C’est très amusant, du pur fun. Des cinq nommés pour le meilleur film, c’était mon préféré"
Et aussi le monsieur qui crache sur les Oscars après être reparti bredouille. On attend le même interview après sa défaîte aux Césars
Une petite perle : Slumdog Millionaire ? "C’est très amusant, du pur fun. Des cinq nommés pour le meilleur film, c’était mon préféré"
Et aussi le monsieur qui crache sur les Oscars après être reparti bredouille. On attend le même interview après sa défaîte aux Césars
Re: Revue de textes
La critique de Z32 par Mandelbaum dans Le Monde, plus intéressante que d'habitude : http://www.lafermedubuisson.com/IMG/pdf/Z32_-_Jacques_Mandelbaum_-_Le_Monde.pdf
Re: Revue de textes
Du blablablabla idéologique, tu veux dire? Des lieux communs, sur la tragédie israélienne, le passage de la morale grecque à la judéo-chrétienne, tellement plus humaniste, et qui s'accomplit à merveille, dans Levinas, la super conscience morale, qui a perdu, faut pas oublier de le dire, et redire, ses parents dans les camps ; et le visage, qui commande de ne pas tuer ; notons le tour de magie : c'est pas le visage des types assassinés dont nous parle le critique, mais de celui de l'assassin, le nouveau Raskolnikov, naturellement traumatisé; si bien que le film devient un débat interne israélien, une affaire » judéo-chrétienne »... blablablabla...crime et châtiment, rédemption, et pardon, et l’amour, la petite amie qui aide… comme la pute dans le roman de Dostoïevski, dont Levinas fut un grand lecteur…
Ca se dit ça?
Quel étrange lapsus?
Filmer un homme qui demande le pardon, serait-il un ennemi politique, c'est se mettre dans l'obligation, non de le pardonner en lieu et place de ses victimes, mais de lui rendre le visage qu'il a perdu pour permettre à ce pardon d'être justement "envisagé".
Ca se dit ça?
Quel étrange lapsus?
Borges- Messages : 6044
Re: Revue de textes
lol, je m'y attendais
Juste qu'il cite Levinas, et que, ne l'ayant pas lu, j'ai trouvé ça intéressant.
Juste qu'il cite Levinas, et que, ne l'ayant pas lu, j'ai trouvé ça intéressant.
Re: Revue de textes
Largo a écrit:lol, je m'y attendais
Juste qu'il cite Levinas, et que, ne l'ayant pas lu, j'ai trouvé ça intéressant.
Citer Lévinas, dans un certain sens, dans certains contextes, c'est un réflexe, idéologique, parfois; Ils citent tous Levinas. Le mec ne doit pas l'avoir lu plus que ça; par exemple, Lévinas c'est pas un humaniste, au sens ordinaire du mot; sa pensée est aussi une critique de l'humanisme, de la liberté...
Derrida quelque part trouvait triste comment cette pensée exigeante, forte, avait été transformé en lieux communs, sans parler des récupérations "intégristes".
Borges- Messages : 6044
Re: Revue de textes
Dans "Route 181", il y a ce jeune soldat israëlien au sommet d'un tank qui parle avec Sivan qui est en-bas, qui lui dit qu'il lit pour passer le temps : "notre monde est kafkaïen. Dans une nouvelle de Kafka, un homme attend à une barrière. Le garde lui dit qu'il lui suffit d'enfreindre la loi pour passer. Bref, il n'y a pas de loi." Sivan lui demande si il a déjà entendu parler d'Arendt, de la "banalité du mal", beaucoup de petites actions qui font un grand mal... le mec comprend pas.
(retrouvé précisément à partir de là)
juste pour dire qu'on peut aussi citer Kafka, et être en haut d'un char..
(retrouvé précisément à partir de là)
juste pour dire qu'on peut aussi citer Kafka, et être en haut d'un char..
Invité- Invité
Re: Revue de textes
très amusante, cette lecture du haut d'un char de la parabole"devant la loi", pas du tout celle de Derrida, par exemple...
Elle est lue au début de "Le Procès" de Welles...par Welles, lui-même.
Elle est lue au début de "Le Procès" de Welles...par Welles, lui-même.
Devant la loi — F. Kafka
Devant la loi se dresse le gardien de la porte. Un homme de la campagne se présente et demande à entrer dans la loi. Mais le gardien dit que pour l'instant il ne peut pas lui accorder l'entrée. L'homme réfléchit, puis demande s'il lui sera permis d'entrer plus tard. «C'est possible», dit le gardien, «mais pas maintenant». Le gardien s'efface devant la porte, ouverte comme toujours, et l'homme se baisse pour regarder à l'intérieur. Le gardien s'en aperçoit, et rit. «Si cela t'attire tellement», dit-il, «essaie donc d'entrer malgré ma défense. Mais retiens ceci: je suis puissant. Et je ne suis que le dernier des gardiens. Devant chaque salle il y a des gardiens de plus en plus puissants, je ne puis même pas supporter l'aspect du troisième après moi.» L'homme de la campagne ne s'attendait pas à de telles difficultés; la loi ne doit-elle pas être accessible à tous et toujours, mais comme il regarde maintenant de plus près le gardien dans son manteau de fourrure, avec son nez pointu, sa barbe de Tartare longue et maigre et noire, il en arrive à préférer d'attendre, jusqu'à ce qu'on lui accorde la permission d'entrer. Le gardien lui donne un tabouret et le fait asseoir auprès de la porte, un peu à l'écart. Là, il reste assis des jours, des années. Il fait de nombreuses tentatives pour être admis à l'intérieur, et fatigue le gardien de ses prières. Parfois, le gardien fait subir à l'homme de petits interrogatoires, il le questionne sur sa patrie et sur beaucoup d'autres choses, mais ce sont là questions posées avec indifférence à la manière des grands seigneurs. Et il finit par lui répéter qu'il ne peut pas encore le faire entrer. L'homme, qui s'était bien équipé pour le voyage, emploie tous les moyens, si coûteux soient-ils, afin de corrompre le gardien. Celui-ci accepte tout, c'est vrai, mais il ajoute: «J'accepte seulement afin que tu sois bien persuadé que tu n'as rien omis». Des années et des années durant, l'homme observe le gardien presque sans interruption. Il oublie les autres gardiens. Le premier lui semble être le seul obstacle. Les premières années, il maudit sa malchance sans égard et à haute voix. Plus tard, se faisant vieux, il se borne à grommeler entre les dents. Il tombe en enfance et comme, à force d'examiner le gardien pendant des années, il a fini par connaître jusqu'aux puces de sa fourrure, il prie les puces de lui venir en aide et de changer l'humeur du gardien; enfin sa vue faiblit et il ne sait vraiment pas s'il fait plus sombre autour de lui ou si ses yeux le trompent. Mais il reconnaît bien maintenant dans l'obscurité une glorieuse lueur qui jaillit éternellement de la porte de la loi. À présent, il n'a plus longtemps à vivre. Avant sa mort toutes les expériences de tant d'années, accumulées dans sa tête, vont aboutir à une question que jusqu'alors il n'a pas encore posée au gardien. Il lui fait signe, parce qu'il ne peut plus redresser son corps roidi. Le gardien de la porte doit se pencher bien bas, car la différence de taille s'est modifiée à l'entier désavantage de l'homme de la campagne. «Que veux-tu donc savoir encore?» demande le gardien. «Tu es insatiable.» «Si chacun aspire à la loi», dit l'homme, «comment se fait-il que durant toutes ces années personne autre que moi n'ait demandé à entrer?» Le gardien de la porte, sentant venir la fin de l'homme, lui rugit à l'oreille pour mieux atteindre son tympan presque inerte: «Ici nul autre que toi ne pouvait pénétrer, car cette entrée n'était faite que pour toi. Maintenant, je m'en vais et je ferme la porte.»
Borges- Messages : 6044
Re: Revue de textes
Oui, Z32 est hanté par un visage manquant, et ce n'est pas du tout celui du soldat : c'est celui du policier palestinien abattu, dont le soldat dit qu'il le revoit sans cesse, qu'il n'arrive pas à l'oublier, et qu'on ne voit jamais.
Cette absence de visage du soldat, on peut encore la comprendre autrement. Il dit qu'au moment de tirer, ce policier, ce n'était pas un homme : c'était juste "une tache" (c'est le mot qu'il emploie), une tache qui courait dans l'obscurité.
Je me dis que peut-être, ce dévoilement progressif du visage du soldat, ce n'est pas dans le but de faire apparaître son visage à lui, à ce soldat, mais de donner un visage à ce qui a d'abord été perçu comme une simple tache.
Je ne peux pas non plus m'empêcher de lier cette absence de visage à la question du paysage. En arrivant sur le lieu de l'embuscade, écrasé de soleil, ça m'a frappé, mais le soldat reste incrédule et il dit quelque chose comme : "Mais il n'y a rien ici". Il n'y a que des murs blancs, un sol couvert de pierres. Rien, et c'est pourtant là que ça a eu lieu, qu'un soldat dont on ne voit pas le visage a tiré sur une simple tache qui courait dans l'obscurité. Et il faut quelque temps pour que ce paysage prenne forme et visage, pour que le récit du soldat l'informe, au fur et à mesure qu'il reconnaît les lieux, le trou où il s'est caché, le trajet qu'il a fait en courant.
Si bien que si j'avais un peu de temps, ce n'est pas du côté de Levinas que j'irais chercher, mais plutôt du côté de Vernant et de "La mort dans les yeux", des complicités de la mort et du masque. Je m'intéresserais aux pierres, aux regards qui vous pétrifient comme la Gorgone Méduse dont parle Vernant, et pourquoi pas, aux mythes des autochtones - sans bien savoir où tout ça me mènerait...
Cette absence de visage du soldat, on peut encore la comprendre autrement. Il dit qu'au moment de tirer, ce policier, ce n'était pas un homme : c'était juste "une tache" (c'est le mot qu'il emploie), une tache qui courait dans l'obscurité.
Je me dis que peut-être, ce dévoilement progressif du visage du soldat, ce n'est pas dans le but de faire apparaître son visage à lui, à ce soldat, mais de donner un visage à ce qui a d'abord été perçu comme une simple tache.
Je ne peux pas non plus m'empêcher de lier cette absence de visage à la question du paysage. En arrivant sur le lieu de l'embuscade, écrasé de soleil, ça m'a frappé, mais le soldat reste incrédule et il dit quelque chose comme : "Mais il n'y a rien ici". Il n'y a que des murs blancs, un sol couvert de pierres. Rien, et c'est pourtant là que ça a eu lieu, qu'un soldat dont on ne voit pas le visage a tiré sur une simple tache qui courait dans l'obscurité. Et il faut quelque temps pour que ce paysage prenne forme et visage, pour que le récit du soldat l'informe, au fur et à mesure qu'il reconnaît les lieux, le trou où il s'est caché, le trajet qu'il a fait en courant.
Si bien que si j'avais un peu de temps, ce n'est pas du côté de Levinas que j'irais chercher, mais plutôt du côté de Vernant et de "La mort dans les yeux", des complicités de la mort et du masque. Je m'intéresserais aux pierres, aux regards qui vous pétrifient comme la Gorgone Méduse dont parle Vernant, et pourquoi pas, aux mythes des autochtones - sans bien savoir où tout ça me mènerait...
Eyquem- Messages : 3126
Re: Revue de textes
Hello Largo,
quand Mandelbaum dit
est-ce qu'il fait référence à une question posée par le film, de savoir comment les familles des victimes palestiniennes peuvent pardonner ce soldat ? Ou est-ce une simple manière de conclure son texte, de finir sur la question du pardon comme ça ?
Je trouve bizarre, pour ne pas dire plus, qu'il mette sur un même plan, l'air de rien, dans une même phrase, le mal commis et le mal subi, pour finir sur une difficulté "d'accéder" au pardon, ceux qui auraient à pardonner n'étant donc convoqués que pour répondre du mal qu'ils ont subi, je ne sais pas comment, mais pas pour pardonner...
quand Mandelbaum dit
On l'aura compris, les questions cinématographiques que pose Z32 sont des questions politiques. Elles évoquent notre manière de nous comporter devant le mal, celui que l'on commet comme celui que l'on subit, et la difficulté d'accéder au pardon
est-ce qu'il fait référence à une question posée par le film, de savoir comment les familles des victimes palestiniennes peuvent pardonner ce soldat ? Ou est-ce une simple manière de conclure son texte, de finir sur la question du pardon comme ça ?
Je trouve bizarre, pour ne pas dire plus, qu'il mette sur un même plan, l'air de rien, dans une même phrase, le mal commis et le mal subi, pour finir sur une difficulté "d'accéder" au pardon, ceux qui auraient à pardonner n'étant donc convoqués que pour répondre du mal qu'ils ont subi, je ne sais pas comment, mais pas pour pardonner...
adeline- Messages : 3000
Re: Revue de textes
Grrrrr, j'ai effacé ce que j'avais écrit...
Oui, donc, il est clair qu'ici Mandelbaum ne fait que reproduire ce qu'on disait de Folman et de la fin de Bachir : l'incapacité de concevoir l'opprimé, la figure du Palestinien, autrement que par rapport à l'oppresseur. Il n'est bon qu'a demander "pardon"...
Mandelbaum mélange aussi les interprétations du masque numérique sans jamais les distinguer vraiment. D'abord il dit "le masque du héros est celui de la victime séculaire qu'il veut exorciser", rejoignant dans une certaine mesure ce que dit Eyquem du visage manquant du policier palestinien. Mais à la fin, le masque serait celui du soldat : redonner un visage pour offrir la possibilité du pardon. Et la phrase d'après, il dit que le visage d'un inconnu indique que tout citoyen est responsable des crimes commis en son nom.
Du mal à comprendre par quelle gymnastique il arrive à ça. Et surtout en quoi un visage inconnu doit permettre à tous les Israëliens de se sentir responsables ?!
Oui, donc, il est clair qu'ici Mandelbaum ne fait que reproduire ce qu'on disait de Folman et de la fin de Bachir : l'incapacité de concevoir l'opprimé, la figure du Palestinien, autrement que par rapport à l'oppresseur. Il n'est bon qu'a demander "pardon"...
Mandelbaum mélange aussi les interprétations du masque numérique sans jamais les distinguer vraiment. D'abord il dit "le masque du héros est celui de la victime séculaire qu'il veut exorciser", rejoignant dans une certaine mesure ce que dit Eyquem du visage manquant du policier palestinien. Mais à la fin, le masque serait celui du soldat : redonner un visage pour offrir la possibilité du pardon. Et la phrase d'après, il dit que le visage d'un inconnu indique que tout citoyen est responsable des crimes commis en son nom.
Du mal à comprendre par quelle gymnastique il arrive à ça. Et surtout en quoi un visage inconnu doit permettre à tous les Israëliens de se sentir responsables ?!
Re: Revue de textes
Pas forcément nouveau, mais bien envoyé :
« Valse avec Bachir » ; Médaille du déshonneur par Gideon Lévy (Haaretz, 20 février 2009) :
http://www.france-palestine.org/article11261.html
« Valse avec Bachir » ; Médaille du déshonneur par Gideon Lévy (Haaretz, 20 février 2009) :
http://www.france-palestine.org/article11261.html
Eyquem- Messages : 3126
Re: Revue de textes
"Bachir" et "Z 32" plus ou moins dans le même sac, c'est là :
http://blog.mondediplo.net/2009-03-11-Les-hors-champ-de-Valse-avec-Bachir-et-Z32#nh4
http://blog.mondediplo.net/2009-03-11-Les-hors-champ-de-Valse-avec-Bachir-et-Z32#nh4
Eyquem- Messages : 3126
Re: Revue de textes
Quelle cloche cet Assouline...
http://www.lemonde.fr/livres/article/2009/03/26/les-invites-de-pierre-assouline_1172738_3260.html#ens_id=754074
Comment peut-on avoir le regard si perçant ?
"une savoureuse et cruelle galerie de portraits", dit la pub.
http://www.lemonde.fr/livres/article/2009/03/26/les-invites-de-pierre-assouline_1172738_3260.html#ens_id=754074
Comment peut-on avoir le regard si perçant ?
"une savoureuse et cruelle galerie de portraits", dit la pub.
Eyquem- Messages : 3126
Re: Revue de textes
Le goût du sacrifice :
http://www.cahiersducinema.com/journalsootaku.php3?type=article&id_article=1853
sinon, on trouve des trucs intéressants à lire sur le net actuellement ?
http://www.cahiersducinema.com/journalsootaku.php3?type=article&id_article=1853
sinon, on trouve des trucs intéressants à lire sur le net actuellement ?
Invité- Invité
Re: Revue de textes
JM a écrit:Le goût du sacrifice :
http://www.cahiersducinema.com/journalsootaku.php3?type=article&id_article=1853
sinon, on trouve des trucs intéressants à lire sur le net actuellement ?
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/medias/20051117.OBS5561/balkany__les_pauvresvivent_tres_bien.html
DB- Messages : 1528
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