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10 Mind-Blowing Easter Eggs Hidden in Famous Albums

les messages secrets incroyables cachés dans quelques morceaux fameux de quelques musiciens fameux : hendrix, radiohead, tool, aphex twin...le floyd, public e... surprenant, et pourtant passionnant


du nouvel album de Stephen Malkmus : Stephen Malkmus & The Jicks- 'Mirror Traffic'





j'adore pas,

on dirait une chanson des kinks






y en a qui disent que c'est à écouter en priorité, je sais pas très bien pourquoi; sans doute qu'ils ont rien de mieux à écouter ou que c'est des agents de presse, ou qu'ils veulent séduire la fille; enfin je sais pas, ou plutôt si je sais, avant d'avoir écouté, j'avais déjà entendu ça dix mille fois, bien avant que ça ne sorte, en super priorité donc : on dirait juste du kate bush sans audace musicale, vous savez tous ces paysages de sons, de bruits, et d'émotions bizarres, ni rien de cette touche "sensuelle", auto-affection de soi par soi, dans la voix

plus sérieux, quelques grandes chansons belges, parmi les plus grandes;








The Honeymoon Killers : « Decollage »
Aksak Maboul : « (Mit 1) Saure Gurke (Aus 1 Urwald Gelockt) »
Polyphonic Size : « Nagasaki, mon amour »
Dead Man Ray : « Woods »
dEUS : « Fell off the Floor, Man »
Ghinzu : « Mother Allegra »
Arbeid Adelt : « Death Disco »
Nacht und Nebel : « Movoco Slynthaca »
Digital Dance : « Treatment »
TC Matic : « Putain, putain »
Front 242 : « Headhunter V 3.0 »
La Muerte : « Lucifer Sam »
K’s Choice : « Not an Addict »
Odieu : « Le Salon lavoir »
Marc Aryan : « Bête à manger du foin »
The Honeymoon Killers : « Blankenberghe »
Jacques Brel : « L’Eclusier »
Arno : « Les Yeux de ma mère »
Salvatore Adamo : « Pauvre Verlaine »
Jacques Brel : « La Fannette »
Urbanus : « Quand les zoziaux chantent dans le bois »
Salvatore Adamo : « La Nuit »
Marc Aryan : « Mon petit navire »
Jacques Brel : « Le Plat pays »
Pierre Rapsat : « Les Rêves sont en nous »
Rudy Trouvé : « Dreams »
Polyphonic Size : « Je t’ai toujours aimée »

c'est pas la liste d'une revue fameuse, mais celle de la médiathèque de liège, enfin pas vraiment, mais presque...ils avaient posé la question sur leur page Facebook : « la meilleure chanson belge de tous les temps pour vous c’est...? », et ça a donné ça...







ça me rappelle, c'est pas belge, mais en esprit un peu tout de même;





Je me souviens encore de la critique de P manoeuvre dans rock et folk, folle et enthousiaste; single du mois, rien de moins; marrant, ai revu le mec, qui se ridiculise à la télé depuis des années, dans un grand documentaire de je sais plus qui consacré à lemmy, quelques images d'archives, d'une émission que j'ai retrouvée sur utube : "pourquoi toute cette violence sur la route...?"

pourquoi pas?

hello,gertrud04; merci pour la correction, je me suis emmêlé dans mes liens; j'arrivais pas à me décider pour un titre du dernier album et finalement je me suis trompé

sinon, j'adore pas les compositions de L et S pour elvis, enfin les trucs hyper connus; je préfère par exemple :



quelques titres dont certains pas très connus, enfin moins connus : superbes

à écouter ici :
sad to say that one of the great Rock n Roll men of all time, Jerry Leiber, died yesterday.

soyez parmi les premiers à voir et à écouter :





le site !

http://littleshalimar.com/





KINGS GO FORTH


comme dit l'un des mecs commentant, c'est du curtis mayfield; je trouve ça merveilleux













etc.

pour largo, je crois me souvenir qu'il les aimes, signalons l'album solo de Stephin Merritt (magnetic fields) :Obscurities; pas vraiment un album, plutôt une collection d'introuvables, de jamais réalisés...d'alternates..

Je connais personne d’aussi doué que brian eno pour se rendre la vie vraiment dure et compliquée sur un plan artisique. Les processus qu’il utilise pour obtenir des albums si beaux, si brillants, sont de vrais mystères ; on en discute à n’en plus finir ; c’est assommant à la longue, surtout que l’on en arrive toujours à l’une ou l’autre de ces deux conclusions : c’est un magicien technologique de génie un peu détraqué, ou alors, c’est un pseudo-artiste diplômé d’une école d’art qui fait de la musique en dilettante. Je me tape de la poétique sonore et des techniques de Brian Eno ; je n'ai pas la moindre idée de ses méthodes, ni de comment il fait pour obtenir ses sons; c'est sans intérêt, ce qui importe seul, c'est que ce gars nous a donné certains des albums les plus nécessaires de l’histoire de la MUSIQUE de ces dix dernières années. Et je serais prêt à parier mon âme si j’en avais une sur cette affirmation. Je suis catégorique. Prenez : « Here come the Warm Jets », sur ce disque vous trouvez un titre, “Baby's On Fire”, pour ne rien vous cacher, qui à lui seul surpasse, en audace conceptuelle et en férocité toute la discographie de roxy music, période Brian Eno comprise. Taking Tiger Mountain (By Strategy) est une intrication infinie d’inventions et d’inspirations, un labyrinthe musical, que le reste du monde du rock mettra au moins dix ans à comprendre, et des siècles pour en sortir; mais pour aller où ?

(The Village Voice, April 3, 1978)

(Lester bangs/ traduit par Borges ; Eno Sings with the Fishes, c'est le titre de l'article, l'allusion au parrain est évidente (Luca Brasi sleeps with the fishes) mais le sens m'échappe de cette allusion)

pour ceux qui ont du mal à distinguer un génie de la guitare d'un autre, c'est Robert Fripp, à la guitare ; les paroles de la chanson sont plus que dérangées, on dit qu'elle fait référence à la photo de Kim Phuc :

Si vous avez en tête de mettre la main sur quelqu’un qui n’aime pas Rumours de Fleetwood Mac, c'est un signe évident que vous êtes idiots. Vous y passerez votre vie, en vain, ou alors cette personne ne mérite pas d’être trouvée ou plus radicalement encore de tout simplement exister. Elle n’est qu’un mirage sans la moindre consistance musicale.

L’année même où le monde de la musique basculait à jamais dans un nouvel univers sonore, fait de vitesses et de chocs, avec des affects et des techniques primitifs qui sentent bon l’authenticité existentielle d’un coup de foudre destructeur, ou les prémisses d’une overdose, l’année de “Anarchy in the U.K.” et de “White Riot,” j’ai joué ce disque, sans arrêt, chez moi, sans qu’aucun de mes amis ou de mes copines cent pour cent punks ne cherche à m’en faire honte ou à me le reprocher.

Comment l’expliquer ? Comment comprendre pareil phénomène, alors qu’être punk consistait largement à cracher sur la musique californienne ou toute marchandise spirituelle en provenance de ce coin du monde. J’ai pas de théorie, mais un avis. S’il vous intéresse, il est simple : si tant de gens que rendent malade les Eagles peuvent se mettre à chialer en écoutant une chanson comme « dreams », c’est que Fleetwood Mac transcende le style FM hollywoodien. Non seulement ils posent avec passion et de manière parfaitement articulée les questions douloureuses de l’amour, mais surtout ils ne se dorent pas la pilule en leur apportant des réponses qui ne peuvent que vous blesser. Certaines choses sont irréversibles. Leur vérité tient en un mot : nevermore.

“Thunder only happens when it's raining/Players only love you when they’re playing”. C’est l’évidence, c’est tautologique. Seulement si vous dépassez l’image, la lucidité de cette affirmation banale vous étreint avec la même violence que celle que vous avez éprouvée la première fois où vous avez définitivement compris que vous ne pourrez jamais rien changer au sentiment de celle ou de celui qui ne vous aime pas. C’est comme ça. Cette chanson est si honnête, elle est si adéquate dans sa forme et dans son fond, si limpide, qu’au lieu de n’être qu’une chanson de plus sur les chagrins d’amour, elle réussit à vous briser le cœur. Seules les choses que vous aimez du plus profond de votre être jouissent de ce pouvoir terrible.

(écriture Lester B, traduction et réécriture Borges)

this song came out the year my beautiful daughter at the age of 3 years old died. It always makes me cry but I think of my daufghter, it was playing on the radio when she died,, stevie nicks has helped me thru all my sad and happy times. I still love tjis song.

she is timeless.
TheGypsyfox1 il y a 1 mois 59

Ça fait un bout de temps maintenant que je fais de la critique musicale, dans le but ridicule de trouver un sens à ma vie, et à ce foutu monde où nous avons été jetés, pour citer Jim Morrison ou un quelconque philosophe de la déréliction existentielle, et si j’ai appris quelque chose durant toutes ces années, c’est une vérité très simple, bien que blessante pour mon égo : j’éprouve toutes les peines de l’enfer à écrire quelque chose qui en vaille la peine sur la musique de Don Van Vliet. Je ne crois pourtant pas être moins doué qu’un autre, ou moins bien placé ; le contraire même, à moins que cela ne soit la raison. Don est un très vieil ami, j’ai passé quelques moments pleins de vérité avec sa femme et lui dans leur caravane en plein désert mojave, pas très loin des lieux où John Ford a fait errer sans pitié ses Cheyennes.

Qu’on se rassure, je suis comme le lecteur moyen, allergique au plus haut degré aux vantardises du critique meilleur ami de Bob Dylan, ou qui a sucé Lou Reed, adolescent, dans les toilettes de je ne sais quelle école du New Jersey. Je ne vais donc pas insister, surtout qu’après onze années d’amitié, je suis loin de pouvoir prétendre connaître Don. Onze ne suffisent à connaître personne, et encore moins un homme aussi authentiquement loup-garou que Don.

S’il est si difficile d’écrire sur son travail, c’est que, peut-être, comme Brian Eno, il entretient avec la musique une relation basée sur un instinct de peintre et de sculpteur. Il n’aimerait peut-être pas ce rapprochement, les deux hommes sont si différents, mais je le maintiens. Pour ce qui est de la peinture et de la sculpture, je ne crois pas que cela soit un secret pour ceux qui écoutent, même d’une oreille distraite, ses disques, sans parler de ceux qui le fréquentent.

On était au téléphone, l’autre jour, j’essayais d’avoir quelques pistes pour ne pas raconter trop de conneries sur son dernier disque, Doc at the Radar Station, le douzième, le meilleur, sans discussion, depuis Clear’s Spot. Tout ce que j’ai pu obtenir c’est une indication des plus curieuses, bien que prévisible. "T’as jeté un œil récemment sur les œuvres de Franz Kline ? Tu devrais faire un tour du côté du Guggenheim pour voir son ‘Number Seven". Il occupe une place remarquable ; tu peux me croire. Franz Kline est probablement plus proche de ma musique que n’importe quel autre peintre. Chez lui, tout est vitesse et émotion."

Don dirige les musiciens de son Magic Band, en leur dessinant les diagrammes de ses chansons.

(même collaborateurs que pour les messages précédents)