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Frances Ha de Noah Baumbach

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Message par Invité Mer 3 Juil 2013 - 20:26

Une grande bringue New-Yorkaise, incasable dit-on d'elle, qui va de co-loc en co-loc, qui perd sa meilleure ami Sophie (la fille de Sting, rien de remarquable) qui suit un type au japon, normal quand Frances n'arrive pas à se défaire de cette amitié fusionnelle et obsessionnelle entre filles, qui n'est plus de son âge, perd aussi son job, elle n'est pas recrutée par la compagnie de danse où elle était doublure, et cherche une adresse (la dernière image explique à ce propos l'énigmatique Ha !). Trouver une adresse à New-York quand on est fauchée n'est pas simple, il lui faudra passer par la case parents à Sacramento pour un bref séjour, puis par un week-end absurde de sommeil à Paris.

Baumbach n'est pas particulièrement doué pour raconter une histoire, les saynètes succèdent au saynètes. Mais lorsque Frances est bien au fond du trou, lorsqu'elle est au delà de la déprime la caméra s'approche d'elle et l'adresse de l'actrice Greta Gerwig éclate à l'écran dans ce gros plan digne du muet où avec un jeu expressionniste, roulant des yeux, tordant la bouche, soufflant elle raconte comment dans une soirée par un jeu de regard, un frôlement, finalement ce qu'elle échafaude, ce qu'elle attend de l'amour. C'est un moment de pure magie : les convives autour de la table, installés dans la vie, sont ébahis par tant de décalage et de sincérité. C'est à une personnalité, je sais pas, digne de Françoise Lebrun dans la Maman et la Putain qu'ont peut la comparer.

Presque à la toute fin, on vient la féliciter pour la chorégraphie d'un spectacle qu'elle a faite : elle étonnée dit j'aime les choses qui ressemblent à des erreurs. C'est sympa.

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Message par Eyquem Ven 12 Juil 2013 - 16:23

Le film est tellement émietté au montage en micro-plans de micro-saynètes qu’à la fin, il ne m’en reste à peu près rien, aucune image, aucune scène. Le montage hyper vif n’est pas un moyen ici de créer des étincelles par des rapprochements inattendus, c’est une manière de tout aplatir, tout niveler. C’est sans doute le sujet du film : un sentiment de dispersion dans l’anecdotique, de temps perdu en vains bavardages, relations sans lendemain, amitiés qui se délitent. Le problème de Frances semble être qu’elle n’a pas de solitude qui soit à elle : toujours en colocation, à dormir dans le lit des autres, et même quand elle est dans une chambre, y a toujours quelqu’un pour faire irruption, sauter sur son lit ou s’installer à côté d’elle pour dessoûler. C’est un problème d’argent (avoir sa solitude, ça demande des moyens : une question récurrente dans le film) mais ça tient aussi au caractère du personnage, au fait que Frances ne sache pas sur quel pied danser, et n’ait pas encore trouvé ce pour quoi elle est faite (elle croit que c’est danser, alors qu’elle découvre qu’elle est sans doute meilleure chorégraphe que danseuse). Se trouver "une chambre à soi" (il y a au moins une allusion à Virginia Woolf dans le dialogue), s’installer dans le temps du différé (le plan final sur la boîte aux lettres) au lieu de courir après les sms de rendez-vous manqués, et pouvoir peut-être enfin commencer à créer, à faire quelque chose de sa vie (le ballet final, qui réunit tous les personnages du film) : c’est le fil qui relie in fine une existence menacée par l’éparpillement. Pourquoi pas, mais ça m’a pas trop touché.

Sinon, pourquoi "Ha" ? Le plan final nous dit que c’est pour "Halloway". Mais "Ha" tout seul, ça ne veut plus rien dire ; ça sonne comme l’interjection : "Ha !", dont le sens dépend entièrement de la façon de la prononcer, et qui exprime ce qu’on veut, le doute, ou la joie, un vrai rire ou un faux rire. Comme c’est pas un film où on sent trop la joie, ça sonne plutôt comme le "Ha" un peu désabusé de qui s’est fait une raison sur la vie. C’était déjà la morale d’un autre film en "Ha" : "Annie Hall" : "Peut-être qu’au bout du compte, ce qu’il faut, c’est ne pas attendre trop de la vie." : ça pourrait être aussi la morale de ce film plutôt tristounet.

Tu l'as vu, Adeline?

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Message par Invité Ven 12 Juil 2013 - 16:52

si elle a une chambre à elle à Paris le temps d'un we tristounet comme tu dis .. où elle dort.
tu ne l'as pas trouvée magnifique ?

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Message par Borges Ven 12 Juil 2013 - 18:40

Eyquem a écrit: Comme c’est pas un film où on sent trop la joie, ça sonne plutôt comme le "Ha" un peu désabusé de qui s’est fait une raison sur la vie. C’était déjà la morale d’un autre film en "Ha" : "Annie Hall" : "Peut-être qu’au bout du compte, ce qu’il faut, c’est ne pas attendre trop de la vie." : ça pourrait être aussi la morale de ce film plutôt tristounet.



Hi,

c'était la morale de Greenberg : "It is huge to finally embrace the life you never planned on. "
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Message par Invité Ven 12 Juil 2013 - 19:19

il faut être doué pour faire une comédie réussie. une comédie réussie le tient du dialogue.

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Message par adeline Ven 12 Juil 2013 - 20:01

Hi Eyquem, pas encore, pas encore, mais ce week-end j'espère. Je n'en entends pas trop de si bien autour de moi…

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Message par adeline Dim 14 Juil 2013 - 15:26

Mais ce film n'est pas une comédie ! Les critiques ici et là parlent de joie bondissante et radieuse, de jubilation, mais le film raconte la fin d'une histoire d'amour et la plongée au fond d'une dépression. C'est quand même pas si jubilatoire que ça, et les grands moments de comique attendu (la chute dans la scène du distributeur) ne m'ont pas fait rire.

Mais j'ai bien aimé, je ne serais pas aussi dure que toi Eyquem. Il est sûr que Baumbach ne sait pas très bien mettre en scène, que le rythme est mauvais et émietté. Mais certaines séquences sont chouettes (le retour si simple, si tranquille, si vide et doux dans la maison des parents), les déboulés et les jetés dans les rues de New York…

J'ai été émue par la grande amitié qui doit s'effacer devant la vie et les conventions, par l'inadéquation de Frances avec le monde et ses tentatives pour y faire sa place sans perdre son amie. Il y a quelque chose de juste et vrai dans le deuil de la vie à deux, de la relation exclusive, la manière dont Frances est remplacée par le futur mari, sans autre forme de procès, comment elle essaie de s'en accommoder. Mais il y a aussi quelque chose de très triste dans la manière dont le film nous montre la mise en adéquation de Frances. La dernière scène, elle a enfin son appartement à elle, montre comme une sorte de reddition, voilà, c'est bien. Sa carte de crédit va fonctionner, elle a son appart, un boulot ; est-ce donc ça les conditions pour un épanouissement artistique en tant que chorégraphe ? Est-ce donc la "normalité" qui doit gagner ?

Le film ne dit quand même pas tout à fait ça, mais la grande tristesse qui m'a envahie en sortant de la salle devait bien venir de quelque part, et peut-être bien de cette manière de se conformer à ce que la vie, les autres, le monde attendent de Frances…

adeline

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Message par Invité Dim 14 Juil 2013 - 16:55

dans un entretien on lui dit qu'elle joue plus lentement que les autres lol
(sa copine est la fille de Sting. sans intérêt !).

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Message par Invité Dim 14 Juil 2013 - 19:36

Le problème avec ces deux cinéastes, puisque l'actrice a participé, au scénario, au moins, est qu'ils sont sans le vouloir dans la démonstration qu'ils recherchent en permanence, disons une forme de cinéma original.

Grand bien leur fasse. Cette application visible à l'oeil nu (?!) de tous les instants, cette maîtrise sont éminemment stériles. Elle produisent tout au plus une succession de clichés sur la vie à New-York. La belle affaire, qui n'est pas neuve ...  Alors qu'on attend du cinéma autre chose que du labeur,  juste d'être un peu ouvert et disponible à l'écoute, à la rencontre de l'inattendu au moins. La beauté ne sort pas d'un corset, cinématographique s'entend, elle ne sort pas du tout-déjà-à-sa-place, d'un monde que, de chic, le metteur en scène aurait l'opportunité de créer comme il  sortirait un lapin de son chapeau.

Ca c'était avant la nouvelle vague qui a mis dans ses films, dont l'auteur Baumbach se réclame, tout ce qui n'est pas là.

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Message par Invité Mar 30 Juil 2013 - 21:48

Putain c'était nul,cela aurait pû être la Bande des 4, mais au total c'est une chose à côté de laquelle "Chacun Cherche son Chat" c'est du Bergman, j'arrive pas à croire que j'ai payé pour voir ce truc.

En gros c'est le contenu d'un épisode d'Ally McBeal, avec en guise de forme un noir et blanc qui évoque tour à tour la Maman et la Putain et une pub pour des slips Calvin Klein.  Le happy-end est d'une niaiserie sidérale et sidérante.


C'est assez roublard: au début il y a quelques éléments qui font penser que le film va avoir un rapport un peu honnête à la crise (la fille réponde tout le temps qu'elle est fauchée, son coloc lui répond "non tu ne l'es pas et lui demande si on peut embaucher une femme de ménage"*), mais c'est juste des pirouettes, cela  se renverse dans une morale de thérapie comportementaliste: "il faut trouver un rapport professionnel à ton mal être et tu cesseras d'échouer, et ceux qui t'ont jetée seront à tes pieds". Le personnage de l'amie, Sophie (bien meilleure actrice au fond), pourrait être intéressant, on sent qu'il y aurait  quelque chose qui pourrait faire basculer le film dans quelque chose comme "Sue perdue dans Manhattan" ou "Oslo 31/08" (déjà des films pas extraordinaires, mais un peu plus denses) mais cette piste est trop coûteuse pour le rythme  de sitcom du film, elle sert en fait juste de faire valoir à Frances Ha , ses sourires ses moues ses angoisses. Je suis déçu car les personnages avaient beaucoup d'épaisseur dans "the Squid and the Whale", il en reste des peties bouts, dans les 5 minutes où la fille va voire sa famille à Sacramento, on sent que Noah Baumbach arrive à la fois à filmer la force d'un groupe et ses fêlures de manière économe à la fois précise et ouverte au mystère et à la part d'ombre: le film aurait dû s'arrêter là. C'est la séquence la plus intéressante, mais elle est complètement morbide, l'attitude de Gerwich ce sur l'escalator de l'aéroport souligne avec la subtilité diaprée et tamisée d'un girophare de camion de pompier dans la nuit qu'ils vont bientôt mourrir, et qu'elle n'est pas sûr de les revoir et qu'elle ne pourra ni voudra pas les aider. Elle en fait des tonnes, "des torrents de subtilité, de la délicatesse à foison, des pelletées de tact" (comme l'a dit de Chat de Geluck), "Still Walking" de Kore Eda au cube. Les plans sur le réveil à Paris sont bien (idée pompée sur une BD de Jöchen Gerner)



Les personnages sont  artificiellement immatures (on sent que le film veuut se donner par là une texture de film générationnelle): le couple qui se déchire non pour la mort des parents, mais celle du grand-père,  je rêve:.

Quant à Greta Gerwich, elle est jolie, sympa, je crois que c'est une excellente actrice pour jouer la petite bourgeoise citadine pour qui la trentaine est un cap angoissant, mais je la vois mal jouer Bob Dylan, Lady Macbeth ou une combattante de la Guerre d'Espagne, ça risque de buguer dans sa tête.

* ou "le cinéma en salle coûte cher", "oui mais tu es dedans figures-toi", en fait vrai conclusion morale du film (le film veut valoir meux que le truc que l'on regarde à la télé en passant, parce qu'il ya rien de mieux, pourtant sa vraie place), que je trouve très rassurant: tu ne seras jamais une vraie pauvre. C'est aussi le sens de la remarque de Sophie: à New York, les artistes n'existent que pour les riches, qui est un commentaire sur l'ordre des choses.


Dernière édition par Tony le Mort le Mer 31 Juil 2013 - 10:02, édité 1 fois

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Message par Invité Mer 31 Juil 2013 - 6:27

le film est quand même pris parfois très au sérieux :

http://www.telerama.fr/cinema/frances-ha-6-cles-du-film-par-son-realisateur-noah-baumbach,99847.php

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Message par Invité Mer 31 Juil 2013 - 7:01

au box-office ;

http://www.allocine.fr/boxoffice/boxofficedetail_gen_pays=5001.html

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Message par Invité Mer 31 Juil 2013 - 9:59

slimfast a écrit:le film est quand même pris parfois très au sérieux :

http://www.telerama.fr/cinema/frances-ha-6-cles-du-film-par-son-realisateur-noah-baumbach,99847.php

A Bruxelles il y avait même une avant-première au Musée des Beaux-Arts (pour la principale raison que le personnage central est une artiste j'imagine, si c'est à cause de la forme du film quelque chose m'échappe).

J'aime bien l'hypocrisie de la plupart des commentaires laudatifs des spectateurs et plus grave de la critique sur le film: "l'actrice, petit caneton éploré confronté aux affres de la vieillesse à 27 ans a une grâce touchante et maladroite, que nous sommes si délicats, fragiles et compassionnels envers notre prochain de l'aimer" alors que c'est un canon, et que les traits de disgrâce physique des autres filles/femmes du film sont assez goujatement surlignés (à la différence de Rohmer, pour qui les personnages périphériques ont souvent une belle densité).

Bonjour le réalisme: prolonger les études est la meilleure solution pour sortir de la crise (aux USA en plus, alors qu'un dialogue masque habilement l'invraisemblance en lui recommandant de ne pas utiliser des cartes de crédit pour ne pas s'endetter...), le coloc sympa qui écrit pour la plus grosse émissions télé US.

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Message par Invité Mer 31 Juil 2013 - 10:28

c'est vrai sa copine est immonde et les deux mecs chez qui elle va se faire tondre, je parle du prix exorbitant qu'ils lui demandent pour dormir sont de modernes marchands de sommeil arty en somme (c'est le cas de dire). Une scène, chez eux,  grotesque d'afféteries en tous genres, du chapeau du mec à son l'allure mannequin vaguement décalée, vaguement rétro, parvient et débouche sur d'autres scènes du même genre. Bref un film vintage qui s'obstine à recycler ce qui ne peut pas l'être, ce qui n'est pas miscible et fatigue comme un texte surchargé de références, par l'accumulation d'éléments qui viennent buter les uns sur les autres au lieu de suivre un cours normal, d'une eau tranquille..

Le cinéma c'est un peu du service public, mince : avant de se faire plaisir, faire plaisir au spectateur, on devrait taxer les mauvais films pour subventionner la création. Un mauvais film c'est comme Sarkozy qui dépense trop de pognon pour se faire étendre : il devrait cracher encore davantage au bassinet.
Où alors : où est le risque de faire du cinéma ? Je sais, patin, couffin ...mais on va pas les chercher ces réalisateurs.

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Message par Invité Mer 31 Juil 2013 - 11:13

En fait le film est très proche d'Amélie Poulain en version highbrown./arty/pour les happy fews Shocked 

C'est clair que l'on essaye aussi de lancer Greta Gerwich comme la remplaçante de Scarlett Johansson (qui elle avait commencé jeune, et rien que pour "Match Point" ,est plus intéressante)

La copine (la fille de Sting?) est assez jolie en fait, mais cela n'est souligné que lors de son retour au bercail (c'est aussi une bonne actrice: elle a un rôle difficile, et parvient à faire comprendre que son mariage est une sorte d'autodestruction, sans en faire beaucoup et voler la vedette, elle ressemble à Catherine Keener, mais en plus discrète), mais la chorégraphe un peu âgée est filmée comme un monstre (de plus il semble que la précarité ne concerne plus les gens après 32 ans, tous les personnages ayant passé ce cap sont établis), tout comme l'autre danseuse, plus timorée.

The Squid & the Whale était fort parce que Noah Baumbach filmait sans doute son passé (et ses parents), là il filme sa représentation de la société et son âge adulte qui est d'une faiblesse insigne: ses personnages n'ont rien à dire, en dehors de leur déclaration de revenu.

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Message par Invité Mer 31 Juil 2013 - 12:21

Je te fais crédit j'ai pas vu Amélie Poulain je ne sais pas qui est Catherine Keener. Quant à la fille de Sting avec ses lunettes qui lui mangent la figure je n'imagine pas, dans la fiction qu'ellent puissent être copines : les débordements d'amour de la Greta en général s'adresse plutôt à un chien lol.

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Message par Borges Mer 31 Juil 2013 - 13:58

un film "mignon"... sans plus, vraiment; faudrait le rapprocher de "Boy", le film allemand, et ensuite d'amuser à comparer les critiques des deux films...
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