On ne s'évade pas du temps. Midnight in Paris (W. Allen), La Jetée (C. Marker) et d'autres

Totalement par hasard, je me retrouve ce week-end à lire la Recherche du temps perdu, regarder Midnight in Paris de Woody Allen hier et revoir aujourd'hui, la Jetée de Chris Marker (précédé de l'Armée des douze singes, son versant grand public mais néanmoins très réussi de Terry Gilliam, qui ne réussit pas souvent ses films).

Résultat le futur me fait peur, le passé me fait peur, accrochons-nous au présent. C'est la morale du Woody Allen (très cul-cul la praline) et la conclusion tragique du Marker. A peu près la seule analogie qui me vienne entre ces deux films si éloignés et si proches (Paris, la fuite dans le passé).

C'est un programme qui donne bien envie… Mais quelle drôle d'idée de regarder le Woody Allen, hé hé hé.

Et oui, on voulait du léger, on a été servi... Moi surtout, parce que ma copine s'était endormie rapidement