The New World

Reboot sur arte le nouveau monde de malick.

Ce qui m'a frappé c'est l'absolue incarnation des acteurs, la vérité qu'ils incarnent et qu'ils créent à l'écran malgré les cesures de temps et d'espace incessant.

Malick crée de l'instant avec un montage effréné.

C'est un peu le rêve de kubrick qui s'incarne : eisenstein+chaplin = le cinéma total.

hi; tu parles de chaplin,  comme je l'avais dit ailleurs, et autrement, "the new world" est l'autre titre de "the immigrant", dont on voit un extrait dans "days of hevean"

Je crois que ce que tu décris, glj, m'a frappée quand j'ai vu le film pour la troisième fois. Soudain, et je n'arrive pas encore à comprendre ce qui s'est passé en moi, je sentais la vérité de Pocahontas. J'ai versé des torrents de larmes durant tout le film, sans pouvoir stopper l'émotion, je sentais ce que la vie de Pocahontas avait été, comme au plus profond d'elle-même… Le film est triste, mais pas au point de pleurer très fort très rapidement après le début. Et pourtant. Mais il a fallu attendre pour découvrir ce pouvoir du film, la troisième vision.

Je ne connaissais pas ce double titre de ce chaplin, borges. Le film de malick a, on l'a déjà dit, beaucoup à voir avec le cinéma muet de toute facon : chaplin mais évidemment flaherty. Ce serait un cinéma muet vu du parlant, un cinéma muet passé de l'autre côté du miroir ( la caméra qui filme sous l'eau au tout début du film nous dit ça ).

Adeline, tu as raison et c'est effectivement en pensant à Pocahontas que j'écrivais cela.