Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
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Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
On doit à Charles Magnusson, directeur de la Svenska, d'avoir engagé les deux artistes qui devaient conférer au cinéma suédois ses lettres de noblesse et son label esthétique : Stiller et Sjöström.
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Re: Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
La parfaite maîtrise de l'anglais de Delphine Seyrig, due à une enfance bourlingueuse (père archéologue, mère "aventurière", issue de la grande famille suisse des Saussure) lui valut de débuter étonnamment à l'écran dans le Pull my Daisy du grand photographe Robert Frank en 1959.
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Re: Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
A la mort d'Alain Cuny, Jean-Pierre Léonardini prononça ce bel éloge funèbre:
"Artiste qui ne prit jamais la pose à toutes fins utiles, Alain Cuny à l’orgueil somptueux a poursuivi sans fin sa chimère, ce qu’il nommait ’la trace’, qui lui tenait lieu de Graal. En d’autres siècles, on aurait aimé être adoubé par un seigneur de cette trempe."
"Artiste qui ne prit jamais la pose à toutes fins utiles, Alain Cuny à l’orgueil somptueux a poursuivi sans fin sa chimère, ce qu’il nommait ’la trace’, qui lui tenait lieu de Graal. En d’autres siècles, on aurait aimé être adoubé par un seigneur de cette trempe."
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Re: Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
Poétique du christianisme, oui. Mais chez Chateaubriand:
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/caief_0571-5865_1969_num_21_1_938
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/caief_0571-5865_1969_num_21_1_938
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Re: Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
Dans les Carnets Brésiliens, la voix de Pierre Kast présente sa vision d'intellectuel qui découvre le Brésil. La télévision française devait commencer à émettre en couleur le 1.er octobre 1967; une année auparavant, on préparait déja des programmes, et c'est pour cela que Kast, un réalisateur de films de cinéma, voyagea au Brésil pendant les six premiers mois de l'année 1966.
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Re: Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
Rosselini et Augustin d'Hippone:
http://www.cineclubdecaen.com/analyse/dvd/rosselliniencyclopediehistorique.htm
http://www.cineclubdecaen.com/analyse/dvd/rosselliniencyclopediehistorique.htm
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Re: Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
« Nous avons un public qui déteste nos films
parce qu’il est drogué de films commerciaux étrangers et nationaux et nous
avons, par-dessus le marché, les intellectuels qui détestent nos films parce
qu’ils sont drogués de films de Godard, et qui nous détestent parce que nous
osons faire du cinéma dans un pays qui n’a pas de vedettes comme Gary Cooper
et, le comble, qui parle une langue qui ne sait pas dire “I love you” »
(Glauber Rocha)
parce qu’il est drogué de films commerciaux étrangers et nationaux et nous
avons, par-dessus le marché, les intellectuels qui détestent nos films parce
qu’ils sont drogués de films de Godard, et qui nous détestent parce que nous
osons faire du cinéma dans un pays qui n’a pas de vedettes comme Gary Cooper
et, le comble, qui parle une langue qui ne sait pas dire “I love you” »
(Glauber Rocha)
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Re: Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
Le 23 juin 2010 Jean Anouilh aurait eu cent ans.
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Re: Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
L'amour, avec sa culpabilité inguérissable, est assez grand seigneur pour que nous puissions reconnaître en lui l'esprit aussi bien que la matière, et Dieu aussi bien que le diable.
Pierre-Jean Jouve
Pierre-Jean Jouve
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Re: Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/1/10/Plaque_Pierre_Benoit,_120_rue_d%27Assas,_Paris_6.jpg
Prisonnier des Russes, en Ukraine, le baron Ulrich du Glénie revient
chez lui, à Ilsenburg, au château gouverné pendant son absence par sa
cousine Alda. Il est accompagné par une ravissante jeune femme, dona
Flor Vasquez, qui l'a aidé à quitter le camp de Goroditch.
Tout à l’allégresse de sa liberté reconquise, insoucieux du prix qu'il
aura à la payer, amoureux fou de Flor, Ulrich ne s'inquiète de rien, ne
voit rien, même pas qu'Alda, qu'il a aimée, arbore ces fleurs blanches
et noires dites anémones des sorcières qui sont l’emblème de la Sainte
Vehme, la terrible société secrète qui élimine impitoyablement les
Allemands qui collaborent avec les vainqueurs.
Nous retrouvons dans ce roman toute l'atmosphère dépaysante et
mystérieuse des grands livre de Pierre Benoit, "Koenigsmark",
"L'Atlantide", "La Châtelaine du Liban"...
Prisonnier des Russes, en Ukraine, le baron Ulrich du Glénie revient
chez lui, à Ilsenburg, au château gouverné pendant son absence par sa
cousine Alda. Il est accompagné par une ravissante jeune femme, dona
Flor Vasquez, qui l'a aidé à quitter le camp de Goroditch.
Tout à l’allégresse de sa liberté reconquise, insoucieux du prix qu'il
aura à la payer, amoureux fou de Flor, Ulrich ne s'inquiète de rien, ne
voit rien, même pas qu'Alda, qu'il a aimée, arbore ces fleurs blanches
et noires dites anémones des sorcières qui sont l’emblème de la Sainte
Vehme, la terrible société secrète qui élimine impitoyablement les
Allemands qui collaborent avec les vainqueurs.
Nous retrouvons dans ce roman toute l'atmosphère dépaysante et
mystérieuse des grands livre de Pierre Benoit, "Koenigsmark",
"L'Atlantide", "La Châtelaine du Liban"...
Invité- Invité
Re: Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
Mon premier poème d'Alfred de Vigny:
http://romantis.free.fr/vigny/html/lamaison.html
http://romantis.free.fr/vigny/html/lamaison.html
Invité- Invité
Re: Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
Ca va bien dans le rythme : une ode à NS de la cellule riposte, postée en commentaire sur le Fig. Nous prennent vraiment pour des débilous.
Je ne l'avais guère aperçu à la télé ces dernières années. Eu ce soir l'impression d'un pauv' comique en fin de tournée, fatigué, les neurones HS, sortant des arguments par delà le ridicule, n'en ayant même plus peur, comme des blagues sans saveur de quelqu'un qui ne sait plus ce qui est drôle et ce qui ne l'est pas. Il avait plus sa place sur une scène d'un café concert qu'à la mandature suprème. Pierre Marcel disait qu'on en avait presque pitié, et y a de ça, humainement il fait plus envie du tout, ce qui accroit notre étonnement devant les 25-30 % qui restent fascinés.
C'est clair, mon choix est fait !
Nicolas Sarkozy a prouvé pendant son quinquennat qu'il était l'homme capable de peser sur le monde ; il a compris en créant le G20 que pour résoudre les problèmes de l'Europe, il fallait parler au reste du monde au lieu de croire que la France pouvait s'en sortir seule. Il a pris les bonnes décisions quand il fallait les prendre.
Ainsi la France était préparée au pire grâce à ses mesures prises très tôt. Il n'a pas attendu que le séisme nous fauche de plein fouet, il a agi haut et fort. "Leadership impressionnant" a dit de lui B.Obama lors du dernier G20. « Un grand bonhomme » et je cite Michel Rocard.
Nicolas Sarkozy a un sens aigu de ce qui peut arriver. Il sait anticiper. Quand, par exemple, il propose de diviser l'immigration par deux, je pense qu'il a raison. Et que Hollande a tort... En effet, avec Hollande au pouvoir l'immigration se fera en masse (les pauvres malheureux vont se précipiter en France car ils savent que la gauche laxiste va les accepter). Malheureusement la France ne peut plus supporter un apport supplémentaire de 200.000 et plus immigrés. Il faut savoir qu'un immigré sur 4 est au chômage et de ce fait nous devons payer tous les droits sociaux qui vont avec cette difficile situation. Avant de faire entrer des étrangers dans notre pays il faudrait avoir du travail à leur donner. C'est pareil : nous n'avons pas assez de logements, l'école est en difficulté et les comptes de la sécurité sociale explosent. Nous devons tenir compte de tous ces paramètres avant d'accepter de nouveaux habitants dans notre pays.
Il ne faut pas affaiblir notre pays. Nous devons être puissant en temps qu'Européen face au reste du monde (Chine, Inde, Brésil, USA). Il y a des menaces terroristes d'islamistes radicaux et la France a besoin de tous ces voisins. Seuls, nous sommes transparents, unis nous devenons une grande puissance.
Lorsque je compare les deux hommes, je m'aperçois de plus en plus que N. Sarkozy est l'homme qu'il faut à la France dans ces temps si difficiles. Hollande est, si je puis le dire ainsi, un « enfant de choeur » de la politique vieille France qui refuse la modernité. Sa politique n'a jamais évoluée en 30 ans. Pendant que Nicolas Sarkozy se démenait pour sauver l'Europe, donc la France, cette personne et ses amis se croisaient les bras en attendant que la crise d'une extrême violence passe son chemin. Là où les usines fermaient, tous ces socialistes Présidents de régions auraient pu s'impliquer et s'activer pour résoudre ces questions comme l'a fait Nicolas Sarkozy pour de nombreuses entreprises. C'est aussi leur rôles en tant que Chef de Région, n'est ce pas ? Non, ils ont passé leur temps à embaucher dans les Conseils Généraux par clientélisme endettant notre pays encore plus. La gauche est malheureusement trop dépensière.
La gauche a déjà mis le pays à genoux avec les 35 heures. Ce n'était pas une idée géniale, il faut le reconnaître. Cela a été mis en place dans le but de créer des emplois. Or cela n'en a pas créé. Même les institutions publiques ont modifier leurs heures d'ouverture au public afin de ne pas avoir à embaucher. Cela n'a fait donc qu'empirer les conditions de travail pour les ouvriers et les employés qui, en 35 heures ont du fournir les mêmes efforts qu'en 39 h. Nous sommes devenu la population d'Europe la plus stressée, celle qui se nourrit le plus d'antidépresseurs. Et la faute à qui ? A ceux qui ont mis cette mesure en place... Merci M. Aubry, vous avez ainsi contribué à l'augmentation du déficit de la SS ! Par ailleurs, nous payons encore cette erreur des 35 h puisque cette mesure coûte à l'heure actuelle à la France 19 milliards d'euros chaque année. Contrairement à ce que pense la gauche, il faut ouvrir les magasins le dimanche, c'est créateur d'emploi (une aide et un tremplin pour les jeunes). Et créateur de croissance ! C'est ce qu'il faut à la France !!!
Je ne crois pas qu'un impôt « confiscatoire » à 75 % comme le suggère Hollande soit bénéfique à notre pays. Les riches créent les emplois. Regardez autour de vous, qui consomme le plus ? Ceux qui ont de l'argent, de toute évidence. Ils font fonctionner les entreprises, ils font appel aux artisans, etc. Si vous être ouvrier, ils vous donnent donc du travail, indirectement. Ils ne faut pas faire partir les riches et leurs capitaux de France. Un impôt à 50 % est amplement suffisant. Prendre aux riches n'a jamais rien donné aux pauvres, si ce n'est quelques prestations qui les aident à vivre. Non, il faut créer du travail. Pour que tout le monde puisse vivre de son travail. Et seuls ceux qui ont l'argent peuvent créer les emplois qui manquent en France.
J'ai très peur que le programme PS soit suicidaire pour la France en incitant les délocalisations des capitaux et des intelligences qui font les entreprises et les emplois. Lorsque les riches ou les gens aisés quitteront notre pays, ils ne paieront plus leurs impôts ici, il y a donc des risques que les charges d'impôts se répartissent plus sur les classes moyennes. Sinon nous verrons les retraites baisser ainsi que les salaires des fonctionnaires et les droits sociaux (Sécurité sociale, chômage, RMI, RSA) ne pourront plus être payés. Mais les classes moyennes vont-elles pouvoir supporter tant de charges à elles seules ? De nouveaux pauvres vont se créer, je crains.
Je suis plus que jamais convaincue que nous devons faire confiance à N. Sarkozy. Il a un courage à toute épreuve. N'oublions pas tout ce qu'il a fait pour la France durant ces 5 dernières années quant à la crise. Ses actions ont été méconnues en raison de ce matraquage organisé par ses adversaires. Oui, nous devons lui faire confiance, nous ne pouvons pas nous priver d'un tel talent pour le remplacer par un Hollande inadapté et inexpérimenté.
Je ne l'avais guère aperçu à la télé ces dernières années. Eu ce soir l'impression d'un pauv' comique en fin de tournée, fatigué, les neurones HS, sortant des arguments par delà le ridicule, n'en ayant même plus peur, comme des blagues sans saveur de quelqu'un qui ne sait plus ce qui est drôle et ce qui ne l'est pas. Il avait plus sa place sur une scène d'un café concert qu'à la mandature suprème. Pierre Marcel disait qu'on en avait presque pitié, et y a de ça, humainement il fait plus envie du tout, ce qui accroit notre étonnement devant les 25-30 % qui restent fascinés.
IQI- Messages : 66
Re: Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
Ah, sorry, IQI: ne cherche pas un rapport entre ce post et le tien, j'étais juste occupé à opérer mes inférences causales percutantes qui sont lumineuses dans ma tête et qui donneront bien à penser bien des choses à toutes les autres (têtes, veux-je dire). On notera, d'évidence, la différence entre ma méthode spéculative et celle de deux athlètes de l'associationnisme connus et appréciés des amateurs de jeux de hasard, de divination, devinettes, rébus, mots fléchés, jeux des 7 erreurs, cut-up, découpages coloriés à la colle pritt, et autres passe-temps stimulants : totalement aléatoire, y compris dans ma tête, alors que chez eux, elle est... totalement aléatoire, mais pas dans leur.... tête.
Tain, c'est fatigant, quand-même. C'est du boulot. Bon, vais m'acheter des clopes. Pis un bon dvd, le suppo et c'est? Et c'est? Marre, voyons.
Tain, c'est fatigant, quand-même. C'est du boulot. Bon, vais m'acheter des clopes. Pis un bon dvd, le suppo et c'est? Et c'est? Marre, voyons.
Dernière édition par jerzy P le Ven 4 Mai 2012 - 20:07, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
oh, tout ça me fait me souvenir des "je me souviens de Perec".
je crois que mon préféré dans la série souvenirs de cinéma c'est :
"
Je me souviens de Robert Mitchum quand il dit "Children..." dans le film de Charles Laughton, "La nuit du chasseur". "
de tous les "je me souviens"; je crois que c'est :
on dirait que le disque n'existe que dans ce souvenir, qu'il n'est qu'un être de souvenir, et d'écriture du souvenir; je crois qu'on a beaucoup perdu avec la disponibilité universelle de tout; y a plus de vide, de manque, de souvenir, de désir, et de connaissance un peu mythologique des choses, des films, des disques, des livres... comme dirait Heidegger tout est là à "portée de main", du regard, de l'oreille; comment peut-on encore se souvenir de Mitchum quand il dit "children" avec toutes les possibilités que nous avons de le voir, de l'avoir à notre disponibilité? Ce n'est pas l'être et sa question qui tombent dans l'oubli, mais l'oubli même et donc le souvenir; mais c'est aussi vieux que le monde cette idée; je me souviens que Platon dans "Phèdre" faisait le procès de l'écriture et que Emmanuel Levinas classait ce livre dans son top 5 de tous les temps.
Je me souviens que Warren Beatty est le petit frère de Shirley McLaine.
Je me souviens que j'adorais le Bal des Sirènes avec Esther Williams et Red Skelton, mais que j'ai été horriblement déçu quand je l'ai revu.
Je me souviens que Claudia Cardinale est née à Tunis (ou en tout cas en Tunisie)
Je me souviens que le premier film de Jerry Lewis et Dean Martin que j'ai vu s'appelait la Polka des marins.
Je me souviens du film de Louis Daquin, l'Ecole buissonnière, avec Bernard Blier, qui s'inspirait des méthodes Freinet.
Je me souviens de Robert Mitchum quand il dit "Children..." dans le film de Charles Laughton, La nuit du chasseur.
Je me souviens que dans le film Knock on wood, Danny Kaye est pris pour un espion du nom de Gromeck.
je crois que mon préféré dans la série souvenirs de cinéma c'est :
"
Je me souviens de Robert Mitchum quand il dit "Children..." dans le film de Charles Laughton, "La nuit du chasseur". "
de tous les "je me souviens"; je crois que c'est :
Je me souviens que Caravan, de Duke Ellington, était une rareté discographique et que, pendant des années, j'en connus l'existence sans l'avoir jamais entendu.
on dirait que le disque n'existe que dans ce souvenir, qu'il n'est qu'un être de souvenir, et d'écriture du souvenir; je crois qu'on a beaucoup perdu avec la disponibilité universelle de tout; y a plus de vide, de manque, de souvenir, de désir, et de connaissance un peu mythologique des choses, des films, des disques, des livres... comme dirait Heidegger tout est là à "portée de main", du regard, de l'oreille; comment peut-on encore se souvenir de Mitchum quand il dit "children" avec toutes les possibilités que nous avons de le voir, de l'avoir à notre disponibilité? Ce n'est pas l'être et sa question qui tombent dans l'oubli, mais l'oubli même et donc le souvenir; mais c'est aussi vieux que le monde cette idée; je me souviens que Platon dans "Phèdre" faisait le procès de l'écriture et que Emmanuel Levinas classait ce livre dans son top 5 de tous les temps.
Dernière édition par Borges le Sam 5 Mai 2012 - 7:34, édité 1 fois
Borges- Messages : 6044
Re: Phraséophilie, et autres sujets de non-conversation
Je me souviens d'un disque de Wes Montgomery où il y avait Caravan.
Un disque très commercial, de sa période dite "alimentaire", où il ne s'écartait plus des thèmes.
Accompagné par une grande formation bizarre: des pointures, mais assurant un accompagnement uniforme, standard, sans le moindre petit solo à l'horizon, et une prise de son reverbérée donnant une impression terrible d'ambiant-musak pour grande surface.... Pourtant, malgré la déception, c'est un disque que j'aimais bien, faut croire, car je le remettais assez souvent sur la platine.
J'ai tapé dans google "Lévinas jazz", mais bizarrement, j'ai rien trouvé. Alors je mets un enchainement de vieilles captures qui trainaient sur mon vieux Lacie disque dur fidèle, et qui n'ont peut-être, je dis bien peut-être, aucun rapport ni avec Lévinas ni avec le Jazz.
Un disque très commercial, de sa période dite "alimentaire", où il ne s'écartait plus des thèmes.
Accompagné par une grande formation bizarre: des pointures, mais assurant un accompagnement uniforme, standard, sans le moindre petit solo à l'horizon, et une prise de son reverbérée donnant une impression terrible d'ambiant-musak pour grande surface.... Pourtant, malgré la déception, c'est un disque que j'aimais bien, faut croire, car je le remettais assez souvent sur la platine.
J'ai tapé dans google "Lévinas jazz", mais bizarrement, j'ai rien trouvé. Alors je mets un enchainement de vieilles captures qui trainaient sur mon vieux Lacie disque dur fidèle, et qui n'ont peut-être, je dis bien peut-être, aucun rapport ni avec Lévinas ni avec le Jazz.
Invité- Invité
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