Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
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Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Tu les as lus ou bien lus ?
Oui, j'hésitais avec ce titre de Dutronc. Râtelier et brouette oblige. J'ai tjrs profondément détesté Jacques.D. Encore plus F.Hardy. Encore plus Jumper, Spiderman et Hulk.
Mais c'est l'intention qui compte.
Kiss.
Oui, j'hésitais avec ce titre de Dutronc. Râtelier et brouette oblige. J'ai tjrs profondément détesté Jacques.D. Encore plus F.Hardy. Encore plus Jumper, Spiderman et Hulk.
Mais c'est l'intention qui compte.
Kiss.
^x^- Messages : 609
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Careful a écrit:Salut JM,
Même si ce n'est important, ma curiosité me pousse à te demander si tu as une trace de cet article en question ?
Je me tiens peu au fait de ce cirque parisien des critiques mais assez pr "juger" peu convaincant ce que j'ai lu de son travail.
Bcp de lignes autour de Gus VS apparemment ?
Mince, je suis tombé que sur Jumper,Cloverfield, Spiderman, Hulk et autres T4 le petit doigt en l'air, l'air pincé et hautin
Hello,
Non, l'article est dans le numéro de septembre 2004 comme précisé au dessus, c'est juste une critique du film. Peut-être je peux retrouver ce que je leur avais envoyé dans mes archives à l'occasion, une sorte de contre-critique...
Je pense que tu t'intéresses plus au cirque (parisien des critiques) bien plus que ce que tu prétends !
Pas compris ta dernière remarque.
J'espère ne pas avoir fait trop de fautes d'orthographes..
Invité- Invité
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
JM a écrit:Hello,
Non, l'article est dans le numéro de septembre 2004 comme précisé au dessus, c'est juste une critique du film. Peut-être je peux retrouver ce que je leur avais envoyé dans mes archives à l'occasion, une sorte de contre-critique...
Si tu retrouves une trace de ton papier, je veux bien JM. Merci bien.
Merde! Je suis à découvert. Il a vu les cartes de mon jeux, lolJM a écrit:Je pense que tu t'intéresses plus au cirque (parisien des critiques) bien plus que ce que tu prétends !
Je me sers parfois de mon télescope pr observer ça de loin. Mais il vise le gazon. C'est embêtant.
Pr la dernière remarque, c'est un panel pastiche des articles que j'ai pu lire de JML.
Sans compter ceux des Inrocks,l'émission de Denisot et quelques horribles podcast Le Masque et la plume.
^x^- Messages : 609
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Careful a écrit:
Je me sers parfois de mon télescope pr observer ça de loin. Mais il vise le gazon. C'est embêtant.
Invité- Invité
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Jolie idée ds ce geste imagé, contrôlé
Au football, ils appellent ça un bon passement de jambes, je crois.
Au football, ils appellent ça un bon passement de jambes, je crois.
^x^- Messages : 609
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
vous êtes vraiment mignons de vous demander qui va être aux machines alors que c'est le titanic qui coule vous n'avez aucune conscience des impératifs économiques
si burdeau est parti c'est parce que le repreneur n'offrait aucune garantie éditoriale : vous me direz on s'en torche mais n'empêche que vous vous arc-boutez à elle pour votre petite entreprise. sans compter la stratégie financière du groupe phaïdon qui risque de laisser des traces. visiblement vous n'imaginez pas que les cahiers puisse être vraiment autre chose que la bande de gentils amis que vous formez.
si burdeau est parti c'est parce que le repreneur n'offrait aucune garantie éditoriale : vous me direz on s'en torche mais n'empêche que vous vous arc-boutez à elle pour votre petite entreprise. sans compter la stratégie financière du groupe phaïdon qui risque de laisser des traces. visiblement vous n'imaginez pas que les cahiers puisse être vraiment autre chose que la bande de gentils amis que vous formez.
Invité- Invité
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
ah voui… parce que Burdeau il avait une bonne ligne éditoriale?ccamille a écrit:
si burdeau est parti c'est parce que le repreneur n'offrait aucune garantie éditoriale...
Invité- Invité
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
http://fr.transnationale.org/entreprises/phaidon.php
Invité- Invité
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Finalement, place au duo de fines gachettes, Delorme & Tessé.
Un souffle d'air frais va traverser la maison Cahiers, c'est clair.
J'hésite entre...
et...
ou pourquoi pas même...
Un souffle d'air frais va traverser la maison Cahiers, c'est clair.
J'hésite entre...
et...
ou pourquoi pas même...
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
V'là comme ils se la pètent.
Les Cahiers du cinéma a écrit:Les Cahiers du cinéma, le magazine de cinéma le plus influent dans le monde
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Les Cahiers du cinéma a écrit:Les Cahiers du cinéma, le magazine de cinéma le plus influent dans le monde
Les Cahiers sont un magazine?
Borges- Messages : 6044
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Largo a écrit:Finalement, place au duo de fines gachettes, Delorme & Tessé.
Les deux écrivaient non seulement aux Cahiers mais aussi pas mal à Chronic'art. On peut aussi compter sur Malausa. Ils vont faire des Cahiers un truc un peu tendance, probablement, le "mag" ciné des jeunes cadres in ... faudrait retrouver et poster l'article des deux dans Chronic' art récemment, plein de mépris pour tous ceux qui s'essayent à écrire sur le cinéma sur le net ..
Ca fait plutôt sourire de voir JPT, le critique pseudo irrespectueux, rentrer dans les combines du nouveau patron Phaidon après avoir joué les bons petits soldats jusqu'au bout avec Le Monde. Je ne cacherai pas que j'ai perso plus de sympathie pour ce que font actuellement Renzi, Thirion et Neyrat de leur côté, en indépendant...
Invité- Invité
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
JM a écrit: Je ne cacherai pas que j'ai perso plus de sympathie pour ce que font actuellement Renzi, Thirion et Neyrat de leur côté, en indépendant...
Qu'est-ce que la sympathie vient faire dans cette histoire? C'est la même chose. Ecoutons Emerson :
"It is easy in the world to live after the world's opinion; it is easy in solitude to live after our own; but the great man is he who in the midst of the crowd keeps with perfect sweetness the independence of solitude."
Borges- Messages : 6044
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Ahah! j'avais pas fait attention, mais en effet c'est rigolo.Borges a écrit:Les Cahiers sont un magazine?
On peut supposer que les cahiers ambitionnent d'être pour le cinéphile ce que OK Podium est pour la pré-adolescente, une référence (doute affreux : ça existe encore OK Podium ?).
En tant que grand fan de JP Tessé, je suis JM sur le risque de "Chronic'artisation" de la revue - pas que ça m'émeuve particulièrement, mais ça reste cocasse.
JM > tu te souviens dans quel numéro se trouve l'article ? Ça m'intéresse.
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Epikt a écrit:
JM > tu te souviens dans quel numéro se trouve l'article ? Ça m'intéresse.
Salut Epikt,
C'est dans le #55, Mai 2009, tu peux aller lire ça si tu trouves le numéro, ça donnera par ailleurs un aperçu de la prochaine ligne éditoriale des Cahiers, suivant la marge qu'ils auront avec leur patron :
-----> dossier ciné, le pire du pire<-----
NETTOYAGE DE PRINTEMPS
En ce joli mois de mai, étant donné la quasi extinction de toute forme d'actualité non-cannoise, on n'a pas grand-chose à faire. Alors distillons un peu de fiel en allant fourailler du côté du cinéma tel qu'on ne l'aime pas. Que cet exercice de pure aigreur ne soit pas qu'un bol de bile versé comme ça, pour rien, mais aussi une manière de signaler, en creux, le cinéma tel qu'on l'aime. Une théologie négative, en somme.
EXTRAITS DU CATALOGUE
Il paraît qu'à Chronic'art, on nous le dit souvent, on n'aime rien. C'est même pas vrai. On aime plein de films, mais pas ceux où sévissent ces quelques tics ici listés. Deux ou trois choses abhorrées, donc, piochées dans le catalogue sans fin de l'insupportable.
GEOPOLITIQUE DES HORREURS
Tour du monde du cinéma contemporain, tel qu'il se fait et tel qu'on en parle, à travers les clichés nationaux. En route pour le mondiovision du pénible.
Perso je me suis amusé assez longtemps des critiques cassantes de JPT dans les pages des Cahiers avant de me rendre compte de quelques dérapages de très mauvais goût qui me laissent penser que sous son côté provocateur ce personnage est assez douteux. Je prends les devants ici ou ici. Je croyais avoir fait un montage avec ses textes gerbants à propos d'"Apocalypto" ou bien "300" dans les Cahiers et Chronic'art mais je ne retrouve pas..
Quand à Delorme et sa façon de concevoir le cinéma comme un gros hochet avec des couleurs et des bruits, Borges me pardonnera j'espère de préférer le travail récent d'ER, AT et CN sur Independencia. Par contre il n'écrit pas pour Chronicart, je me suis planté, j'ai confondu avec Malausa, c'est un peu le même état d'esprit..
Invité- Invité
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Merci beaucoup JM ! Je vais essayer de le trouver à la bibli.
Sinon, on ne se braque pas sur la même chose au sujet de Tessé - faut dire que la politique et moi... Cela dit, je t'approuve sur cette critique "à deux vitesse" (sur l'aspect politique) qui d'un coté escamoterait tout ce qui est douteux (sous prétexte que c'est du divertissement ?) et de l'autre chercherait la petite bête (parce qu'un film du tiers monde doit forcément donner dans le social subversif ?). C'est entre autres ce qui me rend méfiant vis-à-vis de ce genre d'approche (se frotter immédiatement à l'idéologie du film), en plus de mon coté jeune con insouciant - je fais parti de ces gens qui trouvent 300 pas assez "fasciste" ^^
Quand à son coté provoc', j'ai l'impression que c'est dans le cahier des charges de Chronic'art, non ? Là où "liberté de penser" (air connu) rime avec "par dessus la jambe".
Non, moi ce qui m'amuse chez Tessé, c'est sa manière de surinterpréter les films à grand coup de psychanalyse de bazar (j'ai été marqué par un article dans lequel il comparait le monstre de The Host à un sexe turgescent, grand moment). Ça rejoint son coté je-m'en-foutiste.
Sinon, on ne se braque pas sur la même chose au sujet de Tessé - faut dire que la politique et moi... Cela dit, je t'approuve sur cette critique "à deux vitesse" (sur l'aspect politique) qui d'un coté escamoterait tout ce qui est douteux (sous prétexte que c'est du divertissement ?) et de l'autre chercherait la petite bête (parce qu'un film du tiers monde doit forcément donner dans le social subversif ?). C'est entre autres ce qui me rend méfiant vis-à-vis de ce genre d'approche (se frotter immédiatement à l'idéologie du film), en plus de mon coté jeune con insouciant - je fais parti de ces gens qui trouvent 300 pas assez "fasciste" ^^
Quand à son coté provoc', j'ai l'impression que c'est dans le cahier des charges de Chronic'art, non ? Là où "liberté de penser" (air connu) rime avec "par dessus la jambe".
Non, moi ce qui m'amuse chez Tessé, c'est sa manière de surinterpréter les films à grand coup de psychanalyse de bazar (j'ai été marqué par un article dans lequel il comparait le monstre de The Host à un sexe turgescent, grand moment). Ça rejoint son coté je-m'en-foutiste.
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Je découvre cette saloperie.
JPT
Ah,c'était lui alors ?! Ok.
Depuis mettons quinze ans et une multitude de festivals qui l'ont célébré, le cinéma d'Iran a acquis une sorte de notoriété singulière. On ne cesse de s'étonner, eu égard aux mabouls qui le dirige, que ce pays soit doté d'une telle vitalité, produise autant de films, entretienne une aussi forte tradition. Kiarostami, bien sûr, fut la locomotive de ce mouvement, entraînant dans son sillage une espèce d'euphorie festivalière, qui couronna des films iraniens par paquets. Mais il n'était pas le premier, tant la tradition du cinéma en Iran est profonde, ancienne, et recèle de méconnus trésors. Il n'empêche, si l'on considère avec calme ce que l'on a pu en voir depuis ces quinze ans, en classant à part les films de Kiarostami, le bilan du cinéma iranien n'est pas si étincelant : mis à part une poignée de films, si l'on est tous d'accord pour dire que les Makhmalbaf père et fille nous rebutent, il n'y a pas autant d'auteurs de poids que ce que l'on a bien voulu croire. Un seul, en fait : Jafar Panahi. C'est dire la déception que constitue ce Hors jeu petits bras.
Panahi, cinéaste hors jeu, qui a souvent franchi la ligne, notamment avec Le Cercle, une ronde sur la condition féminine, ou Sang et or, qui posait avec une grande acuité la vieille question des rapports entre névrose et coercition civique. Films puissants, sans compromis, qui faisaient de son auteur un danger pour les ayatollahs de tous poils, on s'en doute. Qu'est-il arrivé à Panahi ? Hors jeu a tous les atours du film rebelle et engagé venu d'un pays obscurantiste. On y suit les aventures d'une jeune fille fan de foot mais interdite de stade, comme le sont toutes les femmes en Iran. Déguisée en garçon, elle tente de passer les barrages pour assister (pour de vrai) au match Iran-Bahreïn qui, la victoire aidant, allait propulser les Iraniens vers la coupe du monde 2006 en Allemagne. Le film va plaire (plait déjà, un prix à Berlin) aux révoltés occidentaux toujours en demande de ce genre de plaidoyer pour la justice et contre l'injustice. Il ne va pas non plus faire hurler les barbus. Puisque l'Iran a gagné le match (1 à 0), le film s'achève sur une manifestation spontanée à la gloire de l'Iran, avec moult drapeaux et chants patriotiques. Une effusion que Panahi filme complaisamment, comme pour montrer qu'on a beau être opprimé, on est prêt à défendre la patrie.
On a quand même l'impression que Panahi n'a qu'une volonté en faisant ce film : ne fâcher personne. D'une main le film dénonce pour ne pas perdre la face auprès des étrangers, mais de l'autre il donne des gages en termes d'amour du drapeau. On ne peut s'empêcher, en voyant Hors jeu, que d'autres raisons extra-cinéma ont interféré avec sa production. On y pense, mais cela n'ôte rien à la déception : même en terre hostile, on sait bien que Panahi est capable de faire largement mieux.
JPT
Epikt a écrit:j'ai été marqué par un article dans lequel il comparait le monstre de The Host à un sexe turgescent, grand moment
Ah,c'était lui alors ?! Ok.
^x^- Messages : 609
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Ah, oui, Tessé, c'est un bon.
http://www.quinzaine-realisateurs.com/?LNG=fr
STEPHANE DELORME REPREND LES CAHIERS DU CINEMA
Postée le 22/07/2009
Stéphane Delorme devient le nouveau rédacteur en chef des Cahiers du cinéma et quitte le comité de sélection de la Quinzaine.
Stéphane Delorme, photo: Philippe Boudoux
Journaliste aux Cahiers du cinéma depuis 1998, membre du comité de rédaction depuis 2001, du comité de sélection de la Quinzaine des réalisateurs et rédacteur en chef des publications éditées dans le cadre du programme de sensibilisation "Lycéens et apprentis au cinéma", coorganisé par le CNC et les Cahiers du cinéma, Stéphane Delorme devient rédacteur en chef du magazine.
C’est au terme d’un long processus que l'éditeur Phaidon, nouveau propriétaire des Cahiers du cinéma, a annoncé que Stéphane Delorme a été choisi pour devenir le nouveau rédacteur en chef du magazine. Selon un communiqué, "il travaillera en étroite collaboration avec l’éditeur Richard Schlagman. Sa mission sera de développer une revue qui se situe au cœur de la culture cinématographique contemporaine, en parlant aux cinéphiles d’aujourd’hui et en consolidant le rôle central que jouent les Cahiers du cinéma dans le monde de la réalisation de films à l’échelle internationale". Stéphane Delorme va constituer "une équipe rédactionnelle représentant une diversité de points de vue" (je demande à voir, faudrait déjà qu'ils arrêtent d'écrire tous pareil, pour ça) et a déjà nommé Jean-Philippe Tessé comme rédacteur en chef adjoint. Celui-ci et Jean-Philippe Tessé ont pris leurs nouvelles fonctions aujourd’hui même.
Dans le numéro de juillet-aout 2009, Jean-Michel Frodon avait annoncé qu'il quittait le magazine et signait son 66e et dernier éditorial. Il n'a pas encore fait connaître ses futurs projets. En attendant, les Cahiers du cinéma conservent leur format pour 2009. Parallèlement, sont développés de nouveaux concepts créatifs pour la revue. Le lancement d’une toute nouvelle formule est prévu pour début 2010.
http://www.quinzaine-realisateurs.com/?LNG=fr
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Parallèlement, sont développés de nouveaux concepts créatifs pour la revue. Le lancement d’une toute nouvelle formule est prévu pour début 2010.
Tout cela est bien vilain. Comment aligner autant de gros mots dans une même phrase ? Pourtant il parait qu'ils viennent aussi de se séparer de leur chargée de comm'...
PS : notons que Tessé comme Delorme sont des survivants de la période Tesson comme de la période Frodon. Donc la nouveauté elle viendra plus du patron, que d'eux. On apprend sur le Facebook des Cahiers que les deux sont des anciens de Paris 3..
Invité- Invité
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
C'est la révolution sur le site des Cahiers, Laborie a eu cette idée absolument géniale de proposer les bandes-annonces des films critiqués dans le dernier numéro. Une idée révolutionnaire probablement piquée à Allociné. Sur le facebook de la revue, on peut même dire si on aime ça, ou pas.
Invité- Invité
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
"It is easy in the world to live after the world's opinion; it is easy in solitude to live after our own; but the great man is he who in the midst of the crowd keeps with perfect sweetness the independence of solitude."
RW EMERSON cité par Borges.
The world keeps turning.
De retour de vacances, je suis tenté d'y retourner. Il faut être solitaire en ce bas monde si l'on veut essayer de produire quelque chose de valable.
Mais qu'importe ? J'ai décidé de prendre les armes. C'est à dire la plume. La meilleure des armes et la seule qui me convienne. Aussi loin que je me souvienne, j'ai été attaché à cette revue, viscéralement, pour le meilleur, et, donc, pour le naufrage aussi. Alors je reste. Je ne les lis plus, les Cahiers, depuis qu'ils se proclament magazine. Non, je ne les lis plus : comment les lire ? L'écriture molle et tiède n'a jamais été à mon goût.
En revanche le temps est venu pour le cinéma de passer à l'âge adulte, et je suis bien décidé à l'y accompagner. What about you ?
RW EMERSON cité par Borges.
The world keeps turning.
De retour de vacances, je suis tenté d'y retourner. Il faut être solitaire en ce bas monde si l'on veut essayer de produire quelque chose de valable.
Mais qu'importe ? J'ai décidé de prendre les armes. C'est à dire la plume. La meilleure des armes et la seule qui me convienne. Aussi loin que je me souvienne, j'ai été attaché à cette revue, viscéralement, pour le meilleur, et, donc, pour le naufrage aussi. Alors je reste. Je ne les lis plus, les Cahiers, depuis qu'ils se proclament magazine. Non, je ne les lis plus : comment les lire ? L'écriture molle et tiède n'a jamais été à mon goût.
En revanche le temps est venu pour le cinéma de passer à l'âge adulte, et je suis bien décidé à l'y accompagner. What about you ?
Van Stratten- Messages : 165
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Résumé des épisodes précédents :
http://www.chronicart.com/cinema/chronique.php?id=10293
Ceci, à mettre en lien avec son texte au ton professoral sur le film de Panahi :
http://www.chronicart.com/cinema/chronique.php?id=10395
http://www.chronicart.com/cinema/chronique.php?id=11181
à lire bien sûr dans le même mouvement que ça où on sentait déjà la lassitude du pauv' JPT devant les classes laborieuses chinoises filmées par JZK:
http://www.chronicart.com/cinema/chronique.php?id=10830
Apocalypto
Après un gravissime Jésus et de pitoyables citations dans la rubrique des faits divers, Mel Gibson s'attaque aux Mayas, qui pourtant ne lui ont rien fait. On pouvait s'attendre au pire, se demander ce que ce sinistre personnage, religieux fanatique et antisémite notoire, allait leur infliger. Surprise : le pire est évité et le film, un honorable divertissement, pas plus mauvais qu'un autre. Ça tombe bien : à Mel Gibson, on ne demande rien de plus, surtout pas. L'exergue qui ouvre Apocalypto -"une grande civilisation n'est conquise de l'extérieur que si elle est détruite de l'intérieur"- inquiète pourtant : peur d'avoir affaire à une dissertation douteuse sur l'origine de la décadence qui, rapportée aux temps présents, servirait de lourde métaphore. Le film est heureusement plus simple que ça : c'est sa faiblesse, c'est aussi son garde-fou.
Le scénario est serré, maigre : un village de joviaux Mayas perdu au milieu de la jungle est ravagé par une horde de guerriers qui emmènent les habitants vers une cité où les attend un funeste sort. Le héros du film, qui a réussi à planquer femme (enceinte) et enfant (petit) dans le village, parvient à s'enfuir, avec à ses trousses quelques tueurs hargneux. Cette chasse à l'homme est la meilleure partie du film, en dépit de quelques effets très cheap (les plans caméra embarquée, impayables). Un film sur la ruse, l'intelligence des lieux où le héros, approximatif sosie de Ronaldinho, utilise les ressources de la jungle pour se camoufler, prendre ses distances avec ses assaillants, s'en débarrasser. Les gars sont un peu trop bodybuildés, la mise en scène n'a rien d'éblouissant, mais c'est efficace et ça passe. Il faut juste se coltiner les travers habituels de Gibson, son goût louche pour le gore et les bondieuseries dégénérées. Du sanguinolent, il y en a volontiers, il aime bien ça. Et du Jésus, un peu aussi : quand les villageois sont embarqués de force, ligotés à des bambous, il y en a bien un qui s'affaisse, blessé au côté droit, tandis qu'une brute, Romain de service, lui chatouille la plaie du bout de sa lance, en lui ordonnant de porter seul son fardeau.
Toutefois, on se doute bien que Mel Gibson a d'autres ambitions qu'un Rambo sauce maya. Mais curieusement, sur la décadence de l'empire Maya, il a visiblement peu de choses à dire : quelques images furtives sur les aristos lascifs assistant blasés aux sacrifices humains, le rictus attrapé au vol d'un prêtre visiblement pas dupe de l'éclipse de soleil (la ruse, toujours), lui suffisent à signaler qui en sont les responsables. Mais sur la ruse de l'histoire qui a causé la chute d'une civilisation, motus. Le long épisode dans la cité est faible, le récit bâclé, ce qui fait événement à peine perçu -ainsi la scène de l'éclipse, remake de Tintin (Le Temple du soleil), ne semble pas perturber les figurants plus que ça. A tout cela, Gibson préfère les petits jeux cruels de ses tueurs, le plaisir de la chasse à l'homme. Mais enfin il ne dit pas que l'empire Maya s'est effondré à cause des Juifs, ce qui déjà constitue un beau progrès de sa part, et en plus il réalise une moitié de survival où l'on ne s'ennuie pas : une petite bonne surprise, donc.
Jean-Philippe Tessé
http://www.chronicart.com/cinema/chronique.php?id=10293
Ceci, à mettre en lien avec son texte au ton professoral sur le film de Panahi :
300
300 invite à explorer le côté bourrin de la vie, et pareille proposition n'est pas rien, évidemment, une fois repéré ce qui dans le film de Zack Snyder (L'Armée des morts) fait parfum de scandale. Adapté du graphic novel de Frank Miller, 300 conte l'épopée d'autant de Spartiates entraînés par le roi Léonidas 1er dans une bataille suicidaire contre l'armée de l'envahisseur perse, conduite par son roi Xerxès. Le film illustre un épisode de la seconde guerre médique, la bataille des Thermopyles où il s'avère en effet qu'une poignée de soldats résista trois jours à l'armée ennemie. Le scandale qui parfume ce péplum est l'imagerie pour le moins mac-mahoniste qu'il déploie. Jugez plutôt : les guerriers spartiates, saisis de profils façon camées ou en contre-plongées riefenstahliennes, sont des bodybuilders huilés, à la fois Aryens grand cru, machos purs et icônes gay. Professant un fanatisme martial autant qu'un rigoureux eugénisme (on se débarrasse des bébés imparfaits à la naissance), ce sont les gentils, ils sont fiers, ils sont forts, ils meurent au champ d'honneur le glaive à la main, sur l'air de ¡ viva la muerte, viva !. Face à eux, l'armée décadente des Perses, conduite par un roi androgyne à la voix de stentor, est composée de faibles, de lâches et de Cinoques dégénérés, fruits d'une génétique dévoyée. Ce sont les méchants. Naturellement, un Spartiate mal foutu, sorte de Quasimodo gras ayant miraculeusement échappé à la sélection de la race, interdit de combat par son infirmité, finira par rejoindre les Perses et trahir les siens. A voir les Perses trucidés avec plaisir le temps que dure ce traité de charcuterie for men only, on finirait presque par comprendre Mahmoud Ahmadinejad, qui voit dans ce film une "machine de guerre psychologique contre les Iraniens". Bref, avec son ambiance Triomphe de la volonté très premier degré, très assumée, très malsaine, 300 ressemble à une sorte de Starship troopers dont on aurait ôté toute l'ironie et la subversion.
300 est un film gros bœuf, aux incroyables relents fachos, voilà qui est dit. Mais c'est trop énorme pour être pris au sérieux, et l'étiquetage nazillon est d'une telle évidence que l'on n'est pas plus avancé une fois cela précisé. Maintenant qu'est dissipé ce brouillard de forêt bavaroise, entrons dans les thermopyles. Ce qui frappe surtout dans cette totale bourrinade des familles, c'est le brutal retour en arrière qu'elle propose. Les punchlines éructées en guise de dialogues (déjà cultes sur le Net), la glorification du corps dopé à la testostérone, la couche molletonnée épaisseur triple de la psychologie des warriors, le goût des affrontements entre übermenschen assoiffés de sang et foules anonymes de métèques : tout cela rappelle le coeur des années 80, vers lequel le cinéma contemporain ne cesse de se rediriger*. Le voisinage de 300, c'est moins Leni Riefenstahl que le poète John Milius, l'homme de Conan le barbare.
Sauf qu'ici tout se passe dans l'écrin soyeux et pixellisé du numérique. Le procédé utilisé par Zack Snyder est le même que celui de Sin city, autre adaptation de Frank Miller, pour un résultat certes moins mélancolique et moins tumultueux, car animé par d'autres sentiments que l'amour chien et la vengeance crue. Mais tout autant que lui attiré par ce qui arrive dans l'image, quand la crème du numérique caresse cette esthétique musculeuse. Ce qui arrive, ici, est un mariage de volupté et de pierres, d'étoffes sculptées dans les statues et de marbres remuées par des plis -de la même manière que lors des scènes d'action le ralenti s'incruste dans la vitesse, et inversement. Ondulation des vagues d'une mer déchaînée, des fouets gigantesques et des robes des filles, onctuosité des filles elles-mêmes quand elles se tortillent, velouté des capes des Spartiators, cambrure du million de flèches qui dessine une asymptote au-dessus du champ de bataille. Et puis à l'inverse, figement du sang en particules rouges pétrifiées, masse impénétrable des soldats en formation de combat, cadavres si rigides qu'on en fait des murs, peaux si dures que le projectile s'y fracasse, le bouclier comme arme suprême. Snyder creuse assez brillamment cette idée en pur esthète, et comme par ailleurs le découpage (qui suit scrupuleusement celui du dessin de Miller) prend le temps d'embrasser ce programme à la faveur de plans longs ciselés à l'extrême, il arrive que l'expérience 300, certes fatiguant souvent par son côté couillu archi-revendiqué, finit par stimuler au-delà de ce que son pseudo nietzschéisme pour les nuls pouvait laisser croire.
Jean-Philippe Tessé
http://www.chronicart.com/cinema/chronique.php?id=10395
Une Famille chinoise
Plusieurs choses retiennent l'attention dans ce film de Wang Xiaoshuai (So close to paradise, Shanghai dreams…), qui se présente a priori (se méfier des a priori) comme un mélo à la Zhang Yimou, avec jolie p'tite nenfant très malade et mère courage sur un lit de constat social sur les malheurs de la Chine. En premier lieu parce que l'argument mélodramatique lui-même tire sa consistance de son imbrication dans le contexte social et politique du pays. Et ce de deux façons. D'abord par le pitch, que voici : on diagnostique à la petite Hehe une leucémie ; face à l'échec des traitements, une seule solution s'impose : faire un « bébé-médicament », autrement dit un frère ou une soeur pour Héhé, et par la même occasion un donneur compatible de moelle osseuse ; or d'une part ses parents sont divorcés, et chacun a refait sa vie, d'autre part la politique de l'enfant unique toujours en vigueur interdira à celui des deux couples reformés qui reconnaîtra l'enfant d'en avoir par la suite un autre. Vous voyez le problème. Ensuite par l'inscription sociale du récit. Les personnages (chef de chantier, hôtesse de l'air, agent immobilier…) appartiennent à cette classe moyenne chinoise que l'on voit assez peu au cinéma, les réalisateurs de la nouvelle génération s'intéressant davantage aux classes pauvres.
C'est pourquoi l'essentiel du récit se joue dans des intérieurs neutres, des immeubles identiques, une sorte de banalité qui aspire le film. Décors dans lesquels Wang Xiaoshuai mène sa barque avec une cohérence nette, s'évitant à peu près les travers de la lacrymologie, attentif plutôt à l'intériorisation du drame par chacun des personnages. Aussi la petite Hehe, que l'on voit peu, coincé dans son lit (dans sa chambre, à l'hôpital) est le fragile soleil autour duquel gravitent les protagonistes, croisés et mêlés par la situation. De bons acteurs (notamment Chen Taisheng, aperçu dans The World de Jia Zhang-ke) aident toujours le film à s'en tirer avec une certaine élégance, à l'image de cette conclusion émouvante sous forme de montage alterné entre deux scènes de repas silencieux.
Jean-Philippe Tessé
http://www.chronicart.com/cinema/chronique.php?id=11181
à lire bien sûr dans le même mouvement que ça où on sentait déjà la lassitude du pauv' JPT devant les classes laborieuses chinoises filmées par JZK:
Useless
En marge de son travail de cinéaste de fiction, on sait que Jia Zhang-ke poursuit un autre itinéraire, qui lui fait emprunter la forme, l'outil du documentaire. Mais on sait aussi que, des fictions (Xiao Wu, Platform, Plaisirs inconnus, The World, Still life) aux docs (In public, Dong, Useless), c'est l'édification d'un seul et même monument que poursuit le jeune et prolifique cinéaste chinois : le portrait de la Chine contemporaine, et l'auscultation de ses métamorphoses qu'il prend le temps et le soin d'étirer dans leurs impressionnante chronologie. Entre fictions et documentaires, il y a davantage qu'une simple alternance de procédés. Il ne s'agit pas seulement de changer son fusil d'épaule, mais plutôt d'activer une double détente : dans un même mouvement, In public accompagnait Plaisirs inconnus et plus précisément encore Dong se tenait aux côtés de Still life à la manière d'une insistance (arpenter la région du barrage des Trois Gorges). Useless quant à lui ne voisine avec aucun film et s'impose davantage comme un travail solitaire. Cette solitude est déjà, dans le cheminement de Jia, une manière de décrochage. Il en est d'autres, dans ce triptyque documentaire assez décevant.
A peine a-t-il commencé qu'on est d'emblée interpellé par l'affichage d'une figure de style assez peu usitée de la part de Jia : le long des machines à coudre, parmi les allées, au coin des stocks de tissus qui composent le décor de l'usine investie dans le premier volet du triptyque, une caméra flotte et glisse latéralement. Cette sensation de surf, plutôt inédite, vient-elle prendre le relais de cette espèce d'impression fantastique qui coulait sur The World et Still life ? Elle paraît plutôt stérile ici, au moins le temps que le film passe dans l'usine : petites mains au travail, rangées d'outils, alignement de tout et de tous, machines et ouvriers, liés par le produit manufacturé. Sensation de déjà-vu, que ne relève pas le glissement de la caméra, pour canonique qu'il soit (voir le définitif Toute la mémoire du monde de Resnais). Où Jia veut-il en venir ?
Deuxième temps : interview d'une styliste chinoise, qui met la dernière touche à sa collection, intitulée Useless (inutile). Considérations vagues et générales naissent de la confrontation entre le produit d'usine, anonyme, sans histoire, reproductible à l'infini, et le fait main de la haute couture : jamais le discours ne se porte plus loin qu'un approximatif et discutable constat bobo facile sur la tristesse de la chair textile quand elle sort de l'usine. Voyage à Paris, pour une exposition de la collection : les parisiens applaudissent. Troisième temps : retour en Chine, à Fenyang dans la province du Shanxi, d'où est originaire Jia. Il s'agit cette fois, après l'industrie textile et le haut de gamme de la haute couture, d'explorer un troisième mode de production du vêtement : l'artisanat, dans le cadre poussiéreux d'un petit atelier de couturière. On retrouve là, le temps de quelques plans de motos et de routes défoncées, quelque chose du style ample de Jia, cette manière de survoler le chaos du sol, ses trous, ses plaies.
Si l'on entend bien la construction élémentaire du film, lui fait gravement défaut tout réel enjeu de cinéma, au profit d'une dissertation assez paresseuse sur le rapport aux objets, dans son aspect multiple qui reproduit en cela la multitude chinoise (industrie lourde, légèreté de l'art, artisanat…). Paresseuse, parce que Jia s'en remet à une manière de présenter les choses qui est l'ordinaire des documentaires aujourd'hui : jamais vraiment ne perce l'impression de voir ici le travail du cinéaste se poursuivre, ni son projet esthétique avancer d'un pas. Film de transition, dispensable, presque useless, dont on espère qu'il n'est qu'une parenthèse dans l'oeuvre de Jia Zhang-ke.
Jean-Philippe Tessé
http://www.chronicart.com/cinema/chronique.php?id=10830
Dernière édition par JM le Mar 28 Juil 2009 - 21:53, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Voilà pour l'instant, je ne sais pas ce que vous en pensez, de mon côté je trouve qu'ils s'agit d'un immense tissu de conneries et je conçois mal qu'un type comme ça puisse devenir rédacteur en chef adjoint des Cahiers.. et venez pas me dire que c'est pour Chronicart et pas pour les Cahiers qu'il a écrit ça, ça change rien de rien... mais il n'y a rien d'étonnant quand on voit qu'un type comme ça va jusqu'à recevoir des distinctions pour son "travail" critique :
http://www.cahiersducinema.com/forum/viewtopic.php?p=55194&highlight=tess%E9#55194
L'UJC (Union des Journalistes de Cinéma) a décidé pour la quatrième fois d'attribuer des prix annuels destinés à mettre en valeur les métiers du journalisme cinématographique.
Quatre prix ont été décernés en 2008 dont :
* le Prix de l'UJC de la jeune critique 2008 à Jean-Philippe Tessé
(confirmé page 77 du numéro de mai)
http://www.cahiersducinema.com/forum/viewtopic.php?p=55194&highlight=tess%E9#55194
Invité- Invité
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Salut, JM,
Mais non, la rancoeur n'est pas forcément déplacée. Et dans ce cas précis, sache qu'elle est partagée.
Bonne nuit, les Cahiers.
Bon courage à leurs orphelins.
De toute façon, j'ai remarqué qu'en ces temps ombrageux, les salauds sont faciles à repérer : ils ne parlent que de fric.
Mais non, la rancoeur n'est pas forcément déplacée. Et dans ce cas précis, sache qu'elle est partagée.
Bonne nuit, les Cahiers.
Bon courage à leurs orphelins.
De toute façon, j'ai remarqué qu'en ces temps ombrageux, les salauds sont faciles à repérer : ils ne parlent que de fric.
Van Stratten- Messages : 165
Re: Les Cahiers du Cinéma depuis 2008 : petites histoires sans devenir
Et si l'on refondait les cahiers ? Chiche !
On a la triade : Zaïmeche, Serra, Zhang Ke, titulaires. Remplaçants, la vieille garde, mettons : HHH, Tarantino, Van Sant. Et l'oncle Jean-Luc, notre ange gardien.
(Mais foin de politique des Auteurs : ça c'est du passé, et Harvey Milk comme Three days sont des nanars éculés. Ceci il faut aussi savoir le dire, merdrre !)
On peut toujours rêver. Il faut rêver. Et prendre ses rêves pour la réalité.
Douce nuit à vous, les orphelins.
On a la triade : Zaïmeche, Serra, Zhang Ke, titulaires. Remplaçants, la vieille garde, mettons : HHH, Tarantino, Van Sant. Et l'oncle Jean-Luc, notre ange gardien.
(Mais foin de politique des Auteurs : ça c'est du passé, et Harvey Milk comme Three days sont des nanars éculés. Ceci il faut aussi savoir le dire, merdrre !)
On peut toujours rêver. Il faut rêver. Et prendre ses rêves pour la réalité.
Douce nuit à vous, les orphelins.
Van Stratten- Messages : 165
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