KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
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KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
où il sera question, si j'ai le temps et l'envie, de la vérité chez Deleuze : point de vue, perspectivisme, puissance du faux, concept, crise du concept de vérité (le temps et la vérité)...
il faudra que cela soit assez simple pour qu'une langouste puisse saisir les explications; quel défi.
(j'ignorais que kunilangouste avait de l'admiration pour burdeau)
il faudra que cela soit assez simple pour qu'une langouste puisse saisir les explications; quel défi.
(j'ignorais que kunilangouste avait de l'admiration pour burdeau)
Borges- Messages : 6044
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
(16:54:30) Kuni_l'hungus: et toute la disussion préalable où Borges a été mis en défaut et a essayé de dévier, de fuir mais s'est fait ballader.
là ça mérité un truc que j'utilise jamais
Borges- Messages : 6044
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
(17:21:05) Kuni_l'hungus: lol Borges
(17:21:08) Kuni_l'hungus: t'es un marrant.
(17:21:48) Kuni_l'hungus: Tu vas le faire à domicile alors que je te l'offrais sur un plateau devant un public partagé entre son admitration pour Burdeau et son goût pour ta revue?
(17:22:25) Kuni_l'hungus: Comme je t'avais dit c'était pas pour moi. le lien n'était pas là. Tno discours n'avait aucun sesn sans cette epxlication. Et pas seulement pour moi mais pour thomas machin.
(17:23:21) Kuni_l'hungus: Alors là tu fais le beau hein"va fallir que je fasse simple pour que même langouste comprenne"
(17:23:43) Kuni_l'hungus: mais 1 t'es devant ta cour.
(17:23:56) Kuni_l'hungus: 2 tu supprimes des messages.
(17:25:14) Kuni_l'hungus: 3 tes fanfaronnades pour faire le beau devant un public qui n'a pas forcément les connaissances ou la conceptualité et qui pourrait se laisser épater par tescitations fleuves desquelles tu SEMBLES tirer quelque chose ne m'intéressent pas.
(17:26:13) Kuni_l'hungus: faut pas oublier que je n'étais pas la personne hein et que tu n'as envie de discuter avec moi de rien pas de deleuze ni de la vérité ni de Tarantino.
(17:26:36) Kuni_l'hungus: Mais ça c'était quand ça t'arrangeait dans ta stratégie de bellâtre.
(17:27:06) Kuni_l'hungus: parce que bien sûr opur ça tu discutais et changeait les sujets
(17:27:26) Kuni_l'hungus: il ne reste comme je le disais que tonconcours de bite sur terrain mouvant.
(17:28:08) Kuni_l'hungus: bah moi ça m'interesse pas les concours de bites, surtout quand l'interlocuteur montre qu'il ne sait faire que déplacer dès qu'il est pris à défaut sur un point
(17:29:09) Kuni_l'hungus: n'oublie mec que c'est pas moi qui ai quoi que ce soit à prouver mais toi dans la situation. parce que c'est ton discours qui faisait appel à cette notion de vérité chez Deleuze. Et qui glissait des critères de rigueur à la vérité prise comme finalité de la pensée.
(17:29:29) Kuni_l'hungus: sans que rien ne le justifie.
(17:31:39) Kuni_l'hungus: donc c'est pas à moi, mais à Tohmas machin qi'l faut t'expliquer, mec. Parce que moi je m'en branle de ce que tu sais de la vérité chez Deleuze.
(17:33:37) Kuni_l'hungus: Et oui tu t'es fait balalder Borges, Littéralmeent en passant d'un lieu à un autre d'un sujet à un autre. En essayant d'esquiver la personne mais en cherchant à la reprendre sur un autre sujet. et à chaque fois je te le faisais remarquer. C'est bien ce qu'on appelle se faire ballader quand on court dans tout les sens et que l'autre fixe, vous fait courir.
(17:34:02) Kuni_l'hungus: D'ailleurs au final, acculé... qu'est ce qu'il s'est passé?
(17:34:22) Kuni_l'hungus: bah tu as tout effacé, avec tout ce que cela suppose (cf supra)
(17:34:27) Kuni_l'hungus: et tu m'as bloqué
(17:34:59) Kuni_l'hungus: et j'oubliais la menace en MP....
(17:35:46) Kuni_l'hungus: bah ouais ça vaut bien un smiley hein un smiley qui veut tant dire et surtout rien du tout.
(17:36:34) Kuni_l'hungus: mais oui tu t'es bien fait ballader ausens littéral du terme. tu vas quelque part et je te dis "c'est pas là". Puis ailleurs et je te redis "c'est pas là" et encore ailleurs.
(17:36:37) Kuni_l'hungus: Belle ballade.
(17:36:41) Kuni_l'hungus:
(17:37:19) Kuni_l'hungus: puis acculé, tu ne vas plus nulle part et arrête tout.
(17:38:15) Kuni_l'hungus: effaces tout.
(17:38:26) Kuni_l'hungus: pour retourner... là où ce n'était pas le lieu.
(17:38:46) Kuni_l'hungus: c'est ça rentre à la maison t'y es bien plus en sécurité.
On dirait la caricature un peu pitoyable du petit gars de l'ouest qui veut prouver à ses potes qu'il est plus rapide que l'ombre de lucky luke. Laisse tomber, kid; même moi, j'ai aucune chance.
Borges- Messages : 6044
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
Ah, ce brav'Kuni. Kuni le brave... Y voit à 5 mètres.
L'est gentil comme garçon, pourtant.
Du moins il a l'air gentil.
L'est gentil comme garçon, pourtant.
Du moins il a l'air gentil.
Dernière édition par Baudouin II de Barvaux le Lun 21 Jan 2013 - 17:35, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
en résumé, kunilangouste :
tout est parti de la critique du dernier tarantino par JLL; un truc au-delà du comique.
Je m'en moque, un gars intervient pour me dire que JLL c'est pas un idiot, il le connaît bien; il sait bien son Deleuze...
Je lui dis que l'on ne pouvait pas raconter n'importe quoi à propos de deleuze (comme il le faisait, et surtout comme le fait son ami JLL) que ses concepts avaient un sens, une nécessité; il dit que non, que mon deleuze, c'est dogmatique, que je le place trop haut; lui s'en croit l'égal; mon deleuze, c'est de la philo, le sien c'est un objet de conversation; J'ai dit : "mais alors tu fais de deleuze ce qu'il est pas";
-le gars : "on peut dire ce qu'on veut, penser ce qu'on veut, c'est comme ça, c'est la démocratie";
- moi : "mais la pensée n'a rien à voir avec la démocratie comprise comme expression de la doxa; deleuze n'a pas renoncé à la vérité; et en général, y a des critères de la vérité...
Et c'est là que t'es arrivé, pour rigoler : "des critère pour la vérité... trop drôle".
Je comprends rien à deleuze, sert à rien que je le lise.
Je t'explique l'allusion à aristote et à l'amitié, dans l'un de mes commentaires, comment le "philosophe ami de la vérité" d'aristote était devenu chez deleuze, un "ami du concept"...
tu continues à ne rien dire; alors, là, illumination : je vois le nom du gars avec qui je discute... personne d'autre que la fameuse langouste zombie d'enculture, bub l'éclair de Nietzsche; quelle perte de temps; je te dis, clairement franchement, qu'une discussion avec toi, ça me dit rien; t'as pas le niveau, pour preuve tes niaiseries sur la shout à propos de l'immigration; blablabla... fatigué de tes réponses, des miennes, j'efface tout... tu insistes, je te fais disparaître...
-tu penses que le cinéma de tarantino c'est un cinéma de la crise de l'image-action?
-tu penses que l'image de la pensée chez deleuze, c'est "je dis ce que je veux, je pense ce que je veux..."?
(Burdeau, le mec a écrit trois trucs : "encore la police, quelle tristesse"; "vous valez mieux que ça les spectres"; "vous avez tout lu; quel amour, quelle aigreur"...
il a effacé les deux premiers, et laissé le dernier.
simple; il suffit de corriger ses conneries pour qu'il dénonce une opération de police; c'est aussi un gars qui veut raconter n'importe quoi...)
tout est parti de la critique du dernier tarantino par JLL; un truc au-delà du comique.
Je m'en moque, un gars intervient pour me dire que JLL c'est pas un idiot, il le connaît bien; il sait bien son Deleuze...
Je lui dis que l'on ne pouvait pas raconter n'importe quoi à propos de deleuze (comme il le faisait, et surtout comme le fait son ami JLL) que ses concepts avaient un sens, une nécessité; il dit que non, que mon deleuze, c'est dogmatique, que je le place trop haut; lui s'en croit l'égal; mon deleuze, c'est de la philo, le sien c'est un objet de conversation; J'ai dit : "mais alors tu fais de deleuze ce qu'il est pas";
-le gars : "on peut dire ce qu'on veut, penser ce qu'on veut, c'est comme ça, c'est la démocratie";
- moi : "mais la pensée n'a rien à voir avec la démocratie comprise comme expression de la doxa; deleuze n'a pas renoncé à la vérité; et en général, y a des critères de la vérité...
Et c'est là que t'es arrivé, pour rigoler : "des critère pour la vérité... trop drôle".
Je comprends rien à deleuze, sert à rien que je le lise.
Je t'explique l'allusion à aristote et à l'amitié, dans l'un de mes commentaires, comment le "philosophe ami de la vérité" d'aristote était devenu chez deleuze, un "ami du concept"...
tu continues à ne rien dire; alors, là, illumination : je vois le nom du gars avec qui je discute... personne d'autre que la fameuse langouste zombie d'enculture, bub l'éclair de Nietzsche; quelle perte de temps; je te dis, clairement franchement, qu'une discussion avec toi, ça me dit rien; t'as pas le niveau, pour preuve tes niaiseries sur la shout à propos de l'immigration; blablabla... fatigué de tes réponses, des miennes, j'efface tout... tu insistes, je te fais disparaître...
-tu penses que le cinéma de tarantino c'est un cinéma de la crise de l'image-action?
-tu penses que l'image de la pensée chez deleuze, c'est "je dis ce que je veux, je pense ce que je veux..."?
(Burdeau, le mec a écrit trois trucs : "encore la police, quelle tristesse"; "vous valez mieux que ça les spectres"; "vous avez tout lu; quel amour, quelle aigreur"...
il a effacé les deux premiers, et laissé le dernier.
simple; il suffit de corriger ses conneries pour qu'il dénonce une opération de police; c'est aussi un gars qui veut raconter n'importe quoi...)
Dernière édition par Borges le Lun 21 Jan 2013 - 18:10, édité 1 fois
Borges- Messages : 6044
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
Si l'on oublie que l'on a des deux cotés probablement des personnes entre 27 et 50 ans qui ne se cachent pas d'être formées entre Bac+5 et Bac+22 c'est marrant, lorsqu'on s'en rappelle complètement pathétique. Il ne s'agît jamais que de querelles vraiment très très chiantes entre des savoirs ou des composants d'un même savoir, ou deux bouts d'une même phrase (moi je suis la majuscule toi le point...).
Sachant qu'entre forumistes (par définition bénévoles et écrivant sans contrainte) les relations sont souvent exacerbées, et que même la gratuité n'empêche pas les attitudes corporatistes (sans doute la seule vérité politique que j'ai retirée des forum*), il est logiques qu'elles soient exécrables en chez les critiques payés vivant de ce métier, et sans doute encore plus dégradées chez les cinéastes et les acteurs professionnels§. On mesure alors que ce qui s'est passé en 1997 avec la mobilisation des cinéastes contre les lois Debré, tient du miracle épiphanique socio-psychologique qui n'est pas près de se reproduire (ni chez les cinéastes, ni chez les critiques). Et c'est par ailleurs une bonne raison d'être dégouté du cinéma.
Même si par ailleurs, je reconnais que la création d'une revue ou d'un forum est un investissement, et un travail non rémunéré mais important pour la communauté à saluer.
Sachant qu'entre forumistes (par définition bénévoles et écrivant sans contrainte) les relations sont souvent exacerbées, et que même la gratuité n'empêche pas les attitudes corporatistes (sans doute la seule vérité politique que j'ai retirée des forum*), il est logiques qu'elles soient exécrables en chez les critiques payés vivant de ce métier, et sans doute encore plus dégradées chez les cinéastes et les acteurs professionnels§. On mesure alors que ce qui s'est passé en 1997 avec la mobilisation des cinéastes contre les lois Debré, tient du miracle épiphanique socio-psychologique qui n'est pas près de se reproduire (ni chez les cinéastes, ni chez les critiques). Et c'est par ailleurs une bonne raison d'être dégouté du cinéma.
Même si par ailleurs, je reconnais que la création d'une revue ou d'un forum est un investissement, et un travail non rémunéré mais important pour la communauté à saluer.
Dernière édition par Tony le Mort le Lun 21 Jan 2013 - 17:56, édité 7 fois
Invité- Invité
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
Et puis dans ces situations, celui qui avance l'idée de synthèse et de réconciliation rafle toujours une sorte de mise politique, qu'il soit faux-cul ou sincère. Ces polémiques sont toujours une manière d'indiquer qui attend un maître dont le pouvoir correspondrait à un changement de discours.
Et ça c'est un sacré point commun...
Et ça c'est un sacré point commun...
Invité- Invité
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
Baudouin II de Barvaux a écrit:Ah, ce brav'Kuni. Kuni le brave... Y voit à 5 mètres.
putain, je croyais que c'était à dix mètres
Borges- Messages : 6044
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
merci pour ces éclaircissements, tony.
Borges- Messages : 6044
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
là dessus au lieu de le faire tu effaces tout. (alors que tu venais de dire qu'un effaçage de Burdeau était un aveu de faiblesse)
je n'ai jamais dit que c'était un aveu de faiblesse; j'ai signalé, pour la clarté de la continuité de la discussion.
j'ai effacé notre discussion, parce qu'elle n'avait aucune raison, m'ennuyait; parce qu'elle était pas à son lieu, comme tu l'as toi-même signalé...
Borges- Messages : 6044
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
(19:37:54) Kuni_l'hungus: ah et quand tu dis qu'il trouvait que ses messages n'étaient "pas à la hauteur" ou un truc du genre pardone je n'ai plsu accès au texte... c'était juste pour la clarté de la discussion? Y avait aucun ajout vistant à montrer qu'il s'agissait d'une honte de sa part?
putain mec, est-ce que tu auras un jour le sens de l'humour; voici la réplique :
Spectres du Cinéma : Pour ceux qui suivent cette discussion; quelques répliques manquent; E.Burdeau est intervenu deux ou trois fois; trouvant ses commentaires en dessous de tout, il a préféré les effacer, sauf un, je crois, d'une force remarquable, où il parle d'amour et d'aigreur. Revenez quand vous voulez, mon vieux; n'oubliez pas de prendre vos meths, cette fois.
-je t'ai cité ses commentaires, plus celui où il a cru nécessaire d'annoncer au monde qu'après nous avoir privé de son amitié (c'était il y a quelques mois; pas de commentaires possibles sur sa page; lui, pouvant toujours commenter sur la page des spectres;) il allait désormais nous bloquer : plus d'accès à sa page, pour y lire ses conneries.
il avait privé les spectres de son amitié, parce que je lui avais fait remarquer plusieurs fois que je trouvais ridicule certains de ses statuts, du genre :"je cherche un article incroyable, quelqu'un pourrait..."; "quelqu'un pourrait me scanner le numéro un tel des cahiers du cinéma"; "j'écris une série sur les séries, si vous avez envie de lire quelque chose sur une série ou l'autre; dites moi laquelle, je vous fait ça".
Borges- Messages : 6044
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
t'es con l'angouste; passons à autre chose.
Borges- Messages : 6044
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
Putain s'ils avaient connu le statut Facebook :
-Truffaut serait devenu le scénariste de Cayatte
-Renoir serait devenu trotskyste
-Albert Camus ne serait pas mort d'un accident de la route et serait le père de Adrien Camus qui écrit dans le Meilleurs des Mondes qui serait le père de Claude-Adrien Camus qui écrit dans Atlantico, parce que Sartre aurait exploité les photos de la Facel-Véga pour saboter le prix Nobel et lui du coup l'aurait accepté, ce qui fait que Claude Simon n'aurait jamais été Prix Nobel, ce qui fait que Michel Houellebecq n'aurait pas attaqué le Nouveau Roman dont il est par ailleurs un succédané, ou que tout le monde s'en foutrait, ce qui fait que Lire ne l'aurait pas interviewé en 2001, ce qui fait que le 11 Septembre n'aurait jamais eu lieu, ce qui fait que la lutte contre la pensée unique ignorerait qu'elle est la pensée unique, ce qui fait qu'elle serait castrée politiquement par la conscience de son imbécilité théorique, ce qui fait qu'Atlantico n’existerait pas, et nous serions alors en plein paradoxe temporel!
-Truffaut serait devenu le scénariste de Cayatte
-Renoir serait devenu trotskyste
-Albert Camus ne serait pas mort d'un accident de la route et serait le père de Adrien Camus qui écrit dans le Meilleurs des Mondes qui serait le père de Claude-Adrien Camus qui écrit dans Atlantico, parce que Sartre aurait exploité les photos de la Facel-Véga pour saboter le prix Nobel et lui du coup l'aurait accepté, ce qui fait que Claude Simon n'aurait jamais été Prix Nobel, ce qui fait que Michel Houellebecq n'aurait pas attaqué le Nouveau Roman dont il est par ailleurs un succédané, ou que tout le monde s'en foutrait, ce qui fait que Lire ne l'aurait pas interviewé en 2001, ce qui fait que le 11 Septembre n'aurait jamais eu lieu, ce qui fait que la lutte contre la pensée unique ignorerait qu'elle est la pensée unique, ce qui fait qu'elle serait castrée politiquement par la conscience de son imbécilité théorique, ce qui fait qu'Atlantico n’existerait pas, et nous serions alors en plein paradoxe temporel!
Dernière édition par Tony le Mort le Lun 21 Jan 2013 - 20:15, édité 13 fois
Invité- Invité
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
Sans vouloir me mêler de ce qui ne me regarde pas ici, j'ai envie de faire quelques remarques sur le cas "Kuni", puisqu'il use de ce "vous" générique qui englobe un certain type de personnes, dont moi.
Je remarque ceci, de façon récurrente: Kuni aime à largement pratiquer ce qu'il condamne.
Kuni aime à rappeler sans fin, appuyant par là les énoncés auto-persuasifs de Baldanders, que "vous", cad "nous", dont moi, détournons les énoncés des personnes pour finalement nous en prendre aux personnes. Je prétendrais m'attaquer à des énoncés, mais en fait, c'est la personne que je vise, etc.
- Or la seule préoccupation discursive de Kuni, que ce soit en shout ou en forums (ne parlons pas de ses notules critiques sur des films, qui sont d'une bêtise formatée pas même digne des formules compilées sur allociné), c'est la personne. Bien qu'il mette en scène, et de façon assez grotesque, le fait que lui, contrairement à "moi", se concentre sur les énoncés, leur sens. Pourtant, il trouvera difficilement quelqu'un de plus maniaquement attentif aux mots précis utilisés dans un échange, et à la logique des énoncés: on me le reproche assez.
Lui, me reproche de "détourner", de "déformer" (c'est son grand "concept") systématiquement les mots des autres pour en faire autre chose qui arrangerait ma volonté de démontrer la connerie des personnes.
Mais c'est lui, on peut craindre qu'il ne s'en rendre même plus compte, à force, qui en permanence "déforme", "détourne" les énoncés, faute d'en comprendre réellement le sens. Si on s'avise de tenter de discuter avec Kuni, on est aussitôt piégé dans un jeu rhétorique tournant à vide, jusqu'à l'usure de l'interlocuteur: il mitraille phrases sur phrases, dans lesquelles son obsession unique est de discuter le sens de tel mot ou tel mot que vous avez employé. Et quand vous commencez à répondre à une de ses nombreuses phrases, il réserve à votre commencement de réponse le même sort: discuter chaque terme employé, jusqu'à "prouver" que vous, vous le lisez mal, de travers, etc. Ajoutant à chaque nouvelle phrase un nouveau problème d'interprétation surgissant de votre réponse précédente, et s'additionnant au précédent qui restait en attente... multipliant ainsi comme des petits pains tous les "problèmes" qui prouvent, et prouveront, à l'attention soi-disant d'un lecteur éclairé, votre mauvaise-foi, votre stratégie, votre focalisation sur les personnes, votre absence de rigueur, vos "déformations", etc, etc, etc. Alors que vous, votre principal souci, sous ce feu nourri, c'est de simplement comprendre ce que Kuni essaie d'exprimer laborieusement par sa prose dactylophobe, proche du chaos, truffée d'élisions, de coquilles... *
La manière de Kuni est épuisante, infantile, débilitante, et pour un contenu ou une signification nuls: ce qu'il "raconte" n'a jamais aucune espèce d'intérêt.
On a vu le résultat: un jeu sur les mots, au "terme à terme", à courte vue:
"tu as dis ceci, j'ai dit cela, alors que j'avais dit ceci, mais tu avais dit autre chose. Alors je te dis que j'ai dit que t'as dit etc etc etc".
- Un autre trait adjacent, et partagé, de la manière de Kuni, c'est le "monologue" en shout, où il se confirme perpétuellement lui-même tout en s'accordant d'innombrables "victoires" sur son "adversaire": aha, tu es fait et refait, j'ai prouvé par a+b que tu avais fait ceci, es cela; je te l'ai mise bien profonde, et tu ne l'as pas supporté, tu reviens te venger, et c'est pathétique, petit, bas, médiocre; te rends-tu compte à quel point tu es ridicule? etc etc etc
(Notons que par cette méthode, Kuni imite Baldanders. Car Kuni, en tant qu'énonciateur, n'a aucune personnalité propre).
L'unique préoccupation qui ressort des phrases de Kuni, c'est de discuter de la personne, de prouver qu'elle est ceci, ou cela, de préférence malhonnête et sophiste, par contraste avec lui, de préférence honnête et attaché à la rigueur argumentative.
En dehors de ça, Kuni n'a rien d'intéressant à raconter, jamais. N'élargit jamais les limites de ses "démonstrations" centrées sur la personne, vers quelque réflexion qui aurait une portée un peu plus générale.
Il reste prisonnier du "concours de bites" dont il accuse l'autre en permanence, alors que c'est finalement la seule chose qu'il pratique et a à proposer.
Le plus désolant, dans tout ça, c'est que malgré ses efforts réitérés, Kuni ne parvient toujours pas, hélas et bien sûr, à retenir un peu l'attention...
*
Je remarque ceci, de façon récurrente: Kuni aime à largement pratiquer ce qu'il condamne.
Kuni aime à rappeler sans fin, appuyant par là les énoncés auto-persuasifs de Baldanders, que "vous", cad "nous", dont moi, détournons les énoncés des personnes pour finalement nous en prendre aux personnes. Je prétendrais m'attaquer à des énoncés, mais en fait, c'est la personne que je vise, etc.
- Or la seule préoccupation discursive de Kuni, que ce soit en shout ou en forums (ne parlons pas de ses notules critiques sur des films, qui sont d'une bêtise formatée pas même digne des formules compilées sur allociné), c'est la personne. Bien qu'il mette en scène, et de façon assez grotesque, le fait que lui, contrairement à "moi", se concentre sur les énoncés, leur sens. Pourtant, il trouvera difficilement quelqu'un de plus maniaquement attentif aux mots précis utilisés dans un échange, et à la logique des énoncés: on me le reproche assez.
Lui, me reproche de "détourner", de "déformer" (c'est son grand "concept") systématiquement les mots des autres pour en faire autre chose qui arrangerait ma volonté de démontrer la connerie des personnes.
Mais c'est lui, on peut craindre qu'il ne s'en rendre même plus compte, à force, qui en permanence "déforme", "détourne" les énoncés, faute d'en comprendre réellement le sens. Si on s'avise de tenter de discuter avec Kuni, on est aussitôt piégé dans un jeu rhétorique tournant à vide, jusqu'à l'usure de l'interlocuteur: il mitraille phrases sur phrases, dans lesquelles son obsession unique est de discuter le sens de tel mot ou tel mot que vous avez employé. Et quand vous commencez à répondre à une de ses nombreuses phrases, il réserve à votre commencement de réponse le même sort: discuter chaque terme employé, jusqu'à "prouver" que vous, vous le lisez mal, de travers, etc. Ajoutant à chaque nouvelle phrase un nouveau problème d'interprétation surgissant de votre réponse précédente, et s'additionnant au précédent qui restait en attente... multipliant ainsi comme des petits pains tous les "problèmes" qui prouvent, et prouveront, à l'attention soi-disant d'un lecteur éclairé, votre mauvaise-foi, votre stratégie, votre focalisation sur les personnes, votre absence de rigueur, vos "déformations", etc, etc, etc. Alors que vous, votre principal souci, sous ce feu nourri, c'est de simplement comprendre ce que Kuni essaie d'exprimer laborieusement par sa prose dactylophobe, proche du chaos, truffée d'élisions, de coquilles... *
La manière de Kuni est épuisante, infantile, débilitante, et pour un contenu ou une signification nuls: ce qu'il "raconte" n'a jamais aucune espèce d'intérêt.
On a vu le résultat: un jeu sur les mots, au "terme à terme", à courte vue:
"tu as dis ceci, j'ai dit cela, alors que j'avais dit ceci, mais tu avais dit autre chose. Alors je te dis que j'ai dit que t'as dit etc etc etc".
- Un autre trait adjacent, et partagé, de la manière de Kuni, c'est le "monologue" en shout, où il se confirme perpétuellement lui-même tout en s'accordant d'innombrables "victoires" sur son "adversaire": aha, tu es fait et refait, j'ai prouvé par a+b que tu avais fait ceci, es cela; je te l'ai mise bien profonde, et tu ne l'as pas supporté, tu reviens te venger, et c'est pathétique, petit, bas, médiocre; te rends-tu compte à quel point tu es ridicule? etc etc etc
(Notons que par cette méthode, Kuni imite Baldanders. Car Kuni, en tant qu'énonciateur, n'a aucune personnalité propre).
L'unique préoccupation qui ressort des phrases de Kuni, c'est de discuter de la personne, de prouver qu'elle est ceci, ou cela, de préférence malhonnête et sophiste, par contraste avec lui, de préférence honnête et attaché à la rigueur argumentative.
En dehors de ça, Kuni n'a rien d'intéressant à raconter, jamais. N'élargit jamais les limites de ses "démonstrations" centrées sur la personne, vers quelque réflexion qui aurait une portée un peu plus générale.
Il reste prisonnier du "concours de bites" dont il accuse l'autre en permanence, alors que c'est finalement la seule chose qu'il pratique et a à proposer.
Le plus désolant, dans tout ça, c'est que malgré ses efforts réitérés, Kuni ne parvient toujours pas, hélas et bien sûr, à retenir un peu l'attention...
*
- Spoiler:
- * Ne parlons pas d'orthographe (ce serait "preuve" de bas mépris élitiste), ou de syntaxe - puisque Kuni semble fier de la justesse grammaticale de ses énoncés.
Le prob n'est pas d'avoir un minimum d'ortho et de syntaxe, ou d'étaler je ne sais quelle fierté imbécile à ce sujet. Bien évidemment.
Le prob est de parvenir à se faire comprendre. Il est difficile d'apprécier à leur pleine valeur (esthétique) la justesse grammaticale des énoncés de Kuni: vu le temps qu'on prend à essayer d'en comprendre le sens en les relisant pour la 10è fois, en vain. Et c'est aussi pourquoi, au bout de 5 ou 6 énoncés qu'on croirait torchés avec les doigts de pied d'un proto-demeuré en phase épileptique, on en vient simplement à ne plus le lire. Et Kuni, le brave Kuni, s'imagine de son côté avoir "prouvé" des tas de trucs à votre sujet, que vous refusez d'entendre ou d'admettre... Des tas de trucs clairs dans sa tête bien ordonnée et rigoureuse, sans nul doute, mais dont l'expression scripturale constitue un défi majeur pour les futurs Champollion de ces cryptes énigmatiques constituées par le legs précieux des archives kuniennes. C'est combien comique. A l'insu de son plein gré, sans doute sans doute... Car la valeur humoristique (au sens réflexif) des énoncés kuniens est en effet bien cachée, déguisée, elle aussi. Préférons "inconsciente" - si on croit à l'inconscient, derechef.
Dernière édition par Baudouin II de Barvaux le Lun 21 Jan 2013 - 21:43, édité 11 fois
Invité- Invité
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
oui; c'est épuisant; et on devient con, à force de discuter avec lui, parce que cela ne semble jamais avoir d'objet... c'est pourquoi je lui ai posé les deux questions, à l'origine de tout ça, sur deleuze et tarantino (quelle association, rien que ça c'est comique) :
-le cinéma de tarantino (que tu aimes) c'est la crise de l'image-action?
-quel est le statut de la vérité-concept chez deleuze?
-en quoi ce que j'en ai dit est faux?
-le cinéma de tarantino (que tu aimes) c'est la crise de l'image-action?
-quel est le statut de la vérité-concept chez deleuze?
-en quoi ce que j'en ai dit est faux?
Dernière édition par Borges le Lun 21 Jan 2013 - 20:30, édité 1 fois
Borges- Messages : 6044
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
Tony le Mort a écrit:Putain s'ils avaient connu le statut Facebook :
-Truffaut serait devenu le scénariste de Cayatte
-Renoir serait devenu trotskyste
-Albert Camus ne serait pas mort d'un accident de la route et serait le père de Adrien Camus qui écrit dans le Meilleurs des Mondes qui serait le père de Claude-Adrien Camus qui écrit dans Atlantico, parce que Sartre aurait exploité les photos de la Facel-Véga pour saboter le prix Nobel et lui du coup l'aurait accepté, ce qui fait que Claude Simon n'aurait jamais été Prix Nobel, ce qui fait que Michel Houellebecq n'aurait pas attaqué le Nouveau Roman, ou que tout le monde s'en foutrait, ce qui fait que Lire ne l'aurait pas interviewé en 2001, ce qui fait que le 11 Septembre n'aurait jamais eu lieu , ce qui fait que la lutte contre la pensée unique ignorerait qu'elle est la pensée unique, ce qui fait qu'Atlantico n’existerait pas, et nous serions alors en plein paradoxe temporel!
merci pour ces variations imaginaires uchroniques, tony.
Borges- Messages : 6044
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
...Iggy Pop craint depuis "Arizona Dream" et même Jarmusch, ça fait,20 ans qu'il a 60 ans, le cinéma l'a vieilli puis cryogénisé, c'est un vrai sujet.
Cronenberg qui reste encore un bon cinéaste est en retard sur le mainstream et c'est triste
Cronenberg qui reste encore un bon cinéaste est en retard sur le mainstream et c'est triste
Invité- Invité
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
Le point aveugle qui nous relie tous à Burdeau est là: nous avons tous compris trop tard compris que l'essoufflement épochal de Mystery Train est politique et extra-artistique au sens ou Paul Claudel est politique et extra-artistique, avant que d'être ontologique.
Rappelons que ce film date de l'année de la chute du mur, mais que l'intrus, le voyageur ne vient pas du Rideau de Fer mais du Japon, de ce qui est le derrière le rideau de fer montré avant le moment de son inéluctable chute.
Dévoiler le derrière du finissant qui n'est pas mort: voilà le cinéma du milieu.
Jarmush terminait ce que Wenders a raté avant même que celui-ci (Wenders) ne le commence, avec suffisamment d'inconscience pour que c'en soit fini des années 70.
Je propose donc que l'on revoitetous Mystery Train avant de reprendre la discussion.
Rappelons que ce film date de l'année de la chute du mur, mais que l'intrus, le voyageur ne vient pas du Rideau de Fer mais du Japon, de ce qui est le derrière le rideau de fer montré avant le moment de son inéluctable chute.
Dévoiler le derrière du finissant qui n'est pas mort: voilà le cinéma du milieu.
Jarmush terminait ce que Wenders a raté avant même que celui-ci (Wenders) ne le commence, avec suffisamment d'inconscience pour que c'en soit fini des années 70.
Je propose donc que l'on revoitetous Mystery Train avant de reprendre la discussion.
Invité- Invité
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
Tony le Mort a écrit:Putain s'ils avaient connu le statut Facebook :
-Truffaut serait devenu le scénariste de Cayatte
-Renoir serait devenu trotskyste
-Albert Camus ne serait pas mort d'un accident de la route et serait le père de Adrien Camus qui écrit dans le Meilleurs des Mondes qui serait le père de Claude-Adrien Camus qui écrit dans Atlantico, parce que Sartre aurait exploité les photos de la Facel-Véga pour saboter le prix Nobel et lui du coup l'aurait accepté, ce qui fait que Claude Simon n'aurait jamais été Prix Nobel, ce qui fait que Michel Houellebecq n'aurait pas attaqué le Nouveau Roman dont il est par ailleurs un succédané, ou que tout le monde s'en foutrait, ce qui fait que Lire ne l'aurait pas interviewé en 2001, ce qui fait que le 11 Septembre n'aurait jamais eu lieu, ce qui fait que la lutte contre la pensée unique ignorerait qu'elle est la pensée unique, ce qui fait qu'elle serait castrée politiquement par la conscience de son imbécilité théorique, ce qui fait qu'Atlantico n’existerait pas, et nous serions alors en plein paradoxe temporel!
"Truffaut est devenu ami avec Jacqueline Bisset. Bernard Menez like le statut. Commentaire de statut par Bernard Menez à 10:23 : "wohohoh jolie poupée !" 23 personnes likent. Truffaut a ajouté "La nuit américaine" à ses films. Bernard Menez et Nathalie Baye likent cela. Commentaire de Jean-Luc G. à 23:20 : "Il n'y a pas de statuts justes, il y a juste des statuts." Réponse de Truffaut à 23:23 : "Pffff". Truffaut a ajouté Steven Spielberg à la liste de personnes qui l'inspire. Jean-Luc G. a envoyé un MP à Truffaut. Truffaut bloque Jean-Luc G."
Dr. Apfelgluck- Messages : 469
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
Dr. Apfelgluck a écrit:
"Truffaut est devenu ami avec Jacqueline Bisset. Bernard Menez like le statut. Commentaire de statut par Bernard Menez à 10:23 : "wohohoh jolie poupée !" 23 personnes likent. Truffaut a ajouté "La nuit américaine" à ses films. Bernard Menez et Nathalie Baye likent cela. Commentaire de Jean-Luc G. à 23:20 : "Il n'y a pas de statuts justes, il y a juste des statuts." Réponse de Truffaut à 23:23 : "Pffff". Truffaut a ajouté Steven Spielberg à la liste de personnes qui l'inspire. Jean-Luc G. a envoyé un MP à Truffaut. Truffaut bloque Jean-Luc G."
Je like ça!
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
Je te poke cher Docteur.
careful- Messages : 690
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
Dr. Apfelgluck a écrit:"Truffaut est devenu ami avec Jacqueline Bisset. Bernard Menez like le statut. Commentaire de statut par Bernard Menez à 10:23 : "wohohoh jolie poupée !" 23 personnes likent. Truffaut a ajouté "La nuit américaine" à ses films. Bernard Menez et Nathalie Baye likent cela. Commentaire de Jean-Luc G. à 23:20 : "Il n'y a pas de statuts justes, il y a juste des statuts." Réponse de Truffaut à 23:23 : "Pffff". Truffaut a ajouté Steven Spielberg à la liste de personnes qui l'inspire. Jean-Luc G. a envoyé un MP à Truffaut. Truffaut bloque Jean-Luc G."
Invité- Invité
Re: KuniLangouste et la question de la vérité chez Deleuze.
(23:07:22) Kuni_l'hungus: Borges si tu as écrit que "la pensée n'a rien à voir avec la démocratie comprise comme expression de la doxa; deleuze n'a pas renoncé à la vérité; et en général, y a des critères de la vérité..." tu n'as pas dit grand chose d'érroné. QUoiqu'il faudrait encore voir dans quelle mesure il n'y a pas renoncé, quel est ce renoncement qu'il ne fait pas. Enfin c'est déjà énormément s'avancer me semble-t-il surle texte de deleuze.
(23:07:43) Kuni_l'hungus: Mais il me semble que e n'était pa,s de surcroit, la phrase initiale.
(23:08:45) Kuni_l'hungus: laquelle ne précisait pas que Deleuze n'avait pas renoncé à la vérité, mais surtout ne faisiat pas mention de cette généralité.
(23:10:12) Kuni_l'hungus: auquel cas elle semblait montrer que tu entendais montrer la vérité du texte de Deleuze, ou bien même qu'il y avait une vérité du texte de Deleuze. Voire pire, qu'on pouvait lire Deleuze selon la vérité de son texte.
(23:10:59) Kuni_l'hungus: Ce qui dans une optique Deleuzienne n'est pas faux mais totalment inopérant.
(23:12:36) Kuni_l'hungus: ça n'a tout simplement pas de sens, la vérité du texte de Deleuze, pas plus d'ailleurs que de se servir du texte de Deleuze pour dire que ce qui permet de sortir de l'opinion ce sont des critères qui eux mènent à la vérité. Autre chose qui ressort de ton discours tel qu'il était écrit.
(23:12:54) Kuni_l'hungus: Mais ça je te l'ai déjà dit.
(23:13:22) Kuni_l'hungus: Comme si donc pour deleuze, qui n'a pas rénconcé à la vérité, cette dernière restait en tant que finalité.
(23:14:03) Kuni_l'hungus: tout ça je te l'ai dit dans les messages que tu as effacés.
(23:15:31) Kuni_l'hungus: (hormis le passage sur la vérité du texte de Deleuze)
(23:16:14) Kuni_l'hungus: mais pardon les deux quiestinons précises initiales ne sont pas celels-là.
(23:17:55) Kuni_l'hungus: ça c'est la deuxième question telle que tu l'as reformulée et à laquelle j'avais finalement déjà répondu avant que tu ne la poses. Tu sais dans les messages que tu as effacés...
(23:20:53) Kuni_l'hungus: les questions précises initiales étaient celle-ci : "-tu penses que le cinéma de tarantino c'est un cinéma de la crise de l'image-action?". Hum, pas particulièrement, je pense, comme ça a première vue en balayant vite fait ce que je connais du cinéma de Tarantino et de l'image temps. Je pense que cela ressemble à une reprise très classique de l'image action... encore faudrait-il savoir dans quelle mesure s'y constitue une crise.
(23:21:28) Kuni_l'hungus: et dans quelle mesure Tarantino la révèle, ou l'instaure.
(23:23:26) Kuni_l'hungus: si on pense par exemple au dernier plan de boulevard de la mort certaines choses m'y troublent, et c'est vrai qu'on n'est plus vraiment dans l'image action (alors que pourtant celle-ci est portée à son paroxysme: un coup de pied dans la gueule).
(23:24:04) Kuni_l'hungus: dans la anière de l'opérer on ne joue déjà plsu dans les structures narratives de l'image action.
(23:24:08) Kuni_l'hungus: me semble-t-il.
(23:25:56) Kuni_l'hungus: enfin bref, non je ne pense pas a priori mais si je lisais un texte dans lequel ceci est écrit,je seraisintrigué et au lieu d'affirmer en bloc que ce mec n'a rien compris à Deleuze et à Tarantino j'essaierai de savoir en quel sens il entend le terme crise pour affirmer cela.
(23:26:03) Kuni_l'hungus: deuxième question.
(23:28:02) Kuni_l'hungus: -tu penses que l'image de la pensée chez deleuze, c'est "je dis ce que je veux, je pense ce que je veux..."? A ceci j'ai déjà répondu par avance encore une fois et en effet ce n'est pas "je pense ce que je veux", (d'ailleurs personne ne t'a dit cela en fait). Par contre je t'ai répondu que ce qui fait sortir du "je pense ce que je veux" ce n'est pas "la vérité", ni la recherche de la vérité.
(23:28:31) Kuni_l'hungus: Et non ce n'est pas au nom de la vérité que la pensée ne peut pas penser ce qu'elle veut.
je copie-colle ces enfantillages de kuni l'angouste en attendant de trouver le temps de "répondre", et surtout le désir.
Borges- Messages : 6044
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