La trilogie de la 36ème chambre (Shaolin)

des adaptations plus récentes... dont une célèbre et tout autant laide avec Jackie Chan et Jet Li

Dans le dernier Harry Potter, l'histoire des trucs disséminés à aller chercher un peu partout ça fait penser à la quête des "balles de dragon" du dessin animé (je ne sais pas si c'est aussi dans l'histoire d'origine ?!)..

pour en revenir au message initial, c'est plutôt intéressant comme entrée en matière pour la trilogie, ça change un peu de l'approche du corps sportif, du sacrifice, de la relation sado-maso entre le maître et le disciple (ce que n'en a que retenu Tarantino, par exemple, dans ses "Kill Bill").

Il faudrait bien entendu suivre cette piste, du rire; et pouvoir comparer, d'un autre côté, du point de vue de l'entrainement, "Rocky", Karaté kid", "Gran Torino", " Full metal...", et cette trilogie.

Je ne me souviens pas assez, je ne les ai pas vu depuis leur dernière sortie en K7 chez HK. Pour tout dire, je ne me souviens pas de ce fameux rire. Par contre je n'ai pas oublié le rire de Noodles à la fin de "Once upon a time in America".

lorinlouis a écrit:

Sinon, oui, JM, il n'y a qu'un désir spectral qui puisse faire bander un prêtre (bouddhiste)...

ça me fait penser à une scène de Green Snake, ou maggie cheung (le serpent vert), tente de faire bander Chiu Man Cheuk en moine bouddhiste chasseur de monstre.

Dans le splendide "Raining in the mountain" de King Hu, il me semble qu'il y a aussi une scène autour de ce thème de la tentation. De jeunes novices prient avec leur maître au bord d'un lac tandis que de jolies filles nues s'y baignent langoureusement. Beau jeu de regards en coin.

Borges a écrit:
Comment les prêtres (bouddhistes) apprennent à rire ?

Je me rappelle du premier opus de la trilogie, La 36ème chambre de Shaolin, et je crois me souvenir que le rire y a une certaine place, même si le propos ne s'y prête pas. Il y a quelque chose de clownesque dans la ribambelle d'épreuves que subit Gordon Liu; quelque chose de comique et d'irrévérencieux malgré la solennité des circonstances.

Le second film, Retour à la 36ème Chambre, si mes souvenirs sont toujours bons, abandonne le sérieux du code pour le tourner totalement en ridicule. Là, le rire est prépondérant puisque finalement, sujet du film.

Pas vu le troisième...

lorinlouis a écrit:

Pas vu le troisième...

pas de quoi avoir honte... moi j'en ai vu aucun.