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Re: blogs forums sites revues le reste
quand on s'embête et qu'on veut un peu rire on va sur le blog de SToubiana; c'est tellement con...
Les biographies d’acteurs sont toujours pleines de détails intéressants, parfois croustillants, qui éclairent l’histoire du cinéma souvent sous un angle insolite. Leslie Caron a d’abord écrit ses mémoires en anglais (parution à New York en 2009 chez Viking). Étrange qu’elle ait d’abord raconté sa vie dans une autre langue que la sienne, elle que l’on prend encore très souvent pour une actrice américaine. Or il n’y a pas plus française que Leslie Caron, née à Neuilly-sur-Seine dans une famille bourgeoise. La mère, Margaret, est américaine, ce qui a pu compter dans l’itinéraire de la fille.
Borges- Messages : 6044
Re: blogs forums sites revues le reste
dans un cas pareil, traiter le gars de "con" est une insulte pour les pauvres types qui le sont vraiment. ça va bien plus loin à mon avis.
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
"
50 Watts : Will Schofield’s blog is quite possibly the richest source of book-related design and illustration in the universe. Will displays the fervour of the most dedicated historian whilst time and again proving he has an eye for exceptional images." —David Pearson
quelques affiches polonaises de quelques westerns
plus difficile à reconnaître, je crois :
little big man
shane
d'autres et des plus belles encore :
ici
50 Watts : Will Schofield’s blog is quite possibly the richest source of book-related design and illustration in the universe. Will displays the fervour of the most dedicated historian whilst time and again proving he has an eye for exceptional images." —David Pearson
quelques affiches polonaises de quelques westerns
plus difficile à reconnaître, je crois :
little big man
shane
d'autres et des plus belles encore :
ici
Borges- Messages : 6044
Re: blogs forums sites revues le reste
grrrrrrrrrrr
http://www.dvdclassik.com/forum/viewtopic.php?f=13&t=32383&p=2101037#p2101037
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
je suis tombé par hasard sur le blog, " regard des mannequins", tenu par un membre de l'humanité...critique aux inrockuptibles...
http://regarddesmannequins.blogspot.com/
28.9.11
VINCENT OSTRIA (MEMBRE DE LA CLASSE "HUMANITE")
Voilà le SMS que je me suis envoyé hier pendant une projo (je n'avais pas de crayon, sans quoi je me serais envoyé un crayon) : "Ce n'est pas vincent ostria qui ne va pas mais le fait qu'il y ait vincent ostria". Je sais que c'est simple et naïf, hélas c'est pourtant vrai. Je me disais qu'il ne pouvait pas y avoir d'utopie, car je ne suis pas capable de penser l'utopie. Je ne suis capable de penser que le malheur et l'accident, et comment y remédier. Je suis une fourmi pas un roseau pensant. Franchement je ne vois pas concrètement à quoi pourrait ressembler une utopie ou un idéal, parce que d'une certaine manière je vis dans le meilleur des mondes possibles. Si l'on dit qu'une utopie serait de supprimer sang, crime, violence, guerre, pauvreté, injustice, cela signifie qu'il faudrait aussi supprimer toute l'histoire, tout le cinéma, toute la littérature, et même une partie de la peinture, qui en sont pleins. Ce sont donc des exemples pernicieux. S'il n'y avait pas vincent ostria le monde ne serait pas parfait, mais il serait bien plus harmonieux et fonctionnel. La seule raison d'être de vincent ostria est de générer du désordre. Je n'en vois pas d'autre. Après, le désordre est peut-être une notion intéressante, dynamique, mais cela reste assez vain et/ou gratuit. Prenons un exemple : pour certains l'avenir de vincent ostria, c'est le métissage. Je serai tout mélangé, légèrement bronzé, et le racisme aura disparu. Je crois qu'ainsi on ne fait que déplacer le problème. Car on créera alors d'autres discriminations. De plus, malgré le racisme, je ne préconise pas le métissage, car on perdrait une partie de la variété qui fait l'intérêt de ma vie. C'est mon côté anti-mondialisation. Evidemment je garde une certaine tendresse coupable pour vincent ostria (je ne me vois pas vivre avec des otaries ou des scolopendres). C'est ma famille, je n'en ai pas d'autre. Mais je suis excessivement turbulent et j'ai surtout tendance à ne pas réfléchir avant d'écrire, donc à commettre toujours les mêmes erreurs, à faire des choses que je suis obligé de défaire l'instant d'après. Je devrais vivre au ralenti et tout irait mieux. Il y a des choses que je trouve ridicules, voire puériles, mais dont personne ne semble se rendre compte. Exemple : le sempiternel feuilleton Israël/Palestine. C'est pitoyable. Depuis au moins 40 ans ces gens font toujours semblant d'aller vers un accord, et puis aboutissent systématiquement à un échec. Pourtant tous les politiques, tous les médias jouent (à) leur jeu, font semblant de croire à leur sincérité, au lieu de leur dire : "Vous vous foutez de vincent ostria !".
http://regarddesmannequins.blogspot.com/
Dernière édition par Borges le Dim 2 Oct 2011 - 19:45, édité 1 fois
Borges- Messages : 6044
Re: blogs forums sites revues le reste
Ca délire pas mal...
Le "regard des mannequins" un autre titre possible pour le Bonello ?
Le "regard des mannequins" un autre titre possible pour le Bonello ?
Re: blogs forums sites revues le reste
son petit couplet anti-godard (cinéaste "presque idiot" (presqueuh idiot?)) me dis quelque chose. Vous ne l'aviez pas déjà cité quelque part?
http://regarddesmannequins.blogspot.com/2011/08/god-art.html
http://regarddesmannequins.blogspot.com/2011/08/god-art.html
Re: blogs forums sites revues le reste
oh là là, je ne sais pas si on l'a déjà cité sur le forum, mais il est incroyable. Parfois, je me dis qu'il ne peut pas être sérieux, qu'il ne peut pas vraiment écrire ce qu'il écrit, et penser qu'il pense. Ça doit être un fake, pas possible autrement.
Today, c'est le couplet sur la classe politique : le mec a lu un entretien dans Libé qui le confirme dans sa grande idée, qui lui est tombée dessus au supermarché : on est en surproduction et la classe politique en profite !
Il imagine qu'il a découvert l'eau chaude lorsqu'il nous raconte que la phrase de Godard en fait elle est pas de Godard, et elle est même pas de Bazin, et elle veut rien dire. Et en plus il n'aime pas qu'on parle de vérité, il préfère les mensonges mais tout ça est tellement subjectif (si, si, il écrit des phrases comme ça "mais tout ça est tellement subjectif").
Today, c'est le couplet sur la classe politique : le mec a lu un entretien dans Libé qui le confirme dans sa grande idée, qui lui est tombée dessus au supermarché : on est en surproduction et la classe politique en profite !
Il imagine qu'il a découvert l'eau chaude lorsqu'il nous raconte que la phrase de Godard en fait elle est pas de Godard, et elle est même pas de Bazin, et elle veut rien dire. Et en plus il n'aime pas qu'on parle de vérité, il préfère les mensonges mais tout ça est tellement subjectif (si, si, il écrit des phrases comme ça "mais tout ça est tellement subjectif").
adeline- Messages : 3000
Re: blogs forums sites revues le reste
Comme quoi, il y a une différence remarquable entre "presqueheu idiot" et "complètement idiot"
Re: blogs forums sites revues le reste
Ce type est un simplet d'anthologie, et on peut le démontrer scientifiquement si on a du temps à perdre.
Notons, en passant:
C'est honteux.
Notons, en passant:
J'ai toujours vécu de mes piges
C'est honteux.
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
Allez, on se lance, moi et mes fesses
Nom, prénom, adresse, pour le site
Pseudonyme, une idée attirante, vite
Princesse, Duchesse, Caresse...
J'ai démarré avec la description
Comme demandé, les précisions
Un peu de culture et quelques armes
Couleurs et photos pour le charme
Mais on ne peut pas tout prévoir
Et surtout on n'a pas le pouvoir
D'imaginer qu'ils mentent en totalité
Sur l'ensemble de leurs qualités
Je me retrouve donc la première fois
Face à un homme... heu, face à un cas
Il s'agissait supposément
D'un « avant tout, aimant amant »
J'ai surtout vu un amoureux
De l'apéro et des liquoreux
Pour qui la verticalité
Était un mot bien galvaudé
Le second rendez-vous s'avère gourmand
Avec un homme bien plus avenant
Mais après quelques nuits fort belles
Monsieur devient soudain rebelle
La méfiance et les doutes m'assaillent
Pourquoi donc est-il là qui tressaille
Mais suis-je bête, il doit être occupé
Et pour cause... il est marié !
En troisième essai, me voici dans un bar
Joli minois, mi-bobo, mi-lascar
On papote, et très vite, on s'embrasse
On roule, s'enroule sur toutes les surfaces
Après deux semaines d'intenses corps à corps
Voilà qu'il me propose l'installation, alors
Et chez moi, déjà, les questions affluent
C'était comme il se doit le paumé absolu
Finalement Internet, c'est pas mal
Pour une bonne histoire de cul
Mais comme contrat prénuptial
Je ne suis pas convaincue
C.A.B., Assistante de Direction/Office Manager-17 ans d'expérience
- Spoiler:
- Claude, ma fille, a écrit des poèmes entre mai 82 et août 2006. En mai 82, elle avait 14 ans... c'est une longue histoire, finalement, de mai 82 à août 2006, entre 14 ans et 39 ans. Entre les deux, entre 14 ans et 39 ans, comme dit le poète Pessoa, toute sa vie lui appartient. Mais une vie, c'est un mélange de séquences, vives ou écorchées, de calmes appréciables, de vacuités, une quantité assez considérable de graisses inertes... et c'est cette vie là qu'elle projette dans ce qu'elle appelle des poèmes. Cette vie-là, non pas continue, uniforme ou dotée d'un sens arrêté, mais cette vie par séquences, et qui fait que les poèmes sont aussi par séquences. Il y a des mois où il y en a plusieurs, il y a des mois où il n'y en a pas, c'est selon. C'est selon ce qui permet d'inscrire ce qui se passe. C'est peut-être comme cela qu'il faut comprendre « Brouillons d'Âme », le titre général sous lequel elle rassemble depuis toujours ses poèmes. L'« âme », c'est l'élément de ce qui arrive, c'est l'élément de ce que l'on supporte, de ce que l'on sent ou de ce que l'on ressent. Et puis « brouillons », c'est cette inscription, cette inscription de ce qui lui advient dans l'intime d'elle-même, c'est le principe de sa projection.
Pourquoi appelle-t-on « poème » cette projection de l'intime ? L'écriture de Claude a des sources composites. Il y a quelque chose qui provient de la poésie sophistiquée, de la grande poésie - son maître en poésie a toujours été Emily Dickinson - et puis un autre élément qui vient de la chanson. C'est cette superposition, ce frottement, qui fait la tension un peu acrobatique de ce qu'elle écrit.
La chanson et la poésie subtile, oui, mais c'est pour traduire une autre tension : celle de l'amour simple et violent pour cette créature trouble, l'homme, le mâle, d'un côté, et, de l'autre, une sorte de métaphysique du temps et de l'existence.
L'homme est le héros douteux de cette suite de poèmes. Il y a l'écriture quand l'homme est douteux. Au fond, si l'homme est sûr, il n'y a pas tellement besoin d'écrire. Il faut écrire au moment où l'homme s'en va, où l'homme est incertain, où l'homme devient pure et douloureuse énigme. Pour cette raison, tout ce que Claude écrit relève du genre lyrique. Le sujet, c'est l'amour, il n'y en a en vérité pas vraiment d'autre. Sinon la mort. L'amour dans sa désolation. L'amour comme puissance de l'impossible. C'est de cela qu'elle tient la chronique obstinée depuis vingt ans et quelques. Parce que dans cette durée l'homme ne s'est pas amélioré. Et peut-être que pour elle, peut-être pour beaucoup de femmes, vieillir, c'est comprendre qu'il n'est pas améliorable. C'est la sagesse...
Mais il y a, dans ou au-delà de cette lyrique, un fil plus métaphysique. Évidemment, le lyrisme est toujours adossé à une métaphysique, parce que c'est une question de perte et d'absence. Mais on trouve dans les poèmes de Claude une pensée profonde, la pensée du sujet pris dans l'épreuve et dans la fascination. Et cette pensée est une méditation sur le temps. Non pas tant une méditation sur le temps qui passe que le temps comme construction difficile et discontinue, le temps comme collection déchirée d'instants. Le temps, pour Claude, ne promet rien. Il est seulement quelque chose qui se déchire en fragments qui n'arrivent pas vraiment à se souder dans ce qui serait une vie présentable.
Mais écoutez tout cela, et bien d'autres visions de ce que c'est que vivre, dans les poèmes de ma fille.
Alain Badiou
https://www.youtube.com/watch?v=WOO4v-jXOM8
scusi, mais lol
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
Les poèmes de votre fille, c'est un peu comme les poèmes de mon meilleur ami. Ils parlent de la même chose. Mais des choses que personne aujourd'hui ne veut vraiment lire. Mon ami a édité tout seul son recueil, et pourtant, non pas parce que c'est mon ami, mais je trouve ses poèmes magnifiques. La poésie ne se comprend pas toujours, mais elle accompagne l'âme de celui qui écrit. Il écrit pour lui d'abord, pour conjurer peut-être le bon ou le mauvais.
http://blogs.mediapart.fr/blog/claude-ariane-badiou/110611/les-poemes-de-ma-fille-par-alain-badiou#comments
je trouve ça émouvant, un peu tragique; la situation de cette fille...du père aussi :
https://www.youtube.com/watch?v=WOO4v-jXOM8
Borges- Messages : 6044
Re: blogs forums sites revues le reste
Idem.
Emouvant et sympathique.
Je ne le conteste pas.
D'ailleurs, la 5è partie, quand il la serre dans ses bras, m'a arraché qqes larmes. Sans plaisanter.
Emouvant et sympathique.
Je ne le conteste pas.
D'ailleurs, la 5è partie, quand il la serre dans ses bras, m'a arraché qqes larmes. Sans plaisanter.
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
jerzy P a écrit: Marlo, le fan-de-rap-qui-pourrait-bosser-sans problème-à-l'ump, qui nous explique à quel point son talent d'artiste tenant quasi du prodige l'éloigne de la grosse masse inculte des blaireaux et que non, faut pas déconner à la fin, merde, l'Art n'est pas à la portée de tout le monde, faut arrêter de mentir avec ce mirage de la démocratie égalitariste. Y a aussi des incultes, quelque part, qui peuvent pas se payer un Canon reflex. Comme dirait Bigard, quand on a pas les moyens d'être riche, on joue pas au loto.
Le même "Marlo", je crois, vitupère parce que son frère, complaisamment recommandé par papa à un notaire huppé le comptant comme client, n'a touché pour son stage d'été vachement suant que 600 biffetons, c'est proprement dégueulasse, c'est pas le smic promis, juste de quoi se payer deux playstation 3, y a clairement de d'l'abus dans l'népotisme, j'vais commettre un flow rageur là-dessus: " ô-toi-le notér-véreux valet du câpital, tu as flouwé papa garant d'mon génitâl".
Ah oui, parmi cette collection de happy few, quasiment tous à droite à l'insu de leur plein gré...
Aujourd'hui, en section musique (j'ai craqué, oui, je sais. Trois mois d'abstinence docteur, pourtant)
Marlo:
(...) Un EP parfait à écouter d'une oreille finalement, du hip-hop easy-listening, que je recommande particulièrement à tous ceux qui n'en écoutent habituellement jamais et qui voudraient retrouver les sensations du hip-hop chaleureux et enjoué des années 90.
careful- Messages : 690
Re: blogs forums sites revues le reste
Hello,
D'habitude, je reste dans la section critiques ; ce qui fait que je n'avais jamais vraiment vérifié ce que Jerzy, Breaker ou toi disiez ; mais là, je me suis aventuré sur le topic Steve Jobs. La discussion dérape à partir d'une intervention d'Antigone, qui rappelle la situation des ouvriers chinois d'Apple.
Attention, explicit lyrics :
http://forum.plan-sequence.com/rip-steve-jobs-t14823-105.html
D'habitude, je reste dans la section critiques ; ce qui fait que je n'avais jamais vraiment vérifié ce que Jerzy, Breaker ou toi disiez ; mais là, je me suis aventuré sur le topic Steve Jobs. La discussion dérape à partir d'une intervention d'Antigone, qui rappelle la situation des ouvriers chinois d'Apple.
Attention, explicit lyrics :
http://forum.plan-sequence.com/rip-steve-jobs-t14823-105.html
Eyquem- Messages : 3126
Re: blogs forums sites revues le reste
pas trop de surprise, et parfois drôle ce bazar sur FDC.
A revoir sur M6 Replay, Capital le chapitre 5 de l'émission, un assez "bon" reportage sur Steve Jobs. On voit les archives de la confrontation Steve Jobs / Bill Gates. Vers la fin du reportage, son discours aux étudiants alors qu'il était déjà condamné par sa maladie, dit bien qui il était, sans doute.
http://www.m6replay.fr/#/info/capital/35006
A revoir sur M6 Replay, Capital le chapitre 5 de l'émission, un assez "bon" reportage sur Steve Jobs. On voit les archives de la confrontation Steve Jobs / Bill Gates. Vers la fin du reportage, son discours aux étudiants alors qu'il était déjà condamné par sa maladie, dit bien qui il était, sans doute.
http://www.m6replay.fr/#/info/capital/35006
Invité- Invité
Re: blogs forums sites revues le reste
How did Occupy Wall Street suddenly become Occupy Los Angeles? Occupy Cleveland? Occupy Janesville? Occupy Pocatello? How did a sleep-in beneath the skyscrapers of Lower Manhattan inspire kayakers clad as Robin Hood to paddle up the Chicago River under a banner reading, Wall St. Takes From the 99%. Gives to the Rich? And how did those giant cutouts of JPMorgan Chase CEO Jamie Dimon end up dancing with all those San Franciscans chanting, “Make banks pay”? Despite what Republican presidential candidate Herman Cain suggests, it was not some “orchestrated” attempt to deflect blame from the flawed policies of the Obama administration. It was not the media looking for a “left-wing Tea Party.” And it certainly was not a poll-tested, focus-grouped PR campaign that billionaire-funded front groups employ to gin up movements.
http://www.thenation.com/blog/163980/occupyusa-blog-friday-frequent-updates
Borges- Messages : 6044
Re: blogs forums sites revues le reste
deux variations de la critique enfantine : les mêmes clichés, qui doivent sans doute remonter à la préhistoire...le plus ridicule des deux, c'est sans doute CN, qui croit retrouver la magie originaire de la poésie de nos ancêtres, l'autre critique n'a aucune prétention; il sait qu'il n'écrit que des conneries; et qu'il est payé pour ça... rien n’ étonne dans le domaine de la critique, les plus grands conneries y obéissent aux lois de l’univers. Pas l'ombre d'une idée.
La Maladie Blanche de Christelle Lheureux
le cinéma survit ou renaît en redevenant l’art primitif et enfantin de projeter des ombres sur un mur de pierre. Autrement dit, le cinéma est sans âge : un art préhistorique.
par Cyril Neyrat lundi 10 octobre 2011
on ne cherchera pas la petite bête : l’enthousiasme et l’esprit de l’enfance, indissociable du cinéma de Spielberg, nous contaminent ici sans réserves.
La Maladie Blanche de Christelle Lheureux
le cinéma survit ou renaît en redevenant l’art primitif et enfantin de projeter des ombres sur un mur de pierre. Autrement dit, le cinéma est sans âge : un art préhistorique.
par Cyril Neyrat lundi 10 octobre 2011
on ne cherchera pas la petite bête : l’enthousiasme et l’esprit de l’enfance, indissociable du cinéma de Spielberg, nous contaminent ici sans réserves.
Borges- Messages : 6044
Re: blogs forums sites revues le reste
Je vous lis spectres, trop vite, en passant. De toute façon : le problème est-il qu'il n'y ait plus de critique, qu'il n'y ait plus de film, ou qu'il n'y ait plus de spectateur ?
Je peux bien l'écrire ici : la "critique du public" (celle qu'avait ébauchée l'oncle serge avant de s'échapper) est la première par laquelle devrait passer aujourd'hui un critique sincère, et en quête d'un bout de lucidité à propos de l'art qu'il (ou qui le) regarde.
Bon je me sauve. (Tintin, tiens tiens... au fait y'a un propos de Daney à l'époque des Aventuriers de l'Arche perdue, où il évoque le lien entre les films de Spielberg et la bédé, en particulier Hergé, c'est sidérant, je l'ai lu il y a peu, avec ce ton mi-chèvre mi-chou, mais cette prose d'une redoutable précision, qui était celle d'un grand critique).
Je peux bien l'écrire ici : la "critique du public" (celle qu'avait ébauchée l'oncle serge avant de s'échapper) est la première par laquelle devrait passer aujourd'hui un critique sincère, et en quête d'un bout de lucidité à propos de l'art qu'il (ou qui le) regarde.
Bon je me sauve. (Tintin, tiens tiens... au fait y'a un propos de Daney à l'époque des Aventuriers de l'Arche perdue, où il évoque le lien entre les films de Spielberg et la bédé, en particulier Hergé, c'est sidérant, je l'ai lu il y a peu, avec ce ton mi-chèvre mi-chou, mais cette prose d'une redoutable précision, qui était celle d'un grand critique).
Van Stratten- Messages : 165
Re: blogs forums sites revues le reste
dans son style de pensée absolument inimitable le pauvre jll s'essaye encore à des synthèses comparatives, cette fois entre les blogs amateurs et pros...
tous est drôle, au hasard, j'ai lu ce passage sur le pro de la pro... :
tous est drôle, au hasard, j'ai lu ce passage sur le pro de la pro... :
Première différence : ils ne tiennent pas leur blog avec la même régularité que les amateurs : Thomas Sotinel n'écrit que pendant les festivals, pour s'affranchir des contraintes éditoriales et de pagination de son journal, et pour retrouver le plaisir de la chronique. Les titres de ses posts sont souvent confondus (par qui?) avec ceux des articles de cinéma sur la page cinéma du monde et la naissance de son blog en 2005 pourrait être (il ne s'en souvient plus très bien) une initiative commune avec sa rédaction.
Pour Edouard Waintrop, hébergé (le pauvre) par Libération, le blog lui permet de se délester de sa fonction de journaliste, d'écrire sur des cinéastes qui n'intéressent pas sa rédaction, de nourrir sa passion sur le cinéma.(ici manquent deux termes "dos du"; jll a voulu écrire "nourrir sa passion sur le dos du cinéma)
Et pour Aurélien Férenczi, c'est un espace ouvert dans lequel il peut écrire ce qui le chante, notamment dans les festivals, pour chroniquer les à-côtés des projections
c'est bien "ce qui le chante", et non pas "ce qui lui chante"; plus simplement on dira : il écrit sur ceux qui le flattent ce qui le flatte...
Borges- Messages : 6044
Re: blogs forums sites revues le reste
JMF faisant l'éloge de Beur sur la ville, au top de sa forme...
Re: blogs forums sites revues le reste
La Tate Modern "rend hommage" au film celluloid, avec une exposition de Tacita Dean (connais pas) : dans le catalogue, on trouve des contributions des plus grands : Spielberg, Scorsese, Keanu Reeves, Godard.
Le texte de Spielberg :
Même en 10 lignes, il trouve le moyen d'être lénifiant. On se demande ce que Spielberg peut bien avoir à foutre du film celluloïd. En plus, il y a des erreurs ; visiblement il a mieux à faire, entre la production de Tintin et de Transformers 3, que de peaufiner des fiches sur l'histoire de l'industrie plastique ; il suffit de vérifier sur Wikipédia pour savoir que le celluloïd ne date pas de 1895, mais de bien avant, et qu'il n'a rien à voir avec le cinéma au début : il fut inventé, à ce qu'il semble, pour imperméabiliser des vêtements et remplacer l'ivoire des boules de billard. Les premiers "films flammes" datent des années 1880 ; Edison s'en servait déjà.My favourite and preferred step between imagination and image is a strip of photochemistry that can be held, twisted, folded, looked at with the naked eye, or projected on to a surface for others to see. It has a scent and it is imperfect. If you get too close to the moving image, it's like impressionist art. And if you stand back, it can be utterly photorealistic. You can watch the grain, which I like to think of as the visible, erratic molecules of a new creative language. After all, this "stuff" of dreams is mankind's most original medium, and dates back to 1895. Today, its years are numbered, but I will remain loyal to this analogue artform until the last lab closes.
Aujourd'hui, le celluloïd, c'est plus vraiment l'étoffe dont sont faits nos rêves : c'est juste bon pour les balles de ping pong.
Bref.
Dans le même catalogue, le texte de Godard :
Tout de suite, on s'ennuie moins.The so-called "digital" is not a mere technical medium, but a medium of thought. And when modern democracies turn technical thought into a separate domain, those modern democracies incline towards totalitarianism.
Eyquem- Messages : 3126
Re: blogs forums sites revues le reste
Borges a écrit:deux variations de la critique enfantine : les mêmes clichés, qui doivent sans doute remonter à la préhistoire...le plus ridicule des deux, c'est sans doute CN, qui croit retrouver la magie originaire de la poésie de nos ancêtres, l'autre critique n'a aucune prétention; il sait qu'il n'écrit que des conneries; et qu'il est payé pour ça... rien n’ étonne dans le domaine de la critique, les plus grands conneries y obéissent aux lois de l’univers. Pas l'ombre d'une idée.
La Maladie Blanche de Christelle Lheureux
le cinéma survit ou renaît en redevenant l’art primitif et enfantin de projeter des ombres sur un mur de pierre. Autrement dit, le cinéma est sans âge : un art préhistorique.
par Cyril Neyrat lundi 10 octobre 2011
on ne cherchera pas la petite bête : l’enthousiasme et l’esprit de l’enfance, indissociable du cinéma de Spielberg, nous contaminent ici sans réserves.
encore un critique enfantin
Le soir, après la projection de La Femme d’à côté, Bertrand Tavernier a prononcé un très bel hommage à Depardieu, sincère, profond, émouvant. Voyant chez cet acteur, sous la couche apparente de la force et de la puissance, la fragilité et la grâce. J’ose ajouter l’enfance.
(oui, il fallait oser....
serge Toubiana, bien entendu)
Borges- Messages : 6044
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