Prochainement - sur vos écrans

We’re still waiting on word if we’ll see Terrence Malick‘s next two films before the year’s end, but thankfully we’ll get another project featuring the director shortly. Premiering at Sundance is The Better Angels, easily one of our most-anticipated films of the festival, which is produced by Malick and is directed by A.J. Edwards, an editor on To the Wonder and collaborator on The Tree of Life and The New World.

Following the early days of Abraham Lincoln’s life, the black-and-white production stars Jason Clarke, Diane Kruger, Brit Marling, and Wes Bentley, and today brings our first look at footage. Although this first teaser and pair of clips are brief, they hint at a film very much in the style of Malick’s world, aided by an original score from Hanan Townshend (Knight of Cups, To the Wonder).

Twelve years ago, Richard Linklater started production on a movie following the development of a child from the age of seven through the end of his teenage years.
Shot over the course of 39 days spread across more than a decade, "Boyhood" is an entirely fluid work that puts the process of maturity under the microscope and analyzes its nuances with remarkable detail.
The key to "Boyhood" lies with the smallness of its story, which revolves around the plight of Texan native Mason (Ellar Coltrane) along with his older sister Samantha (Lorelei Linklater, the director's daughter) and their divorced parents, Mason Sr. and Olivia (Ethan Hawke and Patricia Arquette). As we watch this quartet consistently age during the movie's justifiable 164 minute length, the subtle qualities of change become steadily crystallized.

Matthew McConaughey is set to star opposite Ken Watanabe in Gus Van Sant’s next pic, “Sea of Trees".

Story follows a suicidal American (McConaughey) who befriends a Japanese man (Watanabe) lost in a forest near Mt. Fuji.

Chris Kyle, né à Odessa au Texas le 8 avril 1974 et mort dans le même Etat le 2 février 2013, est un sous-officier de la marine américaine, membre des SEAL et tireur d'élite, qui revendique avoir abattu 255 personnes durant la guerre d'Irak.

Il a participé à toutes les batailles majeures de l'Opération libération de l'Irak. Il a effectué son premier tir mortel à longue distance au cours de l'invasion initiale lorsqu'il a tué un enfant qui s'approchait d'un groupe de Marines après que sa mère lui a donné une grenade dégoupillée.

En janvier 2012, il a publié ses mémoires, American sniper, écrites avec Scott McEwen et Jim DeFelice, dans lesquelles il exprime son absence de remords vis-à-vis des personnes qu'il a tuées. Son seul regret est plutôt « de ne pas en avoir tué davantage » car il pense que «le monde est un endroit bien meilleur sans les sauvages qui prennent des vies américaines».

«Là-bas, en Irak, je voulais que tout le monde sache que je suis chrétien, et un féroce guerrier de Dieu.»

On Saturday, February 2, 2013, Kyle and a companion, Chad Littlefield, were shot and killed at the Rough Creek Ranch-Lodge-Resort shooting range in Erath County, Texas, by 25-year-old fellow veteran Marine Eddie Ray Routh, whom Kyle and Littlefield had purportedly taken to the gun range in an effort to help him with what they were told by his mother was post traumatic stress disorder.

Jerzy, y a v'là l'temps, sur le forum des Cahiers, a écrit:Si je ne devais garder qu'un seul film suisse, c'est Les petites fugues de Yves Yersin, une merveille de lenteur contemplative narrant les micro-déboires et joies d'un vieux valet de ferme (joué par Michel Robin) se prenant de passion, successivement pour une motocyclette (ballades sans but se concluant par un rétamage de gueule) puis un polaroïd (reconversion dans l'immobilisme). Une sorte d'Herman Melville helvète, quoi
J'aimerais beaucoup qu'on le re-sorte en dvd, celui-là.

Shot over the past six years, "Mixed feelings" tells the story of Israeli director and teacher Amir Orian, a once-successful actor who created an alternative theater in his own apartment called "The Room Theater." The film was shot during the Gaza war of 2008 through the Gaza war of 2014.

Jean-Luc Godard, comme penseur aussi bien que comme cinéaste — dans ses films tissés de phrases autant que d’images — semble s’être donné pour tâche de voir le temps. Il a l’œil sur l’histoire. Il s’inquiète souvent de la cécité de ses contemporains. Il leur répond par d’inlassables et d’inclassables citations dans lesquelles, pour ainsi dire, le passé est « cité à comparaître ». C’est comme un tribunal qu’il met en place. Mais où Godard se tient-il lui-même dans ce tribunal de l’histoire ? Tour à tour dans le fauteuil du juge, dans celui du procureur, du greffier, de l’avocat et, pour finir, sur le banc des accusés…
Ce livre voudrait interroger les diverses façons dont Godard fait de l’histoire avec les images. Comment fait-il pour « confondre » l’histoire, ainsi qu’il aime dire ? (Mais « confondre », qu’est-ce que cela veut dire au juste ? Confondre les coupables ou bien s’arranger pour tout confondre ?). Comment procède-t-il pour la juger, cette histoire, ainsi qu’il le fait si souvent ? Godard a diverses manières : divers jeux de langage qui, quelquefois, se contredisent entre eux. Divers arts du montage où apparaissent, ici son lyrisme ouvert (Rimbaud) et là ses slogans fermés (Mao), ici sa radicalité et là ses ambiguïtés. Il y a donc plusieurs JLG : un JLG de l’autorité (qui admire Malraux) et un JLG de la poéticité (qui admire les romantiques allemands). D’autres encore. Comme ce JLG qui polémique avec Pasolini et cet autre qui veut lui tendre la main.