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Armand 15 ans : dans le sud désolé quel devint mon ennui

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Armand 15 ans : dans le sud désolé quel devint mon ennui Empty Armand 15 ans : dans le sud désolé quel devint mon ennui

Message par Borges Sam 14 Jan 2012 - 10:09

Armand 15 ans : dans le sud désolé quel devint mon ennui ARMAND15ANS

des notes et des remarques, quelques signes

vu; c'est meilleur que adventureland sur la question du vide, d'un temps qui dure, sans être tragique; l'infini du temps, plus que sa tragédie, son impossibilité... non pas l'infini du temps, son indéfini.

c'est un bon film, sans plus.

le documentaire est le genre le plus difficile, c'est pourquoi tout le monde s'en croit capable.



Quelques moments. La nature, l'ennui, la différence (interne), la vie.


De jolis plans, des durées.

Et puis les ruses, les trucs traditionnels, suivre un personnage qui marche pendant des années, parce qu'il y a rien d'autre à filmer, ou parce qu'on n'a rien trouvé d'autre à filmer. Parfois, c'est merveilleux, mais le plus souvent, on se lasse vite. Faut que la marche mène à quelque chose, à un espace utopique, atopique, à un lieu sans lieu, mais dans l'image...

il faut que cette marche documentaire fasse le mouvement de l'idée et de l'affect.

Ca manquait.

Pq?

je sais pas, et comme réponse, j'essayerais ceci : le film manque d'imagination, c'est-à-dire de la capacité à redoubler le visible d'un invisible qui le hante; le film manquait d'altérité.


Ma réponse ne tient pas.

Là je me surprends à être trop dur, à m'écarter de mes impressions.

Ce que nous sentons manquer à un film s'y trouve nécessairement, sans quoi on n'en sentirait pas l'absence. Il ne faut pas exiger d'un film ce qu'il ne cherche pas, mais ce qui le redouble, et qu'il tente sinon de rendre, de peindre, mais d'esquisser, d'indiquer, comme le fameux dieu d'héraclite, qui se contente de faire signe, de signifier.

Un signe, nous sommes vide de sens...c'est peut-être ça, cet été d'armand...


Quand nous disons d'un film qu'il manque de quelque chose, notre critique ne doit pas ressembler à l'énoncé moqué par spinoza : les pierres sont aveugles. Il est de leur nature d'être aveugles; c'est donc ne rien dire.

Mais un film n'es pas une pierre, on me dira; oui, et on peut accompagner de notre désir sa perception, sa nature, sans doute, mais ce désir (l'idée, le sujet) doit venir du film.

Cela doit être le désir du film, pas le notre... c'est le désir du film qui doit nous faire signe vers ce qui lui manque, sur le mode du désirable...

mon désir doit être le désir du film; avec le double sens de cette expres​sion(subjectif et objectif); je ne dois désirer que le désir du film, je ne dois désirer que ce que le film désire : être un film; ni plus ni moins.




Ca veut dire quelque chose ce que j'écris là?
est-ce des mots?
C'est la question;
est-ce la question?

je sais pas.

Le film au début, je l'ai trouvé fort.

Armand a quelque chose de Jack Black...

la scène de danse, "i love rock'n'roll" est superbe, mais après cet amour du rock disparaît, et le mec ne filme finalement plus rien,que le vide, et la plénitude de la nature; la nature toute présente, comme signe du manque, du retrait...

Et si la question était pour le documentaire, pour ce type de documentaire : que faire devant une caméra pour inexister?

Parfois, on sent que le réalisateur, au nom étrange, inventé, doit composer avec l'histrionisme de son acteur...

Pourquoi certains "obèses" doivent-ils surjouer leur présence au monde ? Jouer au clown ? le film n'arrive pas à poser cette question, à refuser à son "personnage" d'exister depuis son manque de conformité, son inadéquation... mais tout cela c'est pas une critique, c'est le film qui me le montre; mais me le montrant, il me dit aussi qu'il ne le pense pas.

Il montre ainsi son impensé.


cet impensé est dans la fête foraine, et dans l'énoncé d'armand : "ils se sont mis à jouer du rock au moment où nous partions"...

Voilà le manque de présence à l'événement, le manque de présence à ce qui a lieu, en mon absence, quand je ne suis pas là (c'est la définition du cinéma, selon cavell, on le sait), ce qui se passe, là où les gens s'amusent ; c'est aussi ce qu'il dit quand il discute sur Internet : "je suis resté... "

La foire, le rock, le jeu vidéo... indiquent quelque chose, le manque de l'événement dans les événements manqués : les vacances, l'amour, le départ... mais tout cela, le film ne doit pas nous dire que c'est ailleurs, là où il faut le rejoindre, car, on serait alors dans la logique du manque, dans la norme (ah, ces pauvres qui partent pas).

je cherche ma pensée; je me répète donc.

Non le film ne doit pas nous dire que cette vie manque de la vie normée, majoritaire, aller en vacances, avoir une petite copine, quelques kilos en moins (ne pas se fier aux dénégations du style "je suis bien comme je suis"), il faut que l'événement, pour le dire librement avec badiou, l'être-passé, la trace (ce que j'appellerais "l'amour du rock") s'indique dans le lieu lui-même, de telle manière que le lieu ne soit pas le lieu du manque, mais celui de l’inexistant, qui alors adviendrait à l’existence dans ce même lieu, qui va s’en trouver changé dans sa logique… "il faut que le lieu, pour le dire en jouant sur les mots, "rende l'âme", en tant qu'espace réel, et rende à ses personnages, à la matière, son âme : le poème de l'existence inexistante : "une forme intense et maximale d’existence."




c'est pas un grand film, c'est un film qu'on se rappelle et qui voyage, dirait rimbaud







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Message par Invité Sam 14 Jan 2012 - 11:23

c'est un gag ?

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Message par Borges Sam 14 Jan 2012 - 11:55

slimfast a écrit:c'est un gag ?


hello slimfast;

C’est une question, l’autre étant de savoir si la question est l'essence de la pensé, ou si seule est réellement authentique l’entente du dire où s’annonce cela qui doit venir en question. Dans ce cas, la question de l’être, du gag, par exemple, ne serait pas la plus profonde, la plus authentique. Plus profonde que la question qui questionne en direction de l’être serait l’entente de la parole qui répond à une exigence première, celle de ce qui nous appelle à penser, le cinéma, par exemple, et avec le cinéma, par exemple; et cela qui nous appelle à penser, n’est peut-être pas alors l’être du cinéma (qu’est-ce que le cinéma, la pensée du cinéma, la critique…?) mais cela qui ne peut qu’être vu (l'image, qui n'est pas de l'être, qui n'a pas d'être) et qui nous demande pourtant de le penser, de penser...la question "est-ce un gag?" s'étonne devant ce qui paraît, ne sachant qu'en faire, comment le ranger, le classe...qu'en faire... cette question est celle qui avait mis platon sur la voie, sur le chemin, sans méthode, de la question de l'être de l'apparence...ce qui nous paraît est-il ou pas? si cela n'était pas, comment cela pourrait-il paraître... tout est là... la question "est-ce un gag? reconduit la pensée à son essence, l'étonnement devant ce qui est...est-ce?
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Message par Borges Sam 14 Jan 2012 - 12:33


(12:46:21) Zahad_le_rouge: à mon avis Borges est de plus en plus fatigué : http://spec​tresducinema​.1fr1.net/t1​091-armand-1​5-ans-dans-l​e-sud-desole​-quel-devint​-mon-ennui
(13:21:24) usaremafrotte: in memoriam Borges
(13:21:33) usaremafrotte

Armand 15 ans : dans le sud désolé quel devint mon ennui 0122_orinan_tumba_de_borges_g.jpg_1121220956











ne jamais renoncer à penser, la fatigue, la mort, la pensée...

"Il semble que, si fatigué que vous soyez, vous n’en accomplissiez pas moins votre tâche, exactement comme il faut. On dirait que non seulement la fatigue ne gêne pas le travail, mais que le travail exige cela, être fatigué sans mesure. C’est en cela que l’on peut dire que la fatigue n’est pas un temps empirique, une crise, un événement organique, un épisode musculaire - mais une dimension quasi métaphysique : le toucher, le tact même de l’infinitude : j’accompagne mon travail de son infini. On saisit alors ceci : la fatigue en ce sens est le contraire de la mort, car la mort est le définitif impensable, alors que la fatigue est l’infinitude vivable dans le corps."

(maurice blanchot/barthes et moi)


il ne faut donc pas, comme le remarque blanchot demander la suppression de la fatigue, mais à être reconduit dans une région où il soit possible d’être fatigué, c'est-à-dire d'endurer l'infini du travail de la pensée ; illustrons ça, par un film, shame, où le personnage principal refuse l'infini de la pensée, de la fatigue, dans une activité perpétuelle, dans le délire fasciste de la mobilisation du corps qui se refuse à penser, dans la fatigue, qu'il y a de l'impensable et que la pensée n'a pas de fin...






pour ceux qui ne saisissent pas le jeu du titre, l'écart qu'il crée dans la pensée, la mise en scène, citons :


Dans l'Orient désert quel devint mon ennui !
Je demeurai longtemps errant dans Césarée,
Lieux charmants où mon cœur vous avait adorée.
Je vous redemandais à vos tristes Etats ;
Je cherchais en pleurant les traces de vos pas.
Mais enfin, succombant à ma mélancolie,
Mon désespoir tourna mes pas vers l'Italie ;




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Message par Leurtillois Sam 14 Jan 2012 - 13:24

Il y avait un vers de Racine que ça lui remettait dans la tête ; un vers qu'il ne trouvait même pas un beau vers, où enfin dont la beauté lui semblait douteuse, inexplicable, mais qui l'avait obsédé et qui l'obsédait encore...

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Message par Invité Sam 14 Jan 2012 - 14:12

c'est de plus en plus la foire à la farfouille !

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Message par adeline Sam 14 Jan 2012 - 14:25

Hello ici !

je l'ai vu aussi ce film, il est passé sur Arte. J'ai trouvé ça vraiment bien, mais j'ai aussi ressenti souvent l'impression qu'il y manquait quelque chose. D'abord, j'ai cru qu'il manquait une histoire. Mais non, comme tu le dis Borges, le film se construit autour de cette absence d'histoire. J'ai pensé qu'il manquait des mots, des histoires, mais ça ne tient pas non plus. C'est peut-être en effet que le film n'arrive pas à penser le manque, il le ne fait que le montrer.

Le travail sur la bande-son est très précis, poussé. Justement, il l'est trop par rapport à l'image. La construction de l'univers, les sensations suggérées, la manière de faire sentir le flux et le reflux du temps est trop marquée par des "trucs" de montage. Disparition du son (dans le lac), retenue, écho et distorsion (la scène des skateurs) ; comme si le sound design se faisait trop sentir car ce qu'il crée n'est pas tout à fait assez contenu dans l'image.

Tu dis "histrion" Borges. Comme toujours quand je regarde un documentaire, je me suis demandé "comment le réalisateur a-t-il fait ?". Par exemple, pour filmer les scènes d'Armand et ses copines avant le début des vacances. La caméra est dans le groupe, juste là au milieu, pourtant tous les signes d'adresse à l'équipe de tournage, de "jeu" ont soit été gommées au montage, soit n'ont jamais existé. On est très près, et on dirait que ça ne gêne personne. Pourtant ça n'était pas des scènes où l'on sent que la caméra est "oubliée" pour un moment, ou bien présente depuis tellement longtemps qu'elle n'est plus remarquée comme extérieure à la scène. Non, ce qui se passe, c'est que Armand joue, joue tout le temps, pour tout le monde, pour lui-même et pour la caméra.

C'est quoi, un "histrion" ?:

"nom masculin emprunté au latin (1544) histrio "mime, comédien" et, au figuré, "fanfaron, faiseur d'embarras". Le mot est peut-être dérivé de Hister (ou Ister), nom latin du Danube inférieur, qui traversait l'Istrie : les Anciens pensaient que les premiers acteurs venaient de cette contrée située à l'est de l'Adriatique.
Histrion est d'abord employé pour désigner un acteur de l'Antiquité romaine jouant des farces grossières ; par extension, le mot prend péjorativement le sens de "comédien". À partir du XIXe s., il s'emploie pour "charlatan, personne qui joue un rôle" (dictionnaire hist. de la langue française).

C'est toujours la grande question du documentaire : les "gens" qui y apparaissent jouent-ils un rôle pour le film ? Sont-ils des personnages ? Ou bien eux-mêmes ? Ou bien juste des figures, des corps ? Là, Armand, c'est un personnage dans sa vie. Il joue pour lui, pour les autres, et pour la caméra. C'est l'impression que j'ai eue, en tous cas.

Et, dans le documentaire, l'idée première des gens, c'est que si les "personnages" du documentaire jouent, si ça n'est pas vrai, réel, non-joué, c'est une arnaque, c'est faux, c'est pas un "documentaire". Comme le sens négatif d'"histrion".

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Message par Borges Sam 14 Jan 2012 - 14:28

slimfast a écrit:c'est de plus en plus la foire à la farfouille !

slimfast, je t'invite à penser ceci : l'écart entre le nom, le prénom (le désir des parents donc) et l'image...
Armand, c'est "l'homme fort" (hart, fort, et mann, l'homme)... tout le film est là, dans l'écart entre le désir des parents, du monde, un homme doit être fort, l'homme c'est la force, et ce type, qui n'a rien d'un homme, mais tout d'une fille, errant dans des lieux charmants sur les traces des pas de je sais quel être perdu, mélancolie... pense à la scène du message au début, message d'amour... armand n'est pas un homme fort, mais un amant... de quoi, de qui...?


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Message par Borges Sam 14 Jan 2012 - 17:03

pour ceux qui ne peuvent ni voir, ni lire ; je révèle quelques secrets ; l'allusion à Racine vient de la fin du film, de la question de l'orientation à quoi est confrontée le personnage, mais portée à l'absolue, sinon ce ne serait pas un film, la question de l'orientation est toujours la question de l'orient-ation... l'allusion au "signe privé de sens", vient du signe (de la main) adressé à son prof hors champ par armand, à la fin ; pas de réponse ; la mère lui dit alors, "il ne t'a pas reconnu" ; un signe nous sommes privés de sens ; au double sens du mot, manquent à armand, la direction, et la signification ; armand est un signe non reconnu, un signe errant privé de sens... d'où l'insistance sur la marche...


des signes privés de sens;






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Message par DB Dim 15 Jan 2012 - 12:22

J'ai vu aussi ce film lorsqu'il était présenté à la quinzaine des réalisateurs et j'ai le souvenir d'un bon film pour reprendre l'expression de Borges.

En effet, la question du vide et du manque (plutôt que la mise en scène de l'ennui d'ailleurs) sont surreprésentées pour une raison qui à l'époque m'avait échappé. Par exemple toute la séquence du concert, je n'arrivais pas trop à comprendre.
Est ce que l'ennui c'est d'être seul dans sa chambre ? Bon, Armand n'a pas de murs blancs, la TV joue tout le temps et des posters, étagères, etc...

Mais, plus que la question de savoir si Armand joue ou non, il me semble qu'Armand est un personnage. C'est à dire qu'avant de faire, il est. Et c'est sa présence à l'écran (et force est de reconnaitre qu'il a une sacrée présence) qui justifie tout son jeu (ou sa nature, si tant est que l'un empêche l'autre). Ce qui rend le film intéressant c'est comment il fait quelque chose de ce corps imposant d'adolescent.

La rentrée sur ce gros plan c'est vraiment très bien. C'est une fin qui feint d'annoncer quelque chose et puis en fait, rien.
DB
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Message par Invité Mar 17 Jan 2012 - 15:04

salut Adeline, Borges, vous rendez curieux de voir le film.
c'est très étrange, les rapports de l'obésité et du manque. d'être trop gros, simplement, dans le regard social. c'est souffrir toujours d'un manque mais ce manque est justement dans la graisse en surplus. et pour un garçon, que cet excès féminise, c'est être taxé d'un autre manque, d'une castration, du manque de ce que justement on possède biologiquement et psychiquement mais dont on est socialement privé (le gros est facilement l'ami, difficilement l'amant envisagé).


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Message par careful Mar 17 Jan 2012 - 15:29

Stéphane Pichelin a écrit:...voir le film.

http://videos.arte.tv/fr/videos/les_gars_et_les_filles-6317676.html

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Message par py Mar 17 Jan 2012 - 22:00

merci pour le lien!
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Message par Invité Mer 18 Jan 2012 - 12:30

cool, careful, merci.


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