des photos, des stars : uniquement.
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Re: des photos, des stars : uniquement.
Frida Kahlo photographiée par son père était très belle et volage aussi.
Elle habitait le quartier de Coyoacàn, un quartier résidentiel, upper-classe.
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Re: des photos, des stars : uniquement.
Slim ou l'art d’appâter pour mieux décevoir, pff....
- Spoiler:
Alexander Skarsgard:
J'aime pas trop sa gueule.
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Re: des photos, des stars : uniquement.
euh, non lui c'est mon frère, moi je suis Olof, son cadet.
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Re: des photos, des stars : uniquement.
Baudouin II de Barvaux a écrit:Tiens, il s'est déconnecté... Le temps sans doute d'aller au photomaton du plus proche complexe commercial, et se donner le temps de la réflexion. Se disant: "mon bon vieux slimfast, tu as souvent erré entre erreur et miroirs aux alouettes, de désillusions en défaites. Voici une opportunité exceptionnelle. Ne la laisse pas passer, c'est peut-être le saut qualitatif que tu appelais de tes vœux... Oui, mais s'il est sodomite?... Y a-t-il une pharmacie de garde dans le secteur?")
ah non t'es à côté de la plaque et pas drôle, je veux dire en réalité tu es comme ça avec ton vocabulaire limité et tes agencements bidons de mot.
prends conscience que le Jerzy que tu crois être n'est pas celui que tu es. tu es un remède à la légèreté, t'es plombant.
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Re: des photos, des stars : uniquement.
Tain, quelle mocheté fardée (alors que je suis sûr qu'elle est très mignonne). Je comprends pas cette fascination pour les vamps et le rétro.
- Spoiler:
(oui oui, je suis là. J'observe, tapis dans l'ombre, guettant, le doigt sur la couture du pantalon et toujours prêt à dégainer...
Et je lis, toujours effaré, l'espèce de débile profond incurable d'à côté, l'ineffable, le consternant, l'inusable et usant bubon, dégoisant en son fort chabrol en forme de confetti ses conneries inintéressantes et chaotiques, écrites directement avec l'anus mouillé d'un nonagénaire incontinent. Oui, c'eût été dommage de ne pas remettre une petite couche en passant)
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Re: des photos, des stars : uniquement.
Baudouin II de Barvaux a écrit:Tain, quelle mocheté fardée (alors que je suis sûr qu'elle est très mignonne). Je comprends pas cette fascination pour les vamps et le rétro.
Et moi cette fascination pour les Daft Punk et la "french touch" également comme ils disent.
Je la trouve particulièrement charmante...en brune.
Dernière édition par careful le Mar 12 Mar 2013 - 12:49, édité 2 fois
careful- Messages : 690
Re: des photos, des stars : uniquement.
Danièle Gégauff.
J'ai connu fugitivement Paul Gégauff qui est un de ces passants éphémères de ma vie qui ne passe pas... Rohmer, dans un remarquable entretien dans Les cahiers du cinéma avec Jean-Michel Frodon, dont habituellement je ne suis pas un fervent, en parle très bien: "Je parle de lui, parce qu'il a eu une influence immense sur nous tous: sur Chabrol évidemment, mais aussi sur Godard qui mettait dans ses dialogues des phrases de Gégauff. Quant à mes films, il a théoriquement collaboré aux dialogues du "Signe du lion". En réalité, c'est plutôt que son personnage a influencé celui du film. Je voyais qu'il était très paresseux, et comme je suis toujours très précautionneux, j'avais déjà écrit les dialogues. Je lui ai apporté mon scénario et il m'a dit que les dialogues étaient très bons, qu'il n'y avait qu'à les garder. J'ai tout de même dit qu'ils étaient de lui parce qu'il a beaucoup influencé le film, une sorte de collaborateur dans l'ombre. D'autres personnages peuvent lui ressembler vaguement. Celui de Brialy dans "Le genou de Claire" qui est finalement très différent, mais la nouvelle que j'avais écrite était inspirée de lui. Le personnage joué par Fédor Atkine dans "Pauline à la plage" lui ressemble, et pas mal d'autres. Dans "La collectionneuse", je ne sais pas s'il m'a inspiré directement ou s'il a inspiré les acteurs, qui le connaissaient. C'est vraiment l'éminence grise du cinéma de la Nouvelle Vague...
On peut écouter* une émission de France-culture en deux parties sur cet homme libre, Paul Gégauff. On y entend entre autres Claude Chabrol.
*1
*2
careful- Messages : 690
Re: des photos, des stars : uniquement.
en exergue du livre qui lui est consacré, cette phrase de Bernard Franck, qui doit lui aller et que je n'aime pas il y a de quoi être troublé quand on s'aperçoit qu'on va passer sa vie à travailler avec, pour seul salaire, la mort au bout
Danièle l'a quitté. Gégauff a fini sa vie de trois coups de couteaux dans le ventre par sa dernière maîtresse. Son problème était là, encombrant on ne savait comment s'en débarrasser. Elle lui a certainement donné le salaire qu'il méritait.
Danièle l'a quitté. Gégauff a fini sa vie de trois coups de couteaux dans le ventre par sa dernière maîtresse. Son problème était là, encombrant on ne savait comment s'en débarrasser. Elle lui a certainement donné le salaire qu'il méritait.
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Re: des photos, des stars : uniquement.
slimfast a écrit:en exergue du livre qui lui est consacré, cette phrase de Bernard Franck, qui doit lui aller et que je n'aime pas il y a de quoi être troublé quand on s'aperçoit qu'on va passer sa vie à travailler avec, pour seul salaire, la mort au bout
Danièle l'a quitté. Gégauff a fini sa vie de trois coups de couteaux dans le ventre par sa dernière maîtresse. Son problème était là, encombrant on ne savait comment s'en débarrasser. Elle lui a certainement donné le salaire qu'il méritait.
Merci, l'histoire perso de Gégauff est bien connue, aussi morbide qu'inintéressante... Mais je pige absolument pas le sens de la dernière phrase, assez nauséabonde.
Comment peut-on dire qu'en l'assassinant, sa maitresse "lui a certainement donné le salaire (la mort au bout - ooh doux jésus, que c'est triste et tragique) qu'il méritait"? Typiquement le genre de formule toute faite, toute en fausse profondeur et en paradoxe fumeux, que tu sembles affectionner.
On va donc dire, pour te faire plaisir, que ta plume inspirée, puisant aux vertiges de la grande littérature psychologique de romans-photos sadomaso bon chic bon genre (et qui s'mouche pas du coude), signale une grande sensibilité écorchée-vive digne de Bernard Frank. Beurk. T'as vu trop de Chabrol, le Feydeau du trash...
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Re: des photos, des stars : uniquement.
Baudouin II de Barvaux a écrit:slimfast a écrit:en exergue du livre qui lui est consacré, cette phrase de Bernard Franck, qui doit lui aller et que je n'aime pas il y a de quoi être troublé quand on s'aperçoit qu'on va passer sa vie à travailler avec, pour seul salaire, la mort au bout
Danièle l'a quitté. Gégauff a fini sa vie de trois coups de couteaux dans le ventre par sa dernière maîtresse. Son problème était là, encombrant on ne savait comment s'en débarrasser. Elle lui a certainement donné le salaire qu'il méritait.
Merci, l'histoire perso de Gégauff est bien connue, aussi morbide qu'inintéressante... Mais je pige absolument pas le sens de la dernière phrase, assez nauséabonde.
Comment peut-on dire qu'en l'assassinant, sa maitresse "lui a certainement donné le salaire (la mort au bout - ooh doux jésus, que c'est triste et tragique) qu'il méritait"? Typiquement le genre de formule toute faite, toute en fausse profondeur et en paradoxe fumeux, que tu sembles affectionner.
On va donc dire, pour te faire plaisir, que ta plume inspirée, puisant aux vertiges de la grande littérature psychologique de romans-photos sadomaso bon chic bon genre (et qui s'mouche pas du coude), signale une grande sensibilité écorchée-vive digne de Bernard Frank. Beurk. T'as vu trop de Chabrol, le Feydeau du trash...
je pense que ça veut dire que pour s'en débarrasser elle n'a trouvé que ce moyen là. il faisait avec elle ce qu'il faisait avec les autres : il la fascinait, l'avait sous sa coupe et la traitait comme une salope. c'est répugnant. il l'était autant et pareil avec les gros bras de la nouvelle vague - il suffit de remplacer salope par un équivalent masculin qui humilie.
à part ça il a traversé l'atlantique et les générations : james gray a affirmé regretter ne pas être l'auteur des bonnes femmes (peut être même des godelureaux).
allez appelle moi lastfilm et on n'en parle plus.
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Re: des photos, des stars : uniquement.
slimfast a écrit:
Dita von Teese
moi je la trouve sublime ; je donne toute ta prose à la raymond federman pour faire bras-dessus, bras-dessous avec elle.
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Re: des photos, des stars : uniquement.
Mieux vaut une prose à la raymond federman (connaissais pas) qu'une prose à la gonzague saint bris sous prozac.
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