On parle des Spectres
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On parle des Spectres
Serge Toubiana sur son blog de la Cinémathèque (19 Novembre 2008):
P.S.: Je recommande d’aller sur un site internet pour découvrir une revue de cinéma en ligne. Son titre: Spectres du cinéma, numéro un, automne 2008. http://spectresducinema.blogspot.com
Critiques, analyses, et un très long et passionnant entretien avec Charles Tesson, sur les revues de cinéma. A lire.
Re: On parle des Spectres
...et j'ignorais qu'on avait une page consacrée sur Wikipédia...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Spectres_Du_Cin%C3%A9ma
Qui en est l'auteur ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Spectres_Du_Cin%C3%A9ma
Qui en est l'auteur ?
lorinlouis- Messages : 1691
Re: On parle des Spectres
lorinlouis a écrit:...et j'ignorais qu'on avait une page consacrée sur Wikipédia...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Spectres_Du_Cin%C3%A9ma
Qui en est l'auteur ?
LOL : oui, comme on criait dans le temps : "l'auteur... l'auteur..."
Borges- Messages : 6044
Re: On parle des Spectres
Borges a écrit:
LOL : oui, comme on criait dans le temps : "l'auteur... l'auteur..."
Et oui. Tout se résume finalement à la simple question de l'autorité...
Alors ? Qui ?
lorinlouis- Messages : 1691
Re: On parle des Spectres
Normalement c'est interdit de parler de soi sur wikipedia, il faut que les articles soient écrits par des personnes extérieurs pour l'objectivité, pour éviter l'auto-pub...lorinlouis a écrit:...et j'ignorais qu'on avait une page consacrée sur Wikipédia...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Spectres_Du_Cin%C3%A9ma
Mais qui d'autre que nous s'intéresserait à nous référencer?
c'est cool en tout cas. Merci au généreux bienfaiteur.
Re: On parle des Spectres
HarryTuttle a écrit: Merci au généreux bienfaiteur.
Je soupçonne JLL d'être à l'initiative de la chose, vu que son texte est référencé...
Néanmoins, nous avons eu notre 1/4 d'heure de gloire !!!
lorinlouis- Messages : 1691
Re: On parle des Spectres
Le bruit et l'auteur
C'est pas moi m'sieur l'agent, j'vous jure j'connais même pas wiki'jsaispasquoi !
C'est pas moi m'sieur l'agent, j'vous jure j'connais même pas wiki'jsaispasquoi !
Invité- Invité
Re: On parle des Spectres
Les bruits qui courent...
Peut-être IQI qui s'y connait bien en Wiki ? OU bien le ciné club de Caen (d'ailleurs cité) ?
Comment as tu trouvé ça LL ?
Toubiana qui parle de nous, c'est amusant, c'est Tesson qui lui a filé le lien ?
Aux chiottes l'arbitre !
Peut-être IQI qui s'y connait bien en Wiki ? OU bien le ciné club de Caen (d'ailleurs cité) ?
Comment as tu trouvé ça LL ?
Toubiana qui parle de nous, c'est amusant, c'est Tesson qui lui a filé le lien ?
Aux chiottes l'arbitre !
DB- Messages : 1528
Re: On parle des Spectres
David_Boring a écrit:
Comment as tu trouvé ça LL ?
Simplement en lançant une recherche sur Google. Je ne te raconte pas le spasme qui m'a traversé...
lorinlouis- Messages : 1691
Re: On parle des Spectres
(...)
Hello BC,
Désolé, mais ça ne marche pas pour moi; on lira ce texte où il a été écrit; nous ne faisons pas de récupération, comme les professionnels, dans aucun des sens de ce mot, par exemple, "intégrer pour mieux désamorcer"...
Nous ne sommes pas sérieux, nous ne nous prenons pas au sérieux, soyons sérieux.
Ne jamais faire semblant de rire quand on est insulté, ou lorsque... un autre est insulté; c'est lâche, et c'est trop facile...Ne jamais retourner la violence du dehors vers soi, ne jamais devenir l'objet de son propre ressentiment, de sa propre mélancolie...
Alors?
Il faut continuer, nous ne pouvons pas continuer, nous allons continuer...
Dans le silence on ne sait pas, c'est pourquoi, il faut bien parler...
"Dans le silence on ne sait pas, c'est pourquoi, il faut bien parler, continuons donc, comme si de rien n'était, comme des fantoches, comme si nous avions l'esprit ailleurs. Continuons, de guerre lasse, inutilement, sans trop y croire. Y croire, la belle affaire, la blague, comme si c'était possible, comme si c'était vivable, comme si on pouvait y croire, à la vie, à la mort, et pourquoi y croire. Passons, allons, donc, traînons-nous, le supplice est sûr, la route est longue, on s'éloigne, on aura pas bougé, on aura rien approché, on se sera pas approché, pas même de quelques centimètres, c’est aussi loin, c’est toujours aussi loin, c’est encore le Sahara. Aucun doute, après tant d’acharnements, pas la peine, pas d’excès de zèle, on va pas redoubler nos efforts, rien ne nous rapproche, pas la peine, lassés, de s’épargner l’évidence. On le voit d’ici. Il était temps. On le sentait. Y a pas de but, par chance, pas de fin non plus, on dirait, pour un peu, on y prendrait goût, on s’y habituerait au désert, on s’y ferait. Pas d’oasis, voilà qui est bien. Pour un peu on se réjouirait. Par chance, ça finira, à bonne distance, dans le naufrage, morts de soif. Loin, loin, c’est pas une illusion ; pas d’optique, pas d’illusions. Ca finira, nécessairement, dans le désert. C’est nécessaire comme la raison. Comme de juste. On n’y croira pas, si on nous racontait d’autres histoires. Ici, rien qui nous trahisse, on ne va pas battre des mains, rien qui trahisse la joie, la joie de vivre, la joie de vivre des pantins, pas même le soulagement d’avoir survécu. On ne survit pas, pas à ça, pas ici, mais où sommes nous, donc. Non, pas de charabia, pas de survivants, pas de quartier, pas de prisonniers. Des chiens crevés. Se dresser, se lever, tenir debout. La belle jambe que ça nous ferait, une seule, un jambe d’unijambiste ; Ah si seulement, on pouvait se taire, renoncer à se dresser. Quel cran. Quel magnifique unijambiste. Si beau, si gratuit. Mais on paye, juste avant de se réveiller. On a rien dit, on aura pas avancé, on aura pas fait un pas de plus, pas de décoration en vue, pas d’applaudissements, rien, on aura pas avancé, pas dans ce désert, pas même vers la poussière, aucun avancement en vue, rien, non rien. Rien d’étonnant. Pas de quoi s’étonner. Peu importe, ça va continuer, dans un coin de potager, avec nous, sans nous, ça continuera. Vers où, qui sait. Qui voudra savoir. On cherche pas, on craint pas, ni de trouver ni de pas trouver, pas de doute, on sera toujours aussi loin, si ça se trouve, pas d'espoir, pas de salut, pas même. Rien d'approchant. On va continuer, nous approcher, mais de loin ; trop près on y voit rien, le nez collé. Tout se brouille. On va continuer, notre petit bonhomme de chemin poussiéreux. On fera de notre mieux, pour revenir à la poussière, la mordre, en parlant, rien ne se résoudra, on ne pourra pas éviter la confusion, on ne voudra pas l'éviter, pas maintenant, c’est trop tard. On évitera rien, on n’évitera pas d'être confondus, avec rien, avec la confusion. Y a que ça, on va pas se raconter des histoires, vous raconter des histoires, on dira rien, et pourquoi, et comment, comme si c'était possible raconter des histoires, faire mouche avec des histoires, toujours les mêmes, des conneries qu'on gobe. Des histoires pour passer le temps. C'est inutile, passons, poursuivons. On va continuer, on continuera, on pourra pas, on a rien trouvé de mieux, pas mieux, contre la confusion. C'est le seul degré de précision. L'unique. C'est inutile d'en chercher un autre, de chercher, de trouver. Qui trouve a déjà perdu. Qui a tout perdu risque de ne rien retrouver. Alors on cherche encore, perd, et reperd. Pas de raison que ça se modifie, que ça nous change. Non c’est pas une raison qu'on s'écoute, qu'on nous écoute, de loin en loin, du moment que l'on souffre, ça va être gai, même sans rien comprendre à rien, sans rien chercher à comprendre, sans même comprendre que l'on comprend rien, sans rien savoir de rien, sans ironie, sans rien, racontant n'importe quoi, ce qui nous traverse l'esprit, ce qui se dit, ce qu'on aura pas fini de dire, de nous dire, après tout, ça va sans dire, dans tout ça, dans tout ça qu'on croit être, nous y sommes aussi peu, s'il nous suffit d'y croire, alors dans cette affaire, on peut soupçonner un peu d'espoir; mais on appellera pas ça souffrir; continuons donc, joyeusement, comme si de rien n'était, dans le silence, dont on sait rien, continuons, il le faut, on peut pas, on en peut, alors en tremblant... heureusement que c'est pas qu'un rêve, des débris d'images, qu'on doit pas se mordre pour y croire"
Hello BC,
Désolé, mais ça ne marche pas pour moi; on lira ce texte où il a été écrit; nous ne faisons pas de récupération, comme les professionnels, dans aucun des sens de ce mot, par exemple, "intégrer pour mieux désamorcer"...
Nous ne sommes pas sérieux, nous ne nous prenons pas au sérieux, soyons sérieux.
Ne jamais faire semblant de rire quand on est insulté, ou lorsque... un autre est insulté; c'est lâche, et c'est trop facile...Ne jamais retourner la violence du dehors vers soi, ne jamais devenir l'objet de son propre ressentiment, de sa propre mélancolie...
Alors?
Il faut continuer, nous ne pouvons pas continuer, nous allons continuer...
Dans le silence on ne sait pas, c'est pourquoi, il faut bien parler...
"Dans le silence on ne sait pas, c'est pourquoi, il faut bien parler, continuons donc, comme si de rien n'était, comme des fantoches, comme si nous avions l'esprit ailleurs. Continuons, de guerre lasse, inutilement, sans trop y croire. Y croire, la belle affaire, la blague, comme si c'était possible, comme si c'était vivable, comme si on pouvait y croire, à la vie, à la mort, et pourquoi y croire. Passons, allons, donc, traînons-nous, le supplice est sûr, la route est longue, on s'éloigne, on aura pas bougé, on aura rien approché, on se sera pas approché, pas même de quelques centimètres, c’est aussi loin, c’est toujours aussi loin, c’est encore le Sahara. Aucun doute, après tant d’acharnements, pas la peine, pas d’excès de zèle, on va pas redoubler nos efforts, rien ne nous rapproche, pas la peine, lassés, de s’épargner l’évidence. On le voit d’ici. Il était temps. On le sentait. Y a pas de but, par chance, pas de fin non plus, on dirait, pour un peu, on y prendrait goût, on s’y habituerait au désert, on s’y ferait. Pas d’oasis, voilà qui est bien. Pour un peu on se réjouirait. Par chance, ça finira, à bonne distance, dans le naufrage, morts de soif. Loin, loin, c’est pas une illusion ; pas d’optique, pas d’illusions. Ca finira, nécessairement, dans le désert. C’est nécessaire comme la raison. Comme de juste. On n’y croira pas, si on nous racontait d’autres histoires. Ici, rien qui nous trahisse, on ne va pas battre des mains, rien qui trahisse la joie, la joie de vivre, la joie de vivre des pantins, pas même le soulagement d’avoir survécu. On ne survit pas, pas à ça, pas ici, mais où sommes nous, donc. Non, pas de charabia, pas de survivants, pas de quartier, pas de prisonniers. Des chiens crevés. Se dresser, se lever, tenir debout. La belle jambe que ça nous ferait, une seule, un jambe d’unijambiste ; Ah si seulement, on pouvait se taire, renoncer à se dresser. Quel cran. Quel magnifique unijambiste. Si beau, si gratuit. Mais on paye, juste avant de se réveiller. On a rien dit, on aura pas avancé, on aura pas fait un pas de plus, pas de décoration en vue, pas d’applaudissements, rien, on aura pas avancé, pas dans ce désert, pas même vers la poussière, aucun avancement en vue, rien, non rien. Rien d’étonnant. Pas de quoi s’étonner. Peu importe, ça va continuer, dans un coin de potager, avec nous, sans nous, ça continuera. Vers où, qui sait. Qui voudra savoir. On cherche pas, on craint pas, ni de trouver ni de pas trouver, pas de doute, on sera toujours aussi loin, si ça se trouve, pas d'espoir, pas de salut, pas même. Rien d'approchant. On va continuer, nous approcher, mais de loin ; trop près on y voit rien, le nez collé. Tout se brouille. On va continuer, notre petit bonhomme de chemin poussiéreux. On fera de notre mieux, pour revenir à la poussière, la mordre, en parlant, rien ne se résoudra, on ne pourra pas éviter la confusion, on ne voudra pas l'éviter, pas maintenant, c’est trop tard. On évitera rien, on n’évitera pas d'être confondus, avec rien, avec la confusion. Y a que ça, on va pas se raconter des histoires, vous raconter des histoires, on dira rien, et pourquoi, et comment, comme si c'était possible raconter des histoires, faire mouche avec des histoires, toujours les mêmes, des conneries qu'on gobe. Des histoires pour passer le temps. C'est inutile, passons, poursuivons. On va continuer, on continuera, on pourra pas, on a rien trouvé de mieux, pas mieux, contre la confusion. C'est le seul degré de précision. L'unique. C'est inutile d'en chercher un autre, de chercher, de trouver. Qui trouve a déjà perdu. Qui a tout perdu risque de ne rien retrouver. Alors on cherche encore, perd, et reperd. Pas de raison que ça se modifie, que ça nous change. Non c’est pas une raison qu'on s'écoute, qu'on nous écoute, de loin en loin, du moment que l'on souffre, ça va être gai, même sans rien comprendre à rien, sans rien chercher à comprendre, sans même comprendre que l'on comprend rien, sans rien savoir de rien, sans ironie, sans rien, racontant n'importe quoi, ce qui nous traverse l'esprit, ce qui se dit, ce qu'on aura pas fini de dire, de nous dire, après tout, ça va sans dire, dans tout ça, dans tout ça qu'on croit être, nous y sommes aussi peu, s'il nous suffit d'y croire, alors dans cette affaire, on peut soupçonner un peu d'espoir; mais on appellera pas ça souffrir; continuons donc, joyeusement, comme si de rien n'était, dans le silence, dont on sait rien, continuons, il le faut, on peut pas, on en peut, alors en tremblant... heureusement que c'est pas qu'un rêve, des débris d'images, qu'on doit pas se mordre pour y croire"
balthazar claes- Messages : 1009
Re: On parle des Spectres
Je ne comprends pas ce message...enfin les enjeux. Cela ressemble à un copié/collé d'une conversation privée, non ?
^x^- Messages : 609
Re: On parle des Spectres
Surement Borges qui répond à la réponse que BC a faite à Jerzy sur le forum des cahiers, lorsqu'il parle des Spectres.
dreampeace- Messages : 140
Re: On parle des Spectres
J'avais copié ici le texte en question. Borges a raison, c'était pas à faire. Mea culpa.
balthazar claes- Messages : 1009
Re: On parle des Spectres
Des nouvelles de notre ami GM :
Mortel.
* J'ai reçu ce même jour les nouveaux Cahiers (encore oublié de me désabonner, je le fais exprès) et le nouveau Mad (en bundle pour ce dernier avec Impact, qui donc reprend). Plouf plouf, ouvert les Cahiers en premier, refermé en une minute. Voilà. Ça sent la grosse branlette sur le dernier Albert Serra. C'en est inquiétant. Zohiloff va adorer toutes les pages sur l'éducation et l'action culturelle.
* Le nouveau Mad a plus de pages, on y reste plus longtemps. J'aime bien que la plupart soient restés tolérants, dans le tableau de notes, malgré la nulle critique de l'époque, avec Le Jour où la terre s'arrêta, film sans doute pas terrible mais qui est bien la seule chose, à part Eagle Eye, qui m'ait plu au cinéma récemment. J'aime vraiment beaucoup Keanu Reeves, j'ignore pourquoi, ce côté Tom Cruise de fin de série, peut-être, je ne sais pas, le masque de son visage...
* C'est que je m'étais promis, le temps que je serais à Paris, de passage pour le nouvel an, d'aller au cinéma ; et c'est quand même la plaie de savoir quoi aller voir, il n'y a rien, comme on dit. J'ai même fini par aboutir dans la salle du dernier Varda, film abominable, film d'embaumeuse, en le voyant je me disais les "Spectres du cinéma", du nom de cette revue, ont gagné : tout le monde fête ce film qui fleurit la tombe d'un cinéma qu'il a lui-même creusé. Varda en taxidermiste du cinéma, je trouve que Chauvin dit ça assez bien dans la deuxième partie de sa critique, à laquelle je n'adhère pas totalement, mais j'aime bien ce passage quand il dit : "Il y a pourtant quelque chose d'un peu malaisant ici : l'absence complète du cinéma d'aujourd'hui dans l'œil curieux de Varda. La jeunesse s'y résume aux assistants et à la famille. Nul jeune cinéaste, nul jeune acteur (hormis son fils, Mathieu Demy) ne viendra faire un tour de piste et égayer un peu ce sombre paysage. Agnès Varda a beau dire, in fine, que plus que le monde, c'est le cinéma qu'elle habite, on ne peut s'empêcher de penser que pour elle, rien n'existe d'autre que le cinéma qu'elle et ses pairs des années soixante ont inventé. Terrible non-dit, terrible impensé que cette non-présence. Au sortir du film, le spectateur reste anéanti par tant d'abandons à la mort, par tant de vieillissement, la cinéaste refusant tout héritier, toute passation. A ce titre, la maison cinéma qui clôt le film (Varda trônant au milieu d'une pièce entièrement constituée de rubans de pellicule lors de son exposition à la Fondation Cartier), apparaît moins comme une maison généreuse et ouverte aux quatre vents, que comme une sorte de tombeau qui engloutira le cinéma lui-même quand l'inéluctable finira par se poser sur la cinéaste."
* Tout ça pour dire que je repars ce midi dans les Ardennes, pour trois semaines, en tournage.
* Je suis très heureux d'écrire ça, en tournage. Vers la vie, donc.
* Le nouvel album de Françoiz Breut est absolument sublime. Ça ne surprendra personne.
* A plus.
Invité- Invité
Re: On parle des Spectres
et pour les textes honteux ou vraiment mauvais me dis-je cette année, l'article de Julien Gester sur Johnny To dans Trafic, comme on dit une enfilade de lieux communs, la question n'est pas comment il en est arrivé à écrire cela, puisque lire de pareilles choses en france ma foi on en a l'habitude, mais comment ils en arrivent à le publier, (vous allez me dire ils font même un spécial Jean de la noix avec son film "La france), (Jean de la noix aka Serge Bozon), disons le niveau baisse, disons une certaine forme de panique, panique devant quelque chose qu'ils ignorent, "peur" qu'un jour ils se retrouvent à force de Bazinisme, avec un texte genre "comment peut-on être" etc, (sauf que eux à chaque ligne, n'importe qui c'est "comment peut-on être), (voir pour la caricature le texte de Léon dans Trafic 66), et donc à part le gester sur To, l'interview de Tesson aux neu-neus du forum des Cahiers f, (certainement la chose à lire dont j'ai eu le plus honte cette année), (où Tesson prouve involontairement qu'il n'est qu'un con), (disons un ignare), moi je dirais le texte sur To, il fallait l'écrire au moment de PTU, (probablement qu'ils le firent, et ce fut tellement insignifiant qu'on l'oublia alors aussitôt), (moi je me souviens de la critique pas si mal de Frodon sur le film), (comme quoi personne n'est parfait),
A lire ici
Invité- Invité
Re: On parle des Spectres
Salut JM, (je t'envoie mes meilleurs vœux par la même occasion)
Dis moi, c'est quoi ce blog ? A qui appartient ce truc ?
"les 10 meilleurs films de l'année 2008, les seuls, les vrais!
30 jours de nuit, de David Slade,
Non ricordo il titolo, de Christelle Lheureux
Jumper de Doug Liman,
Le plaisir de chanter, de
La vie moderne épisode 1, de Raymond Depardon,
Rec, de Paco Plaza
"A Bit Of Mater And A Little Bit More" et "Water In Milk Exists", de Lauwrence Weiner
Ca se soigne de Laurent Souchan
L'oeil du mal, de Dj Caruso,
La guerre selon Charlie Wilson,
Bad times, de David Ayer, (et "au bout de la nuit"),
Go fast, de
Mensonges d'états, de Ridley Scott
Teeth de Mitchell Lichtenstein
Junebug,de Phil Morrison,
La traversée du temps, de Mamoru Hosoda,
Southland tales de Richard Kelly,
Mad men, série tv, Dead like me, (saison 2), série tv,
Phénomènes, de Night de Shyamallan
ces deux clips des yeah yeah yeah, là et là,
Fido, de Andrew Currie,
Batman, de Christopher Nolan,
You kill me de John Dahl,
Never back down, de Jeff Wadlow"
Dis-moi, qui peut bien citer Pushing Daisies et Dead Like Me (séries pr sous mioches Burtoniens cachet M6) avec autant de sérieux ?
Je veux savoir.
ps: Être détesté de la sorte, c'est un bon signe. Vraiment. J'aimerais qu'on me méprise autant. Et je suis très sérieux là, pr une fois.
Dis moi, c'est quoi ce blog ? A qui appartient ce truc ?
"les 10 meilleurs films de l'année 2008, les seuls, les vrais!
30 jours de nuit, de David Slade,
Non ricordo il titolo, de Christelle Lheureux
Jumper de Doug Liman,
Le plaisir de chanter, de
La vie moderne épisode 1, de Raymond Depardon,
Rec, de Paco Plaza
"A Bit Of Mater And A Little Bit More" et "Water In Milk Exists", de Lauwrence Weiner
Ca se soigne de Laurent Souchan
L'oeil du mal, de Dj Caruso,
La guerre selon Charlie Wilson,
Bad times, de David Ayer, (et "au bout de la nuit"),
Go fast, de
Mensonges d'états, de Ridley Scott
Teeth de Mitchell Lichtenstein
Junebug,de Phil Morrison,
La traversée du temps, de Mamoru Hosoda,
Southland tales de Richard Kelly,
Mad men, série tv, Dead like me, (saison 2), série tv,
Phénomènes, de Night de Shyamallan
ces deux clips des yeah yeah yeah, là et là,
Fido, de Andrew Currie,
Batman, de Christopher Nolan,
You kill me de John Dahl,
Never back down, de Jeff Wadlow"
Dis-moi, qui peut bien citer Pushing Daisies et Dead Like Me (séries pr sous mioches Burtoniens cachet M6) avec autant de sérieux ?
Je veux savoir.
ps: Être détesté de la sorte, c'est un bon signe. Vraiment. J'aimerais qu'on me méprise autant. Et je suis très sérieux là, pr une fois.
^x^- Messages : 609
Re: On parle des Spectres
et l'interview de Tesson aux neu-neus du forum des Cahiers f, (certainement la chose à lire dont j'ai eu le plus honte cette année),
C'est fort sympathique.
Sacré GM...
lorinlouis- Messages : 1691
Re: On parle des Spectres
Careful a écrit:
ps: Être détesté de la sorte, c'est un bon signe. Vraiment. J'aimerais qu'on me méprise autant. Et je suis très sérieux là, pr une fois.
On peut s'arranger, Careful...
lorinlouis- Messages : 1691
Re: On parle des Spectres
Salut Careful et bonne année,
Ce qui est regrettable c'est que ni l'un ni l'autre ne propose un lien vers notre travail, car après tout, ces personnes sont certainement lues, et les gens qui les lisent et qui ne connaissent pas notre projet ont le droit de le découvrir et peuvent ne pas en penser la même chose que ces messieurs..
Ce qui est regrettable c'est que ni l'un ni l'autre ne propose un lien vers notre travail, car après tout, ces personnes sont certainement lues, et les gens qui les lisent et qui ne connaissent pas notre projet ont le droit de le découvrir et peuvent ne pas en penser la même chose que ces messieurs..
Invité- Invité
Re: On parle des Spectres
Ouais. Mais bon sans trop vouloir juger des gars qui passent leur vie à regarder des séries américaines tout en racontant leur nombril en balançant plein de liens internet... Bon, hein, après tout, j'dis ça, j'dis rien.
Au fait LL, ta citation c'était pas GM c'était zohihoff ou un truc comme ça.
Au fait LL, ta citation c'était pas GM c'était zohihoff ou un truc comme ça.
DB- Messages : 1528
Re: On parle des Spectres
David_Boring a écrit:
Au fait LL, ta citation c'était pas GM c'était zohihoff ou un truc comme ça.
Pourquoi est-ce que je n'arrive pas à m'en étonner ?
lorinlouis- Messages : 1691
Re: On parle des Spectres
David_Boring a écrit:Ouais. Mais bon sans trop vouloir juger des gars qui passent leur vie à regarder des séries américaines tout en racontant leur nombril en balançant plein de liens internet... Bon, hein, après tout, j'dis ça, j'dis rien.
Au fait LL, ta citation c'était pas GM c'était zohihoff ou un truc comme ça.
Je n'avais même pas remarqué ses liens ( les "là")...Je viens de me trouver un concurrent en ce qui concerne le "clik,clik"...n'est ce pas Lorin.
Pardonnez moi, mais c'est qui zohihoff ?
ps:je viens de finir John,John de Mendoza: Beau film... Et hier soir, sur les conseils de Breaker, le coffret Henri-François Imbert-Sur la plage de Belfast, Doulave une saison des pluies et No pasaran album souvenir: c'était encore bien mieux que le Mendoza.
http://www.arkepix.com/kinok/Henri-Francois%20IMBERT/imbert_interview.html
http://www.lecinemadehenrifrancoisimbert.com/
Je serai le 1er au guichet pr Le temps des amoureuses, le 11 mars 2009.
lorinlouis a écrit:On peut s'arranger, Careful...
Grrrr
Dernière édition par Careful le Mar 6 Jan 2009 - 23:35, édité 3 fois
^x^- Messages : 609
Re: On parle des Spectres
Ha, ha, au milieu de sa logorrhée, j'y ai droit aussi il m'a repéré :-)
Careful, ma foi, je crois que tu dois avoir raison.
"le neu-neu, (là), (via mes stats): "depuis quand Zohiloff est critique de cinéma ? Il est au mieux critique des critiques de cinéma, mais en général, il est surtout très doué pour balancer une petite insulte entre deux crises de rancoeur et trois épanchements sur sa petite vie professionnelle, au milieu des professionnels de la profession... ", (et pour savoir comment pense ce type, c'est là), (sinon oui je suis pas critique de cinéma, ça même moi je le savais, (c'est dire), (et je ne vais pas non plus m'attarder sur ça),
Careful, ma foi, je crois que tu dois avoir raison.
Re: On parle des Spectres
Careful a écrit:Je viens de me trouver un concurrent en ce qui concerne le "clik,clik"...n'est ce pas Lorin.
Ce n'est rien de le dire...
Vous m'énervez avec vos raccourcis aussi subtils !!!
Careful a écrit:Grrrr
Aïe.
lorinlouis- Messages : 1691
Re: On parle des Spectres
Pas profité du lien vers le site du Zozo, trop épuisé au terme de la douzaine de lignes reproduites ici.
Sérieux, c'est particulièrement pénible à lire... ou c'est moi ?
Sérieux, c'est particulièrement pénible à lire... ou c'est moi ?
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