des photos, des stars : uniquement.

George Lazenby un seul Bond : Au service secret de sa majesté

La jaquette du livre.

le regard envieux du mec à gauche et la tête de mort de Nicholson

NJP

Munch

Je découvre Maria Michi via Paisa

Aaargh...(étrange carrire, elle n'a pas beaucoup joué)

Cette fixation de Rosselini sur le personnage de la prostituée au grand coeur, qui dans Païsa est clairement un personnage plus fantasmatique, plus classiquement romanesque, que les autres. Ce personnage revient dans Della Rovere.
Il y a sans doute l'idée de la figure christique de Marie Madeleine (la vraie vertu est cachée, humiliée et modeste), mais le contexte d'où elle est filmée cela est toujours extrêmement sensuel, placé juste avant le paradoxe de l'édification morale.

Les prostituées chez Rosselini comptent parmi les rares personnages dont l'histoire passée n'est pas développée (elles écoutent le récit que tiennent les autres personnages, mais ne se présentent pas). Comme si la sexualité était au centre d'une opposition entre présentation de soi et la morale. La morale chez Rosselini est déjà une identité, pas un engagement, si on rend raison de soi avant d'êrtre vertueux, on sort de l'histoire pour lui. Le Christianisme se tient là où ce rapport est logique.
La sexualité détermine aussi de l'extérieur ce qui relève encore du conte dans le néoréalisme (soit l'idée d'un rapport symbolique et métaphorique à l'idée de chute).

Jean et Auguste Renoir, photo de Pierre Bonnard

Pou moi Dana Andrews est un des acteurs qui a le plus de "présence" à l'écran.

Peter Cushing
et l'élégance glacée de Cristopher Lee

Melina Merkouri, là dans Jamais le dimanche que j'ai adorée jeune pour sa voix chaude, sa féminité, sa drôlerie.
un petit air de Gina Rowlands, non ?

Bonne nuit Hal

c'est une des filles de 17 filles et qui cartonne maintenant paraît-il dans la série de Canal, les revenants. C'est peut-être prématuré de la retrouver là dans ce topic mais elle a du chien.

Kurosawa, Rêves, 1990

Scorsese en van Gogh ...