La mort, au travail
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Re: La mort, au travail
Baudouin II de Barvaux a écrit:(je parlais à Careful, qui a supprimé son post entretemps, lol)
(yep, je trouvais ma remarque tout aussi conne que les remarques de ce J.Colin face à D.Darc )
careful- Messages : 690
Re: La mort, au travail
M'en fous de Taxi (en fait j'aime bien et mieux Collin que Lecuyer, même si trop centré sur une sorte de snobisme bruxellois, mais le présentateur n'est pasau centre), je regarde rarement, c'était juste parce qu'avant je n'avais entendu Daniel Darc parler, ni d'ailleurs vu ailleurs qu'en photo .
Par contre j'aimais mieux quand je rgardais plus la télé intérieur nuit, l'émission de la RTBF qui précédait juste des bons reportages et une voix, sans rien de plus.
Par contre j'aimais mieux quand je rgardais plus la télé intérieur nuit, l'émission de la RTBF qui précédait juste des bons reportages et une voix, sans rien de plus.
Dernière édition par Tony le Mort le Mar 5 Mar 2013 - 20:34, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: La mort, au travail
On avait compris, quand-même. Trouve moi qqun qui s'en fout pas, de "hep taxi". Je veux dire hors d'un hospice, et qui ne soit pas manchot (ne pouvant donc zapper).
Invité- Invité
Re: La mort, au travail
Ce qui est pathétique dans Hep Taxi n'est pas tant le ton du présentateur, que les efforts désespérés pour faire passer le centre de Bruxelles pour celui d'une grande ville, avec une vie nocturne dans une atmosphère à la Jules Dassin de loose élégante et suffisamment collective pour crée un monde, qui amènent la Toyota Previa à faire des boucles dignes du style de conduite de Katherine Hepburn dans "l'Impossible Monsieur Bébé" . Une espèce de mythomanie géographique, assez belge finalement.
Et en plus il franchi rarement le nord du canal là où Bruxelles est moins connue.
Du côté néerlandophone il y avait la même chose en tram (genre le folkeux qui se met à faire une session acoustique de pauvre hobo solitaire au milieu sur la route 66 en traversant Woluwe MDR).
Et en plus il franchi rarement le nord du canal là où Bruxelles est moins connue.
Du côté néerlandophone il y avait la même chose en tram (genre le folkeux qui se met à faire une session acoustique de pauvre hobo solitaire au milieu sur la route 66 en traversant Woluwe MDR).
Invité- Invité
Re: La mort, au travail
http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/03/08/le-realisateur-damiano-damiani-est-mort_1845406_3246.html
Dr. Apfelgluck- Messages : 469
Re: La mort, au travail
Que se passe t il ? Tout le monde est en vacance dans sa cave ? Il y a des tensions entre vous ? Trop occupé à regarder diverses séries ?
A lire ? Manger ? A régler ses montres ?
Je sens qu'il se passe quelque chose...
A lire ? Manger ? A régler ses montres ?
Je sens qu'il se passe quelque chose...
careful- Messages : 690
Re: La mort, au travail
Plus trivialement je suis débordé (faire plus avec moins de fric et de collègues, ce qui me fait penser que Matrix et Badiou ne posent pas la question du salaire, c'est peut-être la seule question avec celle du chômage qui fait échapper au platonisme), partiellement en reprise d'étude dans un domaine que je n'aime pas (enfin qui est techniquement fascinant dont je n'aime pas les applications, qui font de la pornographie un truc mainstream, gratuit et de l’intimité et de l'analyse de coûteux produits de luxe) et déprimé par l'état politique et esthétique du monde les commentaires des lecteurs dans les journaux et le fait que la capacité d'écrire des textes (et aussi de lire ceux des autres) un peu personnels et critique est détruite par la possibilité de le diffuser immédiatement dans un contexte de pauvreté généralisée. Je me sens comme un croisement entre un personnage de Bresson et un personnage de Tronchet.
Dernière édition par Tony le Mort le Mer 13 Mar 2013 - 18:12, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: La mort, au travail
l'hiver, mon vieux; l'hiver, et, dans mon cas, une grande incapacité à écrire, penser... alors je lis des trucs faciles, mais tout de même chouettes, des bd, ou plutôt des comics, par exemple; je suis au troisième volume du "trône de fer". Quand j'écris, je commence des textes, et au bout de 30 minutes, je me lasse... une grande fatigue, mais j'en vois la fin
Borges- Messages : 6044
Re: La mort, au travail
Robert Castel est mort. sociologue, a travaillé sur les questions du salaire ('spas, Tony ) et des nouvelles conditions d'exploitation. courageusement, le gouvernement français lui a rendu hommage par la voix de son ministre... de la culture. s'il avait su qu'il était artiste, certain qu'il en aurait moins fait...
Invité- Invité
Re: La mort, au travail
Perso, j'ai passé une sorte de micro-phase dépressive après l'inexplicable et soudaine trépanation de mon Lacie Porsche-truc de 2 To qui contenait plus de 300 films (ainsi que plein de choses inavouables loadées avec une ferveur jésuitique sur le net) dont je n'avais pas encore vu le quart, et que j'avais patiemment choisis et engrangés. A vrai dire, je n'en suis pas encore sorti. Y a un terrible et dantesque acting-out qui se prépare. Je le sens dans les turbines rouillées de mon organisme, au son des os qui craquent et au senti des mystérieuses courbatures qui m'affligent.
Laissez-moi vous raconter l'horrible histoire de ce Lacie, saloperie de chien infidèle.
Réputé l'étalon de sa catégorie, ceci justifiant un coût bonbon, vanté partout, comme par ces vendus pourris de chez "les numériques", ce HDD élégant et classieux, à la coque rassurante toute de métal brossé, inspire la confiance, endort toute inquiétude. Le fourbe.
Fort d'une expérience d'archivage heureuse - et qui dure toujours (qu'à dieu ne plaise, et je touche du bois) avec mes déjà vieux Toshiba StorE-Alu, remplis jusqu'à la couenne, j'avais rangé au rayon des habitudes obsolètes la gravure sur dvd. Habitudes anachroniques autant qu'insatisfaisantes, monologuais-je d'un ton pénétré ne souffrant nulle contradiction: "je vais pas m'faire chier à compresser des bidules de 7,9 gigas, alors que je peux les mater tels qu'en eux-mêmes l'éternité les fige, à loisir, tantôt sur mon merveilleux écran à rétroéclairage led de 23 pouces et à angles de visions ouverts IPS, tantôt sur la tv via mon précieux moviecube emtec doté d'une connectique digne de Hal".
Ainsi archivais-je, tranquille et insouciant, chefs d’œuvre et nanars se côtoyant sur mon Lacie dans la plus parfaite égalité démocratique ranciérienne. Sans même penser à en dresser la liste, plaisir du choix inspiré dans l'instant non délibéré.
Or j'aurais du. Faire quelques captures d'écran de cette putain de liste. Quelques minutes eussent suffit. Car le trauma suscité par l'extinction définitive de ce Lacie porschiné à la flan a engendré lui-même une amnésie quasi-instantanée de son feu-contenu volatilisé. L'horreur sans nom, et j'en témoigne, le Nam, en regard d'une expérience aussi extrême, est une douce promenade champêtre. Là résida ma micro-dépression: dans la suture mémorielle, par laquelle je m'interdis alors, et m'interdis encore, de me souvenir de tout ce que j'ai perdu.
Parfois, ces dernières semaines, je passe en trainant les pieds (et ça fait "pfschh pfschh" sur le balatum ciré) devant les rayons de la médiathèque, l’œil torve et éteint, le rictus amer à la commissure des lèvres, refusant de lire les titres des pochettes pour ne pas réveiller cette douleur aigüe. On peut parler ici de deuil pathologique. Ouaih.
De cette expérience malheureuse, il convient, là encore, de tirer des enseignements positifs. Vous ne le savez que trop, "une mauvaise expérience vaut mieux qu'un bon conseil".
Désormais, j'ai pigé, là, c'est bon: mieux vaut archiver les trucs sur des dvds, même à moitié compressés (ou alors systématiquement copier ses fichiers sur un disque jumeau que t'allumes presque jamais, pour l'éconono, l'éconono - l'économiser, bordel). Un dvd, ça peut te lâcher, s'effacer, dit-on, dans un avenir encore indéterminé, ou passer sous un pneu michelin, une rappe à fromage... Mais tu perds pas 300 films d'un coup, en 1 seconde.
En plus, j'le sais, maintenant: Lacie, ça fait longtemps qu'y fabriquent plus eux-mêmes leurs disques durs. Y s'contentent de la coque, de laisser son design à je ne sais quel Philippe Starck à la manque ou à ne je sais quel constructeur de décapotables automobiles. Le disque dur lui-même, ici, c'était un Seagate. Seagate... Laisse moi m'marrer...
Non, Toshiba je dis. Avec un Toshiba, tu sais où tu vas: ça chauffe pas, jamais, pis c'est silencieux. C'est des gens sérieux, chez Toshiba.
Merde alors...
Laissez-moi vous raconter l'horrible histoire de ce Lacie, saloperie de chien infidèle.
Réputé l'étalon de sa catégorie, ceci justifiant un coût bonbon, vanté partout, comme par ces vendus pourris de chez "les numériques", ce HDD élégant et classieux, à la coque rassurante toute de métal brossé, inspire la confiance, endort toute inquiétude. Le fourbe.
Fort d'une expérience d'archivage heureuse - et qui dure toujours (qu'à dieu ne plaise, et je touche du bois) avec mes déjà vieux Toshiba StorE-Alu, remplis jusqu'à la couenne, j'avais rangé au rayon des habitudes obsolètes la gravure sur dvd. Habitudes anachroniques autant qu'insatisfaisantes, monologuais-je d'un ton pénétré ne souffrant nulle contradiction: "je vais pas m'faire chier à compresser des bidules de 7,9 gigas, alors que je peux les mater tels qu'en eux-mêmes l'éternité les fige, à loisir, tantôt sur mon merveilleux écran à rétroéclairage led de 23 pouces et à angles de visions ouverts IPS, tantôt sur la tv via mon précieux moviecube emtec doté d'une connectique digne de Hal".
Ainsi archivais-je, tranquille et insouciant, chefs d’œuvre et nanars se côtoyant sur mon Lacie dans la plus parfaite égalité démocratique ranciérienne. Sans même penser à en dresser la liste, plaisir du choix inspiré dans l'instant non délibéré.
Or j'aurais du. Faire quelques captures d'écran de cette putain de liste. Quelques minutes eussent suffit. Car le trauma suscité par l'extinction définitive de ce Lacie porschiné à la flan a engendré lui-même une amnésie quasi-instantanée de son feu-contenu volatilisé. L'horreur sans nom, et j'en témoigne, le Nam, en regard d'une expérience aussi extrême, est une douce promenade champêtre. Là résida ma micro-dépression: dans la suture mémorielle, par laquelle je m'interdis alors, et m'interdis encore, de me souvenir de tout ce que j'ai perdu.
Parfois, ces dernières semaines, je passe en trainant les pieds (et ça fait "pfschh pfschh" sur le balatum ciré) devant les rayons de la médiathèque, l’œil torve et éteint, le rictus amer à la commissure des lèvres, refusant de lire les titres des pochettes pour ne pas réveiller cette douleur aigüe. On peut parler ici de deuil pathologique. Ouaih.
De cette expérience malheureuse, il convient, là encore, de tirer des enseignements positifs. Vous ne le savez que trop, "une mauvaise expérience vaut mieux qu'un bon conseil".
Désormais, j'ai pigé, là, c'est bon: mieux vaut archiver les trucs sur des dvds, même à moitié compressés (ou alors systématiquement copier ses fichiers sur un disque jumeau que t'allumes presque jamais, pour l'éconono, l'éconono - l'économiser, bordel). Un dvd, ça peut te lâcher, s'effacer, dit-on, dans un avenir encore indéterminé, ou passer sous un pneu michelin, une rappe à fromage... Mais tu perds pas 300 films d'un coup, en 1 seconde.
En plus, j'le sais, maintenant: Lacie, ça fait longtemps qu'y fabriquent plus eux-mêmes leurs disques durs. Y s'contentent de la coque, de laisser son design à je ne sais quel Philippe Starck à la manque ou à ne je sais quel constructeur de décapotables automobiles. Le disque dur lui-même, ici, c'était un Seagate. Seagate... Laisse moi m'marrer...
Non, Toshiba je dis. Avec un Toshiba, tu sais où tu vas: ça chauffe pas, jamais, pis c'est silencieux. C'est des gens sérieux, chez Toshiba.
Merde alors...
Dernière édition par Baudouin II de Barvaux le Mer 13 Mar 2013 - 22:24, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: La mort, au travail
Silence!
On souffre ici, monsieur.
Un peu de pudeur.
T'es sensible aux bisbilles anecdotiques du genre Gegauff perforé à coups de pics à glace ou que sais-je par sa dernière maitresse, mais les vraies douleurs humaines, la vraie épreuve du négatif, tu connais pô, tu t'en branles...
On souffre ici, monsieur.
Un peu de pudeur.
T'es sensible aux bisbilles anecdotiques du genre Gegauff perforé à coups de pics à glace ou que sais-je par sa dernière maitresse, mais les vraies douleurs humaines, la vraie épreuve du négatif, tu connais pô, tu t'en branles...
Invité- Invité
Re: La mort, au travail
exactement Gégauff on en parle tandis ce que toi ... je te vois bien passer devant ta médiathèque, non seulement l'oeil torve mais aussi le regard en dessous ... le fourbe dont tu parles n'est pas l'autre mais toi. n'importe quel lacanien te le dira. parler n'est pas seulement l'agencement de mots en phrases dont tu détiens la logique lol c'est aussi l'expression souvent claire de complexions internes qui échappent au su sujet.
Invité- Invité
Re: La mort, au travail
C'est ça, ferme là donc.
Va, bonne nuit, et laisse moi souffrir en paix. Ne souffre que ce qui est vivant, et moi je pisse sur la tombe de ton Gégauff. Oh mais.
Va, bonne nuit, et laisse moi souffrir en paix. Ne souffre que ce qui est vivant, et moi je pisse sur la tombe de ton Gégauff. Oh mais.
Invité- Invité
Re: La mort, au travail
slimfast a écrit: le fourbe dont tu parles n'est pas l'autre mais toi. n'importe quel lacanien te le dira. parler n'est pas seulement l'agencement de mots en phrases dont tu détiens la logique lol c'est aussi l'expression souvent claire de complexions internes qui échappent au su sujet.
Mon pauvre, t'as autant de disposition pour la psychanalyse des énoncés, lacanienne ou pas, qu'un hippopotame pour les claquettes. Aucune complexion interne n'échappe ici au "su sujet", je suis pleinement conscient de toutes les couches de significations possibles: mieux, je les convoque, je joue avec. Et pour ta gouverne, again: je ne crois pas à ce qu'on nomme l'inconscient, encore moins d'un texte. Du moins quand on réfléchit un minimum à ce qu'on écrit ***. Mais on va pas encore...
(*** toi, par contre, on peut dire que t'es un "inconscient" à ciel ouvert: aucun recul sur tes phrases, jamais. Une cataracte ininterrompue de lapsus, contresens, distorsions, contradictions... Cette fameuse "spontanéité" dont tu semble si fier. Tu ne sais pas jouer avec ou sur le langage, son ambiguïté, sa multiplicité, en varier les degrés, les styles, les registres (conceptuel, narratif, fictionnel, déclaratif, informatif...) et les intriquer.
Aucune plasticité. Tu n'as qu'un seul registre, qu'une seule corde à faire vibrer à ton arc, et que tu appelles le "pur ressenti" (si pauvre en vérité). Qui dit absence de plasticité dit aussi absence d'humour, et là aussi, tu te poses là.
Bref: tu sais pas écrire ni ce qu'écrire veut dire. T'es dans l'oralité "primitive", pas besoin de s'appeler Freud pour s'en rendre compte. Pardon pour cette sévérité aussi injuste que... méritée.)
Trouve moi donc une seule "donnée", je dis bien une, qui m'échapperait. Histoire de me surprendre.
Et c'est vrai, nom d'une couille fripée, que t'es ben difficile à dérider.
Invité- Invité
Re: La mort, au travail
Stéphane Pichelin a écrit:Robert Castel est mort. sociologue, a travaillé sur les questions du salaire ('spas, Tony ) et des nouvelles conditions d'exploitation. courageusement, le gouvernement français lui a rendu hommage par la voix de son ministre... de la culture. s'il avait su qu'il était artiste, certain qu'il en aurait moins fait...
ça me fait penser, c'était déjà bien mal barré quand la PS a séparé le ministère de l'économie et celui du "redressement productif". C'était une technique de commissariat: permettre à des syndicats (voire à un ou deux de ceux qu'ils représentent, pour dire que l'on a écouté tt le monde) de poser les questions aux gentil policier et de laisser le mauvais répondre. Et les syndicats d'Arcelor qui disent "Montebourg est le seul qui nous soutient, lui". Qu'ils sont cons. Ben oui, c'est une logique qui se pense en terme de rôle, et pas d'action.
C'est comme si on scindait le ministère de l'intérieur entre un "ministère de la répression" et un "ministère de la médiation des usagers faibles avec la fonction publique d’autorité" (ou une connerie dans ce genre).
Ou, quitte à nous prendre encore plus pour des c**s, scinder le ministère de la défense en "un ministère du drone non léthal et de la recherche appliquée" et "le ministère de l'intervention spéciale en milieu sahélien et des médias".
Cette analyse beaucoup ont du la faire sur le moment ceci dit.
Dans ce contexte l'apparition d'un ministère "de la mort de la pensée (rires) politique et de la culture" n'est pas surprenante.
Invité- Invité
Re: La mort, au travail
Un des aspects effarant de la guerre du Mali, c'est qu'un journal comme le Monde se met à verser dans un ton caporaliste 1915 que même le Figaro n'aurait pas si Sarko était au pouvoir.
La substance de l'édito d'hier "Et c'est dégeulasse, la France est seule contre la barbarie, l'Espagne et la Belgique ne nous envoient que 30 soldats, l'Europe est morte et on s'en souviendra"..
Faire la guerre coûte cher, et il n'y a plus d'argent après 5 ans de credit crunch M. Mollet. L’armée belge n'a plus d'essence, plus de munition et dans les exercices les soldats en sont parfois réduit à faire le bruit des armes avec leur voix, et elle est malgré tout engagée au Liban et en Afghanistan.
La substance de l'édito d'hier "Et c'est dégeulasse, la France est seule contre la barbarie, l'Espagne et la Belgique ne nous envoient que 30 soldats, l'Europe est morte et on s'en souviendra"..
Faire la guerre coûte cher, et il n'y a plus d'argent après 5 ans de credit crunch M. Mollet. L’armée belge n'a plus d'essence, plus de munition et dans les exercices les soldats en sont parfois réduit à faire le bruit des armes avec leur voix, et elle est malgré tout engagée au Liban et en Afghanistan.
Invité- Invité
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