La grande illusion, Renoir, 1937
La grande illusion, Renoir, 1937
La copie est neuve, restaurée
Je l'ai vu au fond en hommage à Marcel Dalio dont le personnage et lui même ainsi que le film, à sa sortie donc, ont été violemment attaqués par Celine dans Bagatelles pour un massacre ( la réponse de Renoir alors figure dans le n° 63 du printemps 2011 de la revue d'histoire du cinéma 1895 ), Lucien Rebatet, Bardèche & Brasillach d'une violence crasse dans leur Histoire du cinéma.
Dalio est mort seul, à son domicile parisien en 1983.
Le film peut se lire - entre autre - comme un tribut donné a la tendance lumière du cinéma et une reconnaissance faite aux films de Chaplin.
Le film dure 1h53 et pose tout du long la question : comment rester ensemble ?
Je l'ai vu au fond en hommage à Marcel Dalio dont le personnage et lui même ainsi que le film, à sa sortie donc, ont été violemment attaqués par Celine dans Bagatelles pour un massacre ( la réponse de Renoir alors figure dans le n° 63 du printemps 2011 de la revue d'histoire du cinéma 1895 ), Lucien Rebatet, Bardèche & Brasillach d'une violence crasse dans leur Histoire du cinéma.
Dalio est mort seul, à son domicile parisien en 1983.
Le film peut se lire - entre autre - comme un tribut donné a la tendance lumière du cinéma et une reconnaissance faite aux films de Chaplin.
Le film dure 1h53 et pose tout du long la question : comment rester ensemble ?
Invité- Invité
Re: La grande illusion, Renoir, 1937
si j'osais je dirais que Take Shelter pose la même question, mis à part que Renoir situe son action dans une guerre normale, si l'on peut dire, un collectif en mouvement qui s'ajuste et se réorganise alors que Nichols fait buter son film sur la pathologie individuelle de ses personnages. mais je dois me rendre à l'évidence de Borges : c'est bien là l'image même de la terreur.
alors qu'à la fin de La grande illusion, Rosenthal et Maréchal passent en Suisse ( comme Chaplin ) hors de portée de l'ennemi : ils n'ont plus qu'à attendre que ça se tasse. c'est une belle sortie.
alors qu'à la fin de La grande illusion, Rosenthal et Maréchal passent en Suisse ( comme Chaplin ) hors de portée de l'ennemi : ils n'ont plus qu'à attendre que ça se tasse. c'est une belle sortie.
Invité- Invité
Sujets similaires
» O.H.M.S. (Raoul Walsh - 1937)
» Stella Dallas de King Vidor (1937)
» L’irruption du visuel. Edouard Manet chez Jean Renoir (Débordements)
» Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
» La Grande Belleza de Paolo Sorrentino
» Stella Dallas de King Vidor (1937)
» L’irruption du visuel. Edouard Manet chez Jean Renoir (Débordements)
» Vu (lu, entendu) où l'on parle de tout sauf de films
» La Grande Belleza de Paolo Sorrentino
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum