Notre musique

Rubycon (Tangerine Dream, 1974), supra: un chef d'oeuvre. Avec Ricochet (75). Je mets régulièrement le premier (pour me calmer les nerfs et m'endormir apaisé, lol) (en alternance avec des trucs de Eno ou de Fennesz).

De TD, je te recommande vivement (au cas tu ne les connaitrais pas déjà) trois Live d'exception:  

- Encore (1977)
- Logos (live at the dominion, London 1982),
- Le double live Poland (à Varsovie, 1983) - entré dans la légende. (Le disque, pas les vidéos qui trainent sur youtube, achtung. Question de son.)



Timewind (Klaus Schulze, 75, dont Bayreuth return et Windy Time sont extraits), supra: idem, un de ses chefs d’œuvre. Avec Mirage, 77, et "X", 78.

Bcp plus réservé (euphémisme) sur les Schulze récents, mais ne chipotons pas, c'est la fête au Krautrock, here. Prözit   (Un peu de Kraftwerk, pour faire plèze à TLM? ça manque.)



Bon, ma petite contribution, avant dormir.


Un morceau de TD que j'adore, sur Stratofear (76):




Puisqu'on fait dans l'album intégral, je me sens donc o-bli-gé de poster Ricochet (75 - très terry-rileyien) en contrepoint du plus phréatique et drônique Rubycon:




De KS, faut obligatoirement citer again (je l'avais fait y a des lustres) - dans son "X" (78): "Ludwig II Von Bayern":






(Bien. Je sens que je vais en écraser, là. Des acariens. Sous l'édredon.)

All these nostalgic stuffs...

Mike Oldfield, extrait d'Incantations, lors de sa première tournée live (exposed, 1978-79).

Le type, introverti, d'une timidité maladive, agoraphobe, n'était quasiment jamais monté sur scène depuis Tubular Bells (1973).
Avec une pléiade de musicos chevronnés, le résultat fut plus qu'honorable.
Ce passage aux xylophones m'enchante toujours autant. L'un des deux percussionnistes est le regretté Pierre Moerlen *, de Gong, et l'autre, c'est son frère, je crois: Benoît Moerlen. C'est soit celui avec les cheveux longs et le tee-short blanc prêté par la secte du temple solaire, soit celui avec les cheveux longs et le sweet blanc prêté par l'église de scientologie.   




*

spoiler:

slimfast a écrit:

le dispositif, un zoom régulier, donne à voir une succession de scènes filmées et d'instants photographiques, permettant ainsi d'approcher le fondement même du cinéma : de la photographie, du son et du temps.

Snow a d'abord été musicien - rien trouvé - fasciné par la musique d'Albert Ayler.
Puis il a travaillé avec l'idée de "saturation audiovisuelle", recherchant le point de résistance maximale entre la bande-son et la bande-image. Ce n'est pas seulement la musique mais le son en général qui retient son attention.

Back and Forth en est l'exemple :