blogs forums sites revues le reste
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Re: blogs forums sites revues le reste
ça me donne un titre de chapitre : Amours dévastées.
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
here we come, ma bitch... Fa chaud aussi chez toi?
4. Montages/associationnismes tendancieux:
si je fais ce montage qui parle de la même chose de façon générique quant à "la question de l'essence d'une série", et dont on peut lire deux avis opposés en l'occurrence,
qué tu dis?:
Jerzy:
Borges:
-le mec qui fait le nain psychanalyste parce qu'il sent je ne sais quel complot contre lui
-le mec qui croit que le forum c'est sa salle de bains...
c'est pas certain
1. Je ne dis pas que j'ai raison, je dis comment je vois...Baudouin II de Barvaux a écrit:si ton mode de non-argumentation consiste sempiternellement à juste redire: non, je ne crois pas cela, et il me semble bien que j'ai raison...
2. Mes réponses sont argumentées, et je te demande pas d'acquiescer...Baudouin II de Barvaux a écrit:... sans jamais construire un argument, je ne vois pas pourquoi je devrais considérer ce mode de dissolution massive de l'argumentation comme une réponse à laquelle je dois acquiescer...
3. Ton argument c'était de dire :Baudouin II de Barvaux a écrit:l'interlocuteur (qui a pris du temps pour construire son argument, bon au mauvais, mais construit donc susceptible d'être débattu - et non pas éludé), en gros, que ça sert à rien de répondre à tes objections: tu t'en fous de toute façon
et j'ai répondu, j'ai cité des exemples précis, j'ai expliqué pourquoi je ne voyais pas comme toi, j'ai interlocuté en prenant le temps de construire mon argument, bon ou mauvais, mais construit et susceptible d'être débattu et non pas éludé...Baudouin II de Barvaux a écrit:Où vois-tu au juste, dès le début, que le personnage est "mauvais depuis le début, parcouru en profondeur par le ressentiment"? Cela, tu ne peux le saisir que rétrospectivement
Baudouin II de Barvaux a écrit:Et tes si pertinents montages d'images et/ou de textes, en gros, ça dit quoi? ça révèle quoi? ça dit rien, ça révèle rien. Sinon tes propres choix de sens. Tes montages ne disent pas ce que tu prétends leur faire dire... C'est nawak - et faut bien que quelqu'un te le dise, puisqu'apparemment tu sembles leur accorder une valeur "signifiante".
4. Montages/associationnismes tendancieux:
si je fais ce montage qui parle de la même chose de façon générique quant à "la question de l'essence d'une série", et dont on peut lire deux avis opposés en l'occurrence,
qué tu dis?:
Jerzy:
Il ne m'a jamais semblé, pour une "bonne" série, du moins, que sa nature pouvait être dégagée en terme de "formatage télévisuel". La question de l'essence d'une série me paraît plus fondamentalement renvoyer à l'exercice plus vaste, historiquement, littéraire, du feuilleton...
Mais ce que je n'ai cessé de dire, à propos des quelques séries actuelles que j'aime (y en a pas 36...), c'est qu'elles permettaient une temporalité, un cadre, une structure, des audaces, un développement, des ruptures de ton, etc, que bien des films sur des thématiques analogues, ayant une ambition dramaturgique et narrative analogue (je précise: je ne parle pas "en général", mais sur ces points précis) ne permettent pas.
https://spectresducinema.1fr1.net/t1463p75-game-of-thrones-colombo-et-la-mise-en-scene-d-un-certain-rapport-de-classes#41490
Borges:
Y a un truc aussi assez particulier, propre aux séries; elles risquent de s'achever sans raison (propre, liée à leur loi interne de développement ) n'importe quand; un achèvement venu du dehors. La série s'arrête, faute de spectateurs, de succès, ça ne marche plus...
On aurait alors plusieurs concepts de "fin" dans la série
La fin des séries...
Fin de série, comme on dit dans le commerce...
https://spectresducinema.1fr1.net/t375-the-wire#9359
-le mec qui supporte pas la moindre objection...Baudouin II de Barvaux a écrit:Donc, fais tes montages si ça te chante, mais ne me demande pas de trouver que ça a la moindre portée (autre qu'une façon d'y projeter par délégation tes propres interprétations, comme une tache de rorschah).
-le mec qui fait le nain psychanalyste parce qu'il sent je ne sais quel complot contre lui
-le mec qui croit que le forum c'est sa salle de bains...
c'est pas certain
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
je te trouve bien courageux Breaker de reprendre et défendre tes arguments face à ce mec qui est une mécanique tellement huilée qu'il pisse la graisse. C'est La Louison
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
Tony le Mort a écrit:J'ai insulté personne, j'ai juste fait une comparaison flatteuse pour au moins une des deux personnes impliquées. J'imagine très bien un politicien centriste apprécier la trouvaille de son jeune attaché: "Moi au pouvoir je serais sinon actif, du moins attentif à ..." en voulant faire passer à la fois un message de fermeté et un aveu d'impuissance.
Tony le Mort a écrit:Putain on croirait entendre François Hollande
C'est vrai que c'est juste une comparaison flatteuse pour une des deux personnes…
adeline- Messages : 3000
Re: blogs forums sites revues le reste
Mais "putain on croirait entendre François Hollande " était une exclamation de joie et d'incrédulité!
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
Tony le Mort a écrit:Ca veut dire quoi "logique" dans le discours de Jerzy?
La seule façon de s'en tirer serait que lui nous définisse d'abord ce qu'il pense être un rapport réussi, un discours satisfaisant (pour la logique, et donc pour lui, derechef donc).
Jerzy nous tend la troisième pillule, mais à la différence de Zizek, Jerzy nous la sert en suppositoire.
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
j'ai retiré ce message, c'était un peu une connerie d'en discuter des heures vu le contexte
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
c'est puissant, ça ressemble à un truc de foire pour te faucher 100 balles
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
breaker a écrit:Tony le Mort a écrit:Ca veut dire quoi "logique" dans le discours de Jerzy?
La seule façon de s'en tirer serait que lui nous définisse d'abord ce qu'il pense être un rapport réussi, un discours satisfaisant (pour la logique, et donc pour lui, derechef donc).
Ca veut dire très exactement la trique. Quand Wittgenstein exprime l'idée suivante : les problèmes philosophiques apparaissent quand le langage part en vacances, en arrière plan il s'intéresse aux problèmes phisophiques.
Quand Baudouin souligne notre manque de logique il se fiche pas des problèmes philosophiques, lui c'est la trique qu'il manie, pour nous faire rentrer dans le rang. C'est spartiate et à la fois ça tient du conte de fée. C'est trépigner dans une mer de tendresse. Il est trop mignon ce Baudouin.
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
http://www.revuezinzolin.com/2013/07/le-mercato-estival-de-la-critique-cine/
C'est à peine croyable, non ?
C'est à peine croyable, non ?
adeline- Messages : 3000
Re: blogs forums sites revues le reste
adeline a écrit:http://www.revuezinzolin.com/2013/07/le-mercato-estival-de-la-critique-cine/
C'est à peine croyable, non ?
Non c'est au même niveau que les autres textes qu'ils publient. Très crétin et toujours cette joyeuse ambiance de carnaval.
DB- Messages : 1528
Re: blogs forums sites revues le reste
Zinz a écrit:Merci pour le partage les amis !
Hi;
très drôle ce texte
Borges- Messages : 6044
Re: blogs forums sites revues le reste
http://www.madmoizelle.com/flingueuses-good-cop-bad-photoshop-183207
Affiche « originale », réalisée par Ali sur Shiznit (allez voir le montage qu’il a fait, c’est flagrant). Voici à quoi ressemble l’actrice dans la vraie vie :
…Et voici ce qu’on a fait au visage de McCarthy sur l’affiche officielle du film :
Baldanders- Messages : 351
Re: blogs forums sites revues le reste
Un article de Jacques Rivette de 1950 sur Les Amants du Capricorne :
http://kinoslang.blogspot.fr/2013/08/hitchcocks-under-capricorn-by-jacques.html
http://kinoslang.blogspot.fr/2013/08/hitchcocks-under-capricorn-by-jacques.html
- Spoiler:
- Under Capricorn d’Alfred Hitchcock
Les réactions de la critique au dernier film d’Hitchcock ne laisse pas de témoigner d’une certaine gêne : il semble que l’on ne se puisse résoudre à rompre quelque conspiration du silence que pour s’abriter rapidement de deux ou trois lieux communs rassurants sur le théâtre filmé, le monologue et le retour au « film d’art ». Le scénario n’est au reste jamais mentionné que comme un fort plat mélodrame, indigne de retenir l’attention des honnêtes gens. Voilà sans doute aller un peu vite, et quelques lignes, par exception, éveillent l’attention : « Il semble que Hitchcock soit le seul metteur en scène qui ait compris ce que le cinéma pouvait tirer d’un univers dostoiewskien, j’entend d’un univers purement moral » (J.J. Salomon). Ce scénario où se conjuguent plusieurs thèmes parmi les plus beaux que se plaît à traiter le cinéma américain, ne serait-il pas, en effet, le meilleur qu’Hitchcock ait jamais traité ? Ainsi participe-t-il d’abord aux prestiges de ces films où sur le présent du récit pèse un sombre passé et l’action se résume-t-elle à la variation des rapports qu’entretiennent avec celui-ci les deux protagonistes ; encore nulle révélation ne motive-t-elle ce changement d’attitude et c’est d’une plus juste conscience d’eux mêmes et de leurs véritables rapports que naît ce regard neuf, plus lucide, qui les fait victorieux du passé ; ce passé dont les pouvoirs se prolongent sous les espèces visibles d’une gouvernante qui fournit à l’anecdote son seul ressort spectaculaire et objective une action qui eût pu demeurer tout intérieure. Ses desseins coïncident avec ceux de cette intime fatalité qui les envoûte : séparer les amants comme les sépare leur passé dont le souvenir mauvais les veut tout à lui. L’alcoolisme de Bergman, encouragé par la gouvernante, n’est que l’image du secret qui la ravage intérieurement et le châtiment de l’imprudente qui voulut en elle-même enfermer le passé.
Tout se déroule donc sous l’éclairage du souvenir et par rapport à celui-ci ; le sujet secret du drame est la confession – la délivrance du secret – prise dans sa double acception : au sens psychanalytique, car elle délivre du souvenir en lui donnant un corps verbal, comme au sens religieux , et l’aveu des fautes équivaut ici à leur rachat.
Sous ce double signe de la délivrance et du rachat s’effectue cette reconquête d’un être par lui-même qui donne au film sa progression dramatique interne, victoire sur le mépris de soi-même et la crainte de celui d’autrui. Le déclassement social n’est que l’image d’une plus profonde déchéance et quel est le plus terrible, de se devoir haïr soi-même et ressentir sa propre déchéance ou de se savoir responsable de celle de l’autre. Le transfert de la responsabilité du péché scinda jadis le couple, l’un assumant la peine, l’autre la mauvaise conscience ; ce premier sacrifice mal consenti les oblige à s’abandonner à l’ivresse d’autres mutuels sacrifices incessamment renouvelés ; et il ne leur sera finalement possible de renoncer au sacrifice pour accepter le bonheur sans que le troisième ne doive à son tour assumer ce sacrifice avant de s’en aller, porteur des maléfices, entraînant à sa suite, loin de la terre australienne, les Erynnies du drame.
Le moindre mérite de ce scénario n’est pas de résoudre ce réseau complexe de sentiments et de desseins en une anecdote d’un déroulement linéaire et d’une apparente évidence. La réalisation d’Hitchcock, également très discrète, reste volontairement en deçà de son objet et se refuse à souligner l’essentiel, pour simplement nous le présenter : la caméra se soumet aux personnages dans leurs déplacements, mais se refuse le plus souvent à pénétrer et intervenir dans leur vie intérieure et, si les détails les plus extérieurs de l’anecdote, dont s’imposait la macabre évidence, sont soulignés d’un trait brusquement alourdi, c’est qu’Hitchcock aime en effet se débarrasser par l’excès de tout le côté spectaculaire d’une intrigue et, en assumant l’outrance de tels détails, décharger le spectateur du souci de s’en préoccuper lui-même.
C’est également sans aucune gageure que le plan long est ici employé ; les changements de plan sont fréquents – dans l’axe ou aux respirations et aux ruptures de l’action ; tout moment de tension continue exige en revanche d’être filmé en une seule prise : ainsi l’insidieux monologue de la gouvernante, ainsi la longue confession de Bergman. Le plan s’identifie à chacun des courants du drame.
Parce que la caméra s’attarde à l’intérieur d’une même demeure, sur quatre personnages, parce que le monde extérieur n’intervient guère que caricaturé, réduit à un univers de fantoches et de cartes postales, on parle de théâtre filmé. Ce qui nous est montré ne s’impose-t-il pas cependant sans cesse comme l’essentiel sinon le plus spectaculaire ?
Regretter ne point voir un cheval se casser la patte, alors que toute la tension dramatique qui éclatera l’instant d’après se concentre justement sous nos yeux entre Cotten et Bergman, relève d’une conception bien enfantine du cinéma.
Si théâtre et cinéma nous présentent tous deux l’homme en action (verbe ou geste) les modes d’apparition diffèrent singulièrement et ce changement d’optique n’est pas sans affecter gravement son objet. Ce n’est point seulement qu’il s’agisse ici de l’organisation d’un monde concret, où le décor pipe toujours l’esprit et se propose aussi réel que le corps de l’acteur, où l’homme est inséré dans un univers réel, à son image ; mais cet ordre prend ici les formes de l’irrémédiable : la fixation sur pellicule, de gré ou de force, l’impose, mais exige un accord définitif de tous les éléments du plan ; comment séparer enfin chaque instant du point de vue auquel nous soumet la caméra – regard préfabriqué, également irrémédiable, dont l’accord avec son objet ne se vérifie sans doute pas tant par l’invisibilité du découpage que par sa transparence ; il semble que l’on soit, en effet, d’autant plus sensible à celui-ci que l’artifice a davantage menacé et sans doute ne se définit-il pas par l’absence de recherche, mais par une extrême recherche à ce point aboutie qu’elle détruit ses propres traces. Le théâtre est soumis aux vertus de la présence et à la contagion d’un lyrisme corporel : le cinéma intellectualise les données concrètes par le seul prestige d’une organisation rigoureuse du temps et de l’espace, irrémédiablement liés et orientés. Ce n’est pas la moindre vertu du T. M. T. que de soumettre justement l’ensemble des éléments du film à une telle organisation d’une précision mécanique : l’économie impose ses lois à l’esthétique et l’accomplit : le minutage de chaque geste oblige l’acteur à une métrique du mouvement ; soumis aux machines, il est forcé à ce jeu machinal qui est le propre du jeu cinématographique auquel on aboutit habituellement, par la fatigue, qu’à force de répétitions. Que l’acteur se plie aux appareils, que ceux-ci s’attachent au contraire à le suivre et l’interprétation alternativement crispée et décontractée respecte le double mouvement de tension et de détente de la respiration dramatique. Le corps de l’acteur, qui au théâtre n’est que le support abstrait du geste et du verbe, retrouve ici toute sa réalité charnelle : une paupière qui s’ouvre bouleverse l’écran, les mains et les visages, dans leurs moindres frémissements, ouvrent et expriment comme les voix une vérité toute d’apparence ; sans cesse ici, sous nos regards, la chair est visitée par l’esprit. Une certaine laideur plastique ne fait que mieux ressortir la beauté toute morale de ce film : Ingrid Bergman, flétrie, fardée, vieillie à son entrée, retrouvera peu à peu, en même temps que la paix intérieure la force de sourire et d’être belle et c’est rayonnante à force de pureté et de bonheur qu’elle prendra congé dans une révérence.
J. RIVETTE
Baldanders- Messages : 351
Re: blogs forums sites revues le reste
Une "tribune libre" :
http://www.liberation.fr/tribune/010193212-cinema-l-academisme-d-auteur
http://www.liberation.fr/tribune/010193212-cinema-l-academisme-d-auteur
DB- Messages : 1528
Re: blogs forums sites revues le reste
Dernière édition par Baldanders le Mer 23 Nov 2016 - 20:28, édité 1 fois
Baldanders- Messages : 351
Re: blogs forums sites revues le reste
Oui, bon vent, le bruit qui pense, et bon retour parmi tes alter-egos.
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
Bidibule a écrit:Salut et bienvenue, Baldanders.
Après un tel accueil, crois-moi, je vais continuer à traîner ici longtemps. T'inquiète.Bidibule a écrit:Déjà je trouve émouvant (et réjouissant) que tu t'inscrives sur le forum. Ensuite je troue que tu aurais dû sauter le pas depuis longtemps
Baldanders- Messages : 351
Re: blogs forums sites revues le reste
Accueil sincère, précédant de peu la révélation que tu trimbalais dans ton baluchon l'épaisse bêtise infracturable de ton lieu destinal de communication: une shoutbox qui fait glouglou, à l'infini.
Bien entendu, ici comme là-bas, ne change pas de braquet, pour le redire: quel que soit le lieu où tu dévides tes poncifs pénétrés, tu es et resteras le morpion pas prêt de décoller de ce qui t'alimente, et te donne l'illusion d'exister, comme "interlocuteur".
A plus pour la suite de l'examen de ta flatulence en 13 points sur HM. Là, j'ai du boulot.
Bien entendu, ici comme là-bas, ne change pas de braquet, pour le redire: quel que soit le lieu où tu dévides tes poncifs pénétrés, tu es et resteras le morpion pas prêt de décoller de ce qui t'alimente, et te donne l'illusion d'exister, comme "interlocuteur".
A plus pour la suite de l'examen de ta flatulence en 13 points sur HM. Là, j'ai du boulot.
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
"Sincère", dit le menteur. La "révélation", ah ah, et même lol. "Pas prêt de décoller de ce qui t'alimente", re-ah ah, et re-lol. Chacun (toi le premier si tu n'étais pas si lâche) peut vérifier que toutes les fois où on s'est mis sur la gueule, c'est venu de toi, qui - j'y reviendrai jusqu'à ce que ça te rentre profond dans ta tête de linotte - ne peux pas t'empêcher d'humilier pour avoir le sentiment d'exister.
Et fatalement, ça te revient de temps en temps dans la tronche, et alors tu l'as mauvaise, tu te recroquevilles et tu crachotes de petites injures gratuites et indolores.
Ben attends-toi à l'avoir encore plus mauvaise, mon garçon.
Au passage, et puisque t'aimes les coups : sache que tes textes sont le plus souvent indigestes et médiocres, d'une paresse intellectuelle et d'une auto-complaisance rare dans la "cybersphère", que tes réactions ricanantes et hautaines aux textes des autres ne révèlent la plupart du temps que ton incapacité profonde à piger ce que tu n'as pas toi-même énoncé dans ta langue, enfin que ton comportement vis-à-vis de tes interlocuteurs est tellement à la merci de tes névroses qu'on peut en décompter trois variantes, pas plus : l'admiration affolée de pucelle soumise pour deux ou trois mâles dominants, le mépris vomi sans limites sur la tête d'une dizaine de boucs-émissaires, enfin l'indifférence dédaigneuse pour le reste de la mêlée. Et dire que tu n'as pas honte après ça de venir faire la leçon au monde entier sur Rancière, l'égalité etc., de grandes envolées anti-élitistes plein tes doigts sales.
Ah y'a du boulot, Tartuffe, c'est peu de le dire. Je suis d'ailleurs un peu là pour t'aider à l'abattre. Et on va y aller, tranquilles.
Et fatalement, ça te revient de temps en temps dans la tronche, et alors tu l'as mauvaise, tu te recroquevilles et tu crachotes de petites injures gratuites et indolores.
Ben attends-toi à l'avoir encore plus mauvaise, mon garçon.
Au passage, et puisque t'aimes les coups : sache que tes textes sont le plus souvent indigestes et médiocres, d'une paresse intellectuelle et d'une auto-complaisance rare dans la "cybersphère", que tes réactions ricanantes et hautaines aux textes des autres ne révèlent la plupart du temps que ton incapacité profonde à piger ce que tu n'as pas toi-même énoncé dans ta langue, enfin que ton comportement vis-à-vis de tes interlocuteurs est tellement à la merci de tes névroses qu'on peut en décompter trois variantes, pas plus : l'admiration affolée de pucelle soumise pour deux ou trois mâles dominants, le mépris vomi sans limites sur la tête d'une dizaine de boucs-émissaires, enfin l'indifférence dédaigneuse pour le reste de la mêlée. Et dire que tu n'as pas honte après ça de venir faire la leçon au monde entier sur Rancière, l'égalité etc., de grandes envolées anti-élitistes plein tes doigts sales.
Ah y'a du boulot, Tartuffe, c'est peu de le dire. Je suis d'ailleurs un peu là pour t'aider à l'abattre. Et on va y aller, tranquilles.
Baldanders- Messages : 351
Re: blogs forums sites revues le reste
Article intéressant sur "Sugar Man", le "documentaire" sur Sixto Rodriguez sorti l'an passé, et couvert d'éloges :
http://www.laviedesidees.fr/Sugar-Man-heros-malgre-lui.htmlMalik Bendjelloul, Stephen Segerman et Craig Bartholomew-Strydom dépeignent une Afrique du Sud de pacotille, terriblement blanche, dans laquelle il aurait suffi de quelques chansons « osées » pour mobiliser les jeunes blancs dans la lutte contre l’apartheid et ainsi ébranler le régime.
Eyquem- Messages : 3126
Re: blogs forums sites revues le reste
Hello Eyquem,Eyquem a écrit:Article intéressant sur "Sugar Man", le "documentaire" sur Sixto Rodriguez sorti l'an passé, et couvert d'éloges :http://www.laviedesidees.fr/Sugar-Man-heros-malgre-lui.htmlMalik Bendjelloul, Stephen Segerman et Craig Bartholomew-Strydom dépeignent une Afrique du Sud de pacotille, terriblement blanche, dans laquelle il aurait suffi de quelques chansons « osées » pour mobiliser les jeunes blancs dans la lutte contre l’apartheid et ainsi ébranler le régime.
Merci pour cet article très intéressant.
Je trouve que l’auteur exagère un peu quand il écrit « mais (le film) ne dit pas clairement que la notoriété du chanteur ne dépassait guère la population blanche ».
Il ne le dit pas clairement peut-être simplement parce qu’il le montre. L’auteur lui-même l’écrit « le concert du 6 mars 1998 a été organisé dans un quartier surtout habité par la petite classe moyenne (lower middle class) blanche et tous les spectateurs montrés à l’écran sont blancs ».
A moins d’être complètement ignorant de ce qu’est l’Afrique du sud, ce film ne nous fait quand même pas oublier que la population sud-africaine est à « 80 % noire » et on comprend bien que le come-back de Rodriguez n’est pas son souci, sans qu’on ait besoin de nous le dire explicitement.
Par contre, sa critique de la thèse du film selon laquelle Rodriguez « aurait contribué à éveiller un sentiment anti-apartheid chez les jeunes blancs » est vraiment convaincante.
Sinon rendons à César ce qui lui appartient, ce n’est pas ce film qui m’a fait découvrir Rodriguez mais…Eyquem grâce à un site : http://www.radiorock6070.com/indexradio.html (que j’ai toujours dans mes favoris). On peut y entendre le merveilleux Jackson C Franck et plein d’autres artistes folks américains dont le sus-nommé.
gertrud04- Messages : 241
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