Richard Kelly - Out of the box

JM a écrit:
Oh non, pas toi aussi D&D !

Oh, tu sais moi...

Pour l'instant, je suis très partagé concernant ce film. Alors, ce n'est pas une priorité, mais j'aurai besoin de le revoir (ouais, je sais c'est encore pire ).

lorinlouis a écrit:

D&D a écrit:
Kelly, d'après ce qu'il a pu dire. C'est le clin d'oeil "autobiographique". Je trouve d'ailleurs que c'est ce qui permet un premier niveau de "croyance" dans le film.

En effet. Il semblerait qu'il ait tout agencé de manière à reconstituer le cadre autobiographique. Il s'agissait alors de faire revivre un vécu plus qu'une époque, avec ses multiples références, etc.

Faudrait peut-être qu'il puise dans cette imagination là et moins dans le mystique primaire.


Tout à fait d'accord avec toi JM sur la séquence finale. C'est ce qui m'a le moins plu, et, en plus, c'est très long... L'alternance papa qui pleure et serre les dents puis maman qui fait pareil puis fiston qui roule par terre puis méchant vilain qui dit tant pis, il la fait à plusieurs coups.



Je pense que j'aime ce film uniquement parce qu'on y voit des grosses hélices.

Le final est lourdement mauvais, en effet. Le montage.

Prologue et épilogue sont les plus mauvais moment du film.

A propos des "petits malins", j'ai retrouvé ça de Comolli sur un film de Des Pallières, ça fera peut-être plaisir à VS qu'on le cite (en même temps, les "petits malins", c'est un peu un "cheval de bataille" commun à beaucoup d'anciens rédacteurs des Cahiers) :

"Les questions du cinéaste ne sont pas celles du petit malin. Pour agir cinématographiquement sur le monde, quel qu'il soit, il faut être en mesure d'y croire assez."