Les films de 2011 que j'ai vus
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Largo
wootsuibrick
balthazar claes
7 participants
Les films de 2011 que j'ai vus
Par ordre de sortie :
somewhere : branchouille et tiède, la version pour filles de Drive
the green hornet : péniblement second degré, se proposant de jouer avec les codes du genre mais sans grâce
Comment savoir de jl brooks : balloonatic et quelques critiques mettent ça dans leurs tops, c'est pourtant bien banal
les chemins de la liberté : nul, comme il a été dit ici
tron l'héritage : plutôt nul
black swan : pas si mal en un sens
sex friends : nul
ma part du gateau : pertinent dans son genre
hell driver : crétin
le mytho - just go with it : un sandler fatigué
essential killing : fort
scream 4 : une franchise en bout de course
Mr. Nice : apologie de la fumette, nul
thor : pas si mal construit scénaristiquement
bon à tirer : plutôt amusant
fast&furious 5 : franchise en perte de vitesse
midnight in paris : haïssable, brunesque
the tree of life : assez beau quand il oublie d'être pompier
x-men commencement : passable
une séparation : moderne
the prodigies 3d : truc français en DA, akira-like, consternant
london boulevard : possible
pater : Cavalier trop catho pour saisir la lutte des classes
omar m'a tuer : film unanimiste-commémoratif de gauche
tranformers 3 : plutôt mieux que le 1 et le 2 dans mon souvenir
Hp et les reliques de la mort : bien
i'm still here : ni fait ni à faire
the murderer : trop de coups de couteau
troll hunter : un blair witch projet de trop
super 8 : puéril
melancholia : incompréhensible
green lantern : le pire du pire du film de sup héros
planète des singes les origines : passable
captain america first avenger : ouais
conan 3d : non
comment tuer son boss : laborieux
la piel que habito : confus
destination finale 5 : pénible
sexe entre amis : timberlake amusant
habemus papam : super
crazy stupid love : amusant
drive : vide
cars 2 : le 1 était mieux
the thing : copié-collé
the artist : triste
tintin : irritant
time out : mouais
Les immortels : nan
note globale : très faible
somewhere : branchouille et tiède, la version pour filles de Drive
the green hornet : péniblement second degré, se proposant de jouer avec les codes du genre mais sans grâce
Comment savoir de jl brooks : balloonatic et quelques critiques mettent ça dans leurs tops, c'est pourtant bien banal
les chemins de la liberté : nul, comme il a été dit ici
tron l'héritage : plutôt nul
black swan : pas si mal en un sens
sex friends : nul
ma part du gateau : pertinent dans son genre
hell driver : crétin
le mytho - just go with it : un sandler fatigué
essential killing : fort
scream 4 : une franchise en bout de course
Mr. Nice : apologie de la fumette, nul
thor : pas si mal construit scénaristiquement
bon à tirer : plutôt amusant
fast&furious 5 : franchise en perte de vitesse
midnight in paris : haïssable, brunesque
the tree of life : assez beau quand il oublie d'être pompier
x-men commencement : passable
une séparation : moderne
the prodigies 3d : truc français en DA, akira-like, consternant
london boulevard : possible
pater : Cavalier trop catho pour saisir la lutte des classes
omar m'a tuer : film unanimiste-commémoratif de gauche
tranformers 3 : plutôt mieux que le 1 et le 2 dans mon souvenir
Hp et les reliques de la mort : bien
i'm still here : ni fait ni à faire
the murderer : trop de coups de couteau
troll hunter : un blair witch projet de trop
super 8 : puéril
melancholia : incompréhensible
green lantern : le pire du pire du film de sup héros
planète des singes les origines : passable
captain america first avenger : ouais
conan 3d : non
comment tuer son boss : laborieux
la piel que habito : confus
destination finale 5 : pénible
sexe entre amis : timberlake amusant
habemus papam : super
crazy stupid love : amusant
drive : vide
cars 2 : le 1 était mieux
the thing : copié-collé
the artist : triste
tintin : irritant
time out : mouais
Les immortels : nan
note globale : très faible
Dernière édition par balthazar claes le Dim 25 Déc 2011 - 15:11, édité 2 fois
balthazar claes- Messages : 1009
Re: Les films de 2011 que j'ai vus
balthazar claes a écrit:Par ordre de sortie :
thor
planète des singes les origines
L'appolonide
Ryomaden (série)
note globale : faible
Re: Les films de 2011 que j'ai vus
Le top de Jonathan Rosenbaum :
http://legacy.indiewire.com/critic/jonathan_rosenbaum
Celui de Roger Ebert :
Celui des Cahiers :
Annual Critics Survey 2011 »
Best Film »
1) A Brighter Summer Day
2) Poetry
3) Le Quattro Volte
4) Mysteries of Lisbon
5) A Dangerous Method
6) Terri
7) Road to Nowhere
8. The Skin I Live In
9) Putty Hill
10) Hugo
Best Documentary »
1) Nostalgia for the Light
Best First Feature »
1) My Perestroika
Best Undistributed Film »
1) The Hunter
2) Unforgivable (Impardonnables)
3) The Forgotten Space
4) Disorder
5) Father
6) The River Used to Be a Man
7) Sodankyla Forever Parts 1-4
8. Splinters
9) Silver Tongues
10) The Deep Blue Sea
Comment
I've been flooded with end-of-the-year screeners, but sadly some of the films I want to see most weren't among them (most notably, Jafar Panahi's This is Not a Film).
http://legacy.indiewire.com/critic/jonathan_rosenbaum
Celui de Roger Ebert :
Le top de Jim Hoberman :Annual Critics Survey 2011 »
Best Film »
1) A Separation
2) Shame
3) The Tree of Life
4) Hugo
5) Take Shelter
6) Kinyarwanda
7) Drive
8. Midnight in Paris
9) Le Havre
10) Terri
Annual Critics Survey 2011 »
Best Film »
1) A Dangerous Method
2) Melancholia
3) Mysteries of Lisbon
4) Aurora
5) To Die Like a Man
6) Uncle Boonmee Who Can Recall His Past Lives
7) Hugo
8. J. Edgar
9) United Red Army
10) Certified Copy
Best Documentary »
1) The Autobiography of Nicolae Ceausescu
Best First Feature »
1) Martha Marcy May Marlene
Best Undistributed Film »
1) Policeman
2) Las Acacias
3) Artificial Paradises
Celui des Cahiers :
1. Habemus Papam
2. L'Etrange Affaire Angelica
The Tree Of Life
4. Hors Satan
Essential Killing
6. Melancholia
Un été brûlant
8. Super 8
L'Apollonide
La Dernière Piste (Meek's cutoff)
Eyquem- Messages : 3126
Re: Les films de 2011 que j'ai vus
J'ai surtout profité de la médiathèque du passage 44 et ai vu peut-être trop de films et en ai loués encore plus
Je pense que j'ai vu de 2011
- une Séparation: un peu les mêmes limites esthétiques et politiques que le cinéma de Fassbinder, donc pas si mal mal
-Congonlük de Seran Yüce (visiblement pas encore sorti en France, très bon),
-vu en diagonale Super 8 dans un avion (amusant le coup du clône de Kurt Cobain qui conduit je sais plus quel Pony Car américaine).
-Les Géants de Bouli Lanners bof...(mais jolie musique de The Bony King of Nowhere)
-Je suis vite sorti des "Filles en Noir" de Civeyrac et de l' "Apollonide", je pense que ces films m'ont gêné par la complaisance avec laquelle ils font de la maladie (ALS et siphillis) un symbôle
-L'Etrange Affaire Angelica je crois qu'il était à l'Âge d'Or en 2010 (pas mal, mais moins bien que "Singularité d'une Jeune Fille Blonde").
J'aurais bien aimé voir les films de Jafhar Panahi sortis cette année en France, ou même des films comme le Havre. Malheureusement le cinéma Arenberg qui aurait pu les distribuer à Bruxelles a fermé, il avait certes un public un peu (et de plus en plus sur la fin) bourgeois, compassé et vieillissant (dont moi sans doute.. heum) mais il permettait au moins de voir ces films en salle. Intéressant de voir en quoi la crise économique a mis à mal ce cinéma, via sans doute la perte d'aides publiques, le projet de centre culturel multimédia (soutenu par Lippens, sic) qui le remplacera a l'air bien bidon.
Je dois reconnaître que l'Ecran Total (leur festival d'été) m'a permis de voir des films intéressants pendant une quinzaine d'années, qu'il était plus facile d'y voir des films à deux que face à un DVD qui transforment la cinéphilie en pratique célibataire, et que le programme imprimeé valait bien des revues de cinéma.
Je pense que j'ai vu de 2011
- une Séparation: un peu les mêmes limites esthétiques et politiques que le cinéma de Fassbinder, donc pas si mal mal
-Congonlük de Seran Yüce (visiblement pas encore sorti en France, très bon),
-vu en diagonale Super 8 dans un avion (amusant le coup du clône de Kurt Cobain qui conduit je sais plus quel Pony Car américaine).
-Les Géants de Bouli Lanners bof...(mais jolie musique de The Bony King of Nowhere)
-Je suis vite sorti des "Filles en Noir" de Civeyrac et de l' "Apollonide", je pense que ces films m'ont gêné par la complaisance avec laquelle ils font de la maladie (ALS et siphillis) un symbôle
-L'Etrange Affaire Angelica je crois qu'il était à l'Âge d'Or en 2010 (pas mal, mais moins bien que "Singularité d'une Jeune Fille Blonde").
J'aurais bien aimé voir les films de Jafhar Panahi sortis cette année en France, ou même des films comme le Havre. Malheureusement le cinéma Arenberg qui aurait pu les distribuer à Bruxelles a fermé, il avait certes un public un peu (et de plus en plus sur la fin) bourgeois, compassé et vieillissant (dont moi sans doute.. heum) mais il permettait au moins de voir ces films en salle. Intéressant de voir en quoi la crise économique a mis à mal ce cinéma, via sans doute la perte d'aides publiques, le projet de centre culturel multimédia (soutenu par Lippens, sic) qui le remplacera a l'air bien bidon.
Je dois reconnaître que l'Ecran Total (leur festival d'été) m'a permis de voir des films intéressants pendant une quinzaine d'années, qu'il était plus facile d'y voir des films à deux que face à un DVD qui transforment la cinéphilie en pratique célibataire, et que le programme imprimeé valait bien des revues de cinéma.
Invité- Invité
Re: Les films de 2011 que j'ai vus
Juste pour replacer la "crise" de l'Arenberg dans un contexte plus précis : le cinéma ne payait plus son loyer depuis 3 ans, alors qu'il était le cinéma le plus subventionné de la communauté française. S'il a dû fermer, c'est pratiquement uniquement à cause de la mauvaise gestion de son responsable. Le projet qui le remplacera n'est pas du tout alléchant, mais je crois que la programmation restera la même. L'Arenberg n'a jamais cessé d'être subventionné.
adeline- Messages : 3000
Re: Les films de 2011 que j'ai vus
Sur le site de Sight and Sound, les "Top 5" de Michel Ciment, Nicole Brenez, et de Rosenbaum (différent de celui d'au-dessus) :
Michel Ciment
Positif, France
Melancholia
Lars von Trier, Denmark/Sweden/France/Germany/Italy
Once Upon a Time in Anatolia (Bir Zamanlar Anadolu’da)
Nuri Bilge Ceylan, Turkey/Bosnia-Herzegovina
Shame
Steve McQueen, UK
The Strange Case of Angelica (O Estranho Caso de Angélica)
Manoel de Oliveira, Portugal/Spain/France/Brazil
The Tree of Life
Terrence Malick, USA
Highlights
At the 2011 Cannes film festival, most of the films were screened in digital. We have to admit we enter a new area. We'll miss the grain of 35mm and nothing will be better than the first print of a film coming out of the lab and being shown in the grand auditorium Lumière but the movie goers will certainly have a better average experience when looking at an old or new film in their neighbourhood theatre.
I was also struck by the high quality of a handful of British films, Shame, Wuthering Heights, The Deep Blue Sea and We Need to Talk About Kevin. And I don't make this statement because I'm writing in Sight & Sound!
My third lasting impression was discussing with Jeff Nichols, the best independent American filmmaker to have appeared in years with two great films: Shotgun Stories and Take Shelter. I would like also to recommend L'exercice de l'état which seems to have been overlooked by the foreign press in Cannes. Pierre Schöller has made one the great french political films I have seen for a long time. Finally, Alain Bonfand's book Le cinéma d'Akira Kurosawa seems to me one of the most stimulating
Nicole Brenez
Critic, France
Abel Ferrara in Lucca, Gérard Courant, France/Italy
A simple, modest and faithful record of some moments at the Lucca Film Festival in October 2010, with songs and speeches by Abel Ferrara: trace of the co-presence of two of the greatest contemporary filmmakers, dissident and true sons of Cesare Zavattini’s revolutionary spirit.
The Autobiography of Nicolae Ceaucescu (Autobiografia lui Nicolae Ceausescu)
Andrei Ujica, Romania
How propaganda reverses itself into a devastating critique of any political power.
Far from Afghanistan, John Gianvito, Jon Jost, Minda Martin, Travis Wilkerson, Soon-mi Yoo, Rob Todd, Pacho Velez, USA, in progress
To commemorate the tenth year of the invasion in Afghanistan, a collaborative work analysing the logics and consequences of American imperialism.
Impressions, Jacques Perconte, France
Digital fresco about Normandy landscapes that renews the forms of editing.
Video Letter, Masao Adachi, Japan
Adachi, still a political prisoner in Japan in the sense that he can not travel abroad, sends a video-letter to his audience to explain his ideals, fights and questions.
Highlights:
Book: Radical Light: Alternative Film & Video in the San Francisco Bay Aera, 1945-2000 (Steve Anker, Kathy Geritz, Steve Seid, eds), a scientifically and visually magnificent survey.
Film/Exhibition: ‘Correspondence(s)/The Completed Letters’, curated by Jordi Ballo for the CCCB (Barcelona, Spain): five video-letters exchanges between filmmakers from different parts of the world, including José Luis Guerín and Jonas Mekas, Albert Serra and Lisandro Alonso, Isaki Lacuesta and Noami Kawase, Jaime Rosales and Wang Bing, Fernando Eimbcke and So Yong Kim.
Retrospective: ‘Minding the Gap: The Films of Dick Fontaine’, curated by Michael Chaiken at the Anthology Film Archives, New York. A great British stylist and fighter with a knack for working exactly where the wind of history begins to blow.
Screening: On September 28th, the quality of the screening of John Gianvito’s My Heart Swims in Blood through Vimeo, during the World Cinema Now! Conference in Melbourne, was so excellent we could count the feathers on the Hegelian owl.
Website: livestream.com/globalrevolution. Livestream of the occupation movements all over the world, covered by independent journalists and filmmakers.
Jonathan Rosenbaum
Critic, USA
Now that I prefer home viewing to shopping malls, I miss a lot of current fare. But here are five special items:
Cave of Forgotten Dreams, Werner Herzog, Canada/USA/France/UK/Germany
Herzog’s uncanny self-promotion skills often exceed his filmmaking talent, but this finally broaches a topic that he can’t overpower, even when he tries, meanwhile fully justifying the use of 3D.
Disorder, Huang Weikai, China
This 58-minute film is a memorable Guangzhou city symphony culled from street footage by many hands and a major example of recent Chinese independent cinema.
Impardonnables (Unforgivable), André Téchiné, France
Conceivably Téchiné’s best film in 15 years, since Les voleurs, once again about characters irreparably screwed up, all of them loved equally by their attentive director-cowriter; I was especially moved by Adriana Asti’s troubled detective.
Mysteries of Lisbon (Mistérios de Lisboa), Raúl Ruiz, Portugal
Ruiz virtually ended his illustrious career with one of his major works.
The Turin Horse (A Torinói ló), Béla Tarr, Hungary/France/Germany/Switzerland/US
This doesn’t measure up to Tarr’s Sátántangó (what does?) but held my gripped attention over three successive viewings while aptly and cogently refusing to explain why.
Eyquem- Messages : 3126
Re: Les films de 2011 que j'ai vus
Je n'ai pas vu énormément de films sortis cette année, s'il fallait en retenir quelques-uns ça serait :
The Tree of Life
L'Etrange Affaire Angelica
Le Cheval de Turin
La Dernière Piste
Restless
The Prize (non distribué)
Sinon, dans tous les autres films que j'ai vus, je retiendrai surtout quelques réalisateurs que j'ai découverts.
En premier, et c'est sans doute mon choc de l'année, malgré ce que j'avais pu en dire :
Jean-Claude Rousseau
puis pêle-mêle
Leo McCarey, Bud Bœtticher, Joris Ivens, Béla Tarr et Abbas Kiarostami, dont j'avais vu peu de films et que j'ai l'impression d'avoir découvert.
il y a en outre quelques films marquants d'autres années, ceux qui me viennent :
L'Esprit de la ruche, V. Erice
L'Argent de la vieille, Comencini
Umberto D., de Sica
L'Armée des ombres, Melville
L'Homme de Londres, B. Tarr
Pallombella Rossa, N. Moretti
Salesman, les frères Maysles
The Shooting, Monte Hellman
Hoop Dreams, Steve James
et les petits films dont on se dit qu'ils restent comme des grands films
Track of the Cat, W. Wellman
Du soleil pour les gueux, A. Guiraudie
Liverpool, L. Alonso
The Tree of Life
L'Etrange Affaire Angelica
Le Cheval de Turin
La Dernière Piste
Restless
The Prize (non distribué)
Sinon, dans tous les autres films que j'ai vus, je retiendrai surtout quelques réalisateurs que j'ai découverts.
En premier, et c'est sans doute mon choc de l'année, malgré ce que j'avais pu en dire :
Jean-Claude Rousseau
puis pêle-mêle
Leo McCarey, Bud Bœtticher, Joris Ivens, Béla Tarr et Abbas Kiarostami, dont j'avais vu peu de films et que j'ai l'impression d'avoir découvert.
il y a en outre quelques films marquants d'autres années, ceux qui me viennent :
L'Esprit de la ruche, V. Erice
L'Argent de la vieille, Comencini
Umberto D., de Sica
L'Armée des ombres, Melville
L'Homme de Londres, B. Tarr
Pallombella Rossa, N. Moretti
Salesman, les frères Maysles
The Shooting, Monte Hellman
Hoop Dreams, Steve James
et les petits films dont on se dit qu'ils restent comme des grands films
Track of the Cat, W. Wellman
Du soleil pour les gueux, A. Guiraudie
Liverpool, L. Alonso
adeline- Messages : 3000
Re: Les films de 2011 que j'ai vus
Les films que j'ai vu en 2011, dvds des films sortis les années précédentes.
Bcp sont sortis de ma mémoire, aussitôt effacés du HDDmultimédia.
Un rapide coup d’œil sur ceux qui restent.
Ceux que j'ai trouvés bons pour divers motifs. Je mets tout, en vrac, y compris les trucs inavouables, les mélos, les machins ultra-z. Je me rends compte que je trouve de plus en plus d'intérêt aux petits films, aux films de pas grand chose, un peu ratés ou jamais totalement réussis.
Parce que c'est dans les fuites non colmatées, le relâchement des coutures ne bouclant pas toute la boucle, que je trouve le plus de matières pour l'émotion, la réflexion, l'affection, le vagabondage de la pensée.
On avait parlé un peu de ça, du trop de "maîtrise".
Des films maîtrisés, j'en ai vu aussi, bien sûr. Des objets remarquablement pensés, où toutes les couches sont réflexivement prises en charge, où peu de choses échappent à l'intention du cinéaste de signifier, et qui offrent la plupart des clés pour une relance théorique ou pratique ("la question humaine", par exemple, ne m'a pas convaincu. Mais les entretiens en bonus m'ont passionné).
Ce type de film "discours de la méthode" m'ennuie assez rapidement, même si je salue leur importance. Je vois trop où ils veulent me conduire, ils s'avancent en terrain conquis (du moins pour moi), vers une direction que je peux connaître ou reconnaître, à laquelle je peux acquiescer point par point. Pareil pour Straub, Tarr (j'ai vraiment un problème avec le style de musique, chez Tarr), ... C'est un cinéma de penseurs pour les amis de la pensée, au sens le plus positif et le plus nécessaire du terme. Mais j'aspire à plus de... divertissement, de frivolité. J'ai peut-être sombré dans le consumérisme.
Je lis la phrase de Godard citée par Dr Apfelglück:
C'est à mon sens plus que discutable, ce discrédit un peu dédaigneux de la passivité, du spectacle où il n'y aurait rien derrière la caméra, pas de penseur pensant la nature de l'image pour la défaire, et permettre ainsi d'échapper à la fascination imaginaire. Cette supériorité supposée des films établissant une dialectique, un rapport négatif-critique avec le spectateur, un peu de l'ordre du masochisme, est un peu datée.
C'est une façon bien sûr inévitable (dans la conquête réflexive des moyens du cinéma), mais ce n'est pas nécessairement la seule qui soit vraie... ou intéressante (ce que Godard semble d'ailleurs suggérer. En 1978, il est en pleine crise post-Vertov. Peu après viendra "sauve qui peut (la vie))".
On retrouve là un petit peu le problème d'une distribution duelle et hiérarchisée entre les maîtres du Savoir et les enseignés: il faudrait un didacticien, caché derrière, quelqu'un qui leur apprenne à décoder, à dé-faire les images pour créer leur propre rapport à l'image, sans quoi ils sont forcément manipulés, bernés.
- Canine (Lanthimos)
- Requiem pour un massacre (Klimov)
- Inquiétudes (Bourdos)
- Insidious (Wan) (une histoire de maison hantée et de possession réussie, ça faisait bien longtemps)
- Mirrors (Aja)
- Le bois lacté (Hochhaüsler)
- Voyage scolaire (Winckler)
- Revanche (Spielman)
- The shooting (Hellman)
- Two lane blacktop (Hellman)
- Tropical malady (Weerasethakul)
- La comédie du travail (Moullet)
- Saw - chapitre final (Greutert)
- The last exorcism (Stamm)
- An american crime (O'Haver)
- Steak (Dupieux)
- Le roi de l'évasion (Guiraudie)
- Itinéraires (Otzenberg)
- School rock (Linklater)
- La permission de minuit (Gleize)
- Cœurs perdus en Atlandide (Hicks)
- I love you Phillip Morris (Ficarra/Requa)
- Détour mortel (Schmidt)
- Transformers 1 (Bay)
- Morse (Alfredson)
- Down in the valley (Jacobson)
- Jennifer's body (Kusama)
- Numéro 9 (Acker)
- Ecce bombo (Moretti)
- Je suis un autarcique (Moretti)
- Toy story 3 (Unkrich)
- To be or not to be (Lubitch)
- Transe (Villaverde)
- La venus noire (Kechiche)
- La ville fantôme (Koepp)
(- Vu aussi "essential killing" de Skolimowski, mais trouvé ça complètement débile, misant tout sur la bêtise du spectateur pour le coup: la facilité avec laquelle le djihadiste passe de fou sanguinaire à animal sauvage, puis retrouve son humanité rédemptrice, grâce à l'éternel féminin sensuel et maternel refoulé par la structure mentale de sa croyance: c'est du Sam Harris, ce truc, ça pourrait illustrer ses conférences)
- Puis la série "Disparition" (j'ouvre un topic là-dessus).
Bcp sont sortis de ma mémoire, aussitôt effacés du HDDmultimédia.
Un rapide coup d’œil sur ceux qui restent.
Ceux que j'ai trouvés bons pour divers motifs. Je mets tout, en vrac, y compris les trucs inavouables, les mélos, les machins ultra-z. Je me rends compte que je trouve de plus en plus d'intérêt aux petits films, aux films de pas grand chose, un peu ratés ou jamais totalement réussis.
Parce que c'est dans les fuites non colmatées, le relâchement des coutures ne bouclant pas toute la boucle, que je trouve le plus de matières pour l'émotion, la réflexion, l'affection, le vagabondage de la pensée.
On avait parlé un peu de ça, du trop de "maîtrise".
Des films maîtrisés, j'en ai vu aussi, bien sûr. Des objets remarquablement pensés, où toutes les couches sont réflexivement prises en charge, où peu de choses échappent à l'intention du cinéaste de signifier, et qui offrent la plupart des clés pour une relance théorique ou pratique ("la question humaine", par exemple, ne m'a pas convaincu. Mais les entretiens en bonus m'ont passionné).
Ce type de film "discours de la méthode" m'ennuie assez rapidement, même si je salue leur importance. Je vois trop où ils veulent me conduire, ils s'avancent en terrain conquis (du moins pour moi), vers une direction que je peux connaître ou reconnaître, à laquelle je peux acquiescer point par point. Pareil pour Straub, Tarr (j'ai vraiment un problème avec le style de musique, chez Tarr), ... C'est un cinéma de penseurs pour les amis de la pensée, au sens le plus positif et le plus nécessaire du terme. Mais j'aspire à plus de... divertissement, de frivolité. J'ai peut-être sombré dans le consumérisme.
Je lis la phrase de Godard citée par Dr Apfelglück:
Ce sont des films qui sont complétement vers le spectateur, où il n'y a à la fois rien sur l'écran, mais rien derrière la caméra si vous voulez ; ça ne veut pas dire que le spectateur n'est rien mais ce sont des films faits, et c'est le spectateur qui les fait, ils sont faits de telle manière que le spectateur est là pour les faire. Il peut les faire dans un sens ou dans un autre et en fait, vu la vie qu'il vit, et comment il travaille, et comment il aime, il est content de les voir comme ça, comme certains présidents. Il y a d'autres films au contraire, comme certains films que j'ai faits, qui n'arrivent pas à établir le rapport avec le spectateur, qui sont uniquement faits derrière la caméra et puis il y a ceux qu'on peut appeler des films plus intéressants..."
C'est à mon sens plus que discutable, ce discrédit un peu dédaigneux de la passivité, du spectacle où il n'y aurait rien derrière la caméra, pas de penseur pensant la nature de l'image pour la défaire, et permettre ainsi d'échapper à la fascination imaginaire. Cette supériorité supposée des films établissant une dialectique, un rapport négatif-critique avec le spectateur, un peu de l'ordre du masochisme, est un peu datée.
C'est une façon bien sûr inévitable (dans la conquête réflexive des moyens du cinéma), mais ce n'est pas nécessairement la seule qui soit vraie... ou intéressante (ce que Godard semble d'ailleurs suggérer. En 1978, il est en pleine crise post-Vertov. Peu après viendra "sauve qui peut (la vie))".
On retrouve là un petit peu le problème d'une distribution duelle et hiérarchisée entre les maîtres du Savoir et les enseignés: il faudrait un didacticien, caché derrière, quelqu'un qui leur apprenne à décoder, à dé-faire les images pour créer leur propre rapport à l'image, sans quoi ils sont forcément manipulés, bernés.
- Canine (Lanthimos)
- Requiem pour un massacre (Klimov)
- Inquiétudes (Bourdos)
- Insidious (Wan) (une histoire de maison hantée et de possession réussie, ça faisait bien longtemps)
- Mirrors (Aja)
- Le bois lacté (Hochhaüsler)
- Voyage scolaire (Winckler)
- Revanche (Spielman)
- The shooting (Hellman)
- Two lane blacktop (Hellman)
- Tropical malady (Weerasethakul)
- La comédie du travail (Moullet)
- Saw - chapitre final (Greutert)
- The last exorcism (Stamm)
- An american crime (O'Haver)
- Steak (Dupieux)
- Le roi de l'évasion (Guiraudie)
- Itinéraires (Otzenberg)
- School rock (Linklater)
- La permission de minuit (Gleize)
- Cœurs perdus en Atlandide (Hicks)
- I love you Phillip Morris (Ficarra/Requa)
- Détour mortel (Schmidt)
- Transformers 1 (Bay)
- Morse (Alfredson)
- Down in the valley (Jacobson)
- Jennifer's body (Kusama)
- Numéro 9 (Acker)
- Ecce bombo (Moretti)
- Je suis un autarcique (Moretti)
- Toy story 3 (Unkrich)
- To be or not to be (Lubitch)
- Transe (Villaverde)
- La venus noire (Kechiche)
- La ville fantôme (Koepp)
(- Vu aussi "essential killing" de Skolimowski, mais trouvé ça complètement débile, misant tout sur la bêtise du spectateur pour le coup: la facilité avec laquelle le djihadiste passe de fou sanguinaire à animal sauvage, puis retrouve son humanité rédemptrice, grâce à l'éternel féminin sensuel et maternel refoulé par la structure mentale de sa croyance: c'est du Sam Harris, ce truc, ça pourrait illustrer ses conférences)
- Puis la série "Disparition" (j'ouvre un topic là-dessus).
Invité- Invité
Re: Les films de 2011 que j'ai vus
[quote="Eyquem"]
Très bon choix d'un film méconnu, mais ça ne date pas de 2011 : il était passé au festival shadows en 2010.
Mon top, je ne sais plus si l'ai posté ici :
L'Étrange affaire Angelica
La Dernière piste
La BM du Seigneur
Road to Nowhere
Hors Satan
Une Séparation
Oki's Movie
Les Rêves dansants
L'Autobiographie de Nicolae Ceaucescu
I Wish I knew, histoire de Shanghaï
Disons que le premier m'a vraiment marqué, les suivants ont tous leurs défauts mais de grandes qualités. Pas une grande année mais une année de bonne augure, je crois. Pas vu Dernière Séance et Take Shelter.
Comme jerzy je mets les bons films découverts cette année en DVD/autres :
L'évangile selon saint mathieu
blow up
la troisième génération (fassbinder)
chinese ghost story
final victory et my heart is that eternal rose (patrick tam)
too many ways to be number one (wai ka fai)
tout guiraudie, surtout Ce vieux rêve qui bouge
le diable probablement et une femme douce
redécouvert les cavaliers de ford
les films de chang cheh
rozier, surtout Du côté d'oroüet (unique)
Ossang, surtout Docteur Chance
shotgun stories
les alan clarke
folies de femmes et maris aveugles de stroheim
charley varrick, un excellent siegel mais je ne sais plus pourquoi
the big steal est pas mal aussi
last days
the terrorizers (edward yang)
etc
Jonathan Rosenbaum
Critic, USA
Disorder, Huang Weikai, China
This 58-minute film is a memorable Guangzhou city symphony culled from street footage by many hands and a major example of recent Chinese independent cinema.
Très bon choix d'un film méconnu, mais ça ne date pas de 2011 : il était passé au festival shadows en 2010.
Mon top, je ne sais plus si l'ai posté ici :
L'Étrange affaire Angelica
La Dernière piste
La BM du Seigneur
Road to Nowhere
Hors Satan
Une Séparation
Oki's Movie
Les Rêves dansants
L'Autobiographie de Nicolae Ceaucescu
I Wish I knew, histoire de Shanghaï
Disons que le premier m'a vraiment marqué, les suivants ont tous leurs défauts mais de grandes qualités. Pas une grande année mais une année de bonne augure, je crois. Pas vu Dernière Séance et Take Shelter.
Comme jerzy je mets les bons films découverts cette année en DVD/autres :
L'évangile selon saint mathieu
blow up
la troisième génération (fassbinder)
chinese ghost story
final victory et my heart is that eternal rose (patrick tam)
too many ways to be number one (wai ka fai)
tout guiraudie, surtout Ce vieux rêve qui bouge
le diable probablement et une femme douce
redécouvert les cavaliers de ford
les films de chang cheh
rozier, surtout Du côté d'oroüet (unique)
Ossang, surtout Docteur Chance
shotgun stories
les alan clarke
folies de femmes et maris aveugles de stroheim
charley varrick, un excellent siegel mais je ne sais plus pourquoi
the big steal est pas mal aussi
last days
the terrorizers (edward yang)
etc
Chocobox- Messages : 66
Re: Les films de 2011 que j'ai vus
La photo que je garderai de cette année :
Nostalgie de la lumière (Guzman)
L’étrange affaire Angélica (Oliveira)
Source code (Jones)
The tree of life (Malick)
Travail au noir (Skolimowski)
Barry Lyndon (Kubrick)
Habemus papam (Moretti)
Revu (à la hausse) : The Apostle (Duvall)
Bien aimé aussi : La BM du seigneur (Hue), Une séparation (Farhadi), La planète des singes les origines (Wyatt), Boxing Gym (Wiseman), Les marches du pouvoir (Clooney), L’autobiographie de Nicolae Ceausescu (Ujica), Bridesmaids (Feig), Shame (McQueen).
En séance de rattrapage :
Images du monde… (Farocki)
Harry and son (Newman)
L’esprit de la ruche (Erice)
Bamako (Sissako)
L’armée du crime (Guédiguian)
Le passager (Kiarostami)
Le sacrifice (Tarkovski)
Bianca (Moretti)
Nashville (Altman)
All about Eve (Mankiewicz)
Nostalgie de la lumière (Guzman)
L’étrange affaire Angélica (Oliveira)
Source code (Jones)
The tree of life (Malick)
Travail au noir (Skolimowski)
Barry Lyndon (Kubrick)
Habemus papam (Moretti)
Revu (à la hausse) : The Apostle (Duvall)
Bien aimé aussi : La BM du seigneur (Hue), Une séparation (Farhadi), La planète des singes les origines (Wyatt), Boxing Gym (Wiseman), Les marches du pouvoir (Clooney), L’autobiographie de Nicolae Ceausescu (Ujica), Bridesmaids (Feig), Shame (McQueen).
En séance de rattrapage :
Images du monde… (Farocki)
Harry and son (Newman)
L’esprit de la ruche (Erice)
Bamako (Sissako)
L’armée du crime (Guédiguian)
Le passager (Kiarostami)
Le sacrifice (Tarkovski)
Bianca (Moretti)
Nashville (Altman)
All about Eve (Mankiewicz)
Je ne vois pas de quel film il s'agit...Adeline a écrit:The Prize (non distribué)
Tu mens. C'est pas possible que t'aies aimé ça.Jerzy a écrit: Transformers 1 (Bay)
Dernière édition par Eyquem le Mer 11 Jan 2012 - 20:46, édité 1 fois
Eyquem- Messages : 3126
Re: Les films de 2011 que j'ai vus
c'est pas un film de 2011 mais c'est niagara. maintenant que la critique casse couille aussi bien que nouvelle vague s'en est allée on peut voir les trucs autrefois défendus et vachement bien
Invité- Invité
Re: Les films de 2011 que j'ai vus
Eyquem a écrit:Tu mens. C'est pas possible que t'aies aimé ça.Jerzy a écrit: Transformers 1 (Bay)
pas vu... mais c'est forcément moins bien que la moyenne des séries Gundam.
Re: Les films de 2011 que j'ai vus
Tu mens. C'est pas possible que t'aies aimé ça.
J'ai regardé le film en essayant d'adopter le point de vue de film freaks de fdc, par exemple.
Les robots géants, le level-design, la vitesse, le montage, les sfx, la richesse graphique et la profusion de détails (généreuse, il faut souvent faire arrêt sur image pour s'en rendre compte)... C'est pas mal du tout. Une sorte de bd virevoltante, un luna park géant plein de volumes scintillants, sans l'ombre d'une méchanceté, sans un soupçon de "pensée", pas même un atome. Les persos, tout le monde s'en tape, le réal. le premier, visiblement. Mais le récit tient la route.
Ah oui, dans un autre genre, j'ai a-do-ré la légende de Beowulf (Zemeckis). Plus ou moins assassiné par une grande partie de la critique, apparemment. Moi, j'ai trouvé ça très beau graphiquement, et l'histoire est super-captivante.
Dix coudées au dessus de son "pole express" qui, malgré sa nunucherie gâtique, contenait déjà plastiquement de beaux univers.
Avatar, par contre, ça m'a laissé complètement de marbre. Pas réussi à m'y intéresser une seconde. Car j'ai trouvé ça très laid, kitsch mais pas dans le bon sens, et l'histoire un condensé pénible de poncifs pré-machés. Sur ces deux points, je préfère encore Final Fantazy, les créatures de l'esprit qui, malgré ses défauts, avait une magie.
La problématique, comme on dit, de la "motion capture" et c°, je dois dire que ça me soucie absolument pas. On parle de froideur inexpressive des visages, et de raideur des corps, ou au contraire on loue l'expressivité. C'est vraiment pas une question qui m'iimporte, je ne cherche pas à y voir une mimésis quelconque.
Pour moi, l'animation numérique, même la plus éloignée de la dimension "cartoon", ça reste du dessin animé, un art pictural. Ce qui me fascine là-dedans, c'est justement de percevoir la dimension graphique (comme pour les jeux-vidéos), la façon dont l'écart entre dessin et photoréalité, se signale et paradoxalement se redouble. Ce qui rappelle aussi que la photographie, c'est encore et toujours une question de graphisme, une production d'icones, de cadres, de schèmes synthétiques comme dirait Kant.
(j'en avais parlé à l'époque, dans un texte sur le "view master").
J'ai mentionné numéro 9, lui aussi accueilli plutôt tièdement. A mon sens, c'est un chef d’œuvre. Il crée un univers fascinant, mélange d'art nouveau, de machinisme industriel d'entre deux guerres, et surtout de ruines; d'une grande intensité poétique et émotionnelle. Quant au récit, c'est riche de contenu. Sur le dvd, le court-métrage de l'auteur, Shane Acker, en est la matrice. Il y a travaillé pendant des années, de façon artisanale et obsessionnelle (un peu comme Lynch à l'époque de eraserhead). On perçoit bien que c'est un monde et des créatures qu'il habite intérieurement.
Invité- Invité
Re: Les films de 2011 que j'ai vus
Pour ne pas mourir trop autiste, et me raccrocher à certaines discussions du forum,
j'ai vu plus de films de l'année 2011... voici ma liste, et je devrais plus trop tarder à regarder Tree of life! (ainsi que The Wire)
Thor (vu au cinéma à cause d'une fille, premier film en 3D que j'ai vu depuis ma visite au futuroscope à l'âge de 12 ans)
La planète des singes, les origines (vu au cinéma, après lecture des commentaires de Eyquem, lors d'un séjour dans le limousin)
L'appolonide (vu au cinéma lors d'un séjour dans le limousin)
Le mystère de la licorne (vu sur mon écran d'ordinateur, j'ai découvert grâce à une amie qu'on pouvait s'acheter des films sur itunes, donc comme le choix est pas très ouvert, je me prend pas mal de films récents)
X-Men le commencement (vu grâce à itunes)
Melancholia (vu grâce à itunes)
Le cheval de Turin (vu grâce à itunes)
Millenium (vu grâce à itunes)
Take Shelter (vu grâce à itunes)
Shaolin
Ryomaden
j'ai vu plus de films de l'année 2011... voici ma liste, et je devrais plus trop tarder à regarder Tree of life! (ainsi que The Wire)
Thor (vu au cinéma à cause d'une fille, premier film en 3D que j'ai vu depuis ma visite au futuroscope à l'âge de 12 ans)
La planète des singes, les origines (vu au cinéma, après lecture des commentaires de Eyquem, lors d'un séjour dans le limousin)
L'appolonide (vu au cinéma lors d'un séjour dans le limousin)
Le mystère de la licorne (vu sur mon écran d'ordinateur, j'ai découvert grâce à une amie qu'on pouvait s'acheter des films sur itunes, donc comme le choix est pas très ouvert, je me prend pas mal de films récents)
X-Men le commencement (vu grâce à itunes)
Melancholia (vu grâce à itunes)
Le cheval de Turin (vu grâce à itunes)
Millenium (vu grâce à itunes)
Take Shelter (vu grâce à itunes)
Shaolin
Ryomaden
Re: Les films de 2011 que j'ai vus
Ce que j'ai retenu de 2011 ?
Prometeus ;
L'idée d'une préquelle était intéressante mais je ne suis pas fana de son côté au métaphysique, ni à une revisite du thème des zombies . Mon appréciation sera donc en faveur du "le 8eme passager" qui reste le meilleur.
Scream of the Banshee enfin sortit en VF.
Pour le reste, ma "top liste" à ce jour sera ;
For ever young
L'emprise (incontournable)
The Crow (incontournable)
Le Capitaine Nemo et la ville sous-marine
Frankenstein junior
L'Amant de lady Chatterley
Alexandre le Bienheureux
Garou-garou, le passe-muraille
Beetlejuice
Dark city
et la plus part des "Tim Burton", et à l'exception d' "Alice au pays des merveilles" qui ne m'a pas convaincu..
+ "Voyage au centre de la Terre" ( version 1959 qui reste la meilleure )
Prometeus ;
L'idée d'une préquelle était intéressante mais je ne suis pas fana de son côté au métaphysique, ni à une revisite du thème des zombies . Mon appréciation sera donc en faveur du "le 8eme passager" qui reste le meilleur.
Scream of the Banshee enfin sortit en VF.
Pour le reste, ma "top liste" à ce jour sera ;
For ever young
L'emprise (incontournable)
The Crow (incontournable)
Le Capitaine Nemo et la ville sous-marine
Frankenstein junior
L'Amant de lady Chatterley
Alexandre le Bienheureux
Garou-garou, le passe-muraille
Beetlejuice
Dark city
et la plus part des "Tim Burton", et à l'exception d' "Alice au pays des merveilles" qui ne m'a pas convaincu..
+ "Voyage au centre de la Terre" ( version 1959 qui reste la meilleure )
Dernière édition par Soda le Mer 31 Oct 2012 - 13:27, édité 1 fois
Re: Les films de 2011 que j'ai vus
Inutile de s'étonner que les films en "motion capture" soient si mauvais parce que la photographie (ancêtre du cinéma) et le dessin c'est une question d'ombre et de lumière, d'une part, et une question de construction de l'image, d'autre part.Invité a écrit: Ce qui rappelle aussi que la photographie, c'est encore et toujours une question de graphisme, une production d'icones, de cadres, de schèmes synthétiques comme dirait Kant.
Enfin la grande différence entre les films en N&B et la "motion capture", est que le N&B n'a que ce jeu d'ombre et de lumière pour s'exprimer. Autan dire que le "Tintin" de Speilberg ca relève de l'amateurisme et c'est "très décevant" de la part d'un réalisateur comme Spielberg...
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