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Tree of Life et le cinéma de T. Malick

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Message par Invité Dim 24 Mar 2013 - 20:34

Heureux de te dérider, c'était pas chose facile. Fallait ajuster, rapidos, la vanne entre deux pertes sèches de mémoire...

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Message par Invité Dim 24 Mar 2013 - 20:38

Le message ci-dessous a été modifié par un modérateur pour en retirer le contenu à "caractère sexuel et/ou pornographique" un abus ayant été notifié. Les modérateurs n'ont cependant pas désiré supprimé l'échange dans son ensemble.




slimfast a écrit:tu pollues le topic allez en toute amitié, va te faire e****

Celui-là, je le copicolle, car je pressens un auto-nettoyage furtif de tes propres pollutions.

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Message par glj Dim 24 Mar 2013 - 21:39

Stop. Merci
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Message par Borges Lun 25 Mar 2013 - 16:03

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Message par Invité Lun 1 Avr 2013 - 18:49

__


Dernière édition par supercool le Lun 15 Avr 2013 - 12:30, édité 1 fois

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Message par Dr. Apfelgluck Ven 5 Avr 2013 - 15:53

The shepherd and his sheep
Will wind you to sleep,
Where else on earth would you wanna go ?
To a land of wonder
When you go under,
Why would we want to come back at all ?
Dr. Apfelgluck
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Message par Dr. Apfelgluck Sam 20 Avr 2013 - 8:46

Je l'ai enfin vu. Je vais dire, forcemment, pleins de conneries qui vont surement faire sursauter Borges.

Je trouve que c'est un film très intéressant dans sa perspective américaine. De ce côté là, je le trouve plus proche de "Badlands" que de "Tree Of Life". Un territoire avec que des "déterritorialisés" (une franco-russe, un prêtre mexicain etc...)
D'ailleurs toutes ces voix, ces langues, pourraient être vu également comme une sorte de chant, de chorale de l'Amérique (comme le gospel du concierge noir de l'église de Bardem).
La française, prit sous cette perspective, pourrait symboliser les immigrants qui rêvent et attendent les "merveilles" de la nouvelle Terre Promise (le plan avec la statue de la liberté, les plans de rivages lors du déménagement) qui finalement tombent de haut (dans les premières choses qu'elle voit de l'Amérique ce sont des lavomatiques, des supermarchés, la société de conso etc...). Désillusion complète partagée avec l'italienne.
Rachel McAdams, elle, est déjà nettement plus proche de l'idéal de l'Amérique primitive ou des pionners (elle c'est les bisons, la terre, la campagne). Malgré la sensualité de Olga, c'est avec McAdams que Affleck semble s'épanouir sexuellement plutôt dans la première partie du film. Peut être, en partie, car elle se rapproche plus de son idéal américain des grandes plaines (et autre "Badlands") contre les usines et les bulldozers. L'Amérique serait une sorte de "Dieu" avec lequel les personnages aimeraient "communier".

Il y a une séquence assez intrigante, quand Affleck se trouve dans un quartier résidentiel. Une famille et des voisins (blancs et noirs) discutent avec en arrière plan un drapeau confédéré qui flotte dans le vent. Plan qui est suivit par des de bulldozers et d'usines. Un montage qui donne une sensation de violence assez particulière.
Ayant vécu une bonne partie de son enfance dans le Sud, je ne sais pas ce que cela représente pour Malick.

Je le trouve d'ailleurs assez "dur" envers le personnage de la fille de Kurylenko.
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Message par wootsuibrick Dim 5 Mai 2013 - 7:57

rien avoir avec le fil de la discussion, mais...
à la place du dino qui ne tue pas ce qu'il a entre les pattes, on aurait pu avoir ça :
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http://mondesducinema.blogspot.com/

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Message par adeline Jeu 30 Mai 2013 - 17:31

Fire and water chez Terrence Malick


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Message par Eyquem Mer 5 Juin 2013 - 13:01

Borges, sur le topic To The Wonder, a écrit:-Sinon, comme on l'a souvent dit, K est hyper important dans le cinéma de Malick, de même que cette idée de répétition-reprise... Mais il faut distinguer plusieurs répétition, la cyclique, la mécanique, l'esthétique, qui pourrait être celle du mec qui veut expérimenter après son divorce; il va sans doute se lancer dans des aventures de sexe, et de séduction, passer d'une femme à l'autre; les séducteurs ne s'engagent pas dans le temps, ils veulent toujours retrouver un instant passé, celui de leur séduction; ils répètent sans cesse la même aventure, avec différentes femmes...quand Marina s'ennuie, et que, poussée par la tentatrice, qui lui apprend que la vie n'est qu'un rêve, où tout est possible (le stade esthétique est le stade du possible) où elle peut être tout ce qu'elle veut, elle trompe son mari...c'est un peu de cette répétition esthétique qu'il s'agit...


-A côté de cette répétition esthétique, artistique, si on veut, au mauvais sens du mot, il y a l'autre répétition, la religieuse, celle de Job, et celle de K, lui-même avec sa fiancée; ici, il ne s'agit pas de tenter de retrouver le passé, il faut au contraire renoncer à l'objet aimé; c'est dans le renoncement, et par le renoncement, que ce à quoi on a renoncé est redonné; c'est l'histoire de Job...cette répétition est de l'ordre bien entendu de l'impossible...et c'est ce que vivent les personnages de TOL... le passé est redonné dans l'éternité, qui n'est pas pour Malick située en dehors du temps ...on se souvient des derniers mots du film : "je te donne mon fils"; ce renoncement est la condition qui ouvre à la répétition impossible, la répétition de la foi...


-dans TTW, la reprise semble aussi importante, mais elle ne se situe pas dans le fait qu'ils se séparent, se retrouvent, et tentent de retrouver le moment merveilleux de leur amour, tout cela les situerait encore dans le temps...ce qui est redonné, se situe dans les plans mystérieux de la fin...où les deux après leur divorce pourtant semble vivre dans la même maison, avec des gosses...

-Presque tous les films de malick se terminent par cette reprise impossible; une résurrection, quoi...
Il y a une lettre intéressante dans la 2e partie de "La reprise" de Kierkegaard (celle datée du 19 septembre), qui éclaire une des scènes de "Tree of life".

Au début du film, quand le fils meurt, la mère écoute ce que lui dit celle qui tente de la consoler : "La vie continue, les gens s'en vont. Rien ne reste pareil. Il te reste encore les deux autres. Le Seigneur donne et le Seigneur reprend. Il en est ainsi. Il envoie des mouches aux plaies qu'Il devrait guérir." On voit alors la mère froncer les sourcils, se rétracter, comme si elle n'avait jamais rien entendu de pire, comme si c'était bien la dernière chose qu'elle voulait entendre pour se consoler.

Il est justement question de cette phrase, "Le Seigneur donne et le Seigneur reprend" (tirée du livre de Job), dans "La reprise", et voici ce que dit le Jeune homme qui écrit la lettre à ce sujet :
"Job! Job! ô Job! N'as-tu réellement prononcé que ces belles paroles: "Le Seigneur a donné, le Seigneur a ôté, que le nom du Seigneur soit loué" ? N'as-tu rien dit de plus? Alors que l'existence tout entière s'écroulait d'un coup sur toi, ne laissait autour de toi que tessons et débris, est-ce que tu eus aussitôt cette attitude surhumaine? Est-ce que tu eus aussitôt l'interprétation de l'amour, et le franc courage de la confiance et de la foi? Et ta porte est-elle fermée à l'affligé? Ne peut-il attendre de toi d'autre soulagement que ce qu'offre la piètre sagesse du monde, en récitant un couplet sur la perfection de la vie? N'avais-tu rien de plus à dire; n'osais-tu rien dire de plus que les consolateurs patentés marchandant leur parole à l'Unique, que ces consolateurs patentés, raides comme des maîtres de cérémonie, prescrivant à l'Unique qu'au milieu de la détresse, il convient de dire: "Le Seigneur a donné, le Seigneur a ôté, que le nom du Seigneur soit loué!" ni plus ni moins que si l'on disait "A vos souhaits" à celui qui éternue!

Non! Toi qui fus, dans la force de l'âge, l'épée de l'opprimé, le bâton du vieillard et la canne de l'accablé, tu ne fus pas traître envers les hommes, quand tout s'effondrait: tu devins alors la bouche du souffrant, la clameur de l'écrasé, le cri de l'angoissé et un soulagement pour tous ceux que la peine rendaient muets; tu devins le fidèle témoin de toute la détresse, de tous les déchirements qui peuvent loger dans le coeur, le loyal défenseur qui osait se plaindre "dans l'amertume de son âme" et combattre avec Dieu.

Pourquoi cache-t-on cela? Malheur à qui dévore la veuve et l'orphelin en les frustrant de leur héritage, mais malheur aussi à qui veut tromper insidieusement l'affligé au sujet de la consolation qu'il recevrait, à donner un moment libre cours à son chagrin en "contestant avec Dieu"!
[...]
Parle donc, inoubliable Job! Reprends tout ce que tu disais, toi, prodigieux défenseur qui comparais devant le tribunal du Très-Haut, intrépide comme un lion rugissant! Dans ton discours se trouve l'énergie, dans ton coeur la crainte de Dieu, même quand tu te plains, quand tu protèges ton désespoir contre tes amis qui se lèvent, comme des brigands, pour t'assaillir de leurs discours.

J'ai besoin de toi, d'un homme qui sache se plaindre à voix haute, en faisant résonner les cieux où Dieu délibère avec Satan pour échafauder des plans contre un homme! Plains-toi. Le Seigneur ne craint pas, il peut bien se défendre; mais comment pourrait-il se défendre quand personne n'ose se plaindre, comme il sied à un homme? Parle, élève la voix, parle à voix haute, Dieu peut bien parler plus haut, puisqu'il a le tonnerre - mais le tonnerre est aussi une réponse, une explication sûre, digne de foi, originelle, une réponse de Dieu lui-même, qui, même si elle brise un homme, est autrement magnifique que les commérages et les ragots sur la justice de la Providence, inventés par la sagesse humaine et propagés par des commères et des eunuques!"
Toute la séquence de la création du monde peut ainsi se lire comme une longue plainte, la plainte légitime, courageuse (selon K.) de celle qui ne se contente pas de formules de consolation toutes faites; il avait été dit dans le topic que cette séquence s'accompagnait justement du "Lacrimosa" de Preisner. Ce qui fait que cette séquence peut se lire comme la combinaison de deux voix: la longue plainte de l'affligé "qui s'élève jusqu'aux cieux" et remue ciel et terre de ses cris d'angoisse, et la réponse de Dieu, qui demande "Où étais-tu quand je fondais la terre...".


Ce qui est plus compliqué à suivre, c'est que cette formule "Le Seigneur a donné, le Seigneur a ôté", K. l'a discutée dans un de ses "Discours édifiants", pour en dire tout autre chose que ce que dit le Jeune homme dans "La reprise". Dans "La reprise", elle est balayée comme une formule creuse, une consolation vide brandie par les gens raisonnables et sages, pour faire taire, pour soumettre ceux que la détresse a déjà rendus muets.
(Il y a au moins une référence explicite aux "Discours édifiants" dans "Tree of life" : c'est le discours du prêtre, au milieu du film, qui en reprend des passages.)

Je n'ai pas lu les "Discours édifiants", mais si j'en crois les comptes-rendus et les extraits qu'on trouve sur le net, K. célèbre la profondeur de cette formule parce qu'elle dit l'essentiel: c'est Job qui prononce cette formule, et disant cela, il ne commence pas par dire "Le Seigneur a ôté", il commence par dire "Le Seigneur a donné"; il ne faut donc pas entendre et prononcer cette phrase comme la formule d'une soumission à un Dieu qui reprend, mais comme la marque de gratitude et de reconnaissance envers un Dieu qui, d'abord, donne.
The moment the Lord took everything away, he did not first say, ‘The Lord took away,’ but first of all he said, ‘The Lord gave.’ The statement is brief, but in its brevity it effectually points out what it is supposed to point out, that Job’s soul was not squeezed into silent subjection to the sorrow, but that his heart first expanded in thankfulness, that the first thing the loss of everything did was to make him thankful to the Lord that he had given him all the blessings that he now took away from him. . . . [H]is thankfulness was . . . honest, just as honest as the idea of God’s goodness that was now so vivid in his soul. Now he recalled everything the Lord had given, some particular thing with perhaps even more thankfulness than when he had received it; it has not become less beautiful because it had been taken away, nor more beautiful, but was just as beautiful as before, beautiful because the Lord had given it, and what might seem more beautiful to him now was not the gift but God’s goodness.
C'est comme si cette phrase "Le Seigneur a donné, le Seigneur a ôté" n'avait pas de sens au début pour la mère, parce qu'elle venait de l'extérieur, parce qu'elle relevait d'un savoir impersonnel: c'est juste des mots vides, quelque chose qu' "on" dit, qu'il faut dire dans des circonstances semblables, au moment d'un deuil; et dite comme ça, c'est une phrase terrible, révoltante, parce qu'elle place sa foi dans un Dieu capricieux qui ne fait que prendre et ôter, et qui semble seulement exiger qu'on se taise et se soumette sans jamais se plaindre.
Il faut en passer par la plainte et les cris, il faut toute la durée du film, tout un trajet intérieur où cette phrase est vécue et éprouvée, pour qu'elle puisse être reprise à la fin, la même et pourtant changée, apparaissant dans son vrai sens: non plus la soumission à un Dieu qui ôte, mais la confiance placée en un Dieu qui donne.


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Message par Borges Mer 5 Juin 2013 - 13:59

-Hi; oui, c'est précisément ça le livre de job : le refus de l'universel, du général, des paroles de consolation vides qui valent pour tous ( c'est le sens de la discussion de job avec ses amis, qui veulent le consoler sans prendre en compte l'homme qu'il est; ils lui disent des banalités dont il ne veut pas... il veut une réponse de première main, une réponse qui vient de dieu; ses potes se foutent de lui, on ne discute pas avec l'éternel... c'est tout le sens aussi de la pensée de K, de dosto, d'un autre penseur très important, mais assez peu connu : chestov, qui a aussi fait de la singularité, de l'expérience de la foi, son thème contre les philosophes de l'universel, du général, de la nécessité (spinoza, hegel...).


Pour eux 2 et 2 ne font pas 4, parce que dieu est au-delà de la nature, de la raison...il est l'impossible...

(La suite et plus encore dans DetR Wink )


- "le seigneur a donné, le seigneur a repris", c'est comme si entre ces deux phrases, il fallait placer la subjectivité, la singularité de l'expérience de celui a qui a été repris ce qui a été donné : "je te donne mon fils"; elle ne le redonne pas. (c'est pas seulement la mère qui parle ici, bien entendu, c'est aussi Marie, c'est un peu comme si marie disait à dieu, c'est pas seulement ton fils, c'est aussi le mien...)

- l'expérience de Madame O'Brien est une mise à l'épreuve de la fameuse voie de la grâce; cela ne doit pas seulement être une enseignement des soeurs : il faut qu'elle en fasse l'expérience, qu'elle l'incarne... comme dit deleuze, incarner l'événement et en dégager la vérité, la part d'éternité... tous les personnages de malick doivent faire une traversée du négatif qui met à l'épreuve leur "innocence"...(holy, pocahontas, witt...); dans TTW, on retrouve cette idée lors de l'un des sermons du prêtre... il suffit pas de dire Jésus a dit...

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Message par Borges Mer 5 Juin 2013 - 14:02

Toute la séquence de la création du monde peut ainsi se lire comme une longue plainte, la plainte légitime, courageuse (selon K.) de celle qui ne se contente pas de formules de consolation toutes faites; il avait été dit dans le topic que cette séquence s'accompagnait justement du "Lacrimosa" de Preisner. Ce qui fait que cette séquence peut se lire comme la combinaison de deux voix: la longue plainte de l'affligé "qui s'élève jusqu'aux cieux" et remue ciel et terre de ses cris d'angoisse, et la réponse de Dieu, qui demande "Où étais-tu quand je fondais la terre...".

je sais pas, je crois que c'est plus compliqué que ça...


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Message par adeline Lun 22 Juil 2013 - 13:31

Un texte de plus sur Malick, pour info
http://mubi.com/notebook/posts/terrence-malick-theologian-the-intimidating-exhilarating-religiosity-of-the-tree-of-life-and-to-the-wonder


Spoiler:

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Message par Invité Lun 5 Aoû 2013 - 23:03

Terrence Malick poursuivi par ses investisseurs :
http://blogues.lapresse.ca/moncinema/siroka/2013/07/22/terrence-malick-poursuivi-par-ses-investisseurs/

La plainte déposée contre Terrence Malick a été rendue publique :
http://fr.scribd.com/doc/155148038/SEVENSEAS-FILEDCOMPLAINT

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Message par Dr. Apfelgluck Mar 6 Aoû 2013 - 5:49

J'adore l'histoire, dans la plainte, de la séquence du "Early Man". Malick a dit aux producteurs qu'il ne pouvait la tourner que dans les îles Salomon, argumentant "je vais trouver des papous sauvages, ca va être bien" pour avoir l'argent. Des mois plus tard, quand ils lui demandent de voir la séquence en question, ils réalisent que Malick l'a tourné en réalité au Nouveau-Mexique et que les plans des îles Salomon ne sont en fait que du stock-footage.
La réponse de Malick face à leurs interrogations : "oh de toute façon cette séquence est pas bonne, faudra tout retourner."
Dr. Apfelgluck
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Message par Bobby_Brown Lun 2 Sep 2013 - 7:21

Je ne me présente pas, une chanson de Zappa le fait pour moi ; juste je viens d'être informé de deux communications universitaires sur Malick, et vu que je connais les Spectres essentiellement pour leur production littéraire autour de lui, je vous en informe:

Institut National d’Histoire de l’Art
Entrées :
- 6, rue des Petits Champs 75002 Paris
- 2, rue Vivienne 75002 Paris
Métro :
- ligne 3 : Bourse
- ligne 7, 14 : Pyramides
- ligne 1 : Palais royal/Musée du Louvre
7 septembre 2013 – INHA
10h45-12h30: 4 ateliers en parallèle
• Atelier 1 : CINÉMA AMÉRICAIN CONTEMPORAIN
Présidence de séance : Jacqueline Nacache (Paris Diderot)
Salle Giorgio Vasari
Jérôme BLOCH (Paris 3) : « ‘Tu ne commettras point d’adultère’ : le péché de chair et sa
rédemption dans le cinéma de Terrence Malick »
Michel BONDURAND MOUAWAD (Paris 3) : « La gauche hollywoodienne et l’orientalisme : le
cas de Couvre-feu »
Yoann HERVEY (Montpellier 3) : « La pensée-cinéma de l’entre-image dans l’œuvre de
Terrence Malick »
Célia SAUVAGE (Paris 3) : « Déclaration d’indépendance : le cinéma indépendant américain
entre conflit discursif et label culturel de goût »

Bobby_Brown

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Message par adeline Lun 2 Sep 2013 - 17:52

Hello Bobby_Brown, bienvenue Wink et merci.

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Message par Invité Lun 16 Sep 2013 - 11:07

Tree of Life et le cinéma de T. Malick  - Page 23 The_tree_of_life_movie_poster_01-420x622-202x300

assez éloquent comme empreinte d'image, cette indélébile marque.

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Message par Dr. Apfelgluck Mer 7 Jan 2015 - 8:03



Toujours l'eau.
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Message par Borges Mer 7 Jan 2015 - 9:15

Après "to the wonder", et avoir regardé ce trailer, on peut se demander si le cinéma de Malick n'est pas en train de prendre l'eau.
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