Affichons les affiches
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adeline
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Re: Affichons les affiches
un des films fétiches aux Etats-Unis, Casablanca
par ailleurs j'ignorais que le titre de Cavell, A la recherche du bonheur, était une inscription gravée à l'intérieur de la statue de la liberté à l'intention des migrants du monde entier abordant les terres nouvelles de l'Amérique.
Invité- Invité
Re: Affichons les affiches
je crois que c'est l'affiche coréenne du film Samaria de Kim Ki Duk, un film que j'ai bien aimé.
Invité- Invité
Re: Affichons les affiches
50tenaire de la mort de Cocteau. Mauriac et lui avaient entretenu une passion intense. Cocteau avait rompu et l'autre, souffreteux - comme le premier, du reste - avait souffert. Mauriac en vérité le jalousait et garnissait son bloc notes de remarques acerbes sur sa superficialité et son côté artificiel. Fidèle à sa méchanceté proberbiale à la mort de Cocteau il a écrit méchamment :"je m'étonne qu'il ait pu faire une chose aussi naturelle que de mourir". Sans commentaire.
Invité- Invité
Re: Affichons les affiches
L'afffiche de l'excellent film de Jang Sun-Woo, Fantasmes, 1999 ; un des premiers films du nouveau cinéma coréen à émerger sur la scène internationale, attisant le scandale en affichant les mensonges de la société coréenne aux yeux du monde (les très jeunes filles dans les bars etc...).
Invité- Invité
Re: Affichons les affiches
Quelques affiches d'anciens Disney :
Ici : http://www.laboiteverte.fr/les-affiches-des-53-films-disney-de-1937-2013/, on en voit de 1937 à 2013. Ben les plus récentes ne sont vraiment pas les plus belles…
Ici : http://www.laboiteverte.fr/les-affiches-des-53-films-disney-de-1937-2013/, on en voit de 1937 à 2013. Ben les plus récentes ne sont vraiment pas les plus belles…
adeline- Messages : 3000
Re: Affichons les affiches
Le black cauldron est assez belle, Taram en français et puis j'adore celle d'Oliver and Company mais peu sortent du lot.
DB- Messages : 1528
Re: Affichons les affiches
via évidemment https://mubi.com/notebook/posts/movie-poster-of-the-week-jour-de-fete-and-the-posters-of-michel-landi
adeline- Messages : 3000
Re: Affichons les affiches
son "masque" est redessiné, ça va sans dire, mais c'est quand même une belle affiche.
incubé- Messages : 206
Re: Affichons les affiches
Dans la série des stores, un film culte en ce qui me concerne, en tout cas pour le (grand) début. Un des films les plus réussis à mon sens, sur le glamour mortifère, sujet rebattu dans le cinéma américain.
incubé- Messages : 206
Re: Affichons les affiches
Honnêtement, je ne vois pas ce que ce début a de grand.
Y a au moins 30 films ou 50 séries tv qui me semblent commencer par une intro de ce genre. Quant au film, vu y a 30 lunes, il m'a laissé aucun souvenir, sinon que je le trouvais ni mauvais ni bon, ni bien ni mal interprété, ni bien ni mal mis en scène: parfaitement quelconque, absolument sans intérêt, et déjà fort daté à l'époque. Rien que le titre, déjà, me fait bâiller.
Je crois même avoir abandonné après 50 minutes. En deux visions de 25 minutes, tellement c'était pénible.
Le découpage est à chier, le rendu apprêté, c'est convenu, mal dirigé, d'un ennui mortel, vide, des images hideuses tout du long, avec cette ignoble rose bleutée qui me donne envie de vomir. Tout cela dénote un flagrant manque d'imagination, et je ne parle pas de la scène centrale du lit, qui contamine tout le métrage: une sorte de détroussage de cadavre qui me fait penser au fascisme.
Quand Lauren Newton rencontre Gere il a les traits d'un Jean Marais embaumé, quelque chose de l'ordre de l'esthétique, du hors champ de la baise : c'est l'évitement de l'obscénité de la baise qui fait de Schrader un moraliste. ça n'a rien de péjoratif, et cela je l'ai trouvé dans son film.
Ah non, au temps pour moi, j'ai confondu avec Blow up.
Quant à l'affiche: je la trouve hyper-moche. Plus encore à cette taille, et complètement déformée au niveau de l'échelle des plans. Mais c'est sans doute parce que je manque de sensibilité et que je suis imperméable à la poésie.
Toutes mes confuses. Mais merci de contribuer à notre culture cinématographique, artistique et graphique.
PS: pas la peine de te fatiguer à répondre ou à argumenter quoi que ce soit. M'intéresse pas. Épargnons-nous les vains ''salmigondis''. Je place anticipativement le feedback-type que tu réserves à ceux qui ne partagent pas tes vues:
"tu m'ennuies et j'ai pas le temps".
Laconisme, économie de moyens, franchise, sincérité, authenticité, expression de ses ressentis, informations brèves, communication utilitariste, informative, conviviale---> On gagne du temps et on s'ennuie moins. C'est tout benef pour le forum, du moins tel que tu le conçois, pratiques et phagocytes.
Je m'adapte à l'Ordre de ton monde, de ta conception de la communication, qui tu nous imposes quotidiennement, et à laquelle il faut souscrire sans broncher - sinon on a droit à une séance de psychanalyse gratuite. Je pense que cet effort louable mérite un signe de gratitude. Mais un silence subséquent ne m'offusquera pas. Parce que je suis tolérant et ouvert, même aux affiches très laides.
J'espère simplement que la série "stores" ne prendra pas 5 pages avant de mentionner celle-ci. Donc là aussi j'anticipe:
Y a au moins 30 films ou 50 séries tv qui me semblent commencer par une intro de ce genre. Quant au film, vu y a 30 lunes, il m'a laissé aucun souvenir, sinon que je le trouvais ni mauvais ni bon, ni bien ni mal interprété, ni bien ni mal mis en scène: parfaitement quelconque, absolument sans intérêt, et déjà fort daté à l'époque. Rien que le titre, déjà, me fait bâiller.
Je crois même avoir abandonné après 50 minutes. En deux visions de 25 minutes, tellement c'était pénible.
Le découpage est à chier, le rendu apprêté, c'est convenu, mal dirigé, d'un ennui mortel, vide, des images hideuses tout du long, avec cette ignoble rose bleutée qui me donne envie de vomir. Tout cela dénote un flagrant manque d'imagination, et je ne parle pas de la scène centrale du lit, qui contamine tout le métrage: une sorte de détroussage de cadavre qui me fait penser au fascisme.
Quand Lauren Newton rencontre Gere il a les traits d'un Jean Marais embaumé, quelque chose de l'ordre de l'esthétique, du hors champ de la baise : c'est l'évitement de l'obscénité de la baise qui fait de Schrader un moraliste. ça n'a rien de péjoratif, et cela je l'ai trouvé dans son film.
Ah non, au temps pour moi, j'ai confondu avec Blow up.
Quant à l'affiche: je la trouve hyper-moche. Plus encore à cette taille, et complètement déformée au niveau de l'échelle des plans. Mais c'est sans doute parce que je manque de sensibilité et que je suis imperméable à la poésie.
Toutes mes confuses. Mais merci de contribuer à notre culture cinématographique, artistique et graphique.
PS: pas la peine de te fatiguer à répondre ou à argumenter quoi que ce soit. M'intéresse pas. Épargnons-nous les vains ''salmigondis''. Je place anticipativement le feedback-type que tu réserves à ceux qui ne partagent pas tes vues:
"tu m'ennuies et j'ai pas le temps".
Laconisme, économie de moyens, franchise, sincérité, authenticité, expression de ses ressentis, informations brèves, communication utilitariste, informative, conviviale---> On gagne du temps et on s'ennuie moins. C'est tout benef pour le forum, du moins tel que tu le conçois, pratiques et phagocytes.
Je m'adapte à l'Ordre de ton monde, de ta conception de la communication, qui tu nous imposes quotidiennement, et à laquelle il faut souscrire sans broncher - sinon on a droit à une séance de psychanalyse gratuite. Je pense que cet effort louable mérite un signe de gratitude. Mais un silence subséquent ne m'offusquera pas. Parce que je suis tolérant et ouvert, même aux affiches très laides.
J'espère simplement que la série "stores" ne prendra pas 5 pages avant de mentionner celle-ci. Donc là aussi j'anticipe:
Invité- Invité
Re: Affichons les affiches
Quelle horreur Bidibule. Au moins Gere annonce la couleur sur l'affiche : c'est un forçat. Mais comme tu ne prononces pas mon nom c'est peut-être à toi que tu t'adresses, tu rumines : il est entré dans ma vie et n'en sortira pas. Que làstima ... mortel glamour.
incubé- Messages : 206
Re: Affichons les affiches
ps : toi Bidibule, tu as les goûts du plus grand nombre. C'est très exactement ce que j'appelle être un mouton, pas un intellectuel donc. Un intellectuel c'est un mec qui sait ou qui défriche, c'est pas toi. Toi t'es juste bon à tartiner la langue avec application d'un pâté en croûte comme sur le derrière d'un nourrisson pas propre.
Quelle étrange vision comique du monde tu as. lol.
Quelle étrange vision comique du monde tu as. lol.
incubé- Messages : 206
Re: Affichons les affiches
J'ai l'impression de devoir justifier le film : c'est plus la femme fatale du film noir des années 40 et 50, du film noir ni de ceux qui ont suivi, Hitch, de Palma, paris texas même. Il y a cette inversion du genre et ce côté travaux forcés auquel doit recourir aussi maintenant l'homme. Ca fait un peu réfléchir compte tenu de ces déplacements à l'acteur et l'actrice dans ce cinéma US qui est le gigolo du titre au fond.
Mais on peut ne pas être d'accord ... je dévie quand j'y ai intérêt.
Mais on peut ne pas être d'accord ... je dévie quand j'y ai intérêt.
incubé- Messages : 206
Re: Affichons les affiches
incubé a écrit:ps : toi Bidibule, tu as les goûts du plus grand nombre. C'est très exactement ce que j'appelle être un mouton, pas un intellectuel donc. Un intellectuel c'est un mec qui sait ou qui défriche, c'est pas toi. Toi t'es juste bon à tartiner la langue avec application d'un pâté en croûte comme sur le derrière d'un nourrisson pas propre.
Quelle étrange vision comique du monde tu as. lol.
Je commenterai ça en détail demain, en rentrant du boulot, car ça vaut son pesant de cacahuètes en or massif. Dans le genre chameau qui ne voit pas sa bosse, et selon le symptôme n°1 de l'incubite, la maladie du miroir inversé: "je suis exactement tout ce que je condamne, et condamne exactement tout ce que je suis. Au millimètre près: ça tient de la magie pure
On fera un petit tout de manège extrêmement comique de ta ''cinéphilie'' défricheuse et aventureuse...
J'annonce juste les rubriques:
- l'homme qui inventa l'eau chaude (instruisant son petit monde d'à peu près tous les films célébrés par absolument tous les cinéphiles du monde entier)
- le carabinier d'Offenbach: arrivant lorsque la fête est terminée depuis 5 plombes et l'incendie éteint depuis une semaine, portant à bout de bras un trophée qu'il vient de découvrir, alors qu'il a été admiré, vu et revu sous toutes les coutures depuis une décennie au moins par ceux devant qui il l'agite fébrilement.
- l'homme qui astiquait inlassablement les vieux cuivres au dessus de la cheminée
- l'homme qui rétrécissait au fur et à mesure que son échelle des plans se modifiait.
- l'homme aux 100.000 photos (aka le Musée de la croûtasse la plus stéréotypiquement rebattue dans le domaine des arts plastiques et de la photographie).
- l'homme qui n'aimait pas la lettre K (on verra pourquoi).
- l'homme snob ou zazou? Essai en trois parties brèves plus une coda: - l'art du pas de côté, - l'art du contrepied - l'art d'étonner et de surprendre, - l'art de systématiser ces 3 arts au point de ne jamais étonner ni surprendre . En fond sonore: 'les trois valses distinguées du précieux dégoûté'' (E. Satie).
Encore une fois dormir, et, qu'on se le dise, grosse rigolât en perspective. Amenez vos sandwouiches.
Invité- Invité
Re: Affichons les affiches
Pour arrêter de fumer, c'est connu, il faut faire plusieurs tentatives. Tu es toxique comme le tabac. J'ai arrêté de te lire une fois, et comme je n'ai pas envie de te laisser la place, tu es trop bête, je recommence.
C'est un compliment que je te fais.
C'est un compliment que je te fais.
incubé- Messages : 206
Re: Affichons les affiches
Mais moi aussi j't'adore, rhôô...
On finira par se mettre en ménage, un jour.
On finira par se mettre en ménage, un jour.
Invité- Invité
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