Tree of Life et le cinéma de T. Malick
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Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
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Dernière édition par breaker le Sam 28 Juil 2012 - 16:08, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
hello breaker; pas seulement l'air; ils le sont, c'est pour ça que le cinéma existe : dépasser la connerie des crétins de ce genre en les filmant.
Borges- Messages : 6044
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
après les images, les images-mouvement.
Borges- Messages : 6044
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
Cate Blanchett Dons Scrubs In New Set Photos From Terrence Malick's 'Knight Of Cups'
Imogen Poots Spotted Shooting 'Knight Of Cups' With Christian Bale; Terrence Malick Meeting With Benicio Del Toro?
Borges- Messages : 6044
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
Un article de blog sur les rapports avec Schelling:
http://mehdibelhajkacem.over-blog.com/article-terrence-malick-entre-heidegger-et-schelling-99850710.html
http://mehdibelhajkacem.over-blog.com/article-terrence-malick-entre-heidegger-et-schelling-99850710.html
Sibelius- Messages : 102
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
- Spoiler:
L'article en question vient d'un autre blog (c'est discrètement mentionné):
http://libertaires93.over-blog.com/m/article-76889990.html
(un site qu'on connaît bien. A mon sens, c'est, 8 fois sur 10, une espèce de coulée permanente charriant une multitude de concepts bricolés à peu n'importe comment).
Sinon, en passant: un article de blog sur les apports de MBK, objets du blog susmentionnné.
http://mainoptique.blogspot.be/search/label/MBK
Invité- Invité
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
jerzy P a écrit:
- Spoiler:
L'article en question vient d'un autre blog (c'est discrètement mentionné):
http://libertaires93.over-blog.com/m/article-76889990.html
(un site qu'on connaît bien. A mon sens, c'est, 8 fois sur 10, une espèce de coulée permanente charriant une multitude de concepts bricolés à peu n'importe comment).
Sinon, en passant: un article de blog sur les apports de MBK, objets du blog susmentionnné.
http://mainoptique.blogspot.be/search/label/MBK
hello Jerzy, t'es sympa : je dirai que 9.5 sur 10, c'est du n'importe quoi; faut s'arrêter à chaque phrase, la corriger, préciser, tout en se demandant quel lien cela peut bien avoir avec le film...
que MBK cite ce truc favorablement, ça montre son niveau en philo...
Borges- Messages : 6044
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
Salut Borges, oui, j'ai pas osé le dire, de peur de passer pour sévère.
Le blog "les apports de MBK" est curieux, on ne sait pas trop si c'est fait par un admirateur de MBK ou MBK lui-même.
PS: j'ai enfin mis la main sur TTOL à la médiathèque. Faut que je me sente en forme. Ce soir, je vais plutôt me faire un ptit film d'horreur
Le blog "les apports de MBK" est curieux, on ne sait pas trop si c'est fait par un admirateur de MBK ou MBK lui-même.
PS: j'ai enfin mis la main sur TTOL à la médiathèque. Faut que je me sente en forme. Ce soir, je vais plutôt me faire un ptit film d'horreur
Invité- Invité
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
jerzy P a écrit:
PS: j'ai enfin mis la main sur TTOL à la médiathèque. Faut que je me sente en forme. Ce soir, je vais plutôt me faire un ptit film d'horreur
Y a deux voies dans la vie, nous ont appris les bonnes sœurs : celle de TTOL, et celle des films d'horreurs...
mais je me demande si le vrai film d'horreur, pour toi, ce serait pas plutôt TTOL
Borges- Messages : 6044
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
Mais non, dis pas ça, tu me fais peur. Je serai le plus "open mind" possible.
Invité- Invité
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
Désolé Messieurs, je n'avais encore pas lu grand chose sur les liens entre Malick et Schelling (au contraire de Schiller), alors je pensais la peine de citer la chose. C'est abscons mais à force de patience j'ai cru déceler des choses qui valaient le coup.
Sibelius- Messages : 102
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
Sibelius a écrit:C'est abscons mais à force de patience j'ai cru déceler des choses qui valaient le coup.
Comme?
Invité- Invité
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
http://libertaires93.over-blog.com/m/article-76889990.html
Heureusement que les ingénieurs des ponts et chaussées découpent et structurent un peu mieux leurs cours : sinon, on en serait encore à traverser toute rivière à la nage, et les chemins s'effondreraient sous nos pas.
Je ne sais plus où chez Sloterdjik, il dit la chose suivante très bête : faire acte de pensée, c'est décoller "la pensée" du flux continue de nos pensées, et la coucher sur le papier pour essayer de la transmettre aux autres. C'est une banalité, mais quand on voit ce genre de texte, on se dit que c'est une politesse qui manque à certains.
IQI- Messages : 66
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
jerzy P a écrit:Sibelius a écrit:C'est abscons mais à force de patience j'ai cru déceler des choses qui valaient le coup.
Comme?
les passages sur la nostalgie et le paradis, mais j'y suis assez sensible car c'est un sujet sur lequel je travaille beaucoup
Sibelius- Messages : 102
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
L'avantage d'un texte pareil, c'est qu'essayer ensuite de lire un truc comme le Kierkegaard d'Adorno semble par contrecoup une opération simple et terre à terre.
Invité- Invité
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
Bah tous les suiveurs de ce topic ont l'habitude de lire Heidegger, alors rien ne leur est inaccessible
Sibelius- Messages : 102
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
Je n'ai pas l'habitude de le lire, mais Heidegger est sans doute plus facile à comprendre que mettons Nietzsche, il positionne tous ses concepts, et illustre une position par rapport à l'être.
Invité- Invité
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
Terrence Malick TMZ Captures a Hollywood Bigfoot!
Borges- Messages : 6044
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
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Dernière édition par breaker le Sam 28 Juil 2012 - 15:59, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
Vu cette nuit.
Comme à mon habitude, je n'ai rien lu, parcouru avant, uniquement informé de quelques phrases à "étoiles" de critiques allocinesques. Donc je ne savais à peu près rien du film, du récit. Je vais donc pouvoir parcourir ce topic demain ou plus tard.
Juste une impression à chaud: j'ai été submergé, je ne vois pas d'autre mot, par l'expérience proposée dans ce film, par l'émotion, l'évidence. De Malick, j'ai tout aimé. Même quand j'avais de vagues réticences (de l'ordre d'une certaine mauvaise foi), j'ai toujours été submergé. Le seul Malick sur lequel j'ai ironisé dans le passé, je m'en souviens parfaitement, c'est Le nouveau monde. Parce que je ne l'ai pas (encore) vu. Et j'avais sorti les stéréotypes de service.
Je ne vais pas trop m'étendre, là, maintenant. Juste deux ou trois choses, plic-ploc. Vous connaissez ma méfiance face aux "trips mystiques", enfin, la mystique bidon, apprêtée. Je n'ai rien perçu de cet ordre dans TTOL. Ce film m'a directement touché au cœur dans sa profonde humanité. Mais ça, je ne suis pas vraiment surpris. C'est, une fois encore, un film intensément affectif, douloureux. C'est, à brûle pourpoint, un film de deuil, de blessure, un film d'enfance, un film de trace, à un point d'évidence qu'il semblerait stupide de vouloir le mentionner. Un film d'enfance comme je n'en ai plus vu depuis très très longtemps. Les enfants dans ce film sont saisis dans une justesse et une vérité tout bonnement extraordinaires, jusque dans le moindre geste. Même Brad Pitt est bon, incroyablement bon (il ne fait pas ses horripilantes mimiques).
Je n'ai pas réfléchi ni interprété en regardant ce film, j'ai aussitôt été pris dans les nappes phréatiques de l'histoire qui nous est contée, une histoire très forte, très dure je dois dire, quelque chose d'assez traumatisant, sur le lien entre un enfant et son père. Il y a tellement de choses qui passent à travers ça, tant de dimensions, de plis, d'échos, de strates mémorielles, que l'enchâssement de ce "souvenir d'enfance" dans le tissu même de ce qu'on nommera le monde ou l'univers, ou une universalité de l'impersonnel dans les personnes, se révèle dramaturgiquement avec la même espèce d'évidence.
Ici, il faut bien saisir que n'importe qui d'autre se serait cassé la figure, à convoquer tant d'images, tant de correspondances, tant de passages. Dans les mains de n'importe qui d'autre, ça aurait pu être un nanar grotesque, on aurait eu affaire à un compendium boursouflé d'imagerie "poétique", une tapisserie vide ou vaine. Mais le mystère, ou l'art malickien, c'est que cette imagerie est habitée, ressentie, quand bien même elle est parfois un peu trop insistante. On pourra chipoter, il est vrai, sur le côté "carte postale" de certains couchers de soleil, de certaines compositions. Mais je n'ai pas envie de chipoter. J'aurais bien chipoté, mais ces compositions ont un tel pouvoir d'évocation, un tel potentiel d'immersion. Pour ma part, je les ai trouvées très belles, très réussies. Plusieurs images "abstraites-concrètes" m'ont littéralement fasciné, envoûté (je pensais parfois à ces paysages à la fois "internes" et "externes" de Eraserhead...). Elles déroutent, au premier abord, on se demande un peu où ça va, tout ça, mais dès lors que le film se resserre peu à peu sur sa matrice narrative, elles s'invitent rétrospectivement dans la mémoire du spectateur et conspirent authentiquement à ce mélange unique de la situation la plus intime et de la situation la plus universelle.
Puis il y a, comment ne pas le mentionner, là encore, cet art des voix off, des "voix intérieures", à son point culminant d'émotion sensible, sensorielle. Cette écholalie douce, à la fois convoquant, déplaçant, relançant, ce qui est vu, touchant, suscitant tant et tant de dimensions, d'histoires, de nappes... On atteint ici une richesse, une intensité, une humanité qu'on cherchera à grand peine dans trois-quart de la production actuelle, pour ne pas dire trois-quart et demi.
ça reste, essentiellement, un film fragile, je dirais, un film qui ne vous prend, vous soulève, vous brise aussi, puis vous hante, que si vous consentez à vous laisser entrainer par lui, sans condition, vous laisser abandonner en lui, vous livrer à sa simplicité nue, sans malice, sans chercher midi à quatorze heures. Du moins en première approche.
Que dire d'autre, avant d'aller me coucher. Ah oui, j'ai souvent songé à Kubrick, comme si un des désirs plus ou moins cachés de Malick avait été, dans un plan qu'on nommera "interfilmique", de fondre 2001 et Shining en un objet tiers - mais plus sensible, intime, dans la manière.
Ah oui, j'allais oublier de dire un mot sur la musique, tapisserie de mille choses qui là encore se répondent, se traversent... J'ai reconnu, parmi tant de morceaux, un segment de Respighi, pris dans "airs anciens et dances". La suite III (pour cordes), que j'adore par dessus tout (alors qu'en dehors de ces "airs", Respighi, oui, bon, un peu...), et sur laquelle j'ai souvent fantasmé les images d'un film intérieur. Je me suis dit: oh le salaud, il l'a fait!
Il a utilisé le troisième mouvement ("sicilienne"). Le quatrième (la "passacaille", à partir de 4'), me tue à chaque fois.
Je m'arrête là. Je serai tenté de dire que c'est le plus beau film de Malick, avec La ligne rouge. Peut-être plus bouleversant encore.
Comme à mon habitude, je n'ai rien lu, parcouru avant, uniquement informé de quelques phrases à "étoiles" de critiques allocinesques. Donc je ne savais à peu près rien du film, du récit. Je vais donc pouvoir parcourir ce topic demain ou plus tard.
Juste une impression à chaud: j'ai été submergé, je ne vois pas d'autre mot, par l'expérience proposée dans ce film, par l'émotion, l'évidence. De Malick, j'ai tout aimé. Même quand j'avais de vagues réticences (de l'ordre d'une certaine mauvaise foi), j'ai toujours été submergé. Le seul Malick sur lequel j'ai ironisé dans le passé, je m'en souviens parfaitement, c'est Le nouveau monde. Parce que je ne l'ai pas (encore) vu. Et j'avais sorti les stéréotypes de service.
Je ne vais pas trop m'étendre, là, maintenant. Juste deux ou trois choses, plic-ploc. Vous connaissez ma méfiance face aux "trips mystiques", enfin, la mystique bidon, apprêtée. Je n'ai rien perçu de cet ordre dans TTOL. Ce film m'a directement touché au cœur dans sa profonde humanité. Mais ça, je ne suis pas vraiment surpris. C'est, une fois encore, un film intensément affectif, douloureux. C'est, à brûle pourpoint, un film de deuil, de blessure, un film d'enfance, un film de trace, à un point d'évidence qu'il semblerait stupide de vouloir le mentionner. Un film d'enfance comme je n'en ai plus vu depuis très très longtemps. Les enfants dans ce film sont saisis dans une justesse et une vérité tout bonnement extraordinaires, jusque dans le moindre geste. Même Brad Pitt est bon, incroyablement bon (il ne fait pas ses horripilantes mimiques).
Je n'ai pas réfléchi ni interprété en regardant ce film, j'ai aussitôt été pris dans les nappes phréatiques de l'histoire qui nous est contée, une histoire très forte, très dure je dois dire, quelque chose d'assez traumatisant, sur le lien entre un enfant et son père. Il y a tellement de choses qui passent à travers ça, tant de dimensions, de plis, d'échos, de strates mémorielles, que l'enchâssement de ce "souvenir d'enfance" dans le tissu même de ce qu'on nommera le monde ou l'univers, ou une universalité de l'impersonnel dans les personnes, se révèle dramaturgiquement avec la même espèce d'évidence.
Ici, il faut bien saisir que n'importe qui d'autre se serait cassé la figure, à convoquer tant d'images, tant de correspondances, tant de passages. Dans les mains de n'importe qui d'autre, ça aurait pu être un nanar grotesque, on aurait eu affaire à un compendium boursouflé d'imagerie "poétique", une tapisserie vide ou vaine. Mais le mystère, ou l'art malickien, c'est que cette imagerie est habitée, ressentie, quand bien même elle est parfois un peu trop insistante. On pourra chipoter, il est vrai, sur le côté "carte postale" de certains couchers de soleil, de certaines compositions. Mais je n'ai pas envie de chipoter. J'aurais bien chipoté, mais ces compositions ont un tel pouvoir d'évocation, un tel potentiel d'immersion. Pour ma part, je les ai trouvées très belles, très réussies. Plusieurs images "abstraites-concrètes" m'ont littéralement fasciné, envoûté (je pensais parfois à ces paysages à la fois "internes" et "externes" de Eraserhead...). Elles déroutent, au premier abord, on se demande un peu où ça va, tout ça, mais dès lors que le film se resserre peu à peu sur sa matrice narrative, elles s'invitent rétrospectivement dans la mémoire du spectateur et conspirent authentiquement à ce mélange unique de la situation la plus intime et de la situation la plus universelle.
Puis il y a, comment ne pas le mentionner, là encore, cet art des voix off, des "voix intérieures", à son point culminant d'émotion sensible, sensorielle. Cette écholalie douce, à la fois convoquant, déplaçant, relançant, ce qui est vu, touchant, suscitant tant et tant de dimensions, d'histoires, de nappes... On atteint ici une richesse, une intensité, une humanité qu'on cherchera à grand peine dans trois-quart de la production actuelle, pour ne pas dire trois-quart et demi.
ça reste, essentiellement, un film fragile, je dirais, un film qui ne vous prend, vous soulève, vous brise aussi, puis vous hante, que si vous consentez à vous laisser entrainer par lui, sans condition, vous laisser abandonner en lui, vous livrer à sa simplicité nue, sans malice, sans chercher midi à quatorze heures. Du moins en première approche.
Que dire d'autre, avant d'aller me coucher. Ah oui, j'ai souvent songé à Kubrick, comme si un des désirs plus ou moins cachés de Malick avait été, dans un plan qu'on nommera "interfilmique", de fondre 2001 et Shining en un objet tiers - mais plus sensible, intime, dans la manière.
Ah oui, j'allais oublier de dire un mot sur la musique, tapisserie de mille choses qui là encore se répondent, se traversent... J'ai reconnu, parmi tant de morceaux, un segment de Respighi, pris dans "airs anciens et dances". La suite III (pour cordes), que j'adore par dessus tout (alors qu'en dehors de ces "airs", Respighi, oui, bon, un peu...), et sur laquelle j'ai souvent fantasmé les images d'un film intérieur. Je me suis dit: oh le salaud, il l'a fait!
Il a utilisé le troisième mouvement ("sicilienne"). Le quatrième (la "passacaille", à partir de 4'), me tue à chaque fois.
- Spoiler:
- La suite II, c'est vachement bonnard aussi. Ici, le mvt 2, "Bergamasque" - qui vous a un petit air "malickien" too:
Je m'arrête là. Je serai tenté de dire que c'est le plus beau film de Malick, avec La ligne rouge. Peut-être plus bouleversant encore.
Invité- Invité
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
Hi Jerzy, ça fait plaisir de te voir ainsi errer sur les chemins de la grâce. Je suis pas trop surpris, en lisant ce qui t'as touché dans le film, par exemple : ton amour des films d'enfance.
Paraît que l'un des films favoris de Malick, c'est "l'enfant sauvage"; ce qui explique peut-être la présence dans le film de l'enfant-loup du livre de la jungle.
j'ai souvent pensé, je crois qu'on a parlé dans le topic, à l'un de tes films préférés :
Paraît que l'un des films favoris de Malick, c'est "l'enfant sauvage"; ce qui explique peut-être la présence dans le film de l'enfant-loup du livre de la jungle.
j'ai souvent pensé, je crois qu'on a parlé dans le topic, à l'un de tes films préférés :
Borges- Messages : 6044
Re: Tree of Life et le cinéma de T. Malick
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Dernière édition par breaker le Sam 28 Juil 2012 - 15:59, édité 1 fois
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