cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
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Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
Désolée je me susi trompée de titre il s'agit de "lettres à Momo"
http://www.kanpai.fr/manga-anime/lettre-a-momo-critique.html
Au japon cet été j'ai vu les affiches annonçant la sortie du dernier Miyazaki je vais essayer d'envoyer les photos
http://www.kanpai.fr/manga-anime/lettre-a-momo-critique.html
Au japon cet été j'ai vu les affiches annonçant la sortie du dernier Miyazaki je vais essayer d'envoyer les photos
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
un bon programme en perspective, sur le papier du moins "a touch of sin" de zia zang ke" désolé epour l'orthographe" et "like father like son "de koreEda ce mois ci
Impatiente de voire ces 2 films.
Impatiente de voire ces 2 films.
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
salut Maya : beau programme en effet.
J'ai mis la main tout à l'heure sur le DVD : L'extase des anges (1972) de Koji Wakamatsu et on m'a dit aussi du bien de Piscine sans eau, du même réalisateur, que je n'ai pas vu encore non plus
Tu connais ?
J'ai mis la main tout à l'heure sur le DVD : L'extase des anges (1972) de Koji Wakamatsu et on m'a dit aussi du bien de Piscine sans eau, du même réalisateur, que je n'ai pas vu encore non plus
Tu connais ?
Invité- Invité
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
merci pib je n'ai pas vu ce films mais j'ai entendu parler du film "piscine sans eau" nul besoin d'aller au japon pour aprecier son cinéma mais depuis que j'ai voyagé au japon je suis devenue encore plus accro au cinéma asiatique et l'Asie en général
J'ai lu de bonnes critiques de "Touch of sin" j'avais vu "platform" et "still life" qui m'avasi beaucoup impressionnèe Et
J'ai lu de bonnes critiques de "Touch of sin" j'avais vu "platform" et "still life" qui m'avasi beaucoup impressionnèe Et
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
J'ai rajouté un lien
http://next.liberation.fr/cinema/2013/11/28/jia-zhangke-censure-par-les-medias-en-chine_962695
http://next.liberation.fr/cinema/2013/11/28/jia-zhangke-censure-par-les-medias-en-chine_962695
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
http://www.filmdeculte.com/cinema/film/Piscine-sans-eau-4010.html
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
Bientôt sortie du dernier miyazagi j'attends de voir le "like father like son" En attendant j'ai mis en ligne via "facebook" un petit tour d'Asie et quelques photos de Toulouse et paris ou comment faire le tour des salle de cinema à l'autre bout du monde sans partir de chez soi
bonne année à tous et à toutes!!!
En espérant qu 'on puisse accéder à l'album photo
https://www.facebook.com/maya.feugere/media_set?set=a.10151835723861766.543341765&type=3
bonne année à tous et à toutes!!!
En espérant qu 'on puisse accéder à l'album photo
https://www.facebook.com/maya.feugere/media_set?set=a.10151835723861766.543341765&type=3
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
Belle année pour le cinéma asiatique Kurosawa, Jia Zan ke, Bong joon ho, Riithy pan, Wong Kar Wai
j'ai vu "like father like son" Kore Eda sait capter ces moment,s filmer les enfants.l'histoire d'une rencontre et non rencontre entre le père et ses fils le film va se focaliser sur cette famille celui de l'architecte, la société japonaise avec ses rapports de classe, un père obsédé par la réussite sociale.un sujet universel mais qui s'inscrit dans une contexte bien précis la société japonais.L'argent n'achète pas tout et pas le temps que l'on peut passer avec ses proches j'ai bien aimé les rapports entre les 2 mères, la façon dont il les décrit
Subtil et lisse ,trop lisse peut être je préfère Kurosawa (Kyushi ) aoyama des cinéstes plus percutants et sur un sujet aussi grave , je préfère aussi" femmes en mirroir" de Yoshida.
j'ai vu "like father like son" Kore Eda sait capter ces moment,s filmer les enfants.l'histoire d'une rencontre et non rencontre entre le père et ses fils le film va se focaliser sur cette famille celui de l'architecte, la société japonaise avec ses rapports de classe, un père obsédé par la réussite sociale.un sujet universel mais qui s'inscrit dans une contexte bien précis la société japonais.L'argent n'achète pas tout et pas le temps que l'on peut passer avec ses proches j'ai bien aimé les rapports entre les 2 mères, la façon dont il les décrit
Subtil et lisse ,trop lisse peut être je préfère Kurosawa (Kyushi ) aoyama des cinéstes plus percutants et sur un sujet aussi grave , je préfère aussi" femmes en mirroir" de Yoshida.
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
Tu as raison Maya, pour moi aussi Femmes en miroir est un des films japonais les plus forts vus ces 15 dernières années.
incubé- Messages : 206
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
Ce film de Yoshida m'avait beaucoup marquée à l'inverse de Kore Eda Yoshida
dans "femmes en mirroir" n'a pas peur d' aller au fond des choses "entrer dans la tête des personnages.la peur la rtension qui monte "mais qui suis je en réalité? Rarement un filmn'a posé aussi bien avec autant d'inetensité la question sur l'identité, celle qui est apparente , l'image et celle qui est plus cachée intérieure.
Bon pour le début de cetet année on attend un autre cinaste japoanis et non des moindres , Miyazagi.
dans "femmes en mirroir" n'a pas peur d' aller au fond des choses "entrer dans la tête des personnages.la peur la rtension qui monte "mais qui suis je en réalité? Rarement un filmn'a posé aussi bien avec autant d'inetensité la question sur l'identité, celle qui est apparente , l'image et celle qui est plus cachée intérieure.
Bon pour le début de cetet année on attend un autre cinaste japoanis et non des moindres , Miyazagi.
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
Je pense tout comme toi pour Femmes en miroir ; j'avais aussi été très intéressé par le rythme lent du film qui laisse monter la tension dans la fournaise de l'été japonais, et véritablement accroché par la pureté des plans et des lignes, notamment ces obliques sur ces trois femmes que l'on découvre l'une derrière l'autre et encore l'autre.
C'est aussi pour moi le film qui m'a fait le plus ressentir les effets sur le psychisme des habitants du largage de la bombe atomique sur le Japon.
C'est aussi pour moi le film qui m'a fait le plus ressentir les effets sur le psychisme des habitants du largage de la bombe atomique sur le Japon.
incubé- Messages : 206
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
Oui je suis d'accord avec vous c'est comme un thriller psychologique on sent la tension qui monte , qui traduit ce que les personnages ressentent, déconnectés des autres de par leur histoire qui les isolent mais aussi avec eux même très fort et intense
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
L'un des rares Yoshida qu'il me reste à voir (en fiction cinéma)... Femmes en miroir. Je tente ça ce soir, ou dimanche. Vous m'avez donné envie de m'y plonger.
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
Bon visionnage. J'espère qu'il ne va pas te décevoir après tout le bien que nous en avons pensé et dit !
incubé- Messages : 206
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
Real de Kiyoshi Kurosawa
Est ce une règle générale _affirmons la contre le simple bon sens ? mais les artistes ne désirent pas d'enfant. Ce qui ce développe en eux leur prend une telle place que cela se substitue à l'idée même de procréer. Ils, elles, montrent d'ailleurs une sorte de dégoût à cette simple conception. Exposer mais garder en soi. Créer semble leur only infini, « cré-être » lol.
Dans ce film, Kurosawa semble interroger, au travers du personnage masculin, l'idée d'invention de soi, du monde, par rapport au pouvoir créateur du corps, féminin (?) ; la copine du mec est mangaka.
Peut être la question est elle :
mère ; petite mère ; mais qui étais je avant que de naître ?
Un désir, porté par l'avenir ; aurait elle répondu.
mais avant petite mère ? Qui étais je avant même ce désir ?
Un simple pixel sur la toile numérique du monde ?
Comment d'un pixel peut on dessiner le monde , une image du monde ; un monde d'images.
Et ce pixel, appartient il réellement au monde ? comment s'inscrit t il comme mouvement en son sein, ou n'en est il qu'un élément sécable, sans vie, sans attache, le pixel blanc d'une télé hd ready vieillissante : un fantôme.
Je dis monde, mais ce sont les restes du monde, la lie du monde qui devient le terrain de jeu.
Il y a l'infini au devant de nous, invisible par l'encadrement de la baie vitrée, que le brouillard indispose ; un mur qui renvoie consciencieusement la balle qui sonde du mec qui se dépense au squash.
Et de l'autre côté, dans l'arrière monde, la cuisine, l'intérieur froid du réfrigérateur, puits sans fond des images, des corps enfermés, repliés, comme dans des boîtes de conserve, corps malades, handicapés, mûrs, pourris, qui sont restés bloqués inside, dans la planche sur la page, dans le ventre rond d'un univers enfoui.
La fille dessine un cercle sur la main du mec.
Nulle échappatoire ?
Mère, ai je vécu jamais ?
Tout n'aura t il été qu'un rêve ?
Je croyais être Orphée et pourtant c'est moi qui disparaît.
La seconde partie propose une inversion, un renversement par rapport au postulat de départ, un switch qui redonne, au seuil de la mort, au mec, la possibilité de se réinventer. Une île à l'herbe grasse apparaît comme née de dessins d'enfants, les siens ; Un squelette de dinosaure prend chair et peau dans une usine désaffectée, ce lieu de construction informe et oublié. Son ventre bombé ressemble au ventre d'une femme enceinte.
La mer omniprésente et la noyade redoutée, tragiques retrouvailles sur le chemin d'un passé renouvelé, comme l'expression d'un abîme où se recroqueviller.
Après je sais plus, faudrait que je revois le film lol.
Comme ça, j'ai pas trouvé la fin sensationnelle.
Le film ne propose pas une peur immédiate, recherchée.
Il faut l'habiter je pense.
Est ce une règle générale _affirmons la contre le simple bon sens ? mais les artistes ne désirent pas d'enfant. Ce qui ce développe en eux leur prend une telle place que cela se substitue à l'idée même de procréer. Ils, elles, montrent d'ailleurs une sorte de dégoût à cette simple conception. Exposer mais garder en soi. Créer semble leur only infini, « cré-être » lol.
Dans ce film, Kurosawa semble interroger, au travers du personnage masculin, l'idée d'invention de soi, du monde, par rapport au pouvoir créateur du corps, féminin (?) ; la copine du mec est mangaka.
Peut être la question est elle :
mère ; petite mère ; mais qui étais je avant que de naître ?
Un désir, porté par l'avenir ; aurait elle répondu.
mais avant petite mère ? Qui étais je avant même ce désir ?
Un simple pixel sur la toile numérique du monde ?
Comment d'un pixel peut on dessiner le monde , une image du monde ; un monde d'images.
Et ce pixel, appartient il réellement au monde ? comment s'inscrit t il comme mouvement en son sein, ou n'en est il qu'un élément sécable, sans vie, sans attache, le pixel blanc d'une télé hd ready vieillissante : un fantôme.
Je dis monde, mais ce sont les restes du monde, la lie du monde qui devient le terrain de jeu.
Il y a l'infini au devant de nous, invisible par l'encadrement de la baie vitrée, que le brouillard indispose ; un mur qui renvoie consciencieusement la balle qui sonde du mec qui se dépense au squash.
Et de l'autre côté, dans l'arrière monde, la cuisine, l'intérieur froid du réfrigérateur, puits sans fond des images, des corps enfermés, repliés, comme dans des boîtes de conserve, corps malades, handicapés, mûrs, pourris, qui sont restés bloqués inside, dans la planche sur la page, dans le ventre rond d'un univers enfoui.
La fille dessine un cercle sur la main du mec.
Nulle échappatoire ?
Mère, ai je vécu jamais ?
Tout n'aura t il été qu'un rêve ?
Je croyais être Orphée et pourtant c'est moi qui disparaît.
La seconde partie propose une inversion, un renversement par rapport au postulat de départ, un switch qui redonne, au seuil de la mort, au mec, la possibilité de se réinventer. Une île à l'herbe grasse apparaît comme née de dessins d'enfants, les siens ; Un squelette de dinosaure prend chair et peau dans une usine désaffectée, ce lieu de construction informe et oublié. Son ventre bombé ressemble au ventre d'une femme enceinte.
La mer omniprésente et la noyade redoutée, tragiques retrouvailles sur le chemin d'un passé renouvelé, comme l'expression d'un abîme où se recroqueviller.
Après je sais plus, faudrait que je revois le film lol.
Comme ça, j'ai pas trouvé la fin sensationnelle.
Le film ne propose pas une peur immédiate, recherchée.
Il faut l'habiter je pense.
Invité- Invité
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
Merci Erwan en parlant de Kurosawa je n'ai pas vu tous ces films hélas un autre film que j'aimerais voir de Kurosawa "Liscence to live " non ce n'est pas un opus de James Bond mais un adolescent qui se réveil après un long coma.
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
http://www.liberation.fr/culture/2000/02/16/un-opus-decale-et-atemporel-du-japonais-kiyoshi-kurosawa-la-vie-revee-des-morts-license-to-live-de-k_318104
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
bonjour Maya; ce petit texte sans intérêt à propos de real aura au moins permis de citer Licence to live, le film que je préfère de kurosawa. J'espère que tu auras l'opportunité de le voir
Invité- Invité
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
J'espère le voir aussi mais pas toujours facile de voir tous ces films
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
C'est une sélection donc un choix très personnel , livres, films, voyages en Asie,...Sans vouloir m'étendre sur ma vie privée ces voyages en Asie ont changé beaucoup de choses pour moi, la façon de voir les choses, les films... Bon voyage
https://www.facebook.com/maya.feugere/media_set?set=a.10150974413346766.413447.543341765&type=1
A titre d'info "Arte" diffuse bientôt "Detective Dee" de Tsui Hark , je ne sais pas si on peut revoir" Rashmon" sur internet le site de "Arte" le film a été diffusé la semaine dernière je crois
https://www.facebook.com/maya.feugere/media_set?set=a.10150974413346766.413447.543341765&type=1
A titre d'info "Arte" diffuse bientôt "Detective Dee" de Tsui Hark , je ne sais pas si on peut revoir" Rashmon" sur internet le site de "Arte" le film a été diffusé la semaine dernière je crois
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
En attendant de voir ou revoir "detective Dee" de Tsui hark
http://www.arte.tv/guide/fr/048046-000/detective-dee
http://www.arte.tv/guide/fr/048046-000/detective-dee
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
Un des premiers films japonais que j'ai vus je m'en souviens à paris Mizoguchi "contes de la lune vague après la pluie"
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
http://www.cineclubdecaen.com/realisat/mizoguchi/contesdelalunevague.htm
Maya- Messages : 280
Re: cinéma(s) asiatique(s) : infos, diffusions télé, sites...
Tsui Hark a réalisé un joli prequel à detective dee depuis; formellement, l'image s'effeuille comme un livre d'illustration que l'aiguillon de la 3d transperce de part en part, feuille à feuille (d'où l'intérêt du conte policier, de l'enquête). Il prend la métaphore d'une maladie qui transmute la peau de l'intérieur et s'immisce dans son épaisseur (s'immisce dans l’émotion); phénomène qui éveille la sagacité de Dee. A la cour, au pouvoir dictatorial, par des détours narratifs, Il fait ingurgiter de l'urine comme seul vaccin disponible. Le sacré ramené au rang du corps, de ses excrétions (peut être le dégoût du corps est il le meilleur antidote à l'amour ). Je trouve cela à la fois 'savoureux' et impertinent. Mais ce qui me touche le mieux dans les derniers films de Tsui Hark, c'est un regard faussement distant et triste sur les relations humaines, sur les amours humaines: amants qui se cherchent sans se trouver, sans se reconnaître, défiance des sentiments, et le monde qui bouge et bouscule tout cela.Maya a écrit:A titre d'info "Arte" diffuse bientôt "Detective Dee" de Tsui Hark
Invité- Invité
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