Rise of the planet of the apes
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Re: Rise of the planet of the apes
breaker a écrit:la preuve breaker que le chien est un animal universel :
breaker n'a pas écrit ça; c'est moi;
sorry, breaker, au lieu de te citer, je t'ai édité
Borges- Messages : 6044
Re: Rise of the planet of the apes
Le cochon de Gaza
Date de sortie cinéma : 21 septembre 2011
Réalisé par Sylvain Estibal
Avec Sasson Gabai, Baya Belal, Myriam Tekaïa, plus
Titre original : When Pigs Have Wings
Long-métrage français , belge , allemand . Genre : Comédie
Durée : 01h39min Année de production : 2011
Distributeur : StudioCanal
Synopsis : Après une tempête, Jafaar, un pêcheur palestinien de Gaza, remonte par hasard dans ses filets un cochon tombé d’un cargo. Bien décidé a se débarrasser de cet animal impur, il décide toutefois d’essayer de le vendre afin d’améliorer son existence misérable. Le pauvre Jafaar se lance alors dans un commerce rocambolesque et bien peu recommandable…
Dans cette tragi-comédie, l’ensemble du petit peuple de Gaza, coincé entre sa misère absolue au quotidien, les contraintes des militaires Israéliens et le diktat des barbus aux commandes, est représenté par ce pauvre pêcheur dont l’unique souci est de survivre au jour le jour et qui, pour cela, est prêt a tout. Jafaar, dans une permanente dérision de lui-même, même dans les moments tragiques, évolue dans cette histoire a l’humour mordant… et nous laissera espérer que si l’on peut s’entendre, malgré toutes les différences, à l’échelle individuelle, on peut s’entendre in fine, à l’échelle collective.
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=187194.html
Invité- Invité
Re: Rise of the planet of the apes
A propos du dernier McQueen (l'autre steve), shame, en compétition à Venise, où il est pas mal question de sexe, un critique écrit :
If two critically lauded films make a director "rising," then rising director Steve McQueen premiered his second film, "Shame," at Venice, starring Hollywood's favorite new character actor, Michael Fassbender.
Borges- Messages : 6044
Re: Rise of the planet of the apes
A la rééducation physique du chimpanzé, qui retrouve réflexes et gestes animaux dans l’emprisonnement, s’est superposée la rééducation intellectuelle de son maître, interrogé par celui qu’il considérait comme sa créature. La même association curieuse transfigure le personnage du père qu’interprète John Litgow, récupérant sa vigueur d’antan en même temps que ses capacités intellectuelles. L’élixir de jouvence est un produit dopant, et donne lieu à de véritables situations de comédie. C’était déjà, en 1953, le ressort de Monkey Business, où Cary Grant se transformait en garnement incontrôlable après avoir ingurgité la potion du rajeunissement miracle, se faisant du même coup administrer une leçon de sagacité par un chimpanzé de laboratoire. L’idée-force du film de Rupert Wyatt est d’imaginer que le produit fonctionne réellement. Le postulat est simple, mais rend caduque l’alternative posée par une simple inversion des rôles. Entre l’enfant adulte et le singe savant, le film invente donc un personnage tiers : ce curieux héros auquel le génie scientifique donne un pouvoir illimité avant de l’obliger à devenir totalement passif, et simple spectateur du retentissement de son œuvre. L’aventure de cet homme qui regarde trop derrière lui pour voir ce qu’il a devant les yeux pose alors une question simple : pourquoi vouloir revivre un âge d’or quand nous avons encore l’âge d’apprendre ?
par Arthur Mas, Martial Pisani
mardi 6 septembre 2011
http://www.independencia.fr/revue/spip.php?article341&var_mode=calcul
(le papier compare Super 8 et La Planète des singes)
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