Best of 2009 cinéma
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Re: Best of 2009 cinéma
David_Boring a écrit:Je ne vois pas ce que vient faire le Bio là dedans si on fait référence au label Agriculture Biologique.
le bio c'est aussi une éthique, une politique de la pureté, sans parler de la valeur de distinction de ceux qui ont assez de sous pour payer la différence de leur pureté; il y a le kascher, le hallal, et le bio...
Borges- Messages : 6044
Re: Best of 2009 cinéma
Borges a écrit:On peut que s'étonner devant tant de radicalisme politique et critique :"Adieu Gary" : mélange d'un téléfilm français très français et de plus belle la vie, avec quelques artifices pseudo-poétiques
Avatar - fable néo-age-nazie-colonialiste (light bien entendu, et bio, et commerce équitable);
Clones - film réactionnaire religieux
Che- a face on a T-shirt; film comique à la gloire du héros de kylie minogue
occupe-toi de ton "best of" !
Invité- Invité
Re: Best of 2009 cinéma
JM a écrit:Borges a écrit:On peut que s'étonner devant tant de radicalisme politique et critique :
[justify]"Adieu Gary" : mélange d'un téléfilm français très français et de plus belle la vie, avec quelques artifices pseudo-poétiques
Avatar - fable néo-age-nazie-colonialiste (light bien entendu, et bio, et commerce équitable);
Clones - film réactionnaire religieux
Che- a face on a T-shirt; film comique à la gloire du héros de kylie minogue
occupe-toi de ton "best of" !
doucement... doucement; d'abord finir la démo de mon premier single.
Borges- Messages : 6044
Re: Best of 2009 cinéma
TOP 2009
1- Singularité d’une jeune fille blonde de Manoel de Oliveira
2- Ce cher mois d’aout de Miguel Gomes
3- Me and Orson Welles de Richard Linklater
4- Le ruban blanc de Michael Haneke
5- Avatar de James Cameron
6- City Island de Raymond De Felitta
- Adventureland de Greg Mottola
7- 24 city de Jia Zhang-Ke
8- Adieu Gary de Nassim Amaouche
9- Les herbes folles d'Alain Resnais
10- The limits of control de Jim Jarmush
11- Milk de Gus Van Sant/ The hurt Locker Kathryn Bigelow/ Hôtel Woodstock de Ang Lee
Je n'ai pas vu un tas de films : Inland, le Guiraudie, le Rivette, le Coppola, le Dumont, Still Walking, Vincere et beaucoup beaucoup d'autres...
Autres moments dignes d'intérêt :
-Inglorius basterds de Tarantino, dont je n'aime pas les films, sauf celui-là. Mais il ne s'agit pas non plus du Dictateur de Chaplin, historiquement parlant. Rappellons-nous que ce dernier a été réalisé en 1940, etc. Tarantino, comme d'hab, vient après. J'aime beaucoup son film, pour un tas de raison, mais cette incapacité à utiliser son talent pour faire imploser l'histoire actuelle n'a pas plaidé en sa faveur. Pourquoi cette époque là et non un conflit actuel (bien sûr, des ponts sont possibles, mais ce n'est pas suffisant à mes yeux) ? (Je pense à Moretti qui va sortir un film sur le pape par exemple...)
-Le corps eastwoodien
-La mutation du blockbuster (en partie)
-La vision de beaucoup d'autres films marquants, mais pas de 2009 (Yabaa, etc.)
-Les images des deux films d'Albert Serra
-Ponyo de Miyazaki : pour son univers, sa sensibilité, même si j'avais été déçu par son ton un peu trop guimauve et "Disney". Généralement, Miyazaki fait preuve de plus de profondeur dans l'approche de ses personnages et de la magie de son univers
Bilan très mitigé:
-Étreintes brisées d'Almodovar
-Funny People de Judd Apatow
-The Box de Richard Kelly
-District 9 (merci à Borges en passant)
Mes navets/déceptions :
-Les plages d'Agnès de Agnès Varda : ou la marée noire. Un coulis de "moi je", de nombrilisme, il n'y a pas de monde, d'imaginaire, d'hommes, seulement Varda. Faux hommage à ceux qui l'ont entouré.
-Tokyo Sonata : comme le jeune pianiste de son film, Kurosawa joue sa sonate avec un synthé cassé, où il ne reste plus que que quelques notes : les plus graves. Sonate lourde, pesante, parfois akinienne. Pourtant, les images de ce film sont encore gravées en moi, alors que j'ai détesté. Je vais essayer le revoir.
-Flops gigantesques : Le père de mes enfants ; Humpday, The informant, Élève libre, The werstler, J'ai tué ma mère, Les barons, Welcome, Star Trek, Antichrist, Julie et Julia....
1- Singularité d’une jeune fille blonde de Manoel de Oliveira
2- Ce cher mois d’aout de Miguel Gomes
3- Me and Orson Welles de Richard Linklater
4- Le ruban blanc de Michael Haneke
5- Avatar de James Cameron
6- City Island de Raymond De Felitta
- Adventureland de Greg Mottola
7- 24 city de Jia Zhang-Ke
8- Adieu Gary de Nassim Amaouche
9- Les herbes folles d'Alain Resnais
10- The limits of control de Jim Jarmush
11- Milk de Gus Van Sant/ The hurt Locker Kathryn Bigelow/ Hôtel Woodstock de Ang Lee
Je n'ai pas vu un tas de films : Inland, le Guiraudie, le Rivette, le Coppola, le Dumont, Still Walking, Vincere et beaucoup beaucoup d'autres...
Autres moments dignes d'intérêt :
-Inglorius basterds de Tarantino, dont je n'aime pas les films, sauf celui-là. Mais il ne s'agit pas non plus du Dictateur de Chaplin, historiquement parlant. Rappellons-nous que ce dernier a été réalisé en 1940, etc. Tarantino, comme d'hab, vient après. J'aime beaucoup son film, pour un tas de raison, mais cette incapacité à utiliser son talent pour faire imploser l'histoire actuelle n'a pas plaidé en sa faveur. Pourquoi cette époque là et non un conflit actuel (bien sûr, des ponts sont possibles, mais ce n'est pas suffisant à mes yeux) ? (Je pense à Moretti qui va sortir un film sur le pape par exemple...)
-Le corps eastwoodien
-La mutation du blockbuster (en partie)
-La vision de beaucoup d'autres films marquants, mais pas de 2009 (Yabaa, etc.)
-Les images des deux films d'Albert Serra
-Ponyo de Miyazaki : pour son univers, sa sensibilité, même si j'avais été déçu par son ton un peu trop guimauve et "Disney". Généralement, Miyazaki fait preuve de plus de profondeur dans l'approche de ses personnages et de la magie de son univers
Bilan très mitigé:
-Étreintes brisées d'Almodovar
-Funny People de Judd Apatow
-The Box de Richard Kelly
-District 9 (merci à Borges en passant)
Mes navets/déceptions :
-Les plages d'Agnès de Agnès Varda : ou la marée noire. Un coulis de "moi je", de nombrilisme, il n'y a pas de monde, d'imaginaire, d'hommes, seulement Varda. Faux hommage à ceux qui l'ont entouré.
-Tokyo Sonata : comme le jeune pianiste de son film, Kurosawa joue sa sonate avec un synthé cassé, où il ne reste plus que que quelques notes : les plus graves. Sonate lourde, pesante, parfois akinienne. Pourtant, les images de ce film sont encore gravées en moi, alors que j'ai détesté. Je vais essayer le revoir.
-Flops gigantesques : Le père de mes enfants ; Humpday, The informant, Élève libre, The werstler, J'ai tué ma mère, Les barons, Welcome, Star Trek, Antichrist, Julie et Julia....
Le_comte- Messages : 336
Re: Best of 2009 cinéma
l'un des plus beaux films de 2009 n'a pas été cité, ici, si je ne me trompe pas : moon, un curieuse rencontre de 2001 et de Solaris, qui pose des questions essentielles sur le sujet, l'identité, la mémoire, l'idéologie de l'énergie propre, tout cela à partir du clonage...
Borges- Messages : 6044
Re: Best of 2009 cinéma
Ce qui est injuste avec ces bilans de fin d'année c'est que les films les plus récents sont très avantagés; je ne me souvenais même plus que HM de GVS était de cette année...
Borges- Messages : 6044
Re: Best of 2009 cinéma
Borges a écrit:l'un des plus beaux films de 2009 n'a pas été cité, ici, si je ne me trompe pas : moon, un curieuse rencontre de 2001 et de Solaris, qui pose des questions essentielles sur le sujet, l'identité, la mémoire, l'idéologie de l'énergie propre, tout cela à partir du clonage...
Quelle surprise!
Jamais je n'aurai pensé que ce premier film du fils de David Bowie, Duncan Jones, serait cité ici, ds ce best of 2009.
Il se trouve aussi ds ma liste de cette année...(dit il comme un fayot)
careful a écrit:A l'instant:
Moon (Duncan Jones - 2009)
Tu vas "adorer" Erwan
^x^- Messages : 609
Re: Best of 2009 cinéma
Par ordre alphabétique, 10 films de 2009 :
35 Rhums
de Claire Denis
Adieu Gary
de Nassim Amaouche
Harvey Milk
de Gus Van Sant
Itinéraire de Jean Bricard
de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet
Les Herbes folles
de Alain Resnais
Le Temps qu'il reste
de Elia Suleiman
Tetro
de Francis Ford Coppola
Un prophète
de Jacques Audiard
Villa Amalia
de Benoît Jacquot
Z32
de Avi Mograbi
35 Rhums
de Claire Denis
Adieu Gary
de Nassim Amaouche
Harvey Milk
de Gus Van Sant
Itinéraire de Jean Bricard
de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet
Les Herbes folles
de Alain Resnais
Le Temps qu'il reste
de Elia Suleiman
Tetro
de Francis Ford Coppola
Un prophète
de Jacques Audiard
Villa Amalia
de Benoît Jacquot
Z32
de Avi Mograbi
Invité- Invité
Re: Best of 2009 cinéma
Le_comte a écrit:
1- Singularités d’une jeune fille blonde[/i] de Manoel de Oliveira
La Religieuse portugaise d'Eugène Green ; une espèce d'année du Portugal (?)
happy coca cola day les ghosts
balthazar claes- Messages : 1009
Re: Best of 2009 cinéma
J'y pensais en effet. Le cinéma portugais m'intéresse beaucoup, peut-être est-ce le plus passionnant et le plus riche en Europe depuis des années. Il assure, en tout cas, la grande tradition du cinéma européen, à l'inverse de l'état actuel de nombreuses cinématographies plutôt pauvres (la belge par exemple).
Le_comte- Messages : 336
Re: Best of 2009 cinéma
Comme tu y vas. Monteiro (RIP), Oliveira (ouais…), tu en connais un troisième ? Pierre Léon avait l’air d’exprimer l’idée qu’en tant que petite zone périphérique, c’était un endroit où on peut trouver une certaine liberté. Et dans La Religieuse portugaise on parle à un moment de la licence particulière qui y règnerait depuis au moins quelques siècles. Mais bon, j’en sais rien. Ni de la cinématographie européenne actuelle, ciel, à ma connaissance, presque plus personne ne fait de cinéma en Europe, à part quelques petits vieux français.
Ces auteurs portugais se sont greffés sur le grand courant historique du cinéma français, je dirais ; c'est justement parce qu'ils avaient un fort rapport avec la France. Et pour le reste, c'est le cinéma dans son ensemble qui devient une chose tout à fait périphérique.
Ces auteurs portugais se sont greffés sur le grand courant historique du cinéma français, je dirais ; c'est justement parce qu'ils avaient un fort rapport avec la France. Et pour le reste, c'est le cinéma dans son ensemble qui devient une chose tout à fait périphérique.
balthazar claes- Messages : 1009
Re: Best of 2009 cinéma
On ne peut que te donner raison.
Quant au cinéma portugais, je parcours en ce moment quelques livres (notamment celui édité par le centre Pompidou, même si cette collection n'est pas fameuse). Je n'en suis qu'au début, mais j'aime beaucoup, oui, cette liberté, ce ton, cette invention constante. Il y a quelque chose du "cinéma" qui persiste là-bas...Quelque chose que beaucoup d'autres pays n'ont plus.
Quant au cinéma portugais, je parcours en ce moment quelques livres (notamment celui édité par le centre Pompidou, même si cette collection n'est pas fameuse). Je n'en suis qu'au début, mais j'aime beaucoup, oui, cette liberté, ce ton, cette invention constante. Il y a quelque chose du "cinéma" qui persiste là-bas...Quelque chose que beaucoup d'autres pays n'ont plus.
Le_comte- Messages : 336
Re: Best of 2009 cinéma
Et c'est là que l'ami D&D devrait intervenir...
N'est ce pas un fervent admirateur du pays, peuple et de son cinéma ?
Et bien, si.
N'est ce pas un fervent admirateur du pays, peuple et de son cinéma ?
Et bien, si.
^x^- Messages : 609
Re: Best of 2009 cinéma
Continuant mes étonnements, je me demande si "Jennifer's body" a été cité...il le mérite...un grand film comique, et politiquement très curieux... on pourrait le définir par une formule débile du genre "twin peaks" après le fameux nineleven; autrement dit le problème n'est pas de savoir qui a tué Laura Palmer. Des tas de répliques à mourir de rire, en se demandant pourquoi, pourquoi rire, pourquoi mourir de rire, pourquoi mourir, si mourir a une quelconque importance? comment oublier ce dialogue entre l'adolescente blonde à lunettes et sa mère;
-la mère : j'ai rêvé qu'une bande de cinglés te clouait comme jésus à un arbre, mais je ne les ai pas laissé faire; je deviens dingue quand on touche à mon enfant
-la fille : t'en fais pas;je suis assez grande pour me défendre toute seule
-la mère : ne dis pas ça, un jour tu seras en danger et tu auras besoin de moi (léger silence)...mais je ne serai pas là pour t'aider...
où peut donc se tenir un dialogue pareil? cette rencontre en quelques lignes de freud, du surréalisme, des angoisses ados-parents, dans une superbe inversion de la mise en croix, avec jésus qui demande à son père pq il ne vient pas son secours...les américains épatent souvent par leur sens du dialogue; si le cinéma est parlant, c'est souvent grâce à eux; l'un des grands problèmes avec Avatar, c'est que l'époque interdit presque totalement les dialogues pleins de sens, et de vérité... la faute aux séries, bien entendu
et la réplique : tu peux pas manger ce poulet, il est bio; ma mère ne veut pas que je le mange
je cite de mémoire, bien entendu
-la mère : j'ai rêvé qu'une bande de cinglés te clouait comme jésus à un arbre, mais je ne les ai pas laissé faire; je deviens dingue quand on touche à mon enfant
-la fille : t'en fais pas;je suis assez grande pour me défendre toute seule
-la mère : ne dis pas ça, un jour tu seras en danger et tu auras besoin de moi (léger silence)...mais je ne serai pas là pour t'aider...
où peut donc se tenir un dialogue pareil? cette rencontre en quelques lignes de freud, du surréalisme, des angoisses ados-parents, dans une superbe inversion de la mise en croix, avec jésus qui demande à son père pq il ne vient pas son secours...les américains épatent souvent par leur sens du dialogue; si le cinéma est parlant, c'est souvent grâce à eux; l'un des grands problèmes avec Avatar, c'est que l'époque interdit presque totalement les dialogues pleins de sens, et de vérité... la faute aux séries, bien entendu
et la réplique : tu peux pas manger ce poulet, il est bio; ma mère ne veut pas que je le mange
je cite de mémoire, bien entendu
Borges- Messages : 6044
Re: Best of 2009 cinéma
Est-ce sérieux ? J'ai voulu voir ce film, mais j'ai changé d'avis au final. Je l'ai donc téléchargé...
Le_comte- Messages : 336
Re: Best of 2009 cinéma
J'ai tenu 8 min et 46 sec. Ou bien est ce ces 8 min et 46 sec qui m'ont lâché ?
J'ai appris sur un forum de geeks culteuteux que Diablo Cody en est le scénariste. Apparemment c'est
le même qui a donc écrit Juno, la série United States of Tara et des choses pr Letterman et Jay Leno. Bref, des trucs très In pr les étudiants étasuniens.
J'ai appris sur un forum de geeks culteuteux que Diablo Cody en est le scénariste. Apparemment c'est
le même qui a donc écrit Juno, la série United States of Tara et des choses pr Letterman et Jay Leno. Bref, des trucs très In pr les étudiants étasuniens.
^x^- Messages : 609
Re: Best of 2009 cinéma
Juste 8 min et 46 sec? Je suis étonné, mais en même temps, rares sont les critiques pour qui il dépasse la moyenne, la moyenne de sa moyenne ne doit pas atteindre un cinq sur dix...
(Diablo Cody)
Writing a horror-thriller-comedy mash-up is difficult. Plus Karyn and I are both oddballs. So you had a huge studio that's used to making things straightforward and packaging them accordingly. And you had the two of us, who wanted to make Andy Warhol's Dracula. (...)It wasn't super-commercial, it was loaded with subtext - it's not your typical popcorn movie."
(Diablo Cody)
Borges- Messages : 6044
Re: Best of 2009 cinéma
careful a écrit: des trucs très In pr les étudiants étasuniens.
mais aussi sur ces mêmes étudiants...(et c'est pas sympa avec eux), leurs styles d'existence... leur vides...
et puis, c'est drôle, exemple encore :
-Tu me passes tes notes, j'ai pas eu le temps de lire "Hamlet", est-ce qu'il finit par baiser sa mère?
Borges- Messages : 6044
Re: Best of 2009 cinéma
Dans la série "friends", on trouve a lot of répliques de ce genre, à littéralement hurler de rire, en effet.
Bon, je --->
Bon, je --->
Invité- Invité
Re: Best of 2009 cinéma
Et c'est bien, et c'est pas étonnant; personne ne peut battre les américains quand il s'agit de ce genre de dialogue; le plus beau, c'est que ces répliques on en trouve aussi dans la vie, et on rit, sans avoir à hurler...
je ne vais naturellement pas dévoiler le contexte où cette réplique intervient; voyez jennifer's body...
wikije ne vais naturellement pas dévoiler le contexte où cette réplique intervient; voyez jennifer's body...
The film received mixed reviews from critics. Review aggregate website Rotten Tomatoes reports 44% of critics gave the film positive write-ups based on 150 reviews, with an average rating of 5.1/10,[8] and a generally negative 37% approval rating from "top" critics based on 27 reviews.[35] The site's general consensus is that "Jennifer's Body features occasionally clever dialogue but the horror/comic premise fails to be either funny or scary enough to satisfy".[8] At Metacritic, which assigns a normalized rating out of 100 to reviews from mainstream critics, the film holds a mixed/average score of 47 based on 28 reviews,[36] while IGN gives the film 2.5 stars out of 5.[37]
je m'étais trompé la moyenne dépasse les 5.
mais Roger Ebert, le critique des critiques, le mec le plus influent de la profession, le premier prix pulitzer de la critique ciné, le premier critique à avoir eu son étoile au fameux hollywood walk of fame, lui a mis trois étoiles sur quatre;
remarquons que "la nuit des morts vivants" ne bat chez lui "jennifer's body" que d'un demi point :
(et si on ajoute l'humour de ce dernier (je crois que la nuit des morts vivants est battu)
un peu de lecture, "The Night of the Living Dead"
I admire the movie itself, which I have seen twice since that 1967 afternoon, and its sequel "Dawn of the Dead" got an enthusiastic review from me. I didn't assign a star rating to "The Night of the Living Dead" because the kind of article I wrote did not seem to require one, but if I were to rate it today, I'd give it 3 1/2 stars.
ici le fameux article de 1969
ça commence comme ça :
There were maybe two dozen people in the audience who were over 16 years old. The rest were kids, the kind you expect at a Saturday afternoon kiddie matinee. This was in a typical neighborhood theater, and the kids started filing in 15 minutes early to get good seats up front. The name of the movie was "The Night of the Living Dead."
admirez la classe de "The name of the movie was "The Night of the Living Dead", c'était pas encore un mythe.
Borges- Messages : 6044
Re: Best of 2009 cinéma
careful a écrit:J'ai tenu 8 min et 46 sec. Ou bien est ce ces 8 min et 46 sec qui m'ont lâché ?
Quoi ? Le minois et la plastique de Megan Fox n'ont pas suffit à te faire dépasser la barre fatidique des 10 minutes ? Que t'arrive-t-il, Careful ?
lorinlouis- Messages : 1691
Re: Best of 2009 cinéma
Borges a écrit:
je m'étais trompé la moyenne dépasse les 5.
De quelques décimales sur IMDB...
lorinlouis- Messages : 1691
Re: Best of 2009 cinéma
lorinlouis a écrit:
Quoi ? Le minois et la plastique de Megan Fox n'ont pas suffit à te faire dépasser la barre fatidique des 10 minutes ? Que t'arrive-t-il, Careful ?
Je déteste la plastique playmobile de ce genre de femme
Pardon, d'actrice.
- Spoiler:
affiche US:
affiche française:
Qui est le plus puritain ?
Et pourtant l'affiche US est "mieux".
Les graphistes français apprécient bcp les copies de bras au sol pr les films de genre.
^x^- Messages : 609
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