The Wire
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Re: The Wire
j'ai déjà essayé bien des fois cette série, j'ai jamais réussi à dépasser l'épisode 3 de la saison 1...
nouvelle tentative, et il m'a fallu 11 épisodes pour me débloquer, m'intéresser, avoir vraiment envie de continuer... Là, je commence à prendre pas mal de plaisir... j'enchaîne sur la saison 2...
nouvelle tentative, et il m'a fallu 11 épisodes pour me débloquer, m'intéresser, avoir vraiment envie de continuer... Là, je commence à prendre pas mal de plaisir... j'enchaîne sur la saison 2...
Invité- Invité
Re: The Wire
Saison 4, fin de l'épisode 6 : Omar est en danger, pas d'échappatoire possible, il est dos au mur. Deux inconnus face à lui, l'un sort un couteau.
J'adore cette petite scène, sans doute l'une des meilleures de toute la série pour moi. Aucun dialogue, il ne s'agit pas de négocier, de supplier, il faut juste lever les poings. Je sais que ça va en agacer certains, mais j'ai vécu une fois cette situation, et cette manière de lever les poings me plaît bien.
Ce personnage Omar fait penser au Samouraï de Jean-pierre Melville, ou certainement plus proche du Ghost dog de Jarmusch.
Toujours la saison 4, intro de l'épisode 2 : on peut parler des audaces de la série en l'occurrence, je trouve cette petite scène suivante vraiment percutante. Pour résumer rapidement, un flic cherche son lieutenant dans les couloirs des bureaux du maire de Baltimore... et ça donne une sorte d'hommage à Clinton et Strauss-Kahn(et plein d'autres) si on veut :
Dans la série les flics sont aussi cons que les mecs du ghetto, ou ils sont "taquins" comme dirait Burdeau :
Là deux flics qui discutent d'un ennui sur une enquête :
Là un flic au téléphone(dans sa main gauche, donc) qui conteste les prix d'un commerçant :
Tout ça reste assez anecdotique, la série a vraiment commencé à m'intéresser quand l'enquête sur les dealers s'est prolongée dans la sphère des Élus de la Ville. On part de zéro pour en arriver à la corruption politique, la série a un peu de mal à faire passer ça à mon avis, le montage est super bordélique, mais bon on y arrive quand même, on voit le réseau qui se construit pas à pas...
Partir de zéro pour révéler une corruption bien plus importante, c'est ce qu'avait fait Bresson notamment avec L'argent.
C'est sans doute un peu hors sujet, mais je vis une expérience similaire en ce moment : parti d'un accident de chantier il y a trois ans de ça, j'ai décidé de pas laisser passer cette fois-ci, et j'ai engagé une procédure de justice contre mon employeur... Aujourd'hui, 1 affaire est devenue 5 affaires, je me retrouve impliqué sur 3 juridictions différentes, dont 2 affaires en correctionnel contre le vice-président du Conseil Général de mon Département accusé d'abus de biens sociaux. Comme dans la série The wire, j'ai épinglé des tronches sur un tableau, tracer les flèches du réseau... Je m'amuse bien.
J'adore cette petite scène, sans doute l'une des meilleures de toute la série pour moi. Aucun dialogue, il ne s'agit pas de négocier, de supplier, il faut juste lever les poings. Je sais que ça va en agacer certains, mais j'ai vécu une fois cette situation, et cette manière de lever les poings me plaît bien.
Ce personnage Omar fait penser au Samouraï de Jean-pierre Melville, ou certainement plus proche du Ghost dog de Jarmusch.
Toujours la saison 4, intro de l'épisode 2 : on peut parler des audaces de la série en l'occurrence, je trouve cette petite scène suivante vraiment percutante. Pour résumer rapidement, un flic cherche son lieutenant dans les couloirs des bureaux du maire de Baltimore... et ça donne une sorte d'hommage à Clinton et Strauss-Kahn(et plein d'autres) si on veut :
Dans la série les flics sont aussi cons que les mecs du ghetto, ou ils sont "taquins" comme dirait Burdeau :
Là deux flics qui discutent d'un ennui sur une enquête :
Là un flic au téléphone(dans sa main gauche, donc) qui conteste les prix d'un commerçant :
Tout ça reste assez anecdotique, la série a vraiment commencé à m'intéresser quand l'enquête sur les dealers s'est prolongée dans la sphère des Élus de la Ville. On part de zéro pour en arriver à la corruption politique, la série a un peu de mal à faire passer ça à mon avis, le montage est super bordélique, mais bon on y arrive quand même, on voit le réseau qui se construit pas à pas...
Partir de zéro pour révéler une corruption bien plus importante, c'est ce qu'avait fait Bresson notamment avec L'argent.
C'est sans doute un peu hors sujet, mais je vis une expérience similaire en ce moment : parti d'un accident de chantier il y a trois ans de ça, j'ai décidé de pas laisser passer cette fois-ci, et j'ai engagé une procédure de justice contre mon employeur... Aujourd'hui, 1 affaire est devenue 5 affaires, je me retrouve impliqué sur 3 juridictions différentes, dont 2 affaires en correctionnel contre le vice-président du Conseil Général de mon Département accusé d'abus de biens sociaux. Comme dans la série The wire, j'ai épinglé des tronches sur un tableau, tracer les flèches du réseau... Je m'amuse bien.
Invité- Invité
Re: The Wire
Page Wikipédia sur The Wire :
Public Housing
La meilleure saison jusqu'ici. Je pense à High School 2 et à Public Housing de Frederick Wiseman, The Wire me paraît enrichir de beaucoup la lecture de ces documentaires, la série les explicite vraiment par la qualité de ses intrigues. Pourquoi les personnes peuvent ou ne peuvent pas circuler, qu'est-ce que les flics négocient dans l'espace public avec les dealers, les camés, les citoyens, etc. En ça The Wire apporte pas mal d'idées qui ne sont pas forcément très lisibles dans le travail de Wiseman...La quatrième saison se concentre sur le système éducatif et l'éducation des enfants de la pègre.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sur_%C3%A9coute
Public Housing
Invité- Invité
Re: The Wire
Karim, tu m'as envoyé ton bouquin avec une dédicace de Burdeau?!
"bien à vous", pfff.
Il aurait pu écrire "all in the game", au minimum.
"bien à vous", pfff.
Il aurait pu écrire "all in the game", au minimum.
Burdeau a écrit:The Wire n'est difficile à suivre qu'au regard du programme qui est le sien : dresser le portrait exhaustif d'une ville ; replacer les structures de la police et de la pègre au sein du réseau général de leurs causes... L'état de déshérence dans lequel est aujourd'hui tombée Baltimore, autrefois l'une des villes les plus prospères de l'économie américaine, défie la compréhension. Cela veut dire qu'il relève du scandale et qu'il exige d'être intégralement expliqué : historiquement, socialement, politiquement. Cette incompréhension, au double sens d'indignation et d'inintelligence, est le point de départ de The Wire.
Invité- Invité
Re: The Wire
T'avais raison, Karim. C'est bien la série number 1 des séries. Fuck me.
J'attaque la saison 5, la dernière...
"ALL IN THE GAME" :
Interview Georges Pelecanos
http://fr.wikipedia.org/wiki/George_Pelecanos
J'attaque la saison 5, la dernière...
"ALL IN THE GAME" :
Interview Georges Pelecanos
http://fr.wikipedia.org/wiki/George_Pelecanos
Invité- Invité
Re: The Wire
Ma saison préférée, mon épisode préféré, ma scène préférée.
Saison 2, épisode 8 "Duck & Cover".
Autant la première m'avait laissé dubitatif, autant la deuxième a magistralement® balayé toutes mes réserves.
Durant la première je me disais : « ou sont les grossistes ? comment ces tonnes de cam' arrive là-bas ? ne sont-ils pas inquiet des flics qui tournent autour des Barksdalle ? » Et puis c'est un univers que de manière superficiel je connaissais déjà, même s'il était brillamment décrit.
Et PAN ! La saison sur les docks avec un rythme et une dramaturgie de folie sur une vraie leçon d'histoire américaine. Même si les autres personnages récurant du reste de la série sont en marge, je trouve qu'entre le petit Zack, le frère jeune père et ce syndicaliste oppressé, on est vraiment devant une tragédie antique.
Saison 2, épisode 8 "Duck & Cover".
Autant la première m'avait laissé dubitatif, autant la deuxième a magistralement® balayé toutes mes réserves.
Durant la première je me disais : « ou sont les grossistes ? comment ces tonnes de cam' arrive là-bas ? ne sont-ils pas inquiet des flics qui tournent autour des Barksdalle ? » Et puis c'est un univers que de manière superficiel je connaissais déjà, même s'il était brillamment décrit.
Et PAN ! La saison sur les docks avec un rythme et une dramaturgie de folie sur une vraie leçon d'histoire américaine. Même si les autres personnages récurant du reste de la série sont en marge, je trouve qu'entre le petit Zack, le frère jeune père et ce syndicaliste oppressé, on est vraiment devant une tragédie antique.
Invité- Invité
Re: The Wire
même Obama aime Omar (j'en avais parlé); c'est curieux, jamais été intéressé par ce personnage... Si on excepte quelques gosses et le tueur cultivé aucun personnage de the wire ne m'est sympa... mais pas encore fini la série, suis resté bloqué, y a déjà un bout de temps, au milieu de la 4ème saison...
Borges- Messages : 6044
Re: The Wire
Interview Georges Pelecanos
http://fr.wikipedia.org/wiki/George_Pelecanos
ce genre de propos, c'est digne d'un reportage TF1 sur les banlieues
Borges- Messages : 6044
Re: The Wire
Mangeclous a écrit: on est vraiment devant une tragédie antique.
La tragédie antique ne s'est jamais intéressée aux conditions de vies des dockers...la tragédie antique, c'est la vie et les malheurs des grands... y a par contre tout un cinéma et une littérature "sociaux" américains, qui ne doivent pas nécessairement passer par la forme du récit policier pour "raconter" l'histoire sociale américaine... d'ailleurs, je ne vois pas très bien où est l'histoire dans cette affaire...c'est du journalisme, et pas même du plus progressiste...(notons la différence entre les Blancs et les Noirs...)
Borges- Messages : 6044
Re: The Wire
Borges a écrit:
ce genre de propos, c'est digne d'un reportage TF1 sur les banlieues
C'est seulement un extrait d'interview sur la création du personnage.
A noter que l'inconnu menaçant qui sort une lame dans cette petite scène, est le "vrai" Omar :
http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18619663.html
Invité- Invité
Re: The Wire
Comme quoi... La saison 2 m’a paru très faible, la plus faible de l’ensemble, échouant à inventer un peuple (quitte à ce qu'il soit à l'agonie) et passant donc à mille lieues de ce qu’elle visait avec ostentation. Gorgée de bonnes intentions (The Wire en est pétri jusqu’à l’écœurement ; il n'est pas inutile de passer outre) et échouant donc forcément. Mais d'une toute autre manière, par exemple, que Nolan qui reste, en la matière, un sommet de saloperie politique avec son troisième Batman. La seconde saison de The Wire me paraît être un échec, mais un échec intéressant en tant qu'elle se confronte à une question plutôt que de l'ignorer.Mangeclous a écrit:Ma saison préférée
lucane- Messages : 21
Re: The Wire
salut lucane,lucane a écrit:Gorgée de bonnes intentions (The Wire en est pétri jusqu’à l’écœurement ; il n'est pas inutile de passer outre) et échouant donc forcément.
pourquoi il faudrait passer outre?!, c'est tout l'intérêt de la série, et ce qu'il faut sans doute entendre par "all in the game" ; l'hypothèse communiste dans ses bonnes intentions.
Je suis arrivé au bout, la saison 5 est à la hauteur, je ne suis pas déçu.
Invité- Invité
Re: The Wire
Salut Breaker,breaker a écrit:pourquoi il faudrait passer outre?!, c'est tout l'intérêt de la série, et ce qu'il faut sans doute entendre par "all in the game" ; l'hypothèse communiste dans ses bonnes intentions.
Passer outre en tant que l’hypothèse communiste resserrée à ses bonnes intentions (c’est-à-dire, par exemple, sans une rage essentielle, sans quelque chose qui bouillonne et menace de déborder, sans un entêtement caractérisé (je pense, par exemple, aux notes de bas de page chez Marx)), c’est un peu comme un canard auquel il manque une patte. L’intérêt de The Wire me semble résider en cet échec. C’est un canard boiteux intéressant. Ainsi remarquer combien le peuple inventé à la deuxième saison peine à se prolonger au-delà, comment la série paraît avoir bien du mal à s’en dépatouiller, quand ce n’est pas le cas pour les autres groupes ou individus constitués. On pourra toujours valider ce fait d’un point de vue narratif (nulle trajectoire pour cette communauté défaite), mais ça me parait ne pas suffire, évacuer trop rapidement la question. Et sinon, oui, la saison 5 est passionnante.
Je préciserai que nombre de séries, celles que j’apprécie, et The Wire en fait partie, me paraissent être globalement des machines déceptives où, localement, vont se produire des faits remarquables, singuliers. Ainsi certains moments des Sopranos (mes souvenirs en la matière sont vagues et m’empêchent de préciser), les épisodes de Walking Dead courant de la moitié de la deuxième saison (à partir de l’épisode de la grange, dont l’ouverture des portes est le signal de départ d’un régime narratif spécifique) à la moitié de la troisième (avec un épisode à la sourde menace carpenterienne, menée par l’image, avant que le blabla reprenne ses droits) ou encore, tiens, la deuxième saison de Fringe, si prometteuse, avant que la série n’entame sa lente agonie, ou le tout premier épisode de Breaking Bad qui me parait si bien suffire à lui-même. Oui, bon, à terme, la déception... ce qui explique aussi que jamais je ne revisionne une série. Et ce en quoi l’enthousiasme actuel de Baudouin pour Lost ou le tien pour The Wire est aussi réjouissant qu’intéressant puisqu’il passe très volontairement outre et réfléchit avec justesse cet instant précis, intense, où les possibles se conjuguent. Où, aussi, l’entêtement qui manque immanquablement à ces séries (elles se replient toujours, à un moment, sur leurs bases, frileuses : le temps joue aussi contre elle) peut être produit par ceux qui les regardent et travaillent avec. Les séries sont aussi de grosses machines à fantasmes.
lucane- Messages : 21
Re: The Wire
breaker a écrit:salut lucane,lucane a écrit:Gorgée de bonnes intentions (The Wire en est pétri jusqu’à l’écœurement ; il n'est pas inutile de passer outre) et échouant donc forcément.
pourquoi il faudrait passer outre?!, c'est tout l'intérêt de la série, et ce qu'il faut sans doute entendre par "all in the game" ; l'hypothèse communiste dans ses bonnes intentions.
Je suis arrivé au bout, la saison 5 est à la hauteur, je ne suis pas déçu.
Hi
tu pourrais préciser la relation entre "all in the game" et "l'hypothèse communiste"?
Borges- Messages : 6044
Re: The Wire
oui je vais essayer d'écrire quelque chose...
je vais sûrement dévoiler de larges passages de la saison 5 pour m'en expliquer, je vais parler de l'évolution des personnages, de leur incorporation dans un corps de vérité si tu veux...
Certains acteurs et actrices de The Wire semblent avoir une histoire aussi difficile que dans la série:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sonja_Sohn
Très envie de (re)découvrir Treme également, que j'avais pris de haut assez connement.
je vais sûrement dévoiler de larges passages de la saison 5 pour m'en expliquer, je vais parler de l'évolution des personnages, de leur incorporation dans un corps de vérité si tu veux...
Certains acteurs et actrices de The Wire semblent avoir une histoire aussi difficile que dans la série:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sonja_Sohn
Très envie de (re)découvrir Treme également, que j'avais pris de haut assez connement.
Invité- Invité
Re: The Wire
Hi; je suis curieux de voir ça...
pas de souci, tu peux spoiler, en ce qui me concerne du moins
pas de souci, tu peux spoiler, en ce qui me concerne du moins
Borges- Messages : 6044
Re: The Wire
"all in the game" dans The Wire a des significations multiples, et parmi la plus importante c'est de montrer le rôle des institutions dans la culture de la violence aux Etats-Unis, d'articuler la vision de l'escroquerie d'une économie dérégulée qui condamne dans le meilleur des cas à végéter dans un environnement invivable. Montrer la logique de cloture des communs propre au capitalisme, c'est ce qui peut justifier que la série s'inscrive dans une perspective communiste en quelque sorte, mais bon c'est loin d'être clairement énoncé par les auteurs. David Simon continue avec la série Treme qui engage davantage son Idée d'un tout autre ordre des choses, les deux séries sont certainement très liées dans leurs bonnes intentions...Borges a écrit:
tu pourrais préciser la relation entre "all in the game" et "l'hypothèse communiste"?
cette Idée du pouvoir de la culture face à l'abandon politique, est-ce qu'on ne peut pas la situer dans le champ des politiques d'émancipation?La métaphore dans Treme est parfaitement concrétisée par les digues de La Nouvelle-Orléans. Si vous dites à des habitants de la ville : « Je suis désolé que l’ouragan Katrina ait fait subir cela à votre ville », ils vous répondront que « l’ouragan n’a rien fait, ce sont les insuffisances de l’ingénierie fédérale qui en sont responsables ». C’est absolument une métaphore de l’échec de la volonté américaine. C’est l’échec à réguler et à administrer le capitalisme qui a causé la crise économique... Tout le monde croyait que nous avions une économie régulée... Les gens de la Nouvelle-Orléans se sont rendu compte que personne ne protégeait personne... La seule chose qui a permis à la ville de commencer à s’en sortir, c’est la culture... C’est le pouvoir de la culture... La question est la suivante : comment conserve-t-on sa dignité face à un tel abandon politique ? C’est le thème de la série.
http://www.humanite.fr/07_07_2011-david-simon-%C2%ABla-fiction-est-pour-moi-un-moyen-%E2%80%A8de-cr%C3%A9er-du-d%C3%A9bat%C2%BB-475955
Parmi les séquences que je retiens de The wire, il y a celle où les gamins transformés en zombis par l'ultraviolence de leur milieu n'ont plus aucune prise sur leur mémoire affective. Cette dévastation qui intervient en quelques mois fait partie de la dramatisation extrême de la série qu'on peut repousser en se disant que les pauvres sont plus intelligents que ça (c'est vrai que je comprends pas grand-chose à ce débat qui ressemble un peu à une tortue de 68 mètres).
Invité- Invité
Re: The Wire
Je viens de terminer l'excellente saison 1 de TREME.
Pour infos, la saison 3 sort en coffret dvds début octobre.
Pour infos, la saison 3 sort en coffret dvds début octobre.
il parle ici de son propos politique et de son projet d'une nouvelle série sur le capitalisme : http://www.lemouv.fr/diffusion-david-simon-et-tremebreaker a écrit:Montrer la logique de cloture des communs propre au capitalisme, c'est ce qui peut justifier que la série s'inscrive dans une perspective communiste en quelque sorte, mais bon c'est loin d'être clairement énoncé par les auteurs...
Invité- Invité
Re: The Wire
Salut Breaker,
J'adore ce morceau de Donald Harrison , qui joue son propre rôle je crois dans Treme (je n'avais vu que 3 ep. J'en étais resté au même stade d'avancement qu'Erwan. Je vais retenter malgré mes réticences.)
Tu connais ?
https://www.youtube.com/watch?v=QYve7SoNxG8
(problème d’intégration Utub via Chrome et Explorer avec cette vidéo)
Scène géniale que tu viens de poster avec Clarke Peters et son costume lorsque celui ci vient demander de l'aide à son ami. Très drôle. On contrebalance d'un coup le sérieux de son personnage.
Apparemment Harrison apparaît également dans le film de Spike Lee sur Katerina. "When the Levees Broke : A Requiem in Four Acts".
Il y a la revue Débordement qui a signalé sur FB ce texte sur The Wire. Pas lu...mais ça commence très mal.
ps: sinon, à l'instant pour toi , le coffret neuf de The Corner. Il y a les sous titres Fr rassure toi. J'ai cru voir à l'instant que tu m'interpellais ici ou là pendant mon absence; je vais lire cela.
J'adore ce morceau de Donald Harrison , qui joue son propre rôle je crois dans Treme (je n'avais vu que 3 ep. J'en étais resté au même stade d'avancement qu'Erwan. Je vais retenter malgré mes réticences.)
Tu connais ?
https://www.youtube.com/watch?v=QYve7SoNxG8
(problème d’intégration Utub via Chrome et Explorer avec cette vidéo)
Scène géniale que tu viens de poster avec Clarke Peters et son costume lorsque celui ci vient demander de l'aide à son ami. Très drôle. On contrebalance d'un coup le sérieux de son personnage.
Apparemment Harrison apparaît également dans le film de Spike Lee sur Katerina. "When the Levees Broke : A Requiem in Four Acts".
Il y a la revue Débordement qui a signalé sur FB ce texte sur The Wire. Pas lu...mais ça commence très mal.
ps: sinon, à l'instant pour toi , le coffret neuf de The Corner. Il y a les sous titres Fr rassure toi. J'ai cru voir à l'instant que tu m'interpellais ici ou là pendant mon absence; je vais lire cela.
careful- Messages : 690
Re: The Wire
salut Careful,
Puisque tu interviens ici, ça me donne aussi l'occasion de te remercier pour The wire.
J'ai reçu ce matin The corner et Generation kill. Si tu m'as envoyé The corner si j'ai bien compris, je te fais un retour avec la saison 2 de Treme si ça te dit.
Je lirai le texte que tu fais passer dans la soirée...
J'espère que tu passes un bon été.
très bon, je suis bien loin d'avoir tout repéré dans cette série.careful a écrit:
J'adore ce morceau de Donald Harrison... Tu connais ?
https://www.youtube.com/watch?v=QYve7SoNxG8
Puisque tu interviens ici, ça me donne aussi l'occasion de te remercier pour The wire.
J'ai reçu ce matin The corner et Generation kill. Si tu m'as envoyé The corner si j'ai bien compris, je te fais un retour avec la saison 2 de Treme si ça te dit.
Je lirai le texte que tu fais passer dans la soirée...
J'espère que tu passes un bon été.
Invité- Invité
Re: The Wire
https://spectresducinema.1fr1.net/t1456-les-documentaires-de-spike-lee-sur-la-nouvelle-orleanscareful a écrit:Apparemment Harrison apparaît également dans le film de Spike Lee sur Katerina. "When the Levees Broke : A Requiem in Four Acts".
(je te réponds demain Stef)
careful- Messages : 690
Re: The Wire
immense claque, faut bien dire. J'avoue aussi mes immenses lacunes sur la musique jazz en général...
Invité- Invité
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