hjklm

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Tu sembles faire une fixette bizarre sur le théâtre de Sartre, comme s'il importait encore de démontrer que ce ne fut pas une grande réussite. Ce scoop a été éventé depuis 60 ans au moins, y compris par le principal intéressé. Mais même indigeste, on n'est pas dans la même division. Sartre avait au moins des trucs intéressants à dire.


Rappelons aussi cette chose bien connue: son unique vrai-faux roman, qui est, lui, toujours aussi génial, il souhaitait l'intituler "melancholia". C'est Gaston Gallimard qui n'a pas voulu, trouvant que c'était bourgeois, pompier, pédant et neuneu comme accroche. "Et pourquoi pas la nausée? ça crache, non?".




Pour LVT, ce que j'en pense (depuis des lustres):

http://mainoptique.blogspot.com/2011/08/lhopital-sans-fantomes.html

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Khè opinion?

Elle vaut bien ton "avis personnel", d'un inintérêt abyssal, surtout quand on le lit.

En sus, je cherche moins à "convaincre", en énonçant de telles évidences, qu'à faire rire. Tu ne ris pas, j'en prends acte, ok.

Mais en relisant ton premier post, je ne vois pas trop en quoi mes vannes disent finalement quelque chose de si différent que ces "opinions" que tu partages avec toi-même, dans un style appliqué, sérieux comme un pape, précautionneux, voire semi-sénile, comme un devoir lentement calligraphié qu'on rendrait par pneumatique avant d'aller sagement jouer cinq minutes avec son gyroscope. Oui, pardon, je sens que tu vas rire... non plus, là.



"son tableau de la mélancolie psychiatrique", késako?


Je peine à saisir, je l'avoue, l'opinion que tu vises à exprimer au travers du truchement de cette expression locutive. [j'imite d'ores à présent ta proséologie, scuze, car moi, je lis, et dans la diachronie des interventions].
C'est le tableau ou la mélancolie qui est psychiatrique, en ce cas de figure? Il y a là quelque ambiguïté dommageable à la compréhension des intentions de l'auteur, par delà le bien et le mal de Nietzsche (Frédéric. Un philosophe allemand dont je vous recommande la lecture, pour ceux qui sont trop pauvres pour s'acheter du Binswanger. Ludwig), et qui revêt à mes yeux, je le confesse, la position d'auteur fétiche, si je puis m'exprimer ainsi. C'est pourquoi je suis très sourcilleux, voire sceptique, sur les adaptations de l'anté-christ en langue danoise.
Je me pose la question de savoir, à ce propos, ce qu'en penserait Guattareuse (Félix de son antéronyme), qui a écrit si je ne m'abuse de fort belles pages sur la question du tableau, en psychiatrie notamment. Et de la psychiatrie à l'enfermement, il n'y a qu'un pas me diras-tu. Pas que je franchirai sans crainte ni tremblement en confessant que la meilleure pièce sur ce sujet, qu'on devrait étudier dans les écoles (les journées "portes ouvertes" uniquement), est signée Bunuel, et non point Sartre. Quoique, je concède ma mauvaise foi à ce sujet, je fréquente peu ce dramaturge, dont je ne partage pas la démarche selon mes critères personnels. A ma décharge, je suis un autodidacte, et de lui je ne connais à vrai dire que "les séquestrés daltoniens", dans l'adaptation de James Huth. Adaptation que, je le confesse, je n'ai pas beaucoup appréciée. Aussi laisserai-je humblement, à ce titre, aux intellectuels qui prisent cet auteur, le soin de penser des opinions à son sujet.

Mais pour en revenir à Lars, l'Idiot de la famille, cela ne ressortit plus guère de mes préoccupations du moment, je le confesse. Selon mes critères personnels, il faut laisser la mélancolie - du latin melancholia, pour ceux qui sont trop fauchés pour se payer un Gaffiot (Félix) , surtout psychiatrique, aux mystiques du "grand art", comme Angelopoulidor et Bela Tarr.

Pour ma part, et sans vouloir trop me mêler de considérations conceptuelles que je préfère laisser aux intellectuels du lieu dit, me contentant humblement non pas de penser, mais de regarder les films, je tends à estimer que Lars Von Trier non seulement a été un cinéaste d'importance importante dans le cadre de l'histoire des non-idées filmiques, mais encore, et bien qu'il ait cessé de m'intéresser, que ce fut essentiellement un auteur comique, au sens spécifique de "petit rigolo" (petirigolus).

Cette dimension, qui existe principiellement dans son oeuvre sous forme d'un halo benjaminien (pour ceux qui n'ont pas la thune pour se payer le jeu vidéo), on a tendance à la sous-évaluer en mettant par trop à mon goût l'accent sur une dimension mystique qui, chez lui, c'est du moins mon opinion, tend à s'apparaître davantage comme un épiphénomène de surface. On tend à l'ignorer par méconnaissance du sujet, mais Von Trier fut et demeure, quoi qu'on en pense, un cinéphile amoureux des Keytone cops. Ses premières oeuvres sont parsemées de références subtiles à cette école cinématographique, comme en témoigne le gag récurrent de la cloche céleste sur laquelle tout le monde se cogne la tête à tout bout de champ (c'est véritablement tordant), qui est une reprise avouée du gag de la peau de banane.
Running gag que je peine à trouver, il est vrai, dans Le regard d'Ulysse, emprunt d'une morbidité statuaire, mais peut-être me trompe-je et passé-je à côté de l'humour typiquement grec, alors que je suis davantage sensible, de par ma sensibilité personnelle, à l'ironie danoise.

Si tel était le cas, je vous prierais de bien m'en vouloir m'en excuser, et je laisserai les intellectuels du lieu dit tenter d'en analyser par le menu les tenants et les aboutissants. Tâche non aisée s'il en est, j'en conviens aisément. Aussi permettez-moi, par la présente honorée du 15è courant, de prendre à présent congé, car je suis plongé jusqu'au cou dans mes travaux d'écriture.
A cet égard et sur ce sujet, je vous quitterai sur un trait d'esprit, inepte, je le confesse et le concède (mais c'est pour ceux qui ne se peuvent payer un gros Kafka. Franz. Ecrivain pragois de langue allemande et d'origine juive, né le 3 juillet 1883 à Prague et mort le 3 juin 1924 à Kierling. Il est considéré comme l'un des écrivains majeurs du XXe siècle):


Quelle est la différence entre l'amour et les toilettes?

Spoiler:

Veuillez me pardonner pour ce trait d'esprit un peu facile, un brin vulgaire, je le concède en le confessant, et que dans notre jargon de métier, nous nommons "calembour". Le calembour (pour ceux qui sont trop paupérisés pour se payer la filmo de Jacques Tati. Du latin tatus, cad "oh, la ferme!") est un jeu de mots fondé sur l'homonymie ou l'homophonie (mots qui s'écrivent ou se prononcent de la même façon, mais différents par le sens), la paronymie (mots dont l'écriture ou la prononciation est très proche), ou encore la polysémie (mots ayant plusieurs sens).
Le calembour est un trait de l'esprit, à connotation humoristique, qui, par le sens double d'une phrase, permet une approche ironique sur un sujet donné. Il fut souvent utilisé dans cette optique par les journaux satiriques et les chansonniers du début du XXe siècle. Les calembours sont généralement plus appréciés à l'oral qu'à l'écrit. Une légère différence d'intonation peut en effet orienter la compréhension d'une phrase ambiguë. Le procédé est approprié à la langue française, peu accentuée et riche en homophones. Il ne faut pas confondre le calembour avec le kakemphaton, faute involontaire.


A présent, et je n'ai que trop tardé il est vrai, je retourne à mes écritures.

Je vous remercie de votre attention.










Bonne nuit hein. Ah pardon il dort déjà.

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Plaît-il?

Mais c'est un compendium de toute ta littérature commise sur le lieu-dit, tu devrais me remercier pour cet effort de relecture.


PS: j'ai jeté un coup d'oeil sur ta littérature annexe (ton blog), et je dois dire que j'aime beaucoup, même si je n'en partage pas les opinions.


Juste un truc, pour confirmer: naturellement, c'est volontairement comique, tes propos et ta façon d'agencer les phrases.

Non, parce que ce côté "pince sans rire" est tellement maitrisé que, parfois, ça jette le trouble.

Ce qui est bien avec les pays musulmans, c'est que l'interdiction de l'alcool pousse le voyageur à explorer, et partir à l'aventure s'il désire se désaltérer. C'est surtout vrai à Rabat où à moins de sacrifier au culte des hôtels internationaux avec baie vitrée et esplanade de marbre, trouver un bar qui vend de la bière demande du courage, de la persévérance. Un peu comme si à Paris, le seul endroit où l'on puisse boire se situait rue Germain Pilon, entre Pigalle et les Abbesses...
C'est donc tout un effort de déconditionnement à la bourgeoisie qu'il faut, pour ne serait-ce qu'oser pousser la porte du minuscule café ultra-bruyant, d'où sortent des cliquetis de tambourins, et on se sent un peu peureux en se glissant derrière la palissade qui cache le comptoir. C'est alors sous une lumière rouge-verte vaguement jaune, que le spectacle s'offre : Toute une foule d'hommes assis devant de grandes quantités de bières. On les laisse sur les tables pour les compter...
Et au milieu du café, sur ce qui n'est pas une piste de danse, quelques hommes en transe se déplacent au ralentis, les bras au-dessus de la tête avec des mouvements d'oiseaux. On trouve même par-ci, par-là, des femmes assez courageuses pour venir se détendre au milieu de la sueur virile, devant l'écran du foot, au milieu des mâles que l'alcool a massé. La population marocaine est charmante et polie au plus haut point, à devenir collante parfois, tant elle vous accueille bras ouverts. Même dans ce bar borgne où être festif et prolétaire n'empêche pas le plaisir de picorer du fromage en se saoulant.
Alors, je me suis tenu raide dans un angle, je me suis fait petit et à l’affût et j'ai discuté avec un vieil homme charmant qui avait envie de parler assez longtemps pour que je lui offre à boire...
Comme quoi, c'est encore à l'étranger et dans les bas-fonds qu'on trouve toujours cette culture populaire, morte en France dans la petite race blanche.

Ach, l'humour danois. Yö yö

On dirait du Houellebecq (pour le fond) corrigé par Renaud Camus (pour la forme). A moins que ça soit le contraire.

En comique, bien entendu.




(au fond du couloir, à droite, les toilettes, donc)

Message effacé par l'auteur suite à une polémique tout à fait stérile.

Que ce désagrément ne te décourage pas de continuer à intervenir sur le forum.
En dépit de ce texte abominable dont on ne peut rien sauver, et que j'ai exhibé pour te faire cruellement honte, et même si bcp de choses me déplaisent (c'est un euphémisme) esthético-politiquement dans ton blog - car je l'ai parcouru -, je ne méprise pas ton désir d'écriture. Tu me sembles capable d'écrire des choses intéressantes, tu as une sensibilité intéressante (en gestation, et susceptible de se débarrasser de certaines afféteries), mais surtout tes propres aveux d'inutilité foncière me touchent.

Léger amendement (dicté par mon humanisme sartrien)...

Je vous prierai de ne plus insister, d'effacer l'ensemble du sujet et de garder vos réflexions pour votre petit cercle.
Vous devriez arrêter ce ton de mépris professoral, qui me porte sur les nerfs. Sans quoi, je pourrais maintenant ressentir le besoin de vous répondre la vérité. Citer des extraits de vos copies et remettre en perspective vos prétentions intellectuelles.
Ou jouer au donneur de leçons comme vous le faites.
Donc, merci de me foutre la paix.

Rotor a écrit:Je vous prierai de ne plus insister, d'effacer l'ensemble du sujet et de garder vos réflexions pour votre petit cercle.
Vous devriez arrêter ce ton de mépris professoral, qui me porte sur les nerfs. Sans quoi, je pourrais maintenant ressentir le besoin de vous répondre la vérité. Citer des extraits de vos copies et remettre en perspective vos prétentions intellectuelles.
Ou jouer au donneur de leçons comme vous le faites.
Donc, merci de me foutre la paix.

ah ok.

tiens au courant quand même de ton exploration des bas-fonds...

concernant tes histoires avec la race, la petite race blanche ou la race marocaine charmante et polie à devenir collante parfois, c'est mon humanisme fullérien qui te répond:

Je n'ai jamais parlé de "race marocaine" et l'accusation de racisme est une stupidité et le degré zéro de la polémique. Si tu avais lu mon texte, tu aurais compris qu'il s'agit d'une critique du monde occidental et non l'inverse. Je vis d'ailleurs dans un quartier mixte où toutes les cultures se croisent pour mon plus grand plaisir.

Et secundo, j'aimerais que vous cessiez pour vous défendre d'aller puiser dans mon blog des choses qui n'y sont pas. Et que le débat en revienne non à des questions d'egos vexés mais à Lars Von Trier. Sur lequel le sublime Jerzy a écrit des pages indémodables contenant des notions grandioses. Paix au grand homme !

Sur ce, je vous laisse définitivement, n'ayant aucun désir de discuter avec vous.

PS : Quelle poisse de devoir se justifier ainsi auprès d’interlocuteurs sans empathie qui se permettent la plus totale incorrection, sous-entendre dans mes propos une coloration de peste noire. Sur ce, bonne chasse aux sorcières...

Rotor a écrit:Je n'ai jamais parlé de "race marocaine" et l'accusation de racisme est une stupidité et le degré zéro de la polémique. Si tu avais lu mon texte, tu aurais compris qu'il s'agit d'une critique du monde occidental et non l'inverse. Je vis d'ailleurs dans un quartier mixte où toutes les cultures se croisent pour mon plus grand plaisir.

Et secundo, j'aimerais que vous cessiez pour vous défendre d'aller puiser dans mon blog des choses qui n'y sont pas. Et que le débat en revienne non à des questions d'egos vexés mais à Lars Von Trier. Sur lequel le sublime Jerzy a écrit des pages indémodables contenant des notions grandioses. Paix au grand homme !

Sur ce, je vous laisse définitivement, n'ayant aucun désir de discuter avec vous.

PS : Quelle poisse de devoir se justifier ainsi auprès d’interlocuteurs sans empathie qui se permettent la plus totale incorrection, sous-entendre dans mes propos une coloration de peste noire. Sur ce, bonne chasse aux nazis...

Je ne t'accuse pas de racisme. Plutôt, "que balivernes et bavardages..."

Je ne connais pas l'adresse de ton blog, et d'où vient exactement cet extrait cité par Jerzy?

.

C'est magnifique d'acharnement aveugle. Tu es un vrai dictionnaire des citations.

Je commence vraiment à en avoir marre de vous et de vos insultes.

Pourriez-vous me bannir de votre forum ? SVP.

Rotor a écrit:

Pourriez-vous me bannir de votre forum ? SVP.

mdr

Rolland, Lars, Cousteau, Allen, les boy-scouts patriotes,
des poulets gros comme des autruches,
des plantes mangeuses d'hommes nourries au jus de cadavres fondus,
et puis Burroughs,

j'ai rien compris Careful,
mais depuis que t'as planté des tomates, t'es plus tout à fait le même c'est net.

.

wootsuibrick a écrit:

Rotor a écrit:

Pourriez-vous me bannir de votre forum ? SVP.

mdr

il y a un protocole à respecter pour que ton bannissement soit bien pris en compte.
tu dois faire en skateboard deux fois le tour de ton quartier mixte où toutes les cultures se croisent, et sur ton trajet discuter au moins cinq minutes avec un vieil homme charmant qui avait envie de parler assez longtemps pour que tu lui offres à boire... Si tu ne rencontres personne, mets toi simplement un doigt au cul sur le deuxième tour, ça ira.

Reviens quand tu as terminé.

Jerzy, tu vois où ça mène ton humanisme sartrien!

.

Le blog est atteignable via le petit point rouge à côté de son avatar.


Oh ben flûte alors, moi qui m'imaginais le gars comme une sorte de poète sorti du Faux-mouvement de Wenders, se présentant ainsi:

"Je m'appelle Bernhard Landau, je suis autrichien, je n'ai jamais travaillé ni fait quoi que ce soit de bon dans la vie, et j'espère continuer ainsi le plus longtemps possible".

Chuis déçu.

J'en dit "en gestation", mais c'était pas professoral ni condescendant. Ou alors à l'insu de mon plein gré.

Dont acte.

Si tu avais lu mon texte, tu aurais compris qu'il s'agit d'une critique du monde occidental et non l'inverse. Je vis d'ailleurs dans un quartier mixte où toutes les cultures se croisent pour mon plus grand plaisir.

C'est de la même eau croupie, là.
Et cette ligne de fond suinte tout au long de ton blog quand, porté par ces élans d'humanisme qui doivent tout à l'autodidacte de la Nausée de Sartre, tu évoques les "étrangers".
Sans même t'en rendre compte, tu baignes, c'est une évidence, dans une forme de racisme rance de dandy littéreux fascisant à la Renaud Camus.

On serait pas étonné de lire sous ta plume raffinée que les noirs sont formidables parce qu'ils ont décidément le rythme dans la peau, etc.

Ta soi-disant "sympathie" pour les "non-occidentaux" est du registre du pittoresque, de l'exotique.

Ce sont en quelque sorte des espèces de caricatures ambulantes (la sueur, la courtoisie collante, etc etc) qui te servent de repoussoir pour mépriser "la petite race blanche" (on imagine qu'elle se situe dans les "bas fonds" aussi, mais ce pittoresque ne t'agrée point).




"Mixité": notion dont tu devrais te méfier, car c'est la version "politiquement correcte" du racisme ordinaire: elle présuppose des hétérogénéités, d'essence, qu'on mélange. On ne devrait jamais avoir à utiliser ce vilain terme.


Tu es un obséquieux, mon garçon, qui rêverait de déniaiser son mépris de classe en allant s'étourdir des senteurs capiteuses de l'orient, à la façon d'un Gide. Non pas un voyageur au long court, mais un touriste bon pour le cap d'Agde. Sirotant des cocktails exotiques pour son plus grand plaisir.


Bon, allez, ouste, va te mélanger à la plèbe. Et n'oublie pas ton déodorant nivéa sans alcool, car décidément, tu sens pas bon.

Tu mérites bien ton Lars Von Trier.

Arrête de m'insulter devant tes amis pour faire le malin. Et si tu veux débattre sérieusement, cesse les coups bas. C'est juste lamentable de s'en prendre à quelqu'un comme vous êtes en train de le faire. De tenter de l’humilier et de profiter de l'occasion pour le maltraiter publiquement.

Je conçois très bien que tu n'aimes pas mon travail (je te le rends bien) mais m'attaquer alors que j'ai été extrêmement modéré dans mes propos est infamant. Et indigne d'un forum de cinéma où j'ai toujours participé pour discuter et non pour me venger contre qui que ce soit.

C'est bien pour ça que j'avais posté un amendement encourageant, mais tu as repoussé cette main tendue au dessus de l'abysse, avec dédain, au prétexte (faux) que c'était condescendant et professoral.

Condescendant? Mais dis donc, tu connais celle du chameau qui voit pas sa bosse?

Tu as bien besoin de profs, tilou, ne campe pas ainsi sur la fierté du powète qui a fait table rase de toute la scolastique, allons. Car pour faire table rase, encore faut-il qu'il y ait eu quelque chose sur la table, avant.

Nous sommes entre nous, tout va bien se passer, personne ne regarde, t'inquiète donc pas. On prendra le temps qu'y faut, mais on y arrivera.

J'ai lutté à mains nues, jadis, dans la forêt vierge, contre une nuée de sales petits français de race qui s'étaient mis à 15 pour me lacérer, avant de me virer sans préavis de leur site. Moi aussi j'ai fait le nam. T'es sous ma protection, lou.